Télévision : 28 mars à 14:50-15:45 sur TF1 Séries Films
série policière
Opération séduction. Saison:4 - Episode:15 - Patrick Jane se rend sur la scène du meurtre de Natalie Gibecki, une bénévole. Il ne tarde pas à comprendre qu'elle s'apprêtait à retrouver son amant, probablement un homme marié. Alors qu'il émet ses hypothèses, le mentaliste reçoit un appel d'Erica Flynn, une détenue qu'il avait aidé à faire condamner. Celle-ci prétend détenir des informations au sujet de la victime, mais elle ne les révèlera qu'en échange de sa libération. Jane rend visite à Erica a la prison de Golden Valley State et lui demande pourquoi elle veut collaborer. Elle lui répond qu'elle connaissait bien Natalie et qu'elle ne veut pas que le crime reste impuni...
Année : 2012
De : Geary McLeod
Avec : Amanda Righetti, Christine Garver, Ian Bohen, Jillian Bach, Michael Arden, Morena Baccarin, Owain Yeoman, Robert Catrini, Robin Tunney, Ryan Felix, Simon Baker, Tim Kang
Télévision : 18 mars à 14:00-14:50 sur TF1 Séries Films
série policière
Opération séduction. Saison:4 - Episode:15 - Patrick Jane se rend sur la scène du meurtre de Natalie Gibecki, une bénévole. Il ne tarde pas à comprendre qu'elle s'apprêtait à retrouver son amant, probablement un homme marié. Alors qu'il émet ses hypothèses, le mentaliste reçoit un appel d'Erica Flynn, une détenue qu'il avait aidé à faire condamner. Celle-ci prétend détenir des informations au sujet de la victime, mais elle ne les révèlera qu'en échange de sa libération. Jane rend visite à Erica a la prison de Golden Valley State et lui demande pourquoi elle veut collaborer. Elle lui répond qu'elle connaissait bien Natalie et qu'elle ne veut pas que le crime reste impuni...
Année : 2012
De : Geary McLeod
Avec : Amanda Righetti, Christine Garver, Ian Bohen, Jillian Bach, Michael Arden, Morena Baccarin, Owain Yeoman, Robert Catrini, Robin Tunney, Ryan Felix, Simon Baker, Tim Kang
Télévision : 17 mars à 21:21-23:28 sur C8
film d'action
Russell, un jeune mutant, est menacé par Nathan Summers, alias Cable, un soldat extrêmement dangereux, qui a le pouvoir de voyager dans le temps. Afin de sauver l'adolescent des agissements de Cable, Deadpool se voit contraint de repartir de zéro. Il va devoir constituer une équipe de jeunes mutants, la X-Force, puis assurer son entraînement, afin de faire de ses membres des adversaires de taille. Un projet ambitieux, qui n'est pas sans poser quelques problèmes à Deadpool, qui est loin d'être au bout de ses peines... - Critique : Dans la famille des superhéros, le très mal élevé Deadpool (interprété par Ryan Reynolds) a tout de suite trouvé sa place à part, tournant en dérision les blockbusters et multipliant les pieds-de-nez au bon goût dominant. En même temps, ce personnage à la Spiderman sous cocaïne s’est révélé un très bon élève dans la classe Marvel, avec des scores irréprochables au box-office. Mais est-il vraiment possible de dynamiter la naïveté du commercial américain tout en faisant fonctionner à plein régime la logique du box-office ? Dans cette entreprise contradictoire, et plutôt hypocrite, le premier Deadpool (2016) s’en sortait par un effet de surprise, qui maximisait sa provocation. Mais il était apparemment difficile d’aller plus loin dans le registre du mauvais esprit : cette fois, c’est sur les effets spéciaux que l’effort a été fait. Et ce n’est pas une bonne nouvelle. A la réalisation, l’ex-cascadeur David Leitch (Atomic Blonde, 2017) joue essentiellement à empiler les explosions et la grosse casse. Ce dont un scénario sans véritable enjeu lui laisse tout loisir. Le temps d’un détour par le manoir des X-Men, l’intrigue rameute un géant d’acier, puis déniche, dans une prison de haute sécurité, un monstre encore plus gros. Il s’agit, vaguement, du projet d’élimination d’un gamin par un homme venu du futur, comme dans Terminator, sauf qu’il n’y a pas réellement de méchant, ni de suspense. Deadpool accompagne le mouvement avec ses blagues grinçantes, mais il semble dépassé. Dès la première scène, il est d’ailleurs présenté comme suicidaire et l’acharnement du film à vouloir le faire mourir (plus seulement du cancer dont il souffrait déjà mais en le coupant en deux, en l’explosant en morceaux et de toutes les façons possibles) finit par sembler suspect. Tout se passe comme si ce superhéros furieux et grincheux n’avait déjà plus rien à offrir, que son sacrifice. Quelques scènes drôles et quelques répliques moins inoffensives que les simples écarts de langage ne suffisent pas à donner le change. C’est un fantoche qui s’agite sous nos yeux. En laissant ce Deadpool 2 sombrer dans le gigantisme hollywoodien banal, les producteurs ont choisi de faire triompher la seule rentabilité. Au moment même où des mastodontes comme Black Panther ou Avengers : Infinity War trouvent comment réinventer la formule du succès, et séduisent avec une fantaisie volontiers nouvelle, le farfelu Deadpool donne l’impression de rentrer dans le rang. D’autant que sa défaite est aussi morale puisque le film de David Leitch n’hésite pas à lester le show d’un message incroyablement sirupeux sur l’aide aux orphelins, l’amour du prochain, la solidarité du cœur. Et nul poil à gratter, alors, pour faire passer la pilule.
Année : 2018
De : David Leitch
Avec : Brianna Hildebrand, Dennison Julian, Josh Brolin, Karan Soni, Leslie Uggams, Morena Baccarin, Paul Becker, Ryan Reynolds, T J Miller, Zazie Beetz
Télévision : 17 mars à 21:20-23:30 sur C8
film d'action
Russell, un jeune mutant, est menacé par Nathan Summers, alias Cable, un soldat extrêmement dangereux, qui a le pouvoir de voyager dans le temps. Afin de sauver l'adolescent des agissements de Cable, Deadpool se voit contraint de repartir de zéro. Il va devoir constituer une équipe de jeunes mutants, la X-Force, puis assurer son entraînement, afin de faire de ses membres des adversaires de taille. Un projet ambitieux, qui n'est pas sans poser quelques problèmes à Deadpool, qui est loin d'être au bout de ses peines... - Critique : Dans la famille des superhéros, le très mal élevé Deadpool (interprété par Ryan Reynolds) a tout de suite trouvé sa place à part, tournant en dérision les blockbusters et multipliant les pieds-de-nez au bon goût dominant. En même temps, ce personnage à la Spiderman sous cocaïne s’est révélé un très bon élève dans la classe Marvel, avec des scores irréprochables au box-office. Mais est-il vraiment possible de dynamiter la naïveté du commercial américain tout en faisant fonctionner à plein régime la logique du box-office ? Dans cette entreprise contradictoire, et plutôt hypocrite, le premier Deadpool (2016) s’en sortait par un effet de surprise, qui maximisait sa provocation. Mais il était apparemment difficile d’aller plus loin dans le registre du mauvais esprit : cette fois, c’est sur les effets spéciaux que l’effort a été fait. Et ce n’est pas une bonne nouvelle. A la réalisation, l’ex-cascadeur David Leitch (Atomic Blonde, 2017) joue essentiellement à empiler les explosions et la grosse casse. Ce dont un scénario sans véritable enjeu lui laisse tout loisir. Le temps d’un détour par le manoir des X-Men, l’intrigue rameute un géant d’acier, puis déniche, dans une prison de haute sécurité, un monstre encore plus gros. Il s’agit, vaguement, du projet d’élimination d’un gamin par un homme venu du futur, comme dans Terminator, sauf qu’il n’y a pas réellement de méchant, ni de suspense. Deadpool accompagne le mouvement avec ses blagues grinçantes, mais il semble dépassé. Dès la première scène, il est d’ailleurs présenté comme suicidaire et l’acharnement du film à vouloir le faire mourir (plus seulement du cancer dont il souffrait déjà mais en le coupant en deux, en l’explosant en morceaux et de toutes les façons possibles) finit par sembler suspect. Tout se passe comme si ce superhéros furieux et grincheux n’avait déjà plus rien à offrir, que son sacrifice. Quelques scènes drôles et quelques répliques moins inoffensives que les simples écarts de langage ne suffisent pas à donner le change. C’est un fantoche qui s’agite sous nos yeux. En laissant ce Deadpool 2 sombrer dans le gigantisme hollywoodien banal, les producteurs ont choisi de faire triompher la seule rentabilité. Au moment même où des mastodontes comme Black Panther ou Avengers : Infinity War trouvent comment réinventer la formule du succès, et séduisent avec une fantaisie volontiers nouvelle, le farfelu Deadpool donne l’impression de rentrer dans le rang. D’autant que sa défaite est aussi morale puisque le film de David Leitch n’hésite pas à lester le show d’un message incroyablement sirupeux sur l’aide aux orphelins, l’amour du prochain, la solidarité du cœur. Et nul poil à gratter, alors, pour faire passer la pilule.
Année : 2018
De : David Leitch
Avec : Brianna Hildebrand, Dennison Julian, Eddie Marsan, Jack Kesy, Josh Brolin, Karan Soni, Leslie Uggams, Morena Baccarin, Paul Becker, Ryan Reynolds, Shioli Kutsuna, T J Miller, Zazie Beetz
Disney+ : 5 mars
Deadpool se voit contraint de rejoindre les X-Men : après une tentative ratée de sauver un jeune mutant au pouvoir destructeur, il est jeté en prison anti-mutants. Arrive Cable, un soldat venant du futur et ayant pour cible le jeune mutant, en quête de vengeance. Deadpool décide de le combattre. Peu convaincu par les règles des X-Men, il crée sa propre équipe, la « X-Force ». Mais cette mission lui réservera de grosses surprises, des ennemis de taille et des alliés indispensables.
De : David Leitch
Avec : Ryan Reynolds, Josh Brolin, Morena Baccarin, Julian Dennison, Zazie Beetz, T J Miller, Leslie Uggams
Disney+ : 5 mars
Après une guerre civile, qui a permis à l'Union des planètes de dominer l'espace, le capitaine Malcolm Reynolds et son équipage s'efforcent de survivre à bord du vaisseau Serenity en effectuant diverses missions, comme le transport de marchandises ou une mission de sauvetage, sans trop se soucier de la légalité.
De : Joss Whedon
Avec : Nathan Fillion, Gina Torres, Alan Tudyk, Morena Baccarin, Adam Baldwin, Jewel Staite, Sean Maher
Disney+ : 5 mars
Dans ce thriller politique, un agent de la CIA à la santé mentale fragile et en proie à des problèmes familiaux mène une guerre acharnée contre le terrorisme.
De : Gideon Raff, Howard Gordon, Alex Gansa
Avec : Claire Danes, Mandy Patinkin, Rupert Friend, Damian Lewis, F Murray Abraham, Maury Sterling, Morena Baccarin
Disney+ : 4 mars
Deadpool, est l'anti-héros le plus atypique de l'univers Marvel. À l'origine, il s'appelle Wade Wilson : un ancien militaire des Forces Spéciales devenu mercenaire. Après avoir subi une expérimentation hors norme qui va accélérer ses pouvoirs de guérison, il va devenir Deadpool. Armé de ses nouvelles capacités et d'un humour noir survolté, Deadpool va traquer l'homme qui a bien failli anéantir sa vie.
De : Tim Miller
Avec : Ryan Reynolds, Morena Baccarin, Ed Skrein, T J Miller, Gina Carano, Leslie Uggams, Brianna Hildebrand
Prime Video : 24 novembre 2023
Pour faire face à l'armée des Oris qui s'apprête à envahir la Terre, l'équipe SG-1 part à la recherche de l'arme ultime : l'Arche de Vérité qui se trouverait au fin fond de la galaxie des Oris.
De : Robert C Cooper
Avec : Ben Browder, Amanda Tapping, Christopher Judge, Michael Shanks, Beau Bridges, Claudia Black, Morena Baccarin
Prime Video : 16 novembre 2023
Partez pour le pôle Nord aux côtés d’Elliot, un petit cheval déterminé à accomplir son rêve : gagner sa place parmi les rennes et tirer le traineau du Père Noël !
De : Jennifer Westcott
Avec : Josh Hutcherson, Samantha Bee, Morena Baccarin, John Cleese, Martin Short, George Buza, Jeff Dunham