Capezza Denise : passages TV

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Antérieurement en 2023
 

Les Crimes du futur

Télévision : 1er juillet 2023 à 02:19-04:03 sur Canal +

film de science-fiction

Dans un futur proche, une véritable révolution s'est opérée où le corps humain n'est qu'accessoire qu'on peut transformer à sa guise. Saul Tenser présente un spectacle avec à ses côtés Caprice, en exhibant en temps réel la métamorphose de ses organes et l'ablation de ces derniers. Alors qu'il rencontre le succès avec ces prestations avant-gardistes, une enquêtrice du Bureau du Registre National des Organes, Timlin, garde un œil attentif à la situation. Mais derrière toute innovation se cache un lourd secret, dont un groupe veut profiter afin de révéler la future étape de l'évolution de l'être humain. - Critique : :t3: POUR Chirurgienne de formation, Caprice (Léa Seydoux) collabore étroitement avec son compagnon, l’artiste d’avant-garde Saul ­Tenser (Viggo Mortensen). Télécommandant le bistouri avec la dextérité d’une calligraphe, elle lui ouvre le corps lors de performances organisées devant un public fervent. Ces créateurs vivent dans un monde obscur et désert, qui semble avoir été dévasté par la guerre ou une catastrophe liée au dérèglement climatique. Le film oscille entre polar et science-fiction, avec le minimum de moyens et d’effets spéciaux. Cronenberg y témoigne d’un imaginaire plastique délirant, à travers des accessoires fantasques qui sont comme des extensions du corps de Saul. Lequel développe un mal qui se confond avec ses créations. C’est la belle idée transgressive : faire de la maladie un moyen d’avancer et de s’élever. À deux. Entre infanticide, détournement de cadavre, cicatrices baroques, le film est violent mais d’une violence calme, conceptuelle. Le cinéaste continue de faire réfléchir sur des oppositions – peau/profondeur, forme/fond, progrès/déclin. Il a surtout la suprême audace de dépasser la noirceur extrême pour faire luire malgré tout sa foi dans l’homme et son aptitude à se réinventer. — Jacques Morice :t0: CONTRE Passionné par les mutations de l’être humain, David Cronenberg semble pourtant aveugle à celle qui le menace lui-même et dénature son talent… Venu du cinéma de genre, qui joue avec nos peurs et nous prend aux tripes, le réalisateur canadien s’est mué en un artiste conceptuel et cérébral. Cette fiction dont le corps est le centre ne prend jamais chair. Les plans des Crimes du futur défilent comme les tableaux d’une exposition, la caméra aussi stoïque qu’un clou planté dans le mur. Celui dont on aimait la radicalité provocatrice, héritée de la culture pop, est devenu un penseur à l’humeur sombre et aux visées obscures. Qui ne règne plus ici que sur un cinéma terriblement dévitalisé. — Frédéric Strauss

Année : 2022

Avec : Capezza Denise, Don McKellar, Ephie Kantza, Jason Bitter, Kristen Stewart, Lihi Kornowski, Léa Seydoux, Nadia Litz, Scott Speedman, Tanaya Beatty, Viggo Mortensen, Welket Bungué

Antérieurement en 2023
 

Les Crimes du futur

Télévision : 1er juillet 2023 à 02:17-04:02 sur Canal +

film de science-fiction

Dans un futur proche, une véritable révolution s'est opérée où le corps humain n'est qu'accessoire qu'on peut transformer à sa guise. Saul Tenser présente un spectacle avec à ses côtés Caprice, en exhibant en temps réel la métamorphose de ses organes et l'ablation de ces derniers. Alors qu'il rencontre le succès avec ces prestations avant-gardistes, une enquêtrice du Bureau du Registre National des Organes, Timlin, garde un œil attentif à la situation. Mais derrière toute innovation se cache un lourd secret, dont un groupe veut profiter afin de révéler la future étape de l'évolution de l'être humain. - Critique : :t3: POUR Chirurgienne de formation, Caprice (Léa Seydoux) collabore étroitement avec son compagnon, l’artiste d’avant-garde Saul ­Tenser (Viggo Mortensen). Télécommandant le bistouri avec la dextérité d’une calligraphe, elle lui ouvre le corps lors de performances organisées devant un public fervent. Ces créateurs vivent dans un monde obscur et désert, qui semble avoir été dévasté par la guerre ou une catastrophe liée au dérèglement climatique. Le film oscille entre polar et science-fiction, avec le minimum de moyens et d’effets spéciaux. Cronenberg y témoigne d’un imaginaire plastique délirant, à travers des accessoires fantasques qui sont comme des extensions du corps de Saul. Lequel développe un mal qui se confond avec ses créations. C’est la belle idée transgressive : faire de la maladie un moyen d’avancer et de s’élever. À deux. Entre infanticide, détournement de cadavre, cicatrices baroques, le film est violent mais d’une violence calme, conceptuelle. Le cinéaste continue de faire réfléchir sur des oppositions – peau/profondeur, forme/fond, progrès/déclin. Il a surtout la suprême audace de dépasser la noirceur extrême pour faire luire malgré tout sa foi dans l’homme et son aptitude à se réinventer. — Jacques Morice :t0: CONTRE Passionné par les mutations de l’être humain, David Cronenberg semble pourtant aveugle à celle qui le menace lui-même et dénature son talent… Venu du cinéma de genre, qui joue avec nos peurs et nous prend aux tripes, le réalisateur canadien s’est mué en un artiste conceptuel et cérébral. Cette fiction dont le corps est le centre ne prend jamais chair. Les plans des Crimes du futur défilent comme les tableaux d’une exposition, la caméra aussi stoïque qu’un clou planté dans le mur. Celui dont on aimait la radicalité provocatrice, héritée de la culture pop, est devenu un penseur à l’humeur sombre et aux visées obscures. Qui ne règne plus ici que sur un cinéma terriblement dévitalisé. — Frédéric Strauss

Année : 2022

Avec : Capezza Denise, Don McKellar, Ephie Kantza, Jason Bitter, Kristen Stewart, Lihi Kornowski, Léa Seydoux, Nadia Litz, Scott Speedman, Tanaya Beatty, Viggo Mortensen, Welket Bungué

Antérieurement en 2023
 

Les Crimes du futur

Télévision : 5 juin 2023 à 23:07-00:52 sur Canal +

film de science-fiction

Dans un futur proche, une véritable révolution s'est opérée où le corps humain n'est qu'accessoire qu'on peut transformer à sa guise. Saul Tenser présente un spectacle avec à ses côtés Caprice, en exhibant en temps réel la métamorphose de ses organes et l'ablation de ces derniers. Alors qu'il rencontre le succès avec ces prestations avant-gardistes, une enquêtrice du Bureau du Registre National des Organes, Timlin, garde un œil attentif à la situation. Mais derrière toute innovation se cache un lourd secret, dont un groupe veut profiter afin de révéler la future étape de l'évolution de l'être humain. - Critique : :t3: POUR Chirurgienne de formation, Caprice (Léa Seydoux) collabore étroitement avec son compagnon, l’artiste d’avant-garde Saul ­Tenser (Viggo Mortensen). Télécommandant le bistouri avec la dextérité d’une calligraphe, elle lui ouvre le corps lors de performances organisées devant un public fervent. Ces créateurs vivent dans un monde obscur et désert, qui semble avoir été dévasté par la guerre ou une catastrophe liée au dérèglement climatique. Le film oscille entre polar et science-fiction, avec le minimum de moyens et d’effets spéciaux. Cronenberg y témoigne d’un imaginaire plastique délirant, à travers des accessoires fantasques qui sont comme des extensions du corps de Saul. Lequel développe un mal qui se confond avec ses créations. C’est la belle idée transgressive : faire de la maladie un moyen d’avancer et de s’élever. À deux. Entre infanticide, détournement de cadavre, cicatrices baroques, le film est violent mais d’une violence calme, conceptuelle. Le cinéaste continue de faire réfléchir sur des oppositions – peau/profondeur, forme/fond, progrès/déclin. Il a surtout la suprême audace de dépasser la noirceur extrême pour faire luire malgré tout sa foi dans l’homme et son aptitude à se réinventer. — Jacques Morice :t0: CONTRE Passionné par les mutations de l’être humain, David Cronenberg semble pourtant aveugle à celle qui le menace lui-même et dénature son talent… Venu du cinéma de genre, qui joue avec nos peurs et nous prend aux tripes, le réalisateur canadien s’est mué en un artiste conceptuel et cérébral. Cette fiction dont le corps est le centre ne prend jamais chair. Les plans des Crimes du futur défilent comme les tableaux d’une exposition, la caméra aussi stoïque qu’un clou planté dans le mur. Celui dont on aimait la radicalité provocatrice, héritée de la culture pop, est devenu un penseur à l’humeur sombre et aux visées obscures. Qui ne règne plus ici que sur un cinéma terriblement dévitalisé. — Frédéric Strauss

Année : 2022

Avec : Capezza Denise, Don McKellar, Ephie Kantza, Jason Bitter, Kristen Stewart, Lihi Kornowski, Léa Seydoux, Nadia Litz, Scott Speedman, Tanaya Beatty, Viggo Mortensen, Welket Bungué

Antérieurement en 2023
 

Les Crimes du futur

Télévision : 5 juin 2023 à 23:06-00:50 sur Canal +

film de science-fiction

Dans un futur proche, une véritable révolution s'est opérée où le corps humain n'est qu'accessoire qu'on peut transformer à sa guise. Saul Tenser présente un spectacle avec à ses côtés Caprice, en exhibant en temps réel la métamorphose de ses organes et l'ablation de ces derniers. Alors qu'il rencontre le succès avec ces prestations avant-gardistes, une enquêtrice du Bureau du Registre National des Organes, Timlin, garde un œil attentif à la situation. Mais derrière toute innovation se cache un lourd secret, dont un groupe veut profiter afin de révéler la future étape de l'évolution de l'être humain. - Critique : :t3: POUR Chirurgienne de formation, Caprice (Léa Seydoux) collabore étroitement avec son compagnon, l’artiste d’avant-garde Saul ­Tenser (Viggo Mortensen). Télécommandant le bistouri avec la dextérité d’une calligraphe, elle lui ouvre le corps lors de performances organisées devant un public fervent. Ces créateurs vivent dans un monde obscur et désert, qui semble avoir été dévasté par la guerre ou une catastrophe liée au dérèglement climatique. Le film oscille entre polar et science-fiction, avec le minimum de moyens et d’effets spéciaux. Cronenberg y témoigne d’un imaginaire plastique délirant, à travers des accessoires fantasques qui sont comme des extensions du corps de Saul. Lequel développe un mal qui se confond avec ses créations. C’est la belle idée transgressive : faire de la maladie un moyen d’avancer et de s’élever. À deux. Entre infanticide, détournement de cadavre, cicatrices baroques, le film est violent mais d’une violence calme, conceptuelle. Le cinéaste continue de faire réfléchir sur des oppositions – peau/profondeur, forme/fond, progrès/déclin. Il a surtout la suprême audace de dépasser la noirceur extrême pour faire luire malgré tout sa foi dans l’homme et son aptitude à se réinventer. — Jacques Morice :t0: CONTRE Passionné par les mutations de l’être humain, David Cronenberg semble pourtant aveugle à celle qui le menace lui-même et dénature son talent… Venu du cinéma de genre, qui joue avec nos peurs et nous prend aux tripes, le réalisateur canadien s’est mué en un artiste conceptuel et cérébral. Cette fiction dont le corps est le centre ne prend jamais chair. Les plans des Crimes du futur défilent comme les tableaux d’une exposition, la caméra aussi stoïque qu’un clou planté dans le mur. Celui dont on aimait la radicalité provocatrice, héritée de la culture pop, est devenu un penseur à l’humeur sombre et aux visées obscures. Qui ne règne plus ici que sur un cinéma terriblement dévitalisé. — Frédéric Strauss

Année : 2022

Avec : Capezza Denise, Don McKellar, Ephie Kantza, Jason Bitter, Kristen Stewart, Lihi Kornowski, Léa Seydoux, Nadia Litz, Scott Speedman, Tanaya Beatty, Viggo Mortensen, Welket Bungué

Antérieurement en 2023
 

Les Crimes du futur

Télévision : 4 juin 2023 à 01:48-03:33 sur Canal +

film de science-fiction

Dans un futur proche, une véritable révolution s'est opérée où le corps humain n'est qu'accessoire qu'on peut transformer à sa guise. Saul Tenser présente un spectacle avec à ses côtés Caprice, en exhibant en temps réel la métamorphose de ses organes et l'ablation de ces derniers. Alors qu'il rencontre le succès avec ces prestations avant-gardistes, une enquêtrice du Bureau du Registre National des Organes, Timlin, garde un œil attentif à la situation. Mais derrière toute innovation se cache un lourd secret, dont un groupe veut profiter afin de révéler la future étape de l'évolution de l'être humain. - Critique : :t3: POUR Chirurgienne de formation, Caprice (Léa Seydoux) collabore étroitement avec son compagnon, l’artiste d’avant-garde Saul ­Tenser (Viggo Mortensen). Télécommandant le bistouri avec la dextérité d’une calligraphe, elle lui ouvre le corps lors de performances organisées devant un public fervent. Ces créateurs vivent dans un monde obscur et désert, qui semble avoir été dévasté par la guerre ou une catastrophe liée au dérèglement climatique. Le film oscille entre polar et science-fiction, avec le minimum de moyens et d’effets spéciaux. Cronenberg y témoigne d’un imaginaire plastique délirant, à travers des accessoires fantasques qui sont comme des extensions du corps de Saul. Lequel développe un mal qui se confond avec ses créations. C’est la belle idée transgressive : faire de la maladie un moyen d’avancer et de s’élever. À deux. Entre infanticide, détournement de cadavre, cicatrices baroques, le film est violent mais d’une violence calme, conceptuelle. Le cinéaste continue de faire réfléchir sur des oppositions – peau/profondeur, forme/fond, progrès/déclin. Il a surtout la suprême audace de dépasser la noirceur extrême pour faire luire malgré tout sa foi dans l’homme et son aptitude à se réinventer. — Jacques Morice :t0: CONTRE Passionné par les mutations de l’être humain, David Cronenberg semble pourtant aveugle à celle qui le menace lui-même et dénature son talent… Venu du cinéma de genre, qui joue avec nos peurs et nous prend aux tripes, le réalisateur canadien s’est mué en un artiste conceptuel et cérébral. Cette fiction dont le corps est le centre ne prend jamais chair. Les plans des Crimes du futur défilent comme les tableaux d’une exposition, la caméra aussi stoïque qu’un clou planté dans le mur. Celui dont on aimait la radicalité provocatrice, héritée de la culture pop, est devenu un penseur à l’humeur sombre et aux visées obscures. Qui ne règne plus ici que sur un cinéma terriblement dévitalisé. — Frédéric Strauss

Année : 2022

Avec : Capezza Denise, Don McKellar, Ephie Kantza, Jason Bitter, Kristen Stewart, Lihi Kornowski, Léa Seydoux, Nadia Litz, Scott Speedman, Tanaya Beatty, Viggo Mortensen, Welket Bungué

Antérieurement en 2023
 

Gomorra

Télévision : 28 février 2023 à 05:49-06:43 sur Canal +

série dramatique

Le parfum de la hyène. Saison:2 - Episode:4 - Don Pietro n'a plus le choix s'il veut regagner du terrain, après les récentes déconvenues. Acculé, il n'a d'autre possibilité que de s'en remettre à Patrizia, la nièce de Malammore, son éternel bras droit. Exigeant qu'elle agisse en sa faveur, il lui explique qu'il attend d'elle quantité d'informations sur la situation actuelle à Naples. Don Pietro est conscient que son retour en ville causera très rapidement des tensions. Genny, lui, fait comprendre qu'il ne compte pas rester à l'écart. Déterminé, il laisse la gestion à Ciro ou Don Pietro. De manière inopinée, une alliance presque contre nature voit le jour... - Critique : Le clan Savastano, qui régnait sur les quartiers de Scampia et Secondigliano, à Naples, a été terrassé. Ciro di Marzio, bras droit du parrain Pietro Savastano, s’est retourné contre lui, a fait abattre sa femme et son fils Gennaro, pour s’imposer comme le nouvel homme fort de la ville. Mais « Genny » a survécu et compte bien reprendre le contrôle du trafic de drogue. Il va devoir composer avec l’autorité de Don Pietro, qui revient lui aussi à Naples après s’être évadé de prison. Les alliances, les trahisons et les assassinats vont se multiplier, au risque de déclencher une nouvelle guerre mafieuse… Toujours aussi riche en détails sur le quotidien de la Camorra, ses traditions, sa culture, ses mentalités — grâce à l’implication de Roberto Saviano — Gomorra affine sa dramaturgie dans cette deuxième saison. Elle mêle précision documentaire et tragédie shakespearienne, laisse percer les tourments de personnages de plus en plus sombres, effleure leur humanité sans jamais masquer leur monstruosité. Aussi prosaïque que romanesque, aussi brutale qu’élégante, elle parvient à nous étonner, à nous captiver, et, finalement, à nous émouvoir. Sans doute la meilleure série de mafia depuis Les Soprano.

Année : 2016

De : Francesca Comencini

Avec : Capezza Denise, Cristiana Dell'Anna, Cristina Donadio, Fabio De, Folletto Antonio, Fortunato Cerlino, Gianluca Di, Lino Musella, Luca Gallone, Marco D'Amore, Palvetti Marco, Salvatore Esposito

Antérieurement en 2023
 

Gomorra

Télévision : 28 février 2023 à 04:58-05:49 sur Canal +

série dramatique

La passion selon Conte. Saison:2 - Episode:3 - Un prêtre demande à Salvatore Conte de pouvoir organiser une veillée dans un endroit tenu par ses hommes. Le mafioso accepte, au grand dam des autres membres du clan, que Ciro tente d'apaiser. Ce dernier compte sur un faux pas de son allié pour le renverser. Par ailleurs, Conte poursuit sa relation avec Nina, une chanteuse transexuelle, mais fait mine d'être en couple avec la soeur de celle-ci pour préserver son honneur... - Critique : Le clan Savastano, qui régnait sur les quartiers de Scampia et Secondigliano, à Naples, a été terrassé. Ciro di Marzio, bras droit du parrain Pietro Savastano, s’est retourné contre lui, a fait abattre sa femme et son fils Gennaro, pour s’imposer comme le nouvel homme fort de la ville. Mais « Genny » a survécu et compte bien reprendre le contrôle du trafic de drogue. Il va devoir composer avec l’autorité de Don Pietro, qui revient lui aussi à Naples après s’être évadé de prison. Les alliances, les trahisons et les assassinats vont se multiplier, au risque de déclencher une nouvelle guerre mafieuse… Toujours aussi riche en détails sur le quotidien de la Camorra, ses traditions, sa culture, ses mentalités — grâce à l’implication de Roberto Saviano — Gomorra affine sa dramaturgie dans cette deuxième saison. Elle mêle précision documentaire et tragédie shakespearienne, laisse percer les tourments de personnages de plus en plus sombres, effleure leur humanité sans jamais masquer leur monstruosité. Aussi prosaïque que romanesque, aussi brutale qu’élégante, elle parvient à nous étonner, à nous captiver, et, finalement, à nous émouvoir. Sans doute la meilleure série de mafia depuis Les Soprano.

Année : 2016

De : Stefano Sollima

Avec : Anna Brancati, Anzalone Raffaella, Bonfante Danilo, Cacace Anna, Capezza Denise, Cristina Donadio, Fabio De, Fortunato Cerlino, Giuseppe Cantore, Marco D'Amore, Palvetti Marco, Salvatore Esposito