David Chase : dernières sorties Prime Video

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Antérieurement en 2022
 

Les Soprano - Saison 6

Prime Video : 7 juin 2022

Oncle Junior, devenu sénile tire sur Tony. Rétabli, Tony change de vision sur la vie et essaye de changer de voie

De : David Chase

Avec : James Gandolfini, Edie Falco, Jamie-Lynn Sigler, Robert Iler, Lorraine Bracco, Steven Van Zandt, Tony Sirico

Antérieurement en 2021
 

Les Soprano - Saison 6

Prime Video : 15 novembre 2021

Oncle Junior, devenu sénile tire sur Tony. Rétabli, Tony change de vision sur la vie et essaye de changer de voie

De : David Chase

Avec : James Gandolfini, Edie Falco, Jamie-Lynn Sigler, Robert Iler, Lorraine Bracco, Steven Van Zandt, Tony Sirico

Antérieurement en 2019
 

Fins de séries

Télévision : 11 juin 2019 à 03:10-04:15 sur Canal +

Documentaire culture

«Friends», «Breaking Bad», «Six Feet Under», toutes les séries ont une fin. Les tweets rageurs dénonçant celle de «Lost» sont quotidiens aujourd'hui encore. David Chase, créateur des «Soprano», est toujours sommé de s'expliquer sur le finale ambigu de son chef d'oeuvre, huit ans après. Les séries sont-elles faites pour durer ? Olivier Joyard explore ce moment délicat, où tout se termine, et ses ressorts pour les fans.

Année : 2016

De : Olivier Joyard

Antérieurement en 2018
 

Fins de séries

Télévision : 26 juillet 2018 à 02:50-03:55 sur Canal +

documentaire : culture

«Friends», «Breaking Bad», «Six Feet Under», toutes les séries ont une fin. Les tweets rageurs dénonçant celle de «Lost» sont quotidiens aujourd'hui encore. David Chase, créateur des «Soprano», est toujours sommé de s'expliquer sur le finale ambigu de son chef d'oeuvre, huit ans après. Les séries sont-elles faites pour durer ? Olivier Joyard explore ce moment délicat, où tout se termine, et ses ressorts pour les fans. Critique : Dans le monde des séries, réussir sa sortie est devenu un casse-tête pour les auteurs, attendus au tournant depuis l'explosion du format feuilleton au début du siècle. Certains l'ont appris à leurs dépens : pour les fans impitoyables, la fin ne justifie en aucun cas d'être moyen. Sous peine de se voir cloués au pilori, peu importe la qualité des épisodes qui ont précédé la conclusion honnie. L'exercice est ingrat. Si Six Feet under et Breaking bad s'en tirent avec des honneurs unanimes, c'est loin d'être le cas pour un grand nombre de séries, y compris des classiques, du Prisonnier à Dexter, en passant par Lost et même Les Soprano. Cette cristallisation passionnelle, parfois déraisonnable, du téléspectateur autour des fins de séries s'explique de plusieurs manières. Pour les aborder, le journaliste Olivier Joyard choisit une approche globale et ludique qui convoque fans, auteurs prestigieux, acteurs et même essayistes et psychanalystes. Passionnant dans son évocation du processus créatif et des différentes façons d'achever une série (faut-il satisfaire le public ou le laisser jongler avec des points de suspension ?), le documentaire prend de la hauteur en analysant, avec une délicatesse parfois poétique, notre rapport existentiel à la notion de deuil. Et met sur un pied d'égalité tous ses intervenants. Les larmes d'Hélène Fillières lorsque, dans un moment d'une rare et bouleversante intensité, elle revoit la fin de Mafiosa, en sont une belle preuve. Bien entendu, attention spoilers ! — Sébastien Mauge

Année : 2016

De : Olivier Joyard

Antérieurement en 2018
 

Les génériques de séries

Télévision : 7 mai 2018 à 14:55-16:11 sur Canal +

documentaire : culture

Dans l'expérience des fans de séries télé, le générique tient une place centrale. Couleurs, visages familiers, morceaux choisis, musique entêtante : tous les éléments se mêlent pour créer une sorte de bulle unique, proche d'un objet d'art en soi, véritable préliminaire avant la fiction proprement dite, qui permet d'en attendre en musique les premières images avec une délectation particulière. Indéniablement, le générique tient une place particulière dans le rapport à ces séries qui façonnent toujours davantage vies culturelles et intimes. Critique : Le générique, porte d’entrée de la série télé, est en danger. Pour gagner du temps et vendre plus d’espace publicitaire, les chaînes se débarrassent de plus en plus souvent de cette forme artistique à part entière. Le journaliste et scénariste Olivier Joyard revient sur son importance historique et décrypte la richesse des plus célèbres introductions, de La Quatrième Dimension à Transparent, en passant par A la Maison-Blanche. Il s’entretient avec des concepteurs de génériques, des créateurs de séries et des journalistes pour comprendre comment une poignée d’images et quelques notes peuvent nous plonger instantanément dans un univers et nous hanter bien après leur visionnage. Le premier tiers de ce documentaire foisonnant s’attaque pêle-mêle à notre ressenti face aux génériques, à leur rôle dans la narration globale des œuvres et à leur évolution depuis les années 1950 — époque où ils s’accompagnaient d’un sponsor. Un rien trop chargé, parfois alourdi par des digressions sociétales pertinentes mais trop étirées, il devient passionnant lorsqu’il s’arrête sur des exemples précis : quand il laisse David Chase, le créateur des Soprano, nous dire tout ce qui se cache derrière son ouverture aux accents autobiographiques, ou qu’il fait entendre la voix d’Angelo Bada­lamenti, compositeur de l’entêtante BO de Twin Peaks. Olivier Joyard parvient alors à témoigner de toute la richesse des génériques et de leur fascinant pouvoir émotionnel et métaphorique.

De : Olivier Joyard

Antérieurement en 2018
 

Les génériques de séries

Télévision : 5 mai 2018 à 18:00-19:20 sur Canal +

documentaire : culture

Dans l'expérience des fans de séries télé, le générique tient une place centrale. Couleurs, visages familiers, morceaux choisis, musique entêtante : tous les éléments se mêlent pour créer une sorte de bulle unique, proche d'un objet d'art en soi, véritable préliminaire avant la fiction proprement dite, qui permet d'en attendre en musique les premières images avec une délectation particulière. Indéniablement, le générique tient une place particulière dans le rapport à ces séries qui façonnent toujours davantage vies culturelles et intimes. Critique : Le générique, porte d’entrée de la série télé, est en danger. Pour gagner du temps et vendre plus d’espace publicitaire, les chaînes se débarrassent de plus en plus souvent de cette forme artistique à part entière. Le journaliste et scénariste Olivier Joyard revient sur son importance historique et décrypte la richesse des plus célèbres introductions, de La Quatrième Dimension à Transparent, en passant par A la Maison-Blanche. Il s’entretient avec des concepteurs de génériques, des créateurs de séries et des journalistes pour comprendre comment une poignée d’images et quelques notes peuvent nous plonger instantanément dans un univers et nous hanter bien après leur visionnage. Le premier tiers de ce documentaire foisonnant s’attaque pêle-mêle à notre ressenti face aux génériques, à leur rôle dans la narration globale des œuvres et à leur évolution depuis les années 1950 — époque où ils s’accompagnaient d’un sponsor. Un rien trop chargé, parfois alourdi par des digressions sociétales pertinentes mais trop étirées, il devient passionnant lorsqu’il s’arrête sur des exemples précis : quand il laisse David Chase, le créateur des Soprano, nous dire tout ce qui se cache derrière son ouverture aux accents autobiographiques, ou qu’il fait entendre la voix d’Angelo Bada­lamenti, compositeur de l’entêtante BO de Twin Peaks. Olivier Joyard parvient alors à témoigner de toute la richesse des génériques et de leur fascinant pouvoir émotionnel et métaphorique.

De : Olivier Joyard

Antérieurement en 2018
 

Les génériques de séries

Télévision : 5 mai 2018 à 17:55-19:15 sur Canal +

documentaire : culture

Dans l'expérience des fans de séries télé, le générique tient une place centrale. Couleurs, visages familiers, morceaux choisis, musique entêtante : tous les éléments se mêlent pour créer une sorte de bulle unique, proche d'un objet d'art en soi, véritable préliminaire avant la fiction proprement dite, qui permet d'en attendre en musique les premières images avec une délectation particulière. Indéniablement, le générique tient une place particulière dans le rapport à ces séries qui façonnent toujours davantage vies culturelles et intimes. Critique : Le générique, porte d’entrée de la série télé, est en danger. Pour gagner du temps et vendre plus d’espace publicitaire, les chaînes se débarrassent de plus en plus souvent de cette forme artistique à part entière. Le journaliste et scénariste Olivier Joyard revient sur son importance historique et décrypte la richesse des plus célèbres introductions, de La Quatrième Dimension à Transparent, en passant par A la Maison-Blanche. Il s’entretient avec des concepteurs de génériques, des créateurs de séries et des journalistes pour comprendre comment une poignée d’images et quelques notes peuvent nous plonger instantanément dans un univers et nous hanter bien après leur visionnage. Le premier tiers de ce documentaire foisonnant s’attaque pêle-mêle à notre ressenti face aux génériques, à leur rôle dans la narration globale des œuvres et à leur évolution depuis les années 1950 — époque où ils s’accompagnaient d’un sponsor. Un rien trop chargé, parfois alourdi par des digressions sociétales pertinentes mais trop étirées, il devient passionnant lorsqu’il s’arrête sur des exemples précis : quand il laisse David Chase, le créateur des Soprano, nous dire tout ce qui se cache derrière son ouverture aux accents autobiographiques, ou qu’il fait entendre la voix d’Angelo Bada­lamenti, compositeur de l’entêtante BO de Twin Peaks. Olivier Joyard parvient alors à témoigner de toute la richesse des génériques et de leur fascinant pouvoir émotionnel et métaphorique.

De : Olivier Joyard

Antérieurement en 2018
 

Les génériques de séries

Télévision : 30 avril 2018 à 09:15-10:30 sur Canal +

documentaire : culture

Dans l'expérience des fans de séries télé, le générique tient une place centrale. Couleurs, visages familiers, morceaux choisis, musique entêtante : tous les éléments se mêlent pour créer une sorte de bulle unique, proche d'un objet d'art en soi, véritable préliminaire avant la fiction proprement dite, qui permet d'en attendre en musique les premières images avec une délectation particulière. Indéniablement, le générique tient une place particulière dans le rapport à ces séries qui façonnent toujours davantage vies culturelles et intimes. Critique : Le générique, porte d’entrée de la série télé, est en danger. Pour gagner du temps et vendre plus d’espace publicitaire, les chaînes se débarrassent de plus en plus souvent de cette forme artistique à part entière. Le journaliste et scénariste Olivier Joyard revient sur son importance historique et décrypte la richesse des plus célèbres introductions, de La Quatrième Dimension à Transparent, en passant par A la Maison-Blanche. Il s’entretient avec des concepteurs de génériques, des créateurs de séries et des journalistes pour comprendre comment une poignée d’images et quelques notes peuvent nous plonger instantanément dans un univers et nous hanter bien après leur visionnage. Le premier tiers de ce documentaire foisonnant s’attaque pêle-mêle à notre ressenti face aux génériques, à leur rôle dans la narration globale des œuvres et à leur évolution depuis les années 1950 — époque où ils s’accompagnaient d’un sponsor. Un rien trop chargé, parfois alourdi par des digressions sociétales pertinentes mais trop étirées, il devient passionnant lorsqu’il s’arrête sur des exemples précis : quand il laisse David Chase, le créateur des Soprano, nous dire tout ce qui se cache derrière son ouverture aux accents autobiographiques, ou qu’il fait entendre la voix d’Angelo Bada­lamenti, compositeur de l’entêtante BO de Twin Peaks. Olivier Joyard parvient alors à témoigner de toute la richesse des génériques et de leur fascinant pouvoir émotionnel et métaphorique.

De : Olivier Joyard

Antérieurement en 2018
 

Les génériques de séries

Télévision : 26 avril 2018 à 21:55-23:10 sur Canal +

documentaire : culture

Dans l'expérience des fans de séries télé, le générique tient une place centrale. Couleurs, visages familiers, morceaux choisis, musique entêtante : tous les éléments se mêlent pour créer une sorte de bulle unique, proche d'un objet d'art en soi, véritable préliminaire avant la fiction proprement dite, qui permet d'en attendre en musique les premières images avec une délectation particulière. Indéniablement, le générique tient une place particulière dans le rapport à ces séries qui façonnent toujours davantage vies culturelles et intimes. Critique : Le générique, porte d’entrée de la série télé, est en danger. Pour gagner du temps et vendre plus d’espace publicitaire, les chaînes se débarrassent de plus en plus souvent de cette forme artistique à part entière. Le journaliste et scénariste Olivier Joyard revient sur son importance historique et décrypte la richesse des plus célèbres introductions, de La Quatrième Dimension à Transparent, en passant par A la Maison-Blanche. Il s’entretient avec des concepteurs de génériques, des créateurs de séries et des journalistes pour comprendre comment une poignée d’images et quelques notes peuvent nous plonger instantanément dans un univers et nous hanter bien après leur visionnage. Le premier tiers de ce documentaire foisonnant s’attaque pêle-mêle à notre ressenti face aux génériques, à leur rôle dans la narration globale des œuvres et à leur évolution depuis les années 1950 — époque où ils s’accompagnaient d’un sponsor. Un rien trop chargé, parfois alourdi par des digressions sociétales pertinentes mais trop étirées, il devient passionnant lorsqu’il s’arrête sur des exemples précis : quand il laisse David Chase, le créateur des Soprano, nous dire tout ce qui se cache derrière son ouverture aux accents autobiographiques, ou qu’il fait entendre la voix d’Angelo Bada­lamenti, compositeur de l’entêtante BO de Twin Peaks. Olivier Joyard parvient alors à témoigner de toute la richesse des génériques et de leur fascinant pouvoir émotionnel et métaphorique.

De : Olivier Joyard

Antérieurement en 2017
 

Fins de séries

Télévision : 10 juillet 2017 à 00:40-01:50 sur Canal +

documentaire

«Friends», «Breaking Bad», «Six Feet Under», toutes les séries ont une fin. Les tweets rageurs dénonçant celle de «Lost» sont quotidiens aujourd'hui encore. David Chase, créateur des «Soprano», est toujours sommé de s'expliquer sur le finale ambigu de son chef d'oeuvre, huit ans après. Les séries sont-elles faites pour durer ? Olivier Joyard explore ce moment délicat, où tout se termine, et ses ressorts pour les fans.

Année : 2016

De : Olivier Joyard

Antérieurement en 2017
 

Fins de séries

Télévision : 10 juillet 2017 à 00:40-01:45 sur Canal +

documentaire

«Friends», «Breaking Bad», «Six Feet Under», toutes les séries ont une fin. Les tweets rageurs dénonçant celle de «Lost» sont quotidiens aujourd'hui encore. David Chase, créateur des «Soprano», est toujours sommé de s'expliquer sur le finale ambigu de son chef d'oeuvre, huit ans après. Les séries sont-elles faites pour durer ? Olivier Joyard explore ce moment délicat, où tout se termine, et ses ressorts pour les fans.

Année : 2016

De : Olivier Joyard

Antérieurement en 2017
 

Fins de séries

Télévision : 22 juin 2017 à 02:05-03:15 sur Canal +

documentaire

«Friends», «Breaking Bad», «Six Feet Under», toutes les séries ont une fin. Les tweets rageurs dénonçant celle de «Lost» sont quotidiens aujourd'hui encore. David Chase, créateur des «Soprano», est toujours sommé de s'expliquer sur le finale ambigu de son chef d'oeuvre, huit ans après. Les séries sont-elles faites pour durer ? Olivier Joyard explore ce moment délicat, où tout se termine, et ses ressorts pour les fans.

Année : 2016

De : Olivier Joyard

Antérieurement en 2017
 

Fins de séries

Télévision : 15 juin 2017 à 22:40-23:45 sur Canal +

documentaire

«Friends», «Breaking Bad», «Six Feet Under», toutes les séries ont une fin. Les tweets rageurs dénonçant celle de «Lost» sont quotidiens aujourd'hui encore. David Chase, créateur des «Soprano», est toujours sommé de s'expliquer sur le finale ambigu de son chef d'oeuvre, huit ans après. Les séries sont-elles faites pour durer ? Olivier Joyard explore ce moment délicat, où tout se termine, et ses ressorts pour les fans.

Année : 2016

De : Olivier Joyard