Seth Rogen : dernières sorties Prime Video et dernières sorties Netflix

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Mercredi dernier
 

The Fabelmans

Télévision : 15 janvier à 01:00-03:25 sur France 2

film : drame

Un soir de janvier 1952, Mitzi et Burt Fabelman emmènent leur fils Sammy voir son premier film au cinéma : "Sous le plus grand chapiteau du monde". L'enfant tombe sous le charme du septième art et passe la majeure partie de son temps à filmer les activités familiales. Sa mère le pousse à développer ce côté artistique tandis que son père, un scientifique, n'y voit qu'un hobby. Au fil du temps, Sammy tourne des films de plus en plus perfectionnés en utilisant les membres de sa famille comme acteurs. Jusqu'au jour où il découvre, à travers l'une de ses oeuvres, une facette de sa mère qui va bouleverser leurs rapports… - Critique : Chez les Spielberg, à la fin de chaque repas, on ne débarrassait pas la table au sens habituel de l’expression. Couverts, gobelets, assiettes en plastique, tout était jetable et finissait empaqueté dans la nappe, elle-même en papier, avant d’être jeté… La folie de ce rituel quotidien, pendant de longues années, dit certainement l’aisance matérielle et, plus encore, l’insouciance d’une époque (les années 1950-1960), où les ressources naturelles semblaient inépuisables à jamais. Dans l’enceinte du foyer, l’explication était tout autre : il s’agissait d’épargner les mains de la mère pianiste, et donc de la dispenser définitivement de la corvée de vaisselle. Mais au fur et à mesure que le film avance, cette bizarrerie familiale paraît bien mince au regard d’une autre, tellement plus troublante… Quand le cinéaste d’E.T. raconte sa jeunesse à l’écran, après nombre de ses confrères (comme James Gray ou Paul Thomas Anderson), ce n’est pas un film de plus, mais un exploit. Pas seulement un roman familial bouleversant – où les Spielberg s’appellent donc Fabelman –, mais une réflexion lumineuse sur le cinéma, et le récit d’un cheminement personnel qui sidère. Et encore une grille d’analyse limpide de toute la filmographie de l’auteur, dont la cohérence, les thèmes majeurs et même l’alternance de genres apparaissent éclairés comme jamais. Aux origines d’une vocation L’inventeur du blockbuster qui fait peur (Les Dents de la mer, 1975) remonte ainsi à cette séance de cinéma où, enfant, entouré de ses deux parents attendris, il assiste à son premier accident – un train qui déraille dans la superproduction Sous le plus grand chapiteau du monde, de Cecil B. DeMille (1952). Le mélange d’effroi et d’extase, au milieu du confort affectif, provoque en lui un déclic. Mais aussi un vif tourment. Et le train électrique qu’on lui offre innocemment, dans la foulée, n’est pas un remède un soi. « J’ai besoin de voir un accident », dit le garçonnet. Avec la complicité de sa mère, et la caméra de son père, il apprend à filmer, sous plusieurs angles, une collision sur son circuit ferroviaire miniature. C’est ainsi qu’il expérimente, sans mots, les bienfaits de la catharsis à l’antique devant la représentation du pire. Mais aussi le bénéfice supérieur qu’il y a à prendre le contrôle d’une telle représentation… L’apprivoisement à tâtons, à l’aveuglette pour ainsi dire, d’une vocation : ce thème porte The Fabelmans à des hauteurs exceptionnelles, d’émotion comme d’analyse. Alors que Sammy (le Steven de la fiction), une fois adolescent, maîtrise de mieux en mieux la caméra et parvient à imiter, dans ses premiers courts métrages, les scènes de western ou de guerre vues en salles, il devient aussi le documentariste de la maisonnée. Et voilà qu’en visionnant un de ses films sur les vacances des Fabelman, Sammy découvre, effondré, ce qu’il n’avait pas vu de ses propres yeux : le secret de sa mère adorée et fantasque, une réalité inconnue qui menace l’équilibre familial. Un gouffre s’ouvre alors dans l’esprit du fils. Les images peuvent révéler ce qui est caché, elles peuvent blesser, détruire, et il est possible de les escamoter, ou non, par le montage. Les questions de regard, de morale, de libre arbitre, de sensibilité renvoient soudain les qualités techniques d’un film à une place subalterne. Ce manifeste informulé, s’imposant à celui qui, adulte, sera souvent associé au seul grand spectacle, à la technologie et aux effets spéciaux, s’incarne magnifiquement dans The Fabelmans. La délicatesse inouïe avec laquelle sont filmés Michelle Williams (la mère musicienne contrariée, entre exubérance et mal-être), Paul Dano (le père scientifique, doux et aimant) et Seth Rogen (le collègue blagueur du père, omniprésent dans la vie de familiale) subjugue. Tout comme les nuances de la narration, rythmée par les déménagements successifs, d’est en ouest (New Jersey, Arizona, Californie), la carrière ascensionnelle du père, génie de l’informatique, entraînant un cortège de brisures pour ses trois enfants, et plus encore pour son épouse. En Californie, le jeune Sammy, parachuté au pays des « hommes-séquoias géants » (il se découvre petit de taille, à côté de ses nouveaux condisciples), doit faire face aux brimades antisémites. Cette fois, filmer devient une stratégie de survie sociale, puis la source d’un pouvoir considérable, proche de la manipulation : les séquences que l’adolescent agence après une journée du lycée à la plage peuvent transformer un redoutable ennemi en demi-dieu, en star, ou au contraire en bouffon. Là encore, The Fabelmans éblouit par son alliage d’humour et de complexité, et par la poursuite méticuleuse de son récit d’apprentissage. Il en va de même quand Sammy, au seuil de sa vie professionnelle, a la chance de rencontrer, quelques minutes, à son bureau, le mythique réalisateur John Ford. Car Steven Spielberg fait jouer le vétéran hollywoodien par David Lynch (il fallait y penser), parfaitement accordé à l’extravagant conseil technique que le vieil homme hurle au débutant… Jusqu’au bout demeure cependant, en filigrane, l’image la plus belle et la plus émouvante, la plus déterminante aussi : cette mère qui danse une nuit d’été, impudique et magique, dans le halo des phares de la voiture familiale, en pleine nature. Moment d’épiphanie et de transgression, point de non-retour, message subliminal adressé au fils filmeur, comme pour l’encourager à vivre pleinement, coûte que coûte, sa vie d’homme et d’artiste. Tony Kushner, le confident. Il n’y avait, a priori, rien de commun entre Angels in America (1991), la pièce de Tony Kushner sur les années sida (devenue une série pour HBO en 2003), et la filmographie de Steven Spielberg. Alors qu’il préparait Munich (2005), le second fit appel au premier pour son expertise sur le conflit israélo-palestinien. Une collaboration au long cours débuta ainsi, Tony Kushner cosignant trois scénarios pour Spielberg, dont celui de Lincoln (2012). De leurs échanges, et de la curiosité du dramaturge pour le cinéaste, naquit l’idée des Fabelmans : Kushner incita Spielberg à raconter dans un film l’histoire de sa famille. Près de vingt ans après leur première rencontre, le résultat, entièrement nourri des souvenirs et confidences du réalisateur, bénéficie indéniablement de la profondeur romanesque apportée par l’ami scénariste.

Année : 2022

Avec : Alina Brace, Gabriel LaBelle, Jeannie Berlin, Judd Hirsch, Julia Butters, Keeley Karsten, Mateo Zoryan, Michelle Williams, Paul Dano, Robin Bartlett, Seth Rogen, Sophia Kopera

Récemment en janvier
 

Kung Fu Panda 3

Netflix : 12 janvier

Po avait toujours cru son père panda disparu, mais le voilà qui réapparaît ! Enfin réunis, père et fils vont voyager jusqu’au paradis secret du peuple panda. Ils y feront la connaissance de certains de leurs semblables, tous plus déjantés les uns que les autres. Mais lorsque le maléfique Kaï décide de s’attaquer aux plus grands maîtres de kung‐fu à travers toute la Chine, Po va devoir réussir l’impossible : transformer tout un village de pandas maladroits et rigolards en experts des arts martiaux, les redoutables Kung‐Fu Pandas !

De : Jennifer Yuh Nelson, Alessandro Carloni

Avec : Jack Black, Bryan Cranston, Dustin Hoffman, Angelina Jolie, J K Simmons, Jackie Chan, Seth Rogen

Récemment en janvier
 

Kung Fu Panda

Netflix : 12 janvier

Passionné, costaud et quelque peu maladroit, Po est sans conteste le plus grand fan de kung‐fu. Serveur dans le restaurant de nouilles de son père, son habileté reste encore à prouver. Élu pour accomplir une ancienne prophétie, Po rejoint le monde du kung‐fu afin d'apprendre les arts martiaux auprès de ses idoles, les légendaires Cinq Cyclones : Tigresse, Grue, Mante, Vipère et Singe, sous les ordres de leur professeur et entraîneur, Maître Shifu. Mais Taï Lung, le léopard des neiges fourbe et animé d'un désir de vengeance, approche à grands pas, et c'est Po qui sera chargé de défendre la vallée face à cette menace grandissante.

De : Mark Osborne, John Stevenson

Avec : Jack Black, Angelina Jolie, Dustin Hoffman, Ian McShane, Jackie Chan, Lucy Liu, Seth Rogen

Récemment en janvier
 

The Fabelmans

Télévision : 5 janvier à 21:10-23:40 sur France 2

film : drame

Un soir de janvier 1952, Mitzi et Burt Fabelman emmènent leur fils Sammy voir son premier film au cinéma : "Sous le plus grand chapiteau du monde". L'enfant tombe sous le charme du septième art et passe la majeure partie de son temps à filmer les activités familiales. Sa mère le pousse à développer ce côté artistique tandis que son père, un scientifique, n'y voit qu'un hobby. Au fil du temps, Sammy tourne des films de plus en plus perfectionnés en utilisant les membres de sa famille comme acteurs. Jusqu'au jour où il découvre, à travers l'une de ses oeuvres, une facette de sa mère qui va bouleverser leurs rapports… - Critique : Chez les Spielberg, à la fin de chaque repas, on ne débarrassait pas la table au sens habituel de l’expression. Couverts, gobelets, assiettes en plastique, tout était jetable et finissait empaqueté dans la nappe, elle-même en papier, avant d’être jeté… La folie de ce rituel quotidien, pendant de longues années, dit certainement l’aisance matérielle et, plus encore, l’insouciance d’une époque (les années 1950-1960), où les ressources naturelles semblaient inépuisables à jamais. Dans l’enceinte du foyer, l’explication était tout autre : il s’agissait d’épargner les mains de la mère pianiste, et donc de la dispenser définitivement de la corvée de vaisselle. Mais au fur et à mesure que le film avance, cette bizarrerie familiale paraît bien mince au regard d’une autre, tellement plus troublante… Quand le cinéaste d’E.T. raconte sa jeunesse à l’écran, après nombre de ses confrères (comme James Gray ou Paul Thomas Anderson), ce n’est pas un film de plus, mais un exploit. Pas seulement un roman familial bouleversant — où les Spielberg s’appellent donc Fabelman —, mais une réflexion lumineuse sur le cinéma, et le récit d’un cheminement personnel qui sidère. Et encore une grille d’analyse limpide de toute la filmographie de l’auteur, dont la cohérence, les thèmes majeurs et même l’alternance de genres apparaissent éclairés comme jamais. L’inventeur du blockbuster qui fait peur (Les Dents de la mer, 1975) remonte ainsi à cette séance de cinéma où, enfant, entouré de ses deux parents attendris, il assiste à son premier accident — un train qui déraille dans la superproduction Sous le plus grand chapiteau du monde, de Cecil B. DeMille (1952). Le mélange d’effroi et d’extase, au milieu du confort affectif, provoque en lui un déclic. Mais aussi un vif tourment. Et le train électrique qu’on lui offre innocemment, dans la foulée, n’est pas un remède un soi. « J’ai besoin de voir un accident », dit le garçonnet. Avec la complicité de sa mère, et la caméra de son père, il apprend à filmer, sous plusieurs angles, une collision sur son circuit ferroviaire miniature. C’est ainsi qu’il expérimente, sans mots, les bienfaits de la catharsis à l’antique devant la représentation du pire. Mais aussi le bénéfice supérieur qu’il y a à prendre le contrôle d’une telle représentation… L’apprivoisement à tâtons, à l’aveuglette pour ainsi dire, d’une vocation : ce thème porte The Fabelmans à des hauteurs exceptionnelles, d’émotion comme d’analyse. Alors que Sammy (le Steven de la fiction), une fois adolescent, maîtrise de mieux en mieux la caméra et parvient à imiter, dans ses premiers courts métrages, les scènes de western ou de guerre vues en salles, il devient aussi le documentariste de la maisonnée. Et voilà qu’en visionnant un de ses films sur les vacances des Fabelman, Sammy découvre, effondré, ce qu’il n’avait pas vu de ses propres yeux : le secret de sa mère adorée et fantasque, une réalité inconnue qui menace l’équilibre familial. Un gouffre s’ouvre alors dans l’esprit du fils. Les images peuvent révéler ce qui est caché, elles peuvent blesser, détruire, et il est possible de les escamoter, ou non, par le montage. Les questions de regard, de morale, de libre arbitre, de sensibilité renvoient soudain les qualités techniques d’un film à une place subalterne. Ce manifeste informulé, s’imposant à celui qui, adulte, sera souvent associé au seul grand spectacle, à la technologie et aux effets spéciaux, s’incarne magnifiquement dans The Fabelmans. La délicatesse inouïe avec laquelle sont filmés Michelle Williams (la mère musicienne contrariée, entre exubérance et mal-être), Paul Dano (le père scientifique, doux et aimant) et Seth Rogen (le collègue blagueur du père, omniprésent dans la vie de familiale) subjugue. Tout comme les nuances de la narration, rythmée par les déménagements successifs, d’est en ouest (New Jersey, Arizona, Californie), la carrière ascensionnelle du père, génie de l’informatique, entraînant un cortège de brisures pour ses trois enfants, et plus encore pour son épouse. En Californie, le jeune Sammy, parachuté au pays des « hommes-séquoias géants » (il se découvre petit de taille, à côté de ses nouveaux condisciples), doit faire face aux brimades antisémites. Cette fois, filmer devient une stratégie de survie sociale, puis la source d’un pouvoir considérable, proche de la manipulation : les séquences que l’adolescent agence après une journée du lycée à la plage peuvent transformer un redoutable ennemi en demi-dieu, en star, ou au contraire en bouffon. Là encore, The Fabelmans éblouit par son alliage d’humour et de complexité, et par la poursuite méticuleuse de son récit d’apprentissage. Il en va de même quand Sammy, au seuil de sa vie professionnelle, a la chance de rencontrer, quelques minutes, à son bureau, le mythique réalisateur John Ford. Car Steven Spielberg fait jouer le vétéran hollywoodien par David Lynch (il fallait y penser), parfaitement accordé à l’extravagant conseil technique que le vieil homme hurle au débutant… Jusqu’au bout demeure cependant, en filigrane, l’image la plus belle et la plus émouvante, la plus déterminante aussi : cette mère qui danse une nuit d’été, impudique et magique, dans le halo des phares de la voiture familiale, en pleine nature. Moment d’épiphanie et de transgression, point de non-retour, message subliminal adressé au fils filmeur, comme pour l’encourager à vivre pleinement, coûte que coûte, sa vie d’homme et d’artiste. Tony Kushner, le confidentIl n’y avait, a priori, rien de commun entre Angels in America (1991), la pièce de Tony Kushner sur les années sida (devenue une série pour HBO en 2003), et la filmographie de Steven Spielberg. Alors qu’il préparait Munich (2005), le second fit appel au premier pourson expertise sur le conflit israélo-palestinien. Une collaboration au long cours débuta ainsi, Tony Kushner cosignant trois scénarios pour Spielberg, dont celuide Lincoln (2012). De leurs échanges, et de la curiosité du dramaturge pour le cinéaste, naquit l’idée des Fabelmans : Kushner incita Spielberg à raconter dans un film l’histoire de sa famille. Près de vingt ans après leur première rencontre, le résultat, entièrement nourri des souvenirs et confidences du réalisateur, bénéficie indéniablement de la profondeur romanesque apportée par l’ami scénariste.

Année : 2022

Avec : Alina Brace, Gabriel LaBelle, Jeannie Berlin, Judd Hirsch, Julia Butters, Keeley Karsten, Mateo Zoryan, Michelle Williams, Paul Dano, Robin Bartlett, Seth Rogen, Sophia Kopera

Récemment en décembre
 

The Green Hornet

Prime Video : 24 décembre 2024

Fils du plus grand magnat de la presse de Los Angeles, Britt Reid ne s'intéresse qu'aux fêtes auxquelles il compte se rendre. Lorsque son père meurt mystérieusement, il hérite de l'immense empire médiatique et devient ami avec l'inventif Kato. Pour la première fois, ensemble, Britt et Kato voient une chance de donner un vrai sens à leur vie en combattant le crime. Sous l'identité du Frelon Vert et de son fidèle adjoint, ils entament une nouvelle vie. Faisant appel à son ingéniosité, Kato met au point l'arme ultime, la Black Beauty, une voiture indestructible à la formidable puissance. À bord de cette forteresse mobile et grâce à quelques gadgets spectaculaires, le Frelon Vert et Kato font des ravages chez les criminels. Bientôt aidé par la nouvelle secrétaire de Britt, Lenore Case, le duo s'attaque à l'homme qui contrôle le crime à Los Angeles : Benjamin Chudnofsky. Le Frelon Vert et les siens ignorent que leur redoutable adversaire les a déjà en ligne de mire...

De : Michel Gondry

Avec : Seth Rogen, Jay Chou, Cameron Diaz, Tom Wilkinson, Christoph Waltz, Edward James Olmos, David Harbour

Récemment en décembre
 

Délire Express

Prime Video : 7 décembre 2024

Dale Denton et Saul Silver n'ont vraiment rien en commun, sauf le Délire Express, une variété très rare de marijuana que Saul vend à Dale. Une nuit, ce dernier est témoin d'un meurtre commis par une redoutable baron de la drogue et sa complice dans la police. Sous le coup de la panique, il abandonne son herbe sur la scène du crime… Alors que cet indice conduit directement à eux, Dale et Saul n'ont pas d'autre choix que de s'enfuir pour sauver leur vie. Ils vont vite découvrir que leur paranoïa n'est pas uniquement due à ce qu'ils fument : des tueurs déchaînés prêts à tout les pourchassent réellement pour les éradiquer. Le point positif ? Ils peuvent devenir amis… s'ils survivent.

De : David Gordon Green

Avec : Seth Rogen, James Franco, Gary Cole, Danny McBride, Rosie Perez, Kevin Corrigan, Craig Robinson

Récemment en décembre
 

Kung Fu Panda

Prime Video : 7 décembre 2024

Passionné, costaud et quelque peu maladroit, Po est sans conteste le plus grand fan de kung‐fu. Serveur dans le restaurant de nouilles de son père, son habileté reste encore à prouver. Élu pour accomplir une ancienne prophétie, Po rejoint le monde du kung‐fu afin d'apprendre les arts martiaux auprès de ses idoles, les légendaires Cinq Cyclones : Tigresse, Grue, Mante, Vipère et Singe, sous les ordres de leur professeur et entraîneur, Maître Shifu. Mais Taï Lung, le léopard des neiges fourbe et animé d'un désir de vengeance, approche à grands pas, et c'est Po qui sera chargé de défendre la vallée face à cette menace grandissante.

De : Mark Osborne, John Stevenson

Avec : Jack Black, Angelina Jolie, Dustin Hoffman, Ian McShane, Jackie Chan, Lucy Liu, Seth Rogen

Récemment en décembre
 

Kung Fu Panda 3

Prime Video : 6 décembre 2024

Po avait toujours cru son père panda disparu, mais le voilà qui réapparaît ! Enfin réunis, père et fils vont voyager jusqu’au paradis secret du peuple panda. Ils y feront la connaissance de certains de leurs semblables, tous plus déjantés les uns que les autres. Mais lorsque le maléfique Kaï décide de s’attaquer aux plus grands maîtres de kung‐fu à travers toute la Chine, Po va devoir réussir l’impossible : transformer tout un village de pandas maladroits et rigolards en experts des arts martiaux, les redoutables Kung‐Fu Pandas !

De : Jennifer Yuh Nelson, Alessandro Carloni

Avec : Jack Black, Bryan Cranston, Dustin Hoffman, Angelina Jolie, J K Simmons, Jackie Chan, Seth Rogen

Récemment en octobre
 

The Night Before

Netflix : 23 octobre 2024

Pendant une décennie, Ethan, Isaac et Chris ont célébré la veille de Noël avec une nuit de débauche et d'hilarité. Devenus adultes, les amis d'enfance considèrent qu'il est temps désormais d'abolir la tradition. Ils se préparent donc à passer une dernière veille de Noël entre amis.

De : Jonathan Levine

Avec : Joseph Gordon-Levitt, Seth Rogen, Anthony Mackie, Lizzy Caplan, Jillian Bell, Mindy Kaling, Michael Shannon

Récemment en octobre
 

Saucisse Party : Bouff'land

Prime Video : 10 octobre 2024

Après avoir tué toute l'humanité, des aliments tentent de créer leur propre utopie.

De : Seth Rogen, Evan Goldberg, Ariel Shaffir, Kyle Hunter

Avec : Seth Rogen, Kristen Wiig, Edward Norton, Michael Cera, Sam Richardson, André Sogliuzzo, SungWon Cho

Récemment en septembre
 

Paul

Netflix : 20 septembre 2024

Depuis 60 ans, Paul, un extraterrestre, vit sur terre et collabore avec le gouvernement américain. Il se cache à l'abri des regards dans une base militaire ultra secrète... Paul est à l'origine de tout ce qu’on a pu imaginer sur les extraterrestres, du merchandising aux scénarios de Rencontres du troisième type , E.T. ou encore X Files. Hélas pour lui, maintenant que le gouvernement américain lui a soutiré toutes les informations intéressantes sur la vie extraterrestre, il décide de se débarrasser de lui. Paul réussit alors à s'échapper et tombe nez à nez avec deux adolescents attardés fans de science-fiction qui sillonnent les États-Unis en camping car. Paul les convainc de l'emmener avec eux et de l'aider à quitter la terre. La tâche s’avère d'autant plus difficile pour nos deux "héros du dimanche" qu'ils sont poursuivis par un flic implacable assisté de deux pieds nickelés du FBI...

De : Greg Mottola

Avec : Simon Pegg, Nick Frost, Seth Rogen, Jason Bateman, Kristen Wiig, Bill Hader, Blythe Danner

Récemment en juillet
 

Nos Pires Voisins

Netflix : 25 juillet 2024

Un jeune couple avec un bébé se voit contraint de faire face suite aux difficultés rencontrées avec leurs voisins, membres d'une maison de fraternité

De : Nicholas Stoller

Avec : Seth Rogen, Zac Efron, Rose Byrne, Dave Franco, Christopher Mintz-Plasse, Jerrod Carmichael, Ike Barinholtz