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Le fabuleux destin d'Amélie Poulain

Télévision : 22 juillet 2018 à 21:00-23:15 sur TMC

film : comédie dramatique

Amélie, c'est la petite fée de Montmartre. C'est surtout LE film de l'année 2000. Et LA polémique des cinéphiles. Objet mièvre à la nostalgie populiste ou fable chatoyante ? Critique : | Genre : succès planétaire. C’est une fable pour adultes, chatoyante comme un livre d’images pour enfants. Amélie, serveuse à Montmartre, découvre sa vocation : en se mêlant de la vie des autres, elle peut les rendre heureux. Avec ses stratagèmes de simili-fée futée, Amélie installe un doux délire que le cinéaste aménage, avec des plans saturés de détails et des vignettes à profusion, comme s’il prenait ses rêves pour la réalité. Il détourne la réalité, la « ripoline » et crée un entre-deux flottant, ni d’ici ni d’ailleurs, ni d’aujourd’hui ni d’hier. Ce film-valise essaime à tout vent. Brocante de trouvailles disparates et savoureuses : Jeunet compile avec bonheur des événements minuscules et des plaisirs fugaces. L’aventure d’Amélie, radieux lutin aux yeux ronds, enchante parfois mais restera un prototype : le bonheur est une idée trop casse-gueule, au cinéma, pour en abuser.

Année : 2001

Avec : Jean-Pierre Jeunet, Audrey Tautou, Mathieu Kassovitz, Rufus, Isabelle Nanty, Dominique Pinon, Yolande Moreau, Jamel Debbouze, Artus de Penguern, Yann Tiersen, Jean-Pierre Jeunet, Guillaume Laurant, Aline Bonetto, Bruno Delbonnel

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Inside Llewyn Davis

Télévision : 7 juin 2018 à 13:35-15:35 sur Arte

film : drame

Une odyssée musicale irrésistible des frères Coen, Grand Prix du festival de Cannes 2013. Et la révélation d'un formidable acteur (et chanteur), Oscar Isaac. Critique : | Genre : odyssée folk. Les frères Coen ont toujours eu une profonde affection pour les perdants. Avec Llewyn Davis, chanteur de folk imaginaire du début des années 1960, ils ont trouvé leur champion de l’échec. Le frère en déveine du professeur de sciences de A serious man, qui se trouverait plongé dans un cauchemar à la Barton Fink. Mais un cauchemar irrésistible, tant les Coen ont le don de faire rire des malheurs de leurs personnages tout en les rendant attachants. Dans un gag récurrent, un chat roux nommé Ulysse oblige le héros à cavaler dans tout New York. La vie de bohème de Llewyn Davis prend des allures de mini-odyssée des temps modernes, jalonnée de rencontres avec des créatures inquiétantes et grotesques. Comme une version urbaine et nocturne d’O’ brother, le grand cru 2000 des Coen, où un taulard au prénom mythologique traversait le Mississippi de la grande dépression pour retrouver son foyer. Dans les deux films, la musique est au premier plan. Après le blues rural des années 1930, Joel et Ethan Coen font revivre la scène folk des sixties avec une minutie d’archéologues, bien aidés par la somptueuse photographie de Bruno Delbonnel. Toutes les chansons sont jouées in extenso et sans play-back, que leurs interprètes soient professionnels (Justin Timberlake) ou amateurs très doués, comme Oscar Isaac. L’acteur ne dissimule pas la dimension pitoyable et le caractère parfois odieux de Llewyn, mais bouleverse dans la peau de ce créateur sincère, victime de son intégrité radicale.

Année : 2013

Avec : Joel Coen, Ethan Coen, Oscar Isaac, Carey Mulligan, Justin Timberlake, Garrett Hedlund, Max Casella, John Goodman, Ethan Phillips, Adam Driver, Joel Coen, Ethan Coen

Antérieurement en 2018
 

Inside Llewyn Davis

Télévision : 23 mai 2018 à 13:35-15:35 sur Arte

film : drame

Une odyssée musicale irrésistible des frères Coen, Grand Prix du festival de Cannes 2013. Et la révélation d'un formidable acteur (et chanteur), Oscar Isaac. Critique : | Genre : odyssée folk. Les frères Coen ont toujours eu une profonde affection pour les perdants. Avec Llewyn Davis, chanteur de folk imaginaire du début des années 1960, ils ont trouvé leur champion de l’échec. Le frère en déveine du professeur de sciences de A serious man, qui se trouverait plongé dans un cauchemar à la Barton Fink. Mais un cauchemar irrésistible, tant les Coen ont le don de faire rire des malheurs de leurs personnages tout en les rendant attachants. Dans un gag récurrent, un chat roux nommé Ulysse oblige le héros à cavaler dans tout New York. La vie de bohème de Llewyn Davis prend des allures de mini-odyssée des temps modernes, jalonnée de rencontres avec des créatures inquiétantes et grotesques. Comme une version urbaine et nocturne d’O’ brother, le grand cru 2000 des Coen, où un taulard au prénom mythologique traversait le Mississippi de la grande dépression pour retrouver son foyer. Dans les deux films, la musique est au premier plan. Après le blues rural des années 1930, Joel et Ethan Coen font revivre la scène folk des sixties avec une minutie d’archéologues, bien aidés par la somptueuse photographie de Bruno Delbonnel. Toutes les chansons sont jouées in extenso et sans play-back, que leurs interprètes soient professionnels (Justin Timberlake) ou amateurs très doués, comme Oscar Isaac. L’acteur ne dissimule pas la dimension pitoyable et le caractère parfois odieux de Llewyn, mais bouleverse dans la peau de ce créateur sincère, victime de son intégrité radicale.

Année : 2013

Avec : Oscar Isaac, Carey Mulligan, Justin Timberlake, Garrett Hedlund, Max Casella, John Goodman, Ethan Phillips, Adam Driver, Joel Coen, Ethan Coen, Joel Coen, Ethan Coen, F Murray Abraham, Ricardo Cordero, Stark Sands, Alex Karpovsky

Antérieurement en 2018
 

Inside Llewyn Davis

Télévision : 21 mai 2018 à 20:50-22:35 sur Arte

film : drame

Une odyssée musicale irrésistible des frères Coen, Grand Prix du festival de Cannes 2013. Et la révélation d'un formidable acteur (et chanteur), Oscar Isaac. Critique : | Genre : odyssée folk. Les frères Coen ont toujours eu une profonde affection pour les perdants. Avec Llewyn Davis, chanteur de folk imaginaire du début des années 1960, ils ont trouvé leur champion de l'échec. Le frère en déveine du professeur de sciences de A serious man, qui se trouverait plongé dans un cauchemar à la Barton Fink. Mais un cauchemar irrésistible, tant les frères Coen ont le don de faire rire des malheurs de leurs personnages tout en les rendant attachants. Dans un gag récurrent, un chat roux nommé Ulysse oblige le héros à cavaler dans tout New York. La vie de bohème de Llewyn Davis prend des allures de mini-odyssée des temps modernes, jalonnée de rencontres avec des créatures inquiétantes et grotesques. Comme une version urbaine et nocturne d'O brother, le grand cru 2000 des Coen, où un taulard au prénom mythologique traversait le Mississippi de la grande dépression pour retrouver son foyer. Dans les deux films, la musique est au premier plan. Après le blues rural des années 1930, Joel et Ethan Coen font revivre la scène folk des sixties avec une minutie d'archéologues, bien aidés par la somptueuse photographie de Bruno Delbonnel. Toutes les chansons sont jouées in extenso et sans play-back, que leurs interprètes soient professionnels (Justin Timberlake) ou amateurs très doués, comme Oscar Isaac. L'acteur ne dissimule pas la dimension pitoyable et le caractère parfois odieux de Llewyn, mais bouleverse dans la peau de ce créateur sincère, victime de son intégrité radicale. — Samuel Douhaire

Année : 2013

Avec : Oscar Isaac, Carey Mulligan, Justin Timberlake, Garrett Hedlund, Max Casella, John Goodman, Ethan Phillips, Adam Driver, Joel Coen, Ethan Coen, Joel Coen, Ethan Coen, F Murray Abraham, Ricardo Cordero, Stark Sands, Alex Karpovsky

Antérieurement en 2017
 

Le fabuleux destin d'Amélie Poulain

Télévision : 26 décembre 2017 à 21:00-23:15 sur C8

film : comédie dramatique

Amélie, c'est la petite fée de Montmartre. C'est surtout LE film de l'année 2000. Et LA polémique des cinéphiles. Objet mièvre à la nostalgie populiste ou fable chatoyante ? Critique : Film de Jean-Pierre Jeunet (France/Allemagne, 2000). Scénario : Guillaume Laurant et J.-P. Jeunet. Image : Bruno Delbonnel. Musique : Yann Tiersen. 155 mn. Avec Audrey Tautou, Mathieu Kassovitz, Rufus, Isabelle Nanty. Genre : succès planétaire. Amélie, serveuse dans un bar-tabac de Montmartre, découvre par hasard sa vocation : en se mêlant de la vie des autres, elle peut les rendre heureux. Avec ses stratagèmes de simili-fée futée, Amélie installe un doux délire que le cinéaste aménage, avec des plans saturés de détails, comme s'il prenait ses rêves pour la réalité. Il la détourne, la réalité, la « ripoline », et crée un entre-deux flottant, ni d'ici ni d'ailleurs, ni d'aujourd'hui ni d'hier. Jeunet compile avec bonheur des événements minuscules et des plaisirs fugaces. L'aventure d'Amélie enchante parfois mais restera un prototype : le bonheur est une idée trop casse-gueule, au cinéma, pour en abuser. Jean-Claude Loiseau

Année : 2001

Antérieurement en 2017
 

Tout le monde n'a pas eu la chance d'avoir des ...

Télévision : 22 octobre 2017 à 14:30-16:00 sur La Chaîne Parlementaire

film : comédie

Hommage tendre et moqueur à une mère militante au PC et à ceux qui vendaient L'Humanité en attendant un monde meilleur venu de l'Est. Balasko est épatante. - Critique : Film de Jean-Jacques Zilbermann (France, 1993). Scénario : J.-J. Zilbermann et Nicolas Boukhrief. Image : Bruno Delbonnel. Musique : Serge Franklin. 105 mn. Avec Josiane Balasko : Irène. Maurice Bénichou : Bernard. Catherine Hiegel : Régine. Victor Nieznanov : Ivan. Jérémy Davis : Petit Léon. Jean-François Derec : Charlot. Genre : comédie nostalgique. Septembre 1958 : de Gaulle s'apprête à soumettre la constitution de la Ve Répu-blique au référendum. Irène, mère de famille, milite avec ardeur pour le parti communiste et pour la victoire du « non ». Sa passion politique agace Bernard, son mari, qui en est jaloux. L'arrivée en ville des choeurs de l'armée Rouge va bouleverser cette « guerre froide » domestique... Dès le titre, Jean-Jacques Zilbermann rend un hommage tendre et moqueur à sa mère, militante au PC. Et à toutes ces petites gens qui vendaient L'Humanité au coin des rues et croyaient avec ferveur que l'Homme nouveau était en train de naître, quelque part à l'Est. Josiane Balasko, en figure de proue de cette évocation nostalgique, est épatante, mi-pasionaria, mi-popote. En guise d'évasion, sa romance avec un baryton soviétique est à la fois -cocasse et émouvante. Et tant pis pour les quelques personnages secondaires peu étudiés ou caricaturaux (le Russe jovial, la militante bornée...) ! Zilbermann a réussi un film plein de charme, affectueux mais pas complaisant, qui se feuillette comme un album de photos de famille. On peut s'attendrir, s'ennuyer ou reconnaître quelqu'un, c'est selon, puisque, de toute façon, tout le monde n'a pas eu la chance d'avoir des parents communistes... Cécile Mury

Année : 1993

Antérieurement en 2017
 

Tout le monde n'a pas eu la chance d'avoir des ...

Télévision : 22 octobre 2017 à 01:00-02:30 sur La Chaîne Parlementaire

film : comédie

Hommage tendre et moqueur à une mère militante au PC et à ceux qui vendaient L'Humanité en attendant un monde meilleur venu de l'Est. Balasko est épatante. - Critique : Film de Jean-Jacques Zilbermann (France, 1993). Scénario : J.-J. Zilbermann et Nicolas Boukhrief. Image : Bruno Delbonnel. Musique : Serge Franklin. 105 mn. Avec Josiane Balasko : Irène. Maurice Bénichou : Bernard. Catherine Hiegel : Régine. Victor Nieznanov : Ivan. Jérémy Davis : Petit Léon. Jean-François Derec : Charlot. Genre : comédie nostalgique. Septembre 1958 : de Gaulle s'apprête à soumettre la constitution de la Ve Répu-blique au référendum. Irène, mère de famille, milite avec ardeur pour le parti communiste et pour la victoire du « non ». Sa passion politique agace Bernard, son mari, qui en est jaloux. L'arrivée en ville des choeurs de l'armée Rouge va bouleverser cette « guerre froide » domestique... Dès le titre, Jean-Jacques Zilbermann rend un hommage tendre et moqueur à sa mère, militante au PC. Et à toutes ces petites gens qui vendaient L'Humanité au coin des rues et croyaient avec ferveur que l'Homme nouveau était en train de naître, quelque part à l'Est. Josiane Balasko, en figure de proue de cette évocation nostalgique, est épatante, mi-pasionaria, mi-popote. En guise d'évasion, sa romance avec un baryton soviétique est à la fois -cocasse et émouvante. Et tant pis pour les quelques personnages secondaires peu étudiés ou caricaturaux (le Russe jovial, la militante bornée...) ! Zilbermann a réussi un film plein de charme, affectueux mais pas complaisant, qui se feuillette comme un album de photos de famille. On peut s'attendrir, s'ennuyer ou reconnaître quelqu'un, c'est selon, puisque, de toute façon, tout le monde n'a pas eu la chance d'avoir des parents communistes... Cécile Mury

Année : 1993

Antérieurement en 2017
 

Close Encounters with Vilmos Zsigmond - DVD

DVD/Blu-ray : 17 octobre 2017

Année : 2016

De : Pierre Filmon

Avec : Vilmos Zsigmond, Nancy Allen, John Boorman, James Chressanthis, Bruno Delbonnel, Caleb Deschanel

Antérieurement en 2017
 

Tout le monde n'a pas eu la chance d'avoir des ...

Télévision : 14 octobre 2017 à 17:00-18:30 sur La Chaîne Parlementaire

film : comédie

Hommage tendre et moqueur à une mère militante au PC et à ceux qui vendaient L'Humanité en attendant un monde meilleur venu de l'Est. Balasko est épatante. - Critique : Film de Jean-Jacques Zilbermann (France, 1993). Scénario : J.-J. Zilbermann et Nicolas Boukhrief. Image : Bruno Delbonnel. Musique : Serge Franklin. 105 mn. Avec Josiane Balasko : Irène. Maurice Bénichou : Bernard. Catherine Hiegel : Régine. Victor Nieznanov : Ivan. Jérémy Davis : Petit Léon. Jean-François Derec : Charlot. Genre : comédie nostalgique. Septembre 1958 : de Gaulle s'apprête à soumettre la constitution de la Ve Répu-blique au référendum. Irène, mère de famille, milite avec ardeur pour le parti communiste et pour la victoire du « non ». Sa passion politique agace Bernard, son mari, qui en est jaloux. L'arrivée en ville des choeurs de l'armée Rouge va bouleverser cette « guerre froide » domestique... Dès le titre, Jean-Jacques Zilbermann rend un hommage tendre et moqueur à sa mère, militante au PC. Et à toutes ces petites gens qui vendaient L'Humanité au coin des rues et croyaient avec ferveur que l'Homme nouveau était en train de naître, quelque part à l'Est. Josiane Balasko, en figure de proue de cette évocation nostalgique, est épatante, mi-pasionaria, mi-popote. En guise d'évasion, sa romance avec un baryton soviétique est à la fois -cocasse et émouvante. Et tant pis pour les quelques personnages secondaires peu étudiés ou caricaturaux (le Russe jovial, la militante bornée...) ! Zilbermann a réussi un film plein de charme, affectueux mais pas complaisant, qui se feuillette comme un album de photos de famille. On peut s'attendrir, s'ennuyer ou reconnaître quelqu'un, c'est selon, puisque, de toute façon, tout le monde n'a pas eu la chance d'avoir des parents communistes... Cécile Mury

Année : 1993

De : Jean-Jacques Zilbermann

Avec : Josiane Balasko, Jacques Herlin, André Oumansky, Patrick Burgel, Maurice Bénichou, Jeremy Davis, Catherine Hiegel, Jean-François Dérec, Victor Nieznanov, Alexandre Piskariov, Alexis Maslov, Christine Dejoux

Antérieurement en 2017
 

Tout le monde n'a pas eu la chance d'avoir des ...

Télévision : 8 octobre 2017 à 20:30-22:00 sur La Chaîne Parlementaire

film : comédie

Hommage tendre et moqueur à une mère militante au PC et à ceux qui vendaient L'Humanité en attendant un monde meilleur venu de l'Est. Balasko est épatante. - Critique : Film de Jean-Jacques Zilbermann (France, 1993). Scénario : J.-J. Zilbermann et Nicolas Boukhrief. Image : Bruno Delbonnel. Musique : Serge Franklin. 105 mn. Avec Josiane Balasko : Irène. Maurice Bénichou : Bernard. Catherine Hiegel : Régine. Victor Nieznanov : Ivan. Jérémy Davis : Petit Léon. Jean-François Derec : Charlot. Genre : comédie nostalgique. Septembre 1958 : de Gaulle s'apprête à soumettre la constitution de la Ve Répu-blique au référendum. Irène, mère de famille, milite avec ardeur pour le parti communiste et pour la victoire du « non ». Sa passion politique agace Bernard, son mari, qui en est jaloux. L'arrivée en ville des choeurs de l'armée Rouge va bouleverser cette « guerre froide » domestique... Dès le titre, Jean-Jacques Zilbermann rend un hommage tendre et moqueur à sa mère, militante au PC. Et à toutes ces petites gens qui vendaient L'Humanité au coin des rues et croyaient avec ferveur que l'Homme nouveau était en train de naître, quelque part à l'Est. Josiane Balasko, en figure de proue de cette évocation nostalgique, est épatante, mi-pasionaria, mi-popote. En guise d'évasion, sa romance avec un baryton soviétique est à la fois -cocasse et émouvante. Et tant pis pour les quelques personnages secondaires peu étudiés ou caricaturaux (le Russe jovial, la militante bornée...) ! Zilbermann a réussi un film plein de charme, affectueux mais pas complaisant, qui se feuillette comme un album de photos de famille. On peut s'attendrir, s'ennuyer ou reconnaître quelqu'un, c'est selon, puisque, de toute façon, tout le monde n'a pas eu la chance d'avoir des parents communistes... Cécile Mury

Année : 1993

De : Jean-Jacques Zilbermann

Avec : Josiane Balasko, Jacques Herlin, André Oumansky, Patrick Burgel, Maurice Bénichou, Jeremy Davis, Catherine Hiegel, Jean-François Dérec, Victor Nieznanov, Alexandre Piskariov, Alexis Maslov, Christine Dejoux