Télévision : 4 juillet à 21:10-22:55 sur M6
film : comédie
Tout va bien dans la vie professionnelle d'Antoine. DRH dans une grande enseigne de bricolage, il est apprécié de sa hiérarchie et est sur le point d'être promu en tant que directeur général de l'entreprise. De son côté, Isabelle, sa femme, est au bord du burn-out. Alors qu'elle gère tout au sein du foyer familial, elle décide de s'accorder du temps et part quelques jours en congés. C'est au tour d'Antoine, dépité, de prendre soin de sa turbulente et nombreuse progéniture. Ses enfants ne vont pas lui faciliter la tâche et Antoine est vite dépassé... - Critique : Antoine, DRH d’une enseigne de bricolage, pense tant à son boulot et à ne pas se faire piquer sa promotion par un jeune loup arrogant qu’il se repose entièrement sur son épouse pour s’occuper de la maison et, surtout, de leurs quatre enfants. Réalisant soudain que tout le monde trouve normal qu’elle se dévoue corps et âme, cette femme parfaite décide de s’octroyer dix jours de vacances : à Antoine de se débrouiller sans elle. Désordre, désastres, et révélation tardive d’amour paternel en perspective…Franchement, on ne sait plus quoi écrire sur ces comédies familiales dont la mécanique, à la vieille huile, corrompt les éventuelles bonnes intentions. Elles se reposent tant sur leurs acteurs principaux qu’elles en oublient ce petit truc qui se nomme… la mise en scène. Aidé par la présence, toujours lumineuse, d’Aure Atika, le tout début croque quelques situations réussies : petit déjeuner Ricoré, préados chamailleurs, benjamin dans son monde virtuel et bébé dont seule maman comprend le babillage. Et, surtout, ce barbecue avec famille et copains où chaque regard d’Aure Atika exprime, subtilement, la montée de l’humiliation. Puis Aure, donc, laisse la place à Franck Dubosc, plutôt sobre en père débordé, ignorant des tâches domestiques et de la vie de ses lardons. En découlent une ou deux séquences de comique catastrophe qui évoquent de loin la noirceur bienvenue de Papa ou maman. Et, côté boulot, quelques jolies exaspérations face à Alexis Michalik, le brillant dramaturge qui s’amuse, ouvertement, à composer un personnage de bouffon beau gosse à claquer. Hélas, une vague histoire de nounou licenciée et, évidemment, la prise de conscience paternelle – que vaut un job par rapport à la chair de ma chair ? – amollissent l’ensemble, musique doucereuse à l’appui, sans compter certains monologues face caméra, superfétatoires, de Franck Dubosc. Première question : même si l’on sait que le machisme est loin d’avoir disparu et que tous les paternels ne sont pas des « nouveaux pères », peut-on encore bâtir un scénario entier sur le fait qu’un homme ne sache pas faire une machine ou soit contraint de chercher des infos sur Internet quand sa fille a ses règles ? Deuxième question : quand Franck Dubosc choisira-t-il des films à sa hauteur (à laquelle on continue de croire), quitte à bifurquer vers des farces vraiment grinçantes ? Il se couperait de ce qu’il estime être son public ? Il en gagnerait un autre. Lui-même, en écrivant et réalisant, il y a deux ans, Tout le monde debout, s’offrait un bien meilleur film que ces 10 Jours sans… risque.
Année : 2020
Avec : Alexis Michalik, Alice David, Aure Atika, Daniel Martin, Franck Dubosc, Guillon Violette, Helena Noguerra, Ilan Debrabant, Joulin Swan, Karina Marimon, Marc Bodnar, Paturel Evan
Télévision : 1er juillet à 08:16-10:00 sur Canal +
film : drame
Claire et Jeanne, des jumelles pianistes virtuoses de 18 ans, sont admises dans une prestigieuse école de musique allemande dirigée par l'intraitable professeur Klaus Lenhardt. Elles portent ainsi l'ambition de Serge, leur père, qui a tout sacrifié pour faire d'elles les meilleures. Mais malheureusement, elles découvrent toutes deux qu'une maladie orpheline fragilise peu à peu leurs mains, compromettant leur irrésistible ascension. Refusant obstinément de renoncer à leur rêve, les jumelles décident se battre et de se réinventer pour devenir, plus que jamais, prodigieuses... - Critique : L’histoire est vraie, comme le souligne l’affiche, mais a tout d’une partition écrite pour le cinéma. C’est celle de deux sœurs jumelles nées sous le signe de la musique, dans la réalité Audrey et Diane Pleynet, ici Jeanne et Claire. Entraînées, au sens le plus sportif, par un père qui aime Mozart et gagner des concours, elles deviennent championnes de piano, admirables mécaniques. Puis, leur bel accord s’enraye, Claire grandit et tente de s’émanciper, Jeanne reste disciplinée. L’une passe dans la lumière et l’autre reste dans l’ombre. Pour en finir avec les dissonances, un drame les réunit : les jumelles sont toutes deux atteintes d’une maladie orpheline qui attaque leurs os, leurs mains… On ne peut qu’imaginer la complexité et la souffrance psychologiques traversées par ces jeunes filles tendues vers l’absolu du génie et sans cesse rappelées à l’imperfection de ce bas monde. Efficace et mené allègrement, plutôt comme une comédie, ce film simplifie les portraits, vivifiés par deux jeunes actrices, Camille Razat et Mélanie Robert, auxquelles le titre Prodigieuses va comme un gant. Ce qui intéresse surtout les deux réalisateurs, sans doute parce qu’ils sont père (Frédéric) et fils (Valentin), c’est la famille. Oppressante, elle enferme chacun dans un rôle, papa hyper présent (Franck Dubosc), maman effacée (Isabelle Carré), mais les places bougent, comme celles des deux sœurs, et la cellule familiale s’adapte, comme les mains meurtries par la maladie. Sur l’art et la manière d’être ensemble, en quatuor et en duo, le tandem Potier fait passer des émotions vraies et parvient à donner au piano la résonance d’un apprentissage de la vie.
Année : 2024
Avec : August Wittgenstein, Camille Razat, Doughty Elisa, Franck Dubosc, Isabelle Carré, Lennart Betzgen, Lola Aubrière, Meledeen Yacoubi, Mélanie Robert, Nina Mazodier, Thibaut Deschler, Thomas Landbo
Télévision : 28 juin à 01:25-03:11 sur Canal +
film : drame
Claire et Jeanne, des jumelles pianistes virtuoses de 18 ans, sont admises dans une prestigieuse école de musique allemande dirigée par l'intraitable professeur Klaus Lenhardt. Elles portent ainsi l'ambition de Serge, leur père, qui a tout sacrifié pour faire d'elles les meilleures. Mais malheureusement, elles découvrent toutes deux qu'une maladie orpheline fragilise peu à peu leurs mains, compromettant leur irrésistible ascension. Refusant obstinément de renoncer à leur rêve, les jumelles décident se battre et de se réinventer pour devenir, plus que jamais, prodigieuses... - Critique : L’histoire est vraie, comme le souligne l’affiche, mais a tout d’une partition écrite pour le cinéma. C’est celle de deux sœurs jumelles nées sous le signe de la musique, dans la réalité Audrey et Diane Pleynet, ici Jeanne et Claire. Entraînées, au sens le plus sportif, par un père qui aime Mozart et gagner des concours, elles deviennent championnes de piano, admirables mécaniques. Puis, leur bel accord s’enraye, Claire grandit et tente de s’émanciper, Jeanne reste disciplinée. L’une passe dans la lumière et l’autre reste dans l’ombre. Pour en finir avec les dissonances, un drame les réunit : les jumelles sont toutes deux atteintes d’une maladie orpheline qui attaque leurs os, leurs mains… On ne peut qu’imaginer la complexité et la souffrance psychologiques traversées par ces jeunes filles tendues vers l’absolu du génie et sans cesse rappelées à l’imperfection de ce bas monde. Efficace et mené allègrement, plutôt comme une comédie, ce film simplifie les portraits, vivifiés par deux jeunes actrices, Camille Razat et Mélanie Robert, auxquelles le titre Prodigieuses va comme un gant. Ce qui intéresse surtout les deux réalisateurs, sans doute parce qu’ils sont père (Frédéric) et fils (Valentin), c’est la famille. Oppressante, elle enferme chacun dans un rôle, papa hyper présent (Franck Dubosc), maman effacée (Isabelle Carré), mais les places bougent, comme celles des deux sœurs, et la cellule familiale s’adapte, comme les mains meurtries par la maladie. Sur l’art et la manière d’être ensemble, en quatuor et en duo, le tandem Potier fait passer des émotions vraies et parvient à donner au piano la résonance d’un apprentissage de la vie.
Année : 2024
Avec : August Wittgenstein, Camille Razat, Doughty Elisa, Franck Dubosc, Isabelle Carré, Lennart Betzgen, Lola Aubrière, Meledeen Yacoubi, Mélanie Robert, Nina Mazodier, Thibaut Deschler, Thomas Landbo
Télévision : 28 juin à 00:50-02:50 sur France 3
documentaire découvertes
Les artistes et la famille. La journaliste réalisatrice a concocté une nouvelle émission avec les moments les plus marquants des confidences de stars recueillis tout au long de ses émissions sur le thème de la famille. Les plus grandes stars, comme Johnny Hallyday, Michel Sardou, Françoise Hardy, Patrick Bruel, Julien Clerc, Jean-Michel Jarre, Franck Dubosc ou encore Chantal Ladesou, racontent leur enfance et le parent ou l'adulte qu'elles sont devenues. Si ces artistes parlent de l'amour qu'ils ont reçu, beaucoup d'entre eux confient avant tout le manque, parfois de communication mais surtout de reconnaissance : absence du père, inconnu ou défaillant, disparition trop tôt d'une mère protectrice, divorce non expliqué, nouvelle famille, le poids du secret, le regret des malentendus et des non-dits.
Télévision : 22 juin à 21:10-23:05 sur TF1
film : comédie
L'été venu, comme chaque année, Patrick Chirac s'apprête à partir planter sa tente au camping des Flots Bleus et y retrouver son groupe d'amis. Cette fois, pour financer son voyage et faire des rencontres, il décide de proposer les sièges de sa voiture sur un site de covoiturage. Mais en lieu et place d'une certaine Vanessa qu'il avait contactée, Patrick doit transporter trois jeunes désoeuvrés, Robert, Benji et José. Arrivés au bord de l'océan, ils se séparent. Mais José, Benji et Robert reprennent contact avec Patrick. Ils ont terriblement besoin d'un hébergement. De son côté, Paulo, récemment divorcé de Sophie, traverse une crise existentielle... - Critique : Camping des Flots bleus, troisième ! On s'attendait au pire. Non, le film est moyen : à la frontière entre gags médiocres (notamment sur l'homosexualité) et moments très réussis. Car Fabien Onteniente a eu, cette fois, une vraie bonne idée : forcer son Patrick Chirac à partager sa tente et son Benco avec trois jeunes. La cohabitation entre ce gentil ringard et ces petits mecs plutôt branchés est l'occasion d'une réflexion tendre (et de quelques répliques vraiment drôles) sur la difficulté des rapports filiaux et les travers de chaque génération. Qu'est-ce qui est le plus ridicule ? Aimer un vieux tube de Mort Shuman ou être candidat à la Nouvelle star ? Ne pas savoir rédiger un texto ou ne plus être capable de communiquer autrement ? En maillot de bain au milieu des pins, la complicité s'instaure plus facilement entre les jeunes qui ont du mal à grandir et les vieux qui refusent d'être adultes. Comme Jacky (Claude Brasseur, en grande forme) qui fait carrément semblant de perdre la boule pour retrouver les joyeuses facéties de l'enfance… Dommage que Fabien Onteniente, plutôt lucide sur le jeunisme, y sacrifie lui-même, en lorgnant vers Babysitting ou en choisissant Maître Gims pour la chanson du film. Car c'est dans l'émotion qu'il est le meilleur, tout comme Franck Dubosc, qui assume avec panache le pathétique et le slip moulant du personnage.
Année : 2016
Avec : Antoine Duléry, Claude Brasseur, Cyril Mendy, Franck Dubosc, Gérard Jugnot, Jules Ritmanic, Laurent Olmedo, Leslie Medina, Louka Meliava, Michèle Laroque, Mylène Demongeot, Philippe Lellouche
Netflix : 15 juin
Monica, maîtresse de la chatte star d'internet Diva, croise à l'aéroport Jack, un voleur, accompagné du chien qui vient d'avaler le butin de son dernier casse : un rubis. Les humains sont forcés par la compagnie aérienne de mettre leurs précieux animaux en soute. Alors qu'ils sont dans l'avion ils voient par le hublot leurs animaux s'échapper de leur cage et du chariot à bagages vers une destination inconnue. Les deux duos que tout oppose s'embarquent dans un road trip contre la montre entre Montréal et New York. D'un côté, les humains qui ont perdu la trace de leurs animaux et de l'autre, les animaux livrés à eux-mêmes pour retrouver leur maître… sans savoir qu'à leur trousse, le policier Brandt est prêt à tout pour récupérer le rubis.
De : Reem Kherici
Avec : Franck Dubosc, Reem Kherici, Philippe Lacheau, Inès Reg, Artus, Raphaëlle Fugère-Larocque, Oscar Desgagnés
DVD/Blu-ray : 7 mai
Editeur : Gaumont
Année : 2024
De : Franck Dubosc
Avec : Laure Calamy, Franck Dubosc, Benoît Poelvoorde, Emmanuelle Devos, Kim Higelin, Joséphine de Meaux, Jeremy Senelier, Boris Sirven
DVD/Blu-ray : 7 mai
Editeur : Gaumont
Année : 2024
De : Franck Dubosc
Avec : Laure Calamy, Franck Dubosc, Benoît Poelvoorde, Emmanuelle Devos, Kim Higelin, Joséphine de Meaux, Jeremy Senelier, Boris Sirven
Netflix : 27 mars
François et Charlotte dirigent ensemble un hôtel‐restaurant gastronomique au bord de la mer mais leur relation conjugale n’est pas au beau fixe : obsessionnel acharné, François veut sa première Étoile au Guide Michelin tandis que Charlotte, à l’aube de la quarantaine, ne rêve que d’un premier enfant. Cette situation, déjà compliquée, va littéralement exploser le jour où le premier mari de Charlotte, Alex, débarque dans leur vie alors que tout le monde le croyait mort dans le terrible tsunami de 2004…
De : Florent-Emilio Siri
Avec : Gérard Lanvin, Pascale Arbillot, Franck Dubosc, Audrey Dana, Catherine Lachens, Stefan Godin, Nader Boussandel
DVD/Blu-ray : 26 mars
Editeur : Studiocanal
Année : 2024
De : Frédéric Potier, Valentin Potier
Avec : Camille Razat, Mélanie Robert, Franck Dubosc, Isabelle Carré, August Wittgenstein, Lennart Betzgen, Thomas Landbo, Elisa Doughty
Disney+ : 12 mars
Astérix et Obélix, dans de nouvelles aventures où ils devront remporter les Jeux olympiques, permettre au jeune Gaulois, Alafolix, d’épouser la Princesse Irina et lutter contre le terrible Brutus, prêt à tous les stratagèmes, pour lui aussi gagner les Jeux olympiques et se débarrasser de son père : Jules César.
De : Thomas Langmann, Frédéric Forestier
Avec : Gérard Depardieu, Clovis Cornillac, José Garcia, Franck Dubosc, Stéphane Rousseau, Jean-Pierre Cassel, Mónica Cruz
Netflix : 14 février
Éric et Patrice sont amis depuis le lycée. Au fil des années, chacun a pris un chemin très différent : d’un côté Éric, hédoniste sans attaches aux multiples conquêtes, et de l’autre Patrice, père de famille « monogame » à la vie bien rangée. Après une soirée bien arrosée, les deux amis d’enfance se retrouvent propulsés en 1986 alors qu’ils n’ont que 17 ans. Ce retour dans le passé est l’occasion rêvée pour tenter de changer le cours de leur vie. Que vont-ils faire de cette seconde chance ?
De : Dominique Farrugia
Avec : Franck Dubosc, Kad Merad, Alexandra Lamy, Gérard Darmon, Julien Boisselier, Anne Girouard, Éléonore Bernheim