Klaus Badelt : passages TV

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Antérieurement en 2018
 

The Warriors Gate

Télévision : 1er juillet 2018 à 08:25-10:10 sur Canal +

film

Jack n'écoute pas vraiment les conseils de sa mère, Annie, qui l'enjoint à réviser ses leçons. L'adolescent préfère en effet passer le plus clair de son temps sur un jeu vidéo où se défient de valeureux chevaliers. Le jeune homme est très surpris quand l'un d'entre eux apparaît dans le monde réel pour lui demander de l'aider. Jack se retrouve alors propulsé avec lui en pleine Chine médiévale, chargé de protéger Su Lin, une belle princesse, des agissements d'Arun, une brute épaisse...

Année : 2016

Avec : Matthias Hoene, Mark Chao, Ni Ni, Dave Bautista, Sienna Guillory, Uriah Shelton, Kara Hui, Ron Smoorenburg, Zha Ka, Klaus Badelt, Luc Besson, Robert Mark Kamen, Hugues Tissandier, Maxime Alexandre

Antérieurement en 2018
 

Pour elle

Télévision : 28 juin 2018 à 23:20-01:10 sur Chérie 25

film : thriller

Vincent Lindon, prof paisible, se fera-t-il hors-la-loi pour sauver son épouse, accusée à tort de meurtre ? Petit polar où la psychologie est un peu sacrifiée à l'action – et au suspense, efficace. Critique : | Genre : polar d'amouuur. Souvenez-vous : pour Diane Kruger, la guerre de Troie avait été déclarée (dans un péplum hollywoodien, en 2004). Rien d'illogique à ce que, « pour elle », injustement emprisonnée, un prof de lycée (Vincent Lindon) s'improvise expert en évasion. Voici donc un premier film en forme de série B qui a pour lui sa modestie. De fait, l'intrigue — la métamorphose d'un honnête homme par amour — n'est qu'un prétexte : sous-traité psychologiquement, le chemin du personnage principal ne sert que la mécanique narrative. Et, sur ce terrain-là, Fred Cavayé, alors débutant, n'est pas maladroit, sauf quand il abuse d'une musique à l'américaine de la pire espèce. Vincent Lindon fait l'affaire, avec le charisme bonhomme, réaliste mais pas trop, qui est le sien ; Diane Kruger étonne et séduit en taularde borderline. Même sans maquillage (surtout sans maquillage ?), on volerait effectivement pour elle un oeuf, et donc un boeuf. — Aurélien Ferenczi

Année : 2008

Avec : Fred Cavayé, Vincent Lindon, Diane Kruger, Lancelot Roch, Olivier Marchal, Hammou Graïa, Liliane Rovère, Olivier Perrier, Moussa Maaskri, Klaus Badelt, Fred Cavayé, Guillaume Lemans

Antérieurement en 2018
 

L'ordre et la morale

Télévision : 25 juin 2018 à 20:55-23:05 sur France ô

film : drame

La prise d'otages d'Ouvéa et la mort de deux militaires et de dix-neuf Kanak en 1988. Le film, didactique, rappelle les fictions de gauche des années 1970. Critique : | Genre : politique-action. Le 22 avril 1988, des indépendantistes kanak prennent en otage une trentaine de gendarmes sur l'île d'Ouvéa, en Nouvelle-Calédonie. Le 5 mai, les forces de l'ordre donnent l'assaut. Bilan : vingt et un morts. Deux soldats et dix-neuf Kanak, certains achevés ou exécutés après leur reddition... Le négociateur du GIGN Philippe Le-gorjus tenta d'éviter le bain de sang. Son témoignage, émouvant et amer, a inspiré Mathieu Kassovitz pour la reconstitution, façon engrenage infernal, de la tragédie. Dénonciation du néocolonialisme, riva­lités fatales, manipulation politique : rien ne manque à ce successeur des « fictions de gauche » des années 1970 — entre Boisset (en mieux) et Costa-Gavras (en moins bien). C'est le point faible du film. Trop de dialogues plaqués sur l'intrigue, trop de manichéisme... Mais Kassovitz convainc dans les extérieurs (une marche dans la forêt à la tension extrême, une pause sur une plage aux allures de paradis perdu), et surtout dans les scènes d'action. Le long assaut final devient un chaos assourdissant où la représentation quasi abstraite des combats prend aux tripes. — Samuel Douhaire

Année : 2011

Avec : Mathieu Kassovitz, Mathieu Kassovitz, Sylvie Testud, Philippe Torreton, Malik Zidi, Mathieu Lardier, Alexandre Steiger, Iabe Lapacas, Daniel Martin, Klaus Badelt, Mathieu Kassovitz, Benoît Jaubert, Pierre Geller

Antérieurement en 2018
 

Pour elle

Télévision : 14 juin 2018 à 20:55-22:50 sur Chérie 25

film : thriller

Vincent Lindon, prof paisible, se fera-t-il hors-la-loi pour sauver son épouse, accusée à tort de meurtre ? Petit polar où la psychologie est un peu sacrifiée à l'action – et au suspense, efficace. Critique : | Genre : polar d'amouuur. Souvenez-vous : pour Diane Kruger, la guerre de Troie avait été déclarée (dans un péplum hollywoodien, en 2004). Rien d'illogique à ce que, « pour elle », injustement emprisonnée, un prof de lycée (Vincent Lindon) s'improvise expert en évasion. Voici donc un premier film en forme de série B qui a pour lui sa modestie. De fait, l'intrigue — la métamorphose d'un honnête homme par amour — n'est qu'un prétexte : sous-traité psychologiquement, le chemin du personnage principal ne sert que la mécanique narrative. Et, sur ce terrain-là, Fred Cavayé, alors débutant, n'est pas maladroit, sauf quand il abuse d'une musique à l'américaine de la pire espèce. Vincent Lindon fait l'affaire, avec le charisme bonhomme, réaliste mais pas trop, qui est le sien ; Diane Kruger étonne et séduit en taularde borderline. Même sans maquillage (surtout sans maquillage ?), on volerait effectivement pour elle un oeuf, et donc un boeuf. — Aurélien Ferenczi

Année : 2008

Avec : Fred Cavayé, Vincent Lindon, Diane Kruger, Lancelot Roch, Olivier Marchal, Hammou Graïa, Liliane Rovère, Olivier Perrier, Moussa Maaskri, Klaus Badelt, Fred Cavayé, Guillaume Lemans

Antérieurement en 2018
 

L'ordre et la morale

Télévision : 28 mai 2018 à 22:35-00:45 sur France ô

film : drame

La prise d'otages d'Ouvéa et la mort de deux militaires et de dix-neuf Kanak en 1988. Le film, didactique, rappelle les fictions de gauche des années 1970. Critique : | Genre : politique-action. Le 22 avril 1988, des indépendantistes kanak prennent en otage une trentaine de gendarmes sur l'île d'Ouvéa, en Nouvelle-Calédonie. Le 5 mai, les forces de l'ordre donnent l'assaut. Bilan : vingt et un morts. Deux soldats et dix-neuf Kanak, certains achevés ou exécutés après leur reddition... Le négociateur du GIGN Philippe Le-gorjus tenta d'éviter le bain de sang. Son témoignage, émouvant et amer, a inspiré Mathieu Kassovitz pour la reconstitution, façon engrenage infernal, de la tragédie. Dénonciation du néocolonialisme, riva­lités fatales, manipulation politique : rien ne manque à ce successeur des « fictions de gauche » des années 1970 — entre Boisset (en mieux) et Costa-Gavras (en moins bien). C'est le point faible du film. Trop de dialogues plaqués sur l'intrigue, trop de manichéisme... Mais Kassovitz convainc dans les extérieurs (une marche dans la forêt à la tension extrême, une pause sur une plage aux allures de paradis perdu), et surtout dans les scènes d'action. Le long assaut final devient un chaos assourdissant où la représentation quasi abstraite des combats prend aux tripes. — Samuel Douhaire

Année : 2011

Avec : Mathieu Kassovitz, Mathieu Kassovitz, Sylvie Testud, Philippe Torreton, Malik Zidi, Mathieu Lardier, Alexandre Steiger, Iabe Lapacas, Daniel Martin, Klaus Badelt, Mathieu Kassovitz, Benoît Jaubert, Pierre Geller

Antérieurement en 2018
 

Rescue Dawn

Télévision : 28 janvier 2018 à 22:55-01:20 sur NRJ 12

film de guerre

Pendant la guerre du Vietnam, l'incroyable évasion d'un pilote de chasse allemand engagé sous le drapeau américain et fait prisonnier au Laos. Inspiré d'un fait réel, ce film de guerre (et de survie) était fait pour Werner Herzog, cinéaste de la colère et du chaos. Critique : Film de Werner Herzog (Rescue dawn, USA, 2006). Image : Peter Zeitlinger. Musique : Klaus Badelt. 130 mn. VM. Inédit. Avec Christian Bale, Steve Zahn, Jeremy Davies. Genre : survivre dans la jungle. Le cinéma cosy, Werner Herzog ne connaît pas. Il faut à ce risque-tout invétéré une nature hostile, des personnages illuminés, des histoires de fous. Celle, vraie, de Dieter Dengler, pilote de chasse de l'armée américaine pendant la guerre du Vietnam, ne pouvait que l'emballer. Dieter Dengler, éjecté de son appareil, atterrit en territoire laotien, où il subit toutes sortes de mauvais traitements, croupit deux ans dans un camp de prisonniers, avant de s'évader et de survivre un long moment, comme une bête errante et traquée, dans la jungle. L'aventurier Herzog a rejoint la Thaïlande pour reconstituer là-bas ce récit de rescapé. Christian Bale, maigre comme un clou (il a, dit-on, perdu 20 kilos pour le rôle), campe le personnage avec force et conviction. Rescue dawn, jamais sorti en salles, est un film sur la ténacité, le surpassement, la hargne à ne pas vouloir mourir. Herzog est d'ailleurs visiblement plus intéressé par la seconde partie (la première est plus convenue), lorsque Dieter et son compagnon d'évasion fuient, se perdent dans la nature et, lentement mais sûrement, s'affaiblissent, ne trouvent plus de quoi manger. Le film à ce moment-là devient curieux, semble se suspendre entre animalité et humanité, vie et coma. Il atteint cette région surprasensible, ces instants de vérité extatique que Her­zog, chercheur d'or et d'hallucination, traque depuis une trentaine d'années. Jacques Morice

Année : 2006

Antérieurement en 2018
 

Rescue Dawn

Télévision : 23 janvier 2018 à 20:55-23:20 sur NRJ 12

film de guerre

Pendant la guerre du Vietnam, l'incroyable évasion d'un pilote de chasse allemand engagé sous le drapeau américain et fait prisonnier au Laos. Inspiré d'un fait réel, ce film de guerre (et de survie) était fait pour Werner Herzog, cinéaste de la colère et du chaos. Critique : Film de Werner Herzog (Rescue dawn, USA, 2006). Image : Peter Zeitlinger. Musique : Klaus Badelt. 130 mn. VM. Inédit. Avec Christian Bale, Steve Zahn, Jeremy Davies. Genre : survivre dans la jungle. Le cinéma cosy, Werner Herzog ne connaît pas. Il faut à ce risque-tout invétéré une nature hostile, des personnages illuminés, des histoires de fous. Celle, vraie, de Dieter Dengler, pilote de chasse de l'armée américaine pendant la guerre du Vietnam, ne pouvait que l'emballer. Dieter Dengler, éjecté de son appareil, atterrit en territoire laotien, où il subit toutes sortes de mauvais traitements, croupit deux ans dans un camp de prisonniers, avant de s'évader et de survivre un long moment, comme une bête errante et traquée, dans la jungle. L'aventurier Herzog a rejoint la Thaïlande pour reconstituer là-bas ce récit de rescapé. Christian Bale, maigre comme un clou (il a, dit-on, perdu 20 kilos pour le rôle), campe le personnage avec force et conviction. Rescue dawn, jamais sorti en salles, est un film sur la ténacité, le surpassement, la hargne à ne pas vouloir mourir. Herzog est d'ailleurs visiblement plus intéressé par la seconde partie (la première est plus convenue), lorsque Dieter et son compagnon d'évasion fuient, se perdent dans la nature et, lentement mais sûrement, s'affaiblissent, ne trouvent plus de quoi manger. Le film à ce moment-là devient curieux, semble se suspendre entre animalité et humanité, vie et coma. Il atteint cette région surprasensible, ces instants de vérité extatique que Her­zog, chercheur d'or et d'hallucination, traque depuis une trentaine d'années. Jacques Morice

Année : 2006

Antérieurement en 2017
 

Pirates des Caraïbes : la malédiction du Black ...

Télévision : 16 octobre 2017 à 23:15-01:50 sur W9

film d'aventures

Une attraction des parcs Disney déclinée à l'écran, avec effets spéciaux à gogo et pointes d'humour, soutenue par le show de Johnny Depp. - Critique : Film de Gore Verbinski (Pirates of the Caribbean : the curse of the Black Pearl, USA, 2003). Scénario : Ted Elliot et Terry Rossio. Image : Dariusz Wolski. Musique : Klaus Badelt. 140 mn. VF. Avec Johnny Depp : Jack Sparrow. Geoffrey Rush : Barbossa. Orlando Bloom : Will Turner. Keira Knightley : Elizabeth. Genre : Disneyland. Au départ, une des attractions des parcs Disney : dix minutes de balade dans une sorte d'imaginaire collectif de la piraterie, avec grottes débordant de butin rutilant, tavernes pleines de ribaudes écarlates, maisons en flammes, familles éplorées et flibustiers ricanants... Les studios Disney ont élargi ce divertissement aux dimensions d'un long métrage : deux heures vingt de grand spectacle avec stars, humour, et abordages spectaculaires pour sauver la jolie fille d'un gouverneur, qui possède un médaillon aux pouvoirs magiques. C'est une des belles idées du récit : ce médaillon peut sauver de la damnation un équipage de pirates fantômes, dont les corps décharnés n'apparaissent qu'à la lumière de la lune. D'où la présence d'effets visuels - plus proches du Grand-Guignol que du pur fantastique - impressionnants et efficaces. Le film ne se prend jamais au sérieux, avec un Johnny Depp plutôt marrant en pirate zombie. Bref, du plaisir... Bernard Génin

Année : 2003

Antérieurement en 2017
 

Pirates des Caraïbes : la malédiction du Black ...

Télévision : 9 octobre 2017 à 21:00-23:30 sur W9

film d'aventures

Une attraction des parcs Disney déclinée à l'écran, avec effets spéciaux à gogo et pointes d'humour, soutenue par le show de Johnny Depp. - Critique : Film de Gore Verbinski (Pirates of the Caribbean : the curse of the Black Pearl, USA, 2003). Scénario : Ted Elliot et Terry Rossio. Image : Dariusz Wolski. Musique : Klaus Badelt. 140 mn. VF. Avec Johnny Depp : Jack Sparrow. Geoffrey Rush : Barbossa. Orlando Bloom : Will Turner. Keira Knightley : Elizabeth. Genre : Disneyland. Au départ, une des attractions des parcs Disney : dix minutes de balade dans une sorte d'imaginaire collectif de la piraterie, avec grottes débordant de butin rutilant, tavernes pleines de ribaudes écarlates, maisons en flammes, familles éplorées et flibustiers ricanants... Les studios Disney ont élargi ce divertissement aux dimensions d'un long métrage : deux heures vingt de grand spectacle avec stars, humour, et abordages spectaculaires pour sauver la jolie fille d'un gouverneur, qui possède un médaillon aux pouvoirs magiques. C'est une des belles idées du récit : ce médaillon peut sauver de la damnation un équipage de pirates fantômes, dont les corps décharnés n'apparaissent qu'à la lumière de la lune. D'où la présence d'effets visuels - plus proches du Grand-Guignol que du pur fantastique - impressionnants et efficaces. Le film ne se prend jamais au sérieux, avec un Johnny Depp plutôt marrant en pirate zombie. Bref, du plaisir... Bernard Génin

Année : 2003

De : Gore Verbinski

Avec : Johnny Depp, Vanessa Branch, Isaac C Singleton Jr, Damian O'Hare, Geoffrey Rush, Orlando Bloom, Keira Knightley, Jack Davenport, Jonathan Pryce, Kevin McNally, Lee Arenberg, Mackenzie Crook, Gore Verbinski