Télévision : 27 mars à 21:00-22:29 sur France 4
musique : variétés
Il y a quelques décennies, Barbara racontait l'amour, les peines de coeur, la passion éternelle. C'était en concert, en vinyle ou sur le petit écran. Une sélection de ces archives retravaillées et augmentées, accompagnent sur scène les artistes lors de ce concert. Toutes les générations d'artistes sont présentes sur la scène du Grand Rex, sous la direction musicale de Roland Romanelli et avec des artistes parmi lesquels Barbara Pravi, Carla Bruni, Raphaël, La Grande Sophie, Agnès Jaoui, Joey Starr ou encore Tim Dup.
Télévision : 10 mars à 14:37-16:11 sur France 5
musique : variétés
Il y a quelques décennies, Barbara racontait l'amour, les peines de coeur, la passion éternelle. C'était en concert, en vinyle ou sur le petit écran. Une sélection de ces archives retravaillées et augmentées, accompagnent sur scène les artistes lors de ce concert. Toutes les générations d'artistes sont présentes sur la scène du Grand Rex, sous la direction musicale de Roland Romanelli et avec des artistes parmi lesquels Barbara Pravi, Carla Bruni, Raphaël, La Grande Sophie, Agnès Jaoui, Joey Starr ou encore Tim Dup.
Télévision : 10 mars à 14:36-16:11 sur France 5
musique : variétés
Il y a quelques décennies, Barbara racontait l'amour, les peines de coeur, la passion éternelle. C'était en concert, en vinyle ou sur le petit écran. Une sélection de ces archives retravaillées et augmentées, accompagnent sur scène les artistes lors de ce concert. Toutes les générations d'artistes sont présentes sur la scène du Grand Rex, sous la direction musicale de Roland Romanelli et avec des artistes parmi lesquels Barbara Pravi, Carla Bruni, Raphaël, La Grande Sophie, Agnès Jaoui, Joey Starr ou encore Tim Dup.
DVD/Blu-ray : 2 octobre 2019
Editeur : Universal Pictures France
Année : 1999
De : Pascal Duchêne, Gérard Pullicino, Jérôme Revon, Julien Bloch
Avec : Laurent Gerra, Big Band de Frédéric Manoukian, David Mignot
Télévision : 24 juillet 2018 à 20:55-23:15 sur NRJ 12
film policier
Deux policiers, l'un juif pied-noir, l'autre arabe, enquêtent sur un groupe de fanatiques musulmans. On veut bien croire aux bonnes intentions. Mais ce film est à la fois bête (situations outrées, manichéisme) et démagogique en diable. Critique : Film d'Alexandre Arcady (France, 1988). Scénario : Daniel Saint-Hamont, A. Arcady et Pierre Aknine. 120 mn. Avec Richard Berry : Karim Hamida. Patrick Bruel : Simon Atlan. Corinne Dacla : Lisa Vernier. Le genre : policier et politique. Arcady a eu l'ambition de raconter l'histoire de deux hommes aux racines algériennes qui effacent leurs différences et leurs antagonismes pour lutter contre le fanatisme et le terrorisme musulmans. Mais le film est politiquement orienté. On veut bien croire aux bonnes intentions de tout le monde dans cette entreprise. Mais L'Union sacrée est à la fois très bête (situations outrées, dialogues incroyables, manichéisme des bons et des méchants musulmans) et démagogique en diable, lorsqu'il exploite sentimentalement la mort violente de Lisa dans une rue du quartier juif du Marais. Jacques Siclier
Année : 1988
Avec : Alexandre Arcady, Richard Berry, Patrick Bruel, Bruno Crémer, Claude Brasseur, Saïd Amadis, Corinne Dacla, Marthe Villalonga, Amidou, Jean-Jacques Goldman, Roland Romanelli, Daniel Saint-Hamont, Alexandre Arcady, Pierre Aknine, Saïd Amadis, Robert Alazraki
Télévision : 3 mai 2018 à 21:00-23:05 sur TF1
film : comédie
Quelle déception que ce gros machin gaulois pas fidèle pour deux sesterces à l'esprit de la BD ! Depuis, Chabat démontra à Zidi qu'on pouvait adapter les aventures du petit moustachu et du gros en braies rayées et en faire un film… drôle. Critique : C’est un film construit dans un matériau fragile : le mythe populaire de papier. Tout se joue dans les premières minutes, en quelques plans. Le décor, le mouvement, les silhouettes. On y est. Ou pas. On y croit. Ou pas. Comme dans n’importe quelle reconstitution d’époque, ce qu’on juge c’est la « vérité » historique. Deux générations au moins peuvent réciter par coeur : « Nous sommes en 50 avant Jésus-Christ. Toute la Gaule est occupée par les Romains... Toute ? Non ! Un village peuplé d’irréductibles Gaulois résiste encore et toujours à l’envahisseur. Et la vie n’est pas facile pour les garnisons de légionnaires romains des camps retranchés de Babaorum, Aquarium, Laudanum et Petitbonum... » Ce sésame a ouvert depuis quarante ans chaque album de la série Astérix. Il suffit, cette fois, que la caméra pénètre dans le village. On y est. On y croit. Ce n’est pas qu’une affaire de moyens. L’image n’a pas ce luxe ostentatoire qui mine souvent les productions à budget mammouth. Au contraire, tout semble avoir été imaginé pour créer une familiarité, une proximité, une connivence immédiates avec l’original, et cela justifie, d’emblée, l’entreprise. Pour nourrir cette machine à rafraîchir les rêves de millions de lecteurs, les auteurs avaient un impératif : ajouter aux innombrables trouvailles du génie à deux têtes, Goscinny-Uderzo, le piment d’une trente et unième aventure originale. Le scénario tourne autour d’une idée qui coule de source : Lucius Détritus, gouverneur des provinces, va tout mettre en oeuvre pour dérober aux Gaulois leur légendaire potion magique, afin de devenir César à la place de César ; en clair, le maître du monde. Où, par voie de conséquence, l’on verra se réaliser – brièvement – l’impensable : César faisant alliance avec nos amis contre un ennemi commun... Sur cette trame pas indigne de certains synopsis signés Goscinny, et avec, dans le rôle clé de Détritus, Roberto Benigni, cette incarnation vivante de tous les débordements « bédéesques », ce ne sont pourtant pas les gags qui fourmillent, mais les signes de reconnaissance qui pullulent. Comme si, aiguillonné par la ferveur excessive, ou par la crainte de se mettre à dos les fans pointilleux, Claude Zidi avait tenu à convoquer chaque personnage, fût-ce dans une apparition éclair, et à décliner toutes les figures imposées de la série. Et c’est, tout bêtement, la comédie qui en pâtit. Même si les impeccables effets spéciaux confèrent aux indispensables castagnes – avec Romains volants non identifiés – une dimension hyperbolique, et aux (quelques) morceaux de bravoure une force spectaculaire. On s’amuse à observer la façon dont Gérard Depardieu joue à être Obélix et le devient illico sous nos yeux avec une aisance confondante. On s’étonne de voir jusqu’au bout, derrière les bacchantes d’Astérix, un Christian Clavier venu là, disons, en « visiteur ». On ne se lasse pas du « coup » de l’éléphant planté dans le sol par les défenses (extrait diffusé quelques dizaines de fois dans une promo au canon...). On patiente. On s’impatiente. On accueille avec plaisir les deux ou trois belles idées qui redonnent du punch au dernier quart du film. Et on se dit alors qu’Uderzo devrait être content de cette scrupuleuse opération de protection du patrimoine. Pour le reste, selon que l’on est tombé dedans, ou pas, quand on était petit... • Jean-Claude Loiseau
Année : 1998
Avec : Christian Clavier, Sim, M Sägebrecht, Gérard Depardieu, Roberto Benigni, Michel Galabru, Claude Piéplu, Daniel Prévost, Pierre Palmade, Laetitia Casta, Arielle Dombasle, Claude Zidi, Jean-Jacques Goldman, Roland Romanelli, Gérard Lauzier, Claude Zidi, Albert Uderzo, René Goscinny, Tony Pierce-Roberts