Jack Cardiff : dernières sorties DVD/Blu-ray et passages TV

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Antérieurement en 2023
 

Mutations - Blu-ray

DVD/Blu-ray : 15 juin 2023

Editeur : Rimini Editions

Année : 1974

De : Jack Cardiff

Avec : Donald Pleasence, Tom Baker, Brad Harris, Julie Ege, Michael Dunn, Scott Anton, Jill Haworth, Olga Anthony, Lisa Collings

Antérieurement en 2019
 

Mutations (Édition Collector Blu-ray + DVD + ...

DVD/Blu-ray : 26 octobre 2019

Editeur : Rimini Editions

Année : 1974

De : Jack Cardiff

Avec : Donald Pleasence, Tom Baker, Brad Harris, Julie Ege, Michael Dunn, Scott Anton, Jill Haworth, Olga Anthony, Lisa Collings

Antérieurement en 2018
 

Mort sur le Nil

Télévision : 26 juillet 2018 à 21:00-23:30 sur C8

film policier

Linnet Ridgeway, belle enfant gâtée, a épousé Simon Doyle, le fiancé de Jacqueline, sa meilleure amie. Le couple effectue son voyage de noces en Egypte à bord du «Karnak». Une galerie de personnages inquiétants assombrit l'atmosphère. Il y a là Jacqueline, qui suit le jeune couple à la trace, une romancière nymphomane, madame Otterbourne, un jeune communiste particulièrement méprisant, une vieille dame envieuse et un charlatan. Lorsque Linnet décide de fuir cette atmosphère oppressante, il est déjà trop tard : elle est abattue d'un coup de feu. D'autres crimes vont succéder à ce meurtre. Par chance, Hercule Poirot fait également partie de la croisière. Le célèbre détective belge se lance alors dans une minitieuse enquête, tout en subtilité, pour démasquer le meurtrier... Critique : Belle, capricieuse et riche, Linnet Ridge­way a épousé le fiancé de sa meilleure amie. Les mariés passent leur lune de miel en Egypte, sur un bateau. Un meurtre a lieu. Hercule Poirot se trouve à bord. Cette adaptation de Mort sur le Nil se boit comme du petit-lait. Tout ce qui fonde l’univers codé et mathématique de l’écrivain, intrigue sophistiquée, suspects multiples, fausses pistes, recueils d’indices, se retrouve dans ce divertissement soigné, où l’exotisme fastueux et l’humour anglo-saxon font bon ménage. Les passagers ont tous quelque chose à se reprocher et d’excellentes raisons de tuer. L’enquête minutieuse fournit une galerie de portraits délicieux, composée d’une pléiade de stars qui s’en donnent à cœur joie. En artiste rondouillard et vaniteux de la déduction, Peter Ustinov fait des merveilles. Le suspense est savamment entretenu jusqu’au dénouement.

Année : 1978

Avec : Peter Ustinov, Mia Farrow, Simon MacCorkindale, Lois Chiles, Jane Birkin, Bette Davis, Jon Finch, Olivia Hussey, George Kennedy, Angela Lansbury, David Niven, Maggie Smith, John Guillermin, Nino Rota, Anthony Shaffer, Agatha Christie, Peter Murton, Jack Cardiff

Antérieurement en 2017
 

Une question de vie ou de mort

Télévision : 10 novembre 2017 à 13:35-15:40 sur Arte

film fantastique

Un conte fantastique flamboyant, un hymne à l'amour fou, un poème surréaliste d'une extraordinaire puissance évocatrice. Incontournable. - Critique : Film de Michael Powell et Emeric Pressburger (A matter of life and death, G-B, 1946). Scénario : M. Powell et E. Pressburger. Image : Jack Cardiff. Musique : Allan Gray. 105 mn. VO. Avec David Niven : Peter Carter. Kim Hunter : June. Roger Livesey : Dr Reeves. Genre : immortaliser l'amour. Mai 45 : dans son avion en flammes, Peter Carter, chef d'escadrille de la Royal Air Force, entre en contact avec June, une jeune opératrice radio américaine. Flegmatique et charmant, il la bouleverse en lui confiant ses dernières pensées avant de sauter dans le vide puisque son parachute a brûlé. Il saute... mais reprend conscience, flottant à la surface de la mer. Un miracle ? Non, une erreur d'« aiguillage », comme le lui explique le messager céleste qui vient le récupérer un peu plus tard. Peter a une objection majeure : pendant ses heures de sursis, il a retrouvé June et ne veut plus la quitter. Il « fait appel »... D'une commande passée par le gouvernement britannique pour exalter la fraternité anglo-américaine, Michael Powell et Emeric Pressburger firent une ode à l'amour, la meilleure des pièces à conviction même dans un procès contre le Ciel. On pense à Lubitsch qui, trois ans avant, prétendait déjà que Le ciel peut attendre. Powell et Pressburger usent d'ailleurs, dans la description de l'« administration » céleste, du même humour que le grand Berlinois. Mais, grâce à un usage de la couleur inédit, merveilleux dans les deux sens du terme, ils transcendent le discours amoureux. A un au-delà monochrome ils opposent un ici-bas au Technicolor si flamboyant que la vie prend des contours fantastiques. Atteint d'une grave affection du cerveau, Carter n'est-il pas simplement victime d'hallucinations ? En entretenant sa confusion, Powell et Pressburger posent, en filigrane, la question du réel. On peut ainsi croire que la vie tient autant à la science d'un bistouri qu'à la magie d'une larme. Guillemette Olivier-Odicino

Année : 1946

Antérieurement en 2017
 

Une question de vie ou de mort

Télévision : 18 octobre 2017 à 13:35-15:35 sur Arte

film fantastique

Un conte fantastique flamboyant, un hymne à l'amour fou, un poème surréaliste d'une extraordinaire puissance évocatrice. Incontournable. - Critique : Film de Michael Powell et Emeric Pressburger (A matter of life and death, G-B, 1946). Scénario : M. Powell et E. Pressburger. Image : Jack Cardiff. Musique : Allan Gray. 105 mn. VO. Avec David Niven : Peter Carter. Kim Hunter : June. Roger Livesey : Dr Reeves. Genre : immortaliser l'amour. Mai 45 : dans son avion en flammes, Peter Carter, chef d'escadrille de la Royal Air Force, entre en contact avec June, une jeune opératrice radio américaine. Flegmatique et charmant, il la bouleverse en lui confiant ses dernières pensées avant de sauter dans le vide puisque son parachute a brûlé. Il saute... mais reprend conscience, flottant à la surface de la mer. Un miracle ? Non, une erreur d'« aiguillage », comme le lui explique le messager céleste qui vient le récupérer un peu plus tard. Peter a une objection majeure : pendant ses heures de sursis, il a retrouvé June et ne veut plus la quitter. Il « fait appel »... D'une commande passée par le gouvernement britannique pour exalter la fraternité anglo-américaine, Michael Powell et Emeric Pressburger firent une ode à l'amour, la meilleure des pièces à conviction même dans un procès contre le Ciel. On pense à Lubitsch qui, trois ans avant, prétendait déjà que Le ciel peut attendre. Powell et Pressburger usent d'ailleurs, dans la description de l'« administration » céleste, du même humour que le grand Berlinois. Mais, grâce à un usage de la couleur inédit, merveilleux dans les deux sens du terme, ils transcendent le discours amoureux. A un au-delà monochrome ils opposent un ici-bas au Technicolor si flamboyant que la vie prend des contours fantastiques. Atteint d'une grave affection du cerveau, Carter n'est-il pas simplement victime d'hallucinations ? En entretenant sa confusion, Powell et Pressburger posent, en filigrane, la question du réel. On peut ainsi croire que la vie tient autant à la science d'un bistouri qu'à la magie d'une larme. Guillemette Olivier-Odicino

Année : 1946

Antérieurement en 2017
 

Une question de vie ou de mort

Télévision : 16 octobre 2017 à 20:50-22:30 sur Arte

film fantastique

Un conte fantastique flamboyant, un hymne à l'amour fou, un poème surréaliste d'une extraordinaire puissance évocatrice. Incontournable. - Critique : Film de Michael Powell et Emeric Pressburger (A matter of life and death, G-B, 1946). Scénario : M. Powell et E. Pressburger. Image : Jack Cardiff. Musique : Allan Gray. 105 mn. VO. Avec David Niven : Peter Carter. Kim Hunter : June. Roger Livesey : Dr Reeves. Genre : immortaliser l'amour. Mai 45 : dans son avion en flammes, Peter Carter, chef d'escadrille de la Royal Air Force, entre en contact avec June, une jeune opératrice radio américaine. Flegmatique et charmant, il la bouleverse en lui confiant ses dernières pensées avant de sauter dans le vide puisque son parachute a brûlé. Il saute... mais reprend conscience, flottant à la surface de la mer. Un miracle ? Non, une erreur d'« aiguillage », comme le lui explique le messager céleste qui vient le récupérer un peu plus tard. Peter a une objection majeure : pendant ses heures de sursis, il a retrouvé June et ne veut plus la quitter. Il « fait appel »... D'une commande passée par le gouvernement britannique pour exalter la fraternité anglo-américaine, Michael Powell et Emeric Pressburger firent une ode à l'amour, la meilleure des pièces à conviction même dans un procès contre le Ciel. On pense à Lubitsch qui, trois ans avant, prétendait déjà que Le ciel peut attendre. Powell et Pressburger usent d'ailleurs, dans la description de l'« administration » céleste, du même humour que le grand Berlinois. Mais, grâce à un usage de la couleur inédit, merveilleux dans les deux sens du terme, ils transcendent le discours amoureux. A un au-delà monochrome ils opposent un ici-bas au Technicolor si flamboyant que la vie prend des contours fantastiques. Atteint d'une grave affection du cerveau, Carter n'est-il pas simplement victime d'hallucinations ? En entretenant sa confusion, Powell et Pressburger posent, en filigrane, la question du réel. On peut ainsi croire que la vie tient autant à la science d'un bistouri qu'à la magie d'une larme. Guillemette Olivier-Odicino

Année : 1946

Antérieurement en 2017
 

Grands spectacles : Les Drakkars + Barabbas + Les ...

DVD/Blu-ray : 3 octobre 2017

Année : 1962

De : Jack Cardiff, Richard Fleischer, J Lee Thompson

Avec : Richard Widmark, Sidney Poitier, Anthony Quinn, Silvana Mangano, Yul Brynner, George Chakiris