Phil Meheux : passages TV

Créez gratuitement votre compte Evernext pour être averti de toutes les actualités de Phil Meheux.

Créer mon compte

Antérieurement en 2018
 

GoldenEye

Télévision : 22 juillet 2018 à 23:00-01:05 sur France 2

film d'action

Bon, d'accord, on a fait du neuf avec du vieux mais pourquoi pas, puisque Pierce Brosnan porte élégamment le smoking, le rythme est soutenu et le montage hardi. Distraction (à l'ancienne) assurée. Critique : | Genre : espionnage. Les Russes sont toujours les ennemis de 007. Non plus le KGB, mais la mafia... On fait du neuf avec du vieux, mais très bien. Et Pierce Brosnan est le clone, moins sexy, de Sean Connery. Sauf que... Pierce Brosnan est quand même bien meilleur que les autres successeurs de Sean (jusqu'à Daniel Craig). Et Martin Campbell, qui n'est ni un aigle ni un nullard, s'amuse à tourner un film d'aventures à l'ancienne, au montage plus hardi et au rythme plus soutenu. Inconsistant mais plutôt plaisant. — Pierre Murat

Année : 1995

Avec : Martin Campbell, Pierce Brosnan, Famke Janssen, Gottfried John, Izabella Scorupco, Joe Don Baker, Tchéky Karyo, Sean Bean, Desmond Llewelyn, Eric Serra, Bruce Feirstein, Jeffrey Caine, Ian Fleming, Michael France, Peter Lamont, Phil Meheux

Antérieurement en 2018
 

GoldenEye

Télévision : 15 juillet 2018 à 20:55-23:10 sur France 2

film d'action

Bon, d'accord, on a fait du neuf avec du vieux mais pourquoi pas, puisque Pierce Brosnan porte élégamment le smoking, le rythme est soutenu et le montage hardi. Distraction (à l'ancienne) assurée. Critique : | Genre : espionnage. Les Russes sont toujours les ennemis de 007. Non plus le KGB, mais la mafia... On fait du neuf avec du vieux, mais très bien. Et Pierce Brosnan est le clone, moins sexy, de Sean Connery. Sauf que... Pierce Brosnan est quand même bien meilleur que les autres successeurs de Sean (jusqu'à Daniel Craig). Et Martin Campbell, qui n'est ni un aigle ni un nullard, s'amuse à tourner un film d'aventures à l'ancienne, au montage plus hardi et au rythme plus soutenu. Inconsistant mais plutôt plaisant. — Pierre Murat

Année : 1995

Avec : Martin Campbell, Pierce Brosnan, Famke Janssen, Gottfried John, Izabella Scorupco, Joe Don Baker, Tchéky Karyo, Sean Bean, Desmond Llewelyn, Eric Serra, Bruce Feirstein, Jeffrey Caine, Ian Fleming, Michael France, Peter Lamont, Phil Meheux

Antérieurement en 2018
 

GoldenEye

Télévision : 15 juillet 2018 à 20:55-23:02 sur France 2

film d'action

Bon, d'accord, on a fait du neuf avec du vieux mais pourquoi pas, puisque Pierce Brosnan porte élégamment le smoking, le rythme est soutenu et le montage hardi. Distraction (à l'ancienne) assurée. Critique : | Genre : espionnage. Les Russes sont toujours les ennemis de 007. Non plus le KGB, mais la mafia... On fait du neuf avec du vieux, mais très bien. Et Pierce Brosnan est le clone, moins sexy, de Sean Connery. Sauf que... Pierce Brosnan est quand même bien meilleur que les autres successeurs de Sean (jusqu'à Daniel Craig). Et Martin Campbell, qui n'est ni un aigle ni un nullard, s'amuse à tourner un film d'aventures à l'ancienne, au montage plus hardi et au rythme plus soutenu. Inconsistant mais plutôt plaisant. — Pierre Murat

Année : 1995

Avec : Martin Campbell, Pierce Brosnan, Famke Janssen, Gottfried John, Izabella Scorupco, Joe Don Baker, Tchéky Karyo, Sean Bean, Desmond Llewelyn, Eric Serra, Bruce Feirstein, Jeffrey Caine, Ian Fleming, Michael France, Peter Lamont, Phil Meheux

Antérieurement en 2018
 

Le tour du monde en 80 jours

Télévision : 4 juin 2018 à 22:30-00:20 sur France 4

film d'aventures

En plein IIIe millénaire, on n'imagine pas l'adaptation d'un roman de Jules Verne sans quelques scènes de baston bien senties. C'est Jackie Chan qui s'y colle. Pour la romance, il y a Cécile de France. Amusant et rythmé. Critique : | Genre : voyage d'agrément. Jules Verne, pourtant excellent scénariste, n'avait pas pensé au kung-fu pour pimenter ses récits. Jackie Chan s'en est chargé. Tant pis pour les puristes, l'idée est amusante d'avoir musclé le pari de Phileas Fogg (Steve Coogan) avec une histoire de statuette de jade à rapporter au fin fond de la Chine. Le valet Passepartout est donc chinois, rapide comme le tigre, malin comme le singe, entêté comme la chèvre... Ce tour du monde de Fogg est donc plutôt celui de Chan, avec baston chorégraphiée à chaque étape du tour. A Paris, la romance est aussi au rendez-vous. En jeune peintre gourmande de voyages, Cécile de France vole la vedette à Jackie Chan, qui l'avait lui-même chipée dès le début à Steve Coogan. En dirigeable, en train, en bateau, en machine volante, et jusque dans le harem du prince Hari (Schwarzenegger, ridicule à souhait), elle pétille. Grâce à son sens du rythme, ce petit monde très coloré, plein d'embûches et de gadgets rétrofuturistes, tourne encore plus rond. — Guillemette Odicino

Année : 2003

Avec : Frank Coraci, Jackie Chan, Steve Coogan, Cécile de France, Ewen Bremner, Jim Broadbent, Ian McNeice, Kathy Bates, John Cleese, Trevor Jones, David N Titcher, David Benulto, David Goldstein, Jules Verne, Perry Blake, Phil Meheux

Antérieurement en 2018
 

Le tour du monde en 80 jours

Télévision : 4 juin 2018 à 22:20-00:10 sur France 4

film d'aventures

En plein IIIe millénaire, on n'imagine pas l'adaptation d'un roman de Jules Verne sans quelques scènes de baston bien senties. C'est Jackie Chan qui s'y colle. Pour la romance, il y a Cécile de France. Amusant et rythmé. Critique : | Genre : voyage d'agrément. Jules Verne, pourtant excellent scénariste, n'avait pas pensé au kung-fu pour pimenter ses récits. Jackie Chan s'en est chargé. Tant pis pour les puristes, l'idée est amusante d'avoir musclé le pari de Phileas Fogg (Steve Coogan) avec une histoire de statuette de jade à rapporter au fin fond de la Chine. Le valet Passepartout est donc chinois, rapide comme le tigre, malin comme le singe, entêté comme la chèvre... Ce tour du monde de Fogg est donc plutôt celui de Chan, avec baston chorégraphiée à chaque étape du tour. A Paris, la romance est aussi au rendez-vous. En jeune peintre gourmande de voyages, Cécile de France vole la vedette à Jackie Chan, qui l'avait lui-même chipée dès le début à Steve Coogan. En dirigeable, en train, en bateau, en machine volante, et jusque dans le harem du prince Hari (Schwarzenegger, ridicule à souhait), elle pétille. Grâce à son sens du rythme, ce petit monde très coloré, plein d'embûches et de gadgets rétrofuturistes, tourne encore plus rond. — Guillemette Odicino

Année : 2003

Avec : Frank Coraci, Jackie Chan, Steve Coogan, Cécile de France, Ewen Bremner, Jim Broadbent, Ian McNeice, Kathy Bates, John Cleese, Trevor Jones, David N Titcher, David Benulto, David Goldstein, Jules Verne, Perry Blake, Phil Meheux

Antérieurement en 2018
 

Le tour du monde en 80 jours

Télévision : 20 mai 2018 à 21:00-22:50 sur France 4

film d'aventures

En plein IIIe millénaire, on n'imagine pas l'adaptation d'un roman de Jules Verne sans quelques scènes de baston bien senties. C'est Jackie Chan qui s'y colle. Pour la romance, il y a Cécile de France. Amusant et rythmé. Critique : | Genre : voyage d'agrément. Jules Verne, pourtant excellent scénariste, n'avait pas pensé au kung-fu pour pimenter ses récits. Jackie Chan s'en est chargé. Tant pis pour les puristes, l'idée est amusante d'avoir musclé le pari de Phileas Fogg (Steve Coogan) avec une histoire de statuette de jade à rapporter au fin fond de la Chine. Le valet Passepartout est donc chinois, rapide comme le tigre, malin comme le singe, entêté comme la chèvre... Ce tour du monde de Fogg est donc plutôt celui de Chan, avec baston chorégraphiée à chaque étape du tour. A Paris, la romance est aussi au rendez-vous. En jeune peintre gourmande de voyages, Cécile de France vole la vedette à Jackie Chan, qui l'avait lui-même chipée dès le début à Steve Coogan. En dirigeable, en train, en bateau, en machine volante, et jusque dans le harem du prince Hari (Schwarzenegger, ridicule à souhait), elle pétille. Grâce à son sens du rythme, ce petit monde très coloré, plein d'embûches et de gadgets rétrofuturistes, tourne encore plus rond. — Guillemette Odicino

Année : 2003

Avec : Frank Coraci, Jackie Chan, Steve Coogan, Cécile de France, Ewen Bremner, Jim Broadbent, Ian McNeice, Kathy Bates, John Cleese, Trevor Jones, David N Titcher, David Benulto, David Goldstein, Jules Verne, Perry Blake, Phil Meheux

Antérieurement en 2018
 

Le tour du monde en 80 jours

Télévision : 20 mai 2018 à 20:55-22:45 sur France 4

film d'aventures

En plein IIIe millénaire, on n'imagine pas l'adaptation d'un roman de Jules Verne sans quelques scènes de baston bien senties. C'est Jackie Chan qui s'y colle. Pour la romance, il y a Cécile de France. Amusant et rythmé. Critique : | Genre : voyage d'agrément. Jules Verne, pourtant excellent scénariste, n'avait pas pensé au kung-fu pour pimenter ses récits. Jackie Chan s'en est chargé. Tant pis pour les puristes, l'idée est amusante d'avoir musclé le pari de Phileas Fogg (Steve Coogan) avec une histoire de statuette de jade à rapporter au fin fond de la Chine. Le valet Passepartout est donc chinois, rapide comme le tigre, malin comme le singe, entêté comme la chèvre... Ce tour du monde de Fogg est donc plutôt celui de Chan, avec baston chorégraphiée à chaque étape du tour. A Paris, la romance est aussi au rendez-vous. En jeune peintre gourmande de voyages, Cécile de France vole la vedette à Jackie Chan, qui l'avait lui-même chipée dès le début à Steve Coogan. En dirigeable, en train, en bateau, en machine volante, et jusque dans le harem du prince Hari (Schwarzenegger, ridicule à souhait), elle pétille. Grâce à son sens du rythme, ce petit monde très coloré, plein d'embûches et de gadgets rétrofuturistes, tourne encore plus rond. — Guillemette Odicino

Année : 2003

Avec : Frank Coraci, Jackie Chan, Steve Coogan, Cécile de France, Ewen Bremner, Jim Broadbent, Ian McNeice, Kathy Bates, John Cleese, Trevor Jones, David N Titcher, David Benulto, David Goldstein, Jules Verne, Perry Blake, Phil Meheux

Antérieurement en 2018
 

Le Saint

Télévision : 27 mars 2018 à 21:00-23:05 sur TF1 Séries Films

film

Dans un orphelinat hongkongais, un enfant rebelle refuse le nom qu'on prétend lui imposer et s'enfuit. Il deviendra Simon Templar, dit «Le Saint», voleur international dont les largesses aux bonnes oeuvres lui vaudront une excellente réputation. Passé maître dans l'art du faux-semblant, il jette son dévolu sur Ivan Tretiak, riche homme d'affaires russe qui envisage de prendre le pouvoir. Pour huit millions de dollars, il lui propose de lui céder la formule de la fission à froid mise au point par la physicienne Emma Russell. Tretiak lui verse la somme convenue mais Le Saint, tombé sous le charme de la scientifique, lui fait faux bond... Critique : Film de Phillip Noyce (The Saint, USA, 1997). Scénario : Jonathan Hensleigh et Wesley Strick. Image : Phil Meheux. 120 mn. VF. Avec Val Kilmer, Elisabeth Shue, Rade Serbedzija. Genre : ersatz de "James Bond". Sexy comme une bûche, Val Kilmer passe son temps à se déguiser. Vachement mal. On le reconnaît tout de suite. Sauf la fille qui l'aime et ses méchants ennemis. La preuve qu'ils sont vraiment neuneus... C'est marrant comme Hollywood a le don de « frigorifier » des feuilletons télé qui ne valaient que par leur rythme et leur décontraction. Ce Saint est encombré de théories balourdes sur l'inconscient, la fuite, la culpabilité. Clichés destinés probablement à faire croire au spectateur moyen américain qu'il est branché Freud et psychanalyse. Phillip Noyce rate les moments humoristiques, sans lesquels le héros imaginé par Leslie Charteris ne serait pas ce qu'il est. Quant aux scènes d'action où un dictateur russe cherche à s'approprier une invention révolutionnaire, la « fusion à froid », elles sont du niveau d'un James Bond moyen.

Année : 1997

Antérieurement en 2018
 

Haute voltige

Télévision : 15 février 2018 à 20:55-23:05 sur Chérie 25

film

Chargée de retrouver l'auteur du vol d'un chef-d'oeuvre pourtant sous haute surveillance, Virginia Baker, agent d'une compagnie d'assurances, convainc ses supérieurs de la laisser infiltrer l'entourage de son suspect, Robert MacDougal. Véritable gentleman-cambrioleur, celui-ci ne reste pas longtemps insensible au charme puissant de la jeune femme. Prudent, il lui impose néanmoins une sévère mise à l'épreuve avant d'accepter sa participation à sa prochaine «mission» : le vol d'un masque d'une valeur inestimable. Leur défiance n'a d'égale que leur attirance mutuelle. Cependant, leur partenariat perdure, d'autant que les enchères montent... Critique : Film de Jon Amiel (Entrapment, USA/Allemagne/Grande-Bretagne, 1999). Scénario : William Broyles et Ronald Bass. Image : Phil Meheux. Musique : Christopher Young. 115 mn. VF. Avec Sean Connery : MacDougal. Catherine Zeta-Jones : Gin. Ving Rhames : Thibadeaux. Genre : casses à tout casser. Un Rembrandt est volé. Par qui ? Comme Sean Connery, bien qu'en plei-ne forme, est légèrement trop vieux pour se livrer à des acrobaties specta-culaires, on devine que le coupable est plus jeune et plus hardi. Depuis Le Masque de Zorro, on connaît la souplesse de Catherine Zeta-Jones, donc on se doute très vite que le voleur, c'est elle. En fait, elle incarne la brillan-te employée de la compagnie qui assure le Rembrandt. Bien décidée à faire retomber les soupçons sur un orfèvre de l'escroquerie, le plus grand gentleman cambrioleur depuis Arsène Lupin, Robert MacDougal (Sean Conne-ry, bien sûr). Ce jeu de dupes nous mène en Angleterre, puis en Malaisie, où le couple projette la dernière escroquerie du deuxième millénaire (ou la première du troisième, au choix). Jon Amiel filme comme ses personnages préparent leur casse : avec une précision mathématique. Il y manque juste un peu de fantaisie. Sean Connery a l'air un peu embêté de jouer les papys séducteurs. Du coup, c'est Catherine Zeta-Jones qui irradie, à la fois belle et ambiguë.  Pierre Murat

Année : 1999