Max Casella : passages TV et dernières sorties Disney+

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Samedi dernier
 

Jackie

Télévision : 26 avril à 21:00-22:35 sur France 4

film : drame

Jackie Kennedy accorde une interview à un journaliste quelques jours après la mort violente de son époux John Fitzgerald Kennedy, assassiné le 22 novembre 1963 à Dallas. Pour l'ex-First Lady, c'est l'occasion de relater les quelques jours qui ont suivis ces heures funestes. Par exemple, en dépit des mesures de sécurité considérables prises par l'équipe du président Lyndon B. Johnson, elle demande à accompagner le cercueil de son mari jusqu'au bout. Robert Kennedy, très proche de son frère et dont les rapports sont tendus avec le nouveau président, lui apporte son soutien indéfectible. La jeune veuve, âgée d'à peine 34 ans, est déterminée à ce que l'héritage de son époux lui survive... - Critique : Le monde entier connaît ces images : une femme en rose rampe, affolée, sur le capot d’une voiture officielle ; une femme en noir mène la marche funèbre, à Washington… Jackie Kennedy est incrustée dans notre imaginaire collectif. Pour son premier film américain, le Chilien Pablo Larraín ne fait jamais semblant de l’ignorer. Il n’a pas circonscrit par hasard son récit aux quelques jours qui suivirent l’assassinat de John F. Kennedy à Dallas, le 22 novembre 1963. Dans l’œil du cyclone, le point zéro d’un deuil et d’un trauma historique majeur, se tient Natalie Portman, exceptionnelle. Jackie n’est pas un biopic au sens usuel, la petite histoire d’une première dame dans les tourments de la grande. C’est un trompe-l’œil, une réflexion magistrale sur l’image. Et même une réflexion au sens strict : dans l’une des plus belles scènes du film, Jackie Kennedy se regarde dans un miroir. Elle ne nous offrira ainsi que son reflet, fragmenté et multiplié, enclos dans la stupeur d’une tragédie nationale dont l’Amérique n’est jamais vraiment sortie. Toutes les Jackie se superposent : la victime, la veuve, et surtout l’architecte de la postérité, à l’origine d’un mythe.

Année : 2016

De : Pablo Larraín

Avec : Beth Grant, Billy Crudup, Corey Johnson, Greta Gerwig, John Carroll, John Hurt, Max Casella, Natalie Portman, Pelant Sunnie, Peter Sarsgaard, Phillipson Caspar, Richard E

Récemment en avril
 

Tulsa King

Télévision : 15 avril à 22:40-23:30 sur W9

série policière

Bonne chance. Saison:1 - Episode:9 - Il y a 25 ans, en voulant sauver un homme d'une mort atroce, Dwight a commis une erreur de jugement fatale qui l'a envoyée en prison. Aujourd'hui, il veut tourner la page et se racheter. Les tensions entre sa bande et celle de Waltrip ont atteint le point de non-retour. Tandis que les Black MacAdam se préparent à donner l'assaut du bar, Bodhi détourne l'argent de tous les comptes en banque de Waltrip... - Critique : Taylor Sheridan exploite-t-il un filon ou creuse-t-il un sillon ? Disons que le Texan d’adoption a quelque chose de personnel à dire et à redire sur son pays, et qu’il en a fait son business. Comme son western Yellowstone, Tulsa King ratisse large en cherchant ce syncrétisme culturel, politique et générationnel qui le travaille tant. Ici, la comédie l’emporte : Dwight Manfredi, un capo de la Mafia new-yorkaise, placardisé à Tulsa après vingt-cinq ans à l’ombre, atterrit sur une planète qu’il ne (re)connaît pas. Celle de l’Amérique rurale, mais à l’époque des baristas, du sans contact et du wokisme. La série se délecte d’abord de ce décalage, relevé de saveurs sopranesques par le spécialiste du genre, Terence Winter, qui coécrit. Malgré l’envie de lâcher « Ok boomer » toutes les dix secondes, on cède au plaisir de voir notre vieux mâle blanc dépaysé transformer son examen de conduite en course-poursuite. Spectacle d’autant plus savoureux qu’il est campé avec humour par Sylvester Stallone, dont le corps même est le manifeste d’une certaine idée de l’Amérique et de la virilité. Dwight s’improvise parrain d’une familia à laquelle s’agrègent son chauffeur noir, un hacker vendeur de CBD, le tenancier redneck d’une taverne, un entrepreneur latino, des copains indiens, une collègue queer… Et ces « putains de Village People » de se dresser contre une horde de bikers fachistoïdes, comme sortis tout droit de la prise du Capitole. Cette alliance cartoonesque du patriarcat et de la diversité se révèle de plus en plus violente, même si l’ambivalence du point de vue met parfois mal à l’aise — l’héritière de Dwight est une fille, mais il outrepasse sa volonté… Un climax eastwoodien pour cette série volontiers réac, et pourtant dialectique.

Année : 2022

De : Lodge Kerrigan

Avec : A C Peterson, Andrea Savage, Barry Corbin, Dana Delany, Domenick Lombardozzi, Garrett Hedlund, Jay Will, Martin Starr, Max Casella, Ritchie Coster, Sylvester Stallone, Vincent Piazza

Récemment en avril
 

Tulsa King

Télévision : 15 avril à 22:00-22:40 sur W9

série policière

Murs d'Adobe. Saison:1 - Episode:8 - Face à la menace croissante des Macadams, Dwight et Mitch forment leurs hommes inexpérimentés au tir. Stacy rend visite à Waltrip mais ne parvient pas à l'impliquer dans le meurtre de Roxy. Jimmy accepte de s'associer à Dwight et Mitch pour ouvrir un nouveau casino. Chickie décide de tuer Dwight et sa famille, l'appelle pour faire semblant de s'amender et lui dit qu'ils lui rendront visite très bientôt. Lorsque Stacy rencontre à nouveau Dwight, Waltrip et un homme de main leur tirent dessus, blessant Stacy... - Critique : Taylor Sheridan exploite-t-il un filon ou creuse-t-il un sillon ? Disons que le Texan d’adoption a quelque chose de personnel à dire et à redire sur son pays, et qu’il en a fait son business. Comme son western Yellowstone, Tulsa King ratisse large en cherchant ce syncrétisme culturel, politique et générationnel qui le travaille tant. Ici, la comédie l’emporte : Dwight Manfredi, un capo de la Mafia new-yorkaise, placardisé à Tulsa après vingt-cinq ans à l’ombre, atterrit sur une planète qu’il ne (re)connaît pas. Celle de l’Amérique rurale, mais à l’époque des baristas, du sans contact et du wokisme. La série se délecte d’abord de ce décalage, relevé de saveurs sopranesques par le spécialiste du genre, Terence Winter, qui coécrit. Malgré l’envie de lâcher « Ok boomer » toutes les dix secondes, on cède au plaisir de voir notre vieux mâle blanc dépaysé transformer son examen de conduite en course-poursuite. Spectacle d’autant plus savoureux qu’il est campé avec humour par Sylvester Stallone, dont le corps même est le manifeste d’une certaine idée de l’Amérique et de la virilité. Dwight s’improvise parrain d’une familia à laquelle s’agrègent son chauffeur noir, un hacker vendeur de CBD, le tenancier redneck d’une taverne, un entrepreneur latino, des copains indiens, une collègue queer… Et ces « putains de Village People » de se dresser contre une horde de bikers fachistoïdes, comme sortis tout droit de la prise du Capitole. Cette alliance cartoonesque du patriarcat et de la diversité se révèle de plus en plus violente, même si l’ambivalence du point de vue met parfois mal à l’aise — l’héritière de Dwight est une fille, mais il outrepasse sa volonté… Un climax eastwoodien pour cette série volontiers réac, et pourtant dialectique.

Année : 2022

De : Lodge Kerrigan

Avec : A C Peterson, Andrea Savage, Dana Delany, Domenick Lombardozzi, Garrett Hedlund, Jay Will, Martin Starr, Max Casella, Ritchie Coster, Stephanie Kurtzuba, Sylvester Stallone, Vincent Piazza

Récemment en avril
 

Tulsa King

Télévision : 15 avril à 21:10-22:00 sur W9

série policière

Warr Acres. Saison:1 - Episode:7 - Dwight et Mitch se débarrassent du corps de Pike et envoient sa veste criblée de balles aux Black MacAdam. Stacy prend une décision lourde de conséquences. Roxy appelle Stacy au sujet de Pike et accepte de la rencontrer pour parler de l'incident. Roxy se révèle être un informateur de l'ATF. Pete se met en colère lorsqu'il apprend que Dwight a donné sa bague à Tyson et que Tina reçoit toujours des appels mystérieux. A New York, Chickie n'est pas ravi de voir Pete guéri et de retour chez lui. Cette étrange atmosphère dans la Grosse Pomme entre Chickie et Pete va bientôt avoir des conséquences tragiques... - Critique : Taylor Sheridan exploite-t-il un filon ou creuse-t-il un sillon ? Disons que le Texan d’adoption a quelque chose de personnel à dire et à redire sur son pays, et qu’il en a fait son business. Comme son western Yellowstone, Tulsa King ratisse large en cherchant ce syncrétisme culturel, politique et générationnel qui le travaille tant. Ici, la comédie l’emporte : Dwight Manfredi, un capo de la Mafia new-yorkaise, placardisé à Tulsa après vingt-cinq ans à l’ombre, atterrit sur une planète qu’il ne (re)connaît pas. Celle de l’Amérique rurale, mais à l’époque des baristas, du sans contact et du wokisme. La série se délecte d’abord de ce décalage, relevé de saveurs sopranesques par le spécialiste du genre, Terence Winter, qui coécrit. Malgré l’envie de lâcher « Ok boomer » toutes les dix secondes, on cède au plaisir de voir notre vieux mâle blanc dépaysé transformer son examen de conduite en course-poursuite. Spectacle d’autant plus savoureux qu’il est campé avec humour par Sylvester Stallone, dont le corps même est le manifeste d’une certaine idée de l’Amérique et de la virilité. Dwight s’improvise parrain d’une familia à laquelle s’agrègent son chauffeur noir, un hacker vendeur de CBD, le tenancier redneck d’une taverne, un entrepreneur latino, des copains indiens, une collègue queer… Et ces « putains de Village People » de se dresser contre une horde de bikers fachistoïdes, comme sortis tout droit de la prise du Capitole. Cette alliance cartoonesque du patriarcat et de la diversité se révèle de plus en plus violente, même si l’ambivalence du point de vue met parfois mal à l’aise — l’héritière de Dwight est une fille, mais il outrepasse sa volonté… Un climax eastwoodien pour cette série volontiers réac, et pourtant dialectique.

Année : 2022

De : Guy Ferland

Avec : A C Peterson, Andrea Savage, Annabella Sciorra, Dana Delany, Domenick Lombardozzi, Garrett Hedlund, Jay Will, Martin Starr, Max Casella, Ritchie Coster, Sylvester Stallone, Vincent Piazza

Récemment en mars
 

Newsies

Disney+ : 12 mars

Une comédie musicale basée sur la grève gavroche New York City de 1899. Lorsque les jeunes vendeurs de journaux sont exploités au-delà de la raison par leurs patrons ils se mirent à adopter le changement et sont satisfaits par la brutalité de la grande entreprise.

De : Kenny Ortega

Avec : Christian Bale, Bill Pullman, Ann-Margret, Robert Duvall, David Moscow, Luke Edwards, Max Casella

Récemment en février
 

La Petite Sirène II : Retour à l'océan

Disney+ : 13 février

Replongez avec Ariel et ses acolytes dans une aventure débordante de chansons, de nouveaux personnages et d'action. Ariel et Éric doivent éviter que Morgana, la sœur vengeresse d'Ursula, n'apprenne que leur fille Mélodie est une sirène. Mais lorsque Mélodie succombe à l'appel des flots, ils doivent solliciter l'aide du roi Triton et de leurs alliés terrestres et marins pour la sauver.

De : Jim Kammerud

Avec : Jodi Benson, Samuel E Wright, Tara Strong, Pat Carroll, Buddy Hackett, Kenneth Mars, Max Casella