Cherry Jones : passages TV et dernières sorties Disney+

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Récemment en mars
 

L'affaire Jacob Barber

Télévision : 14 mars à 00:40-01:35 sur TF1

série de suspense

L'après. Saison:1 - Episode:8 - Joanna apprend à Andy que Patz a avoué avant de se suicider. L'affaire de Jacob est alors classée sans suite. Sur le parking, le père de Ben s'approche des Barber, avec colère, mais il fait face à O'Leary qui le bat. Se sentant mal accueillis à Newton, les Barber pensent à déménager dans le Colorado. Laurie, de son côté, ressent énormément de remords par rapport à Jacob, à cause des doutes qu'elle a eu concernant sa culpabilité. Andy se pose énormément de questions concernant son père. Il pense que ce dernier a engagé O'Leary afin de forcer Patz à avouer qu'il a commis le meurtre... - Critique : On croyait rassasié l’appétit des diffuseurs pour les polars nordiques, ces thrillers nocturnes et déprimants. Les Scandinaves sont eux-mêmes passés avec succès à d’autres types de récits. Mais certains, loin d’Oslo, Stockholm ou Copenhague, s’accrochent encore. Defending Jacob, disponible vendredi 24 avril sur Apple TV+, a dix ans de retard. Cette minisérie américaine réalisée par un Norvégien, Morten Tyldum (Imitation Game), et adaptée d’un roman de William Landay (éd. Michel Lafon), s’ouvre sur le meurtre d’un adolescent dans une banlieue boisée de Boston. Andy Barber (Chris Evans), procureur zélé, mène l’enquête avec d’autant plus d’énergie que la victime est un camarade de classe de son fils, Jacob (Jaeden Martell, vu dans It). Quand c’est justement ce dernier qui devient le principal suspect, sa famille s’effondre peu à peu… Mark Bomback, scénariste de cinéma expérimenté (Logan, La Planète des singes : Suprématie), ne maîtrise pas encore la grammaire sérielle. Defending Jacob est bien trop longue pour ce qu’elle a à dire, et aurait sans doute fait un meilleur film. Huit heures pour exposer les tourments des Barber et dénouer une intrigue assez banale, ce n’est pas indispensable. Rebondissements faiblards et personnages ternes En se concentrant sur l’essentiel, cette histoire aurait pu valoir le détour. Elle questionne le regard des parents sur leur enfant – un ado, c’est déroutant, surtout quand il est suspecté de meurtre – et s’aventure sur un terrain glissant, celui de l’hérédité de la violence – le grand-père de Jacob (J.K. Simmons) est un assassin. Malheureusement, cette réflexion contestable, donc intéressante, est complètement diluée dans un récit étiré, aux rebondissements faiblards, et tenu par des personnages ternes, incarnés par des acteurs éteints. Chris Evans regarde dans le vide et serre les mâchoires, Michelle Dockery, dans le rôle de sa femme Laurie, pleure en permanence – vive les stéréotypes ! Leur talent, celui de Martell, Simmons et de Cherry Jones (qui interprête l’avocate de Jacob), est sous-exploité de bout en bout. Photo grise, décors gris, ciel gris, tout est gris dans ce suspense qui recouvre chaque séquence d’un lourd tapis musical pour essayer de nous émouvoir, en vain. Peut-être un public novice, qui n’a jamais vu The Killing ou Broadchurch, se laissera-t-il tenter. Mais on lui conseillera plutôt de rattraper ces classiques… | Minisérie créée par Mark Bomback, d’après le roman de William Landay (États-Unis, 2020) | | Avec Chris Evans (Andy Barber), Michelle Dockery (Laurie Barber), Jaeden Martell (Jacob Barber), Cherry Jones (Joanna Klein).

Année : 2020

Avec : Betty Gabriel, Cherry Jones, Chris Evans, Daniel Henshall, Hickey Tamara, Jaeden Martell, Jaffrey Sakina, Michelle Dockery, Pablo Schreiber, Patrick Fischler

Récemment en mars
 

L'affaire Jacob Barber

Télévision : 13 mars à 23:45-00:40 sur TF1

série de suspense

Job. Saison:1 - Episode:7 - Le procès de Jacob débute, avec l'intervention du juge ordonnant que toute mention du père d'Andy soit interdite. Après le premier jour du procès, Andy aperçoit l'homme à la voiture bleue. Il apprend par l'inspecteur Duffy qu'il s'agit d'un ancien "gros bras" de la mafia se faisant appeler père O'Leary. Logiudice met l'accent sur Andy, en sortant un couteau qui pourrait être similaire au couteau manquant de Jacob. Il appelle l'inspecteur Duffy à la barre et lui fait admettre que le père d'Andy est en prison... - Critique : On croyait rassasié l’appétit des diffuseurs pour les polars nordiques, ces thrillers nocturnes et déprimants. Les Scandinaves sont eux-mêmes passés avec succès à d’autres types de récits. Mais certains, loin d’Oslo, Stockholm ou Copenhague, s’accrochent encore. Defending Jacob, disponible vendredi 24 avril sur Apple TV+, a dix ans de retard. Cette minisérie américaine réalisée par un Norvégien, Morten Tyldum (Imitation Game), et adaptée d’un roman de William Landay (éd. Michel Lafon), s’ouvre sur le meurtre d’un adolescent dans une banlieue boisée de Boston. Andy Barber (Chris Evans), procureur zélé, mène l’enquête avec d’autant plus d’énergie que la victime est un camarade de classe de son fils, Jacob (Jaeden Martell, vu dans It). Quand c’est justement ce dernier qui devient le principal suspect, sa famille s’effondre peu à peu… Mark Bomback, scénariste de cinéma expérimenté (Logan, La Planète des singes : Suprématie), ne maîtrise pas encore la grammaire sérielle. Defending Jacob est bien trop longue pour ce qu’elle a à dire, et aurait sans doute fait un meilleur film. Huit heures pour exposer les tourments des Barber et dénouer une intrigue assez banale, ce n’est pas indispensable. Rebondissements faiblards et personnages ternes En se concentrant sur l’essentiel, cette histoire aurait pu valoir le détour. Elle questionne le regard des parents sur leur enfant – un ado, c’est déroutant, surtout quand il est suspecté de meurtre – et s’aventure sur un terrain glissant, celui de l’hérédité de la violence – le grand-père de Jacob (J.K. Simmons) est un assassin. Malheureusement, cette réflexion contestable, donc intéressante, est complètement diluée dans un récit étiré, aux rebondissements faiblards, et tenu par des personnages ternes, incarnés par des acteurs éteints. Chris Evans regarde dans le vide et serre les mâchoires, Michelle Dockery, dans le rôle de sa femme Laurie, pleure en permanence – vive les stéréotypes ! Leur talent, celui de Martell, Simmons et de Cherry Jones (qui interprête l’avocate de Jacob), est sous-exploité de bout en bout. Photo grise, décors gris, ciel gris, tout est gris dans ce suspense qui recouvre chaque séquence d’un lourd tapis musical pour essayer de nous émouvoir, en vain. Peut-être un public novice, qui n’a jamais vu The Killing ou Broadchurch, se laissera-t-il tenter. Mais on lui conseillera plutôt de rattraper ces classiques… | Minisérie créée par Mark Bomback, d’après le roman de William Landay (États-Unis, 2020) | | Avec Chris Evans (Andy Barber), Michelle Dockery (Laurie Barber), Jaeden Martell (Jacob Barber), Cherry Jones (Joanna Klein).

Année : 2020

Avec : Betty Gabriel, Brina, Byrne Megan, Cherry Jones, Chris Evans, Daniel Henshall, Jaeden Martell, Jaffrey Sakina, Michelle Dockery, Pablo Schreiber, Patrick Fischler, Ted Arcidi

Récemment en mars
 

L'affaire Jacob Barber

Télévision : 13 mars à 22:55-23:45 sur TF1

série de suspense

Chimères. Saison:1 - Episode:6 - Joanna parvient à accéder au téléphone de Ben, sans pour autant trouver de preuves. Joanna et Andy tombent sur les activités en ligne de Jacob, qui plaisante notamment sur le fait qu'il est un "psychopathe". Son père perd ses nerfs face à lui, le tout devant Laurie, ce qui amène Jacob à supprimer son compte Instagram. Durant la nuit, une étrange voiture bleue traîne devant la maison des Barber, ce qui trouble le couple. Andy reçoit un nouvel appel de Matt, qui souhaite le rencontrer. Il demande à Matt d'en dire plus à Joanna et à l'accusation sur ce qu'il s'est passé entre lui et Patz... - Critique : On croyait rassasié l’appétit des diffuseurs pour les polars nordiques, ces thrillers nocturnes et déprimants. Les Scandinaves sont eux-mêmes passés avec succès à d’autres types de récits. Mais certains, loin d’Oslo, Stockholm ou Copenhague, s’accrochent encore. Defending Jacob, disponible vendredi 24 avril sur Apple TV+, a dix ans de retard. Cette minisérie américaine réalisée par un Norvégien, Morten Tyldum (Imitation Game), et adaptée d’un roman de William Landay (éd. Michel Lafon), s’ouvre sur le meurtre d’un adolescent dans une banlieue boisée de Boston. Andy Barber (Chris Evans), procureur zélé, mène l’enquête avec d’autant plus d’énergie que la victime est un camarade de classe de son fils, Jacob (Jaeden Martell, vu dans It). Quand c’est justement ce dernier qui devient le principal suspect, sa famille s’effondre peu à peu… Mark Bomback, scénariste de cinéma expérimenté (Logan, La Planète des singes : Suprématie), ne maîtrise pas encore la grammaire sérielle. Defending Jacob est bien trop longue pour ce qu’elle a à dire, et aurait sans doute fait un meilleur film. Huit heures pour exposer les tourments des Barber et dénouer une intrigue assez banale, ce n’est pas indispensable. Rebondissements faiblards et personnages ternes En se concentrant sur l’essentiel, cette histoire aurait pu valoir le détour. Elle questionne le regard des parents sur leur enfant – un ado, c’est déroutant, surtout quand il est suspecté de meurtre – et s’aventure sur un terrain glissant, celui de l’hérédité de la violence – le grand-père de Jacob (J.K. Simmons) est un assassin. Malheureusement, cette réflexion contestable, donc intéressante, est complètement diluée dans un récit étiré, aux rebondissements faiblards, et tenu par des personnages ternes, incarnés par des acteurs éteints. Chris Evans regarde dans le vide et serre les mâchoires, Michelle Dockery, dans le rôle de sa femme Laurie, pleure en permanence – vive les stéréotypes ! Leur talent, celui de Martell, Simmons et de Cherry Jones (qui interprête l’avocate de Jacob), est sous-exploité de bout en bout. Photo grise, décors gris, ciel gris, tout est gris dans ce suspense qui recouvre chaque séquence d’un lourd tapis musical pour essayer de nous émouvoir, en vain. Peut-être un public novice, qui n’a jamais vu The Killing ou Broadchurch, se laissera-t-il tenter. Mais on lui conseillera plutôt de rattraper ces classiques… | Minisérie créée par Mark Bomback, d’après le roman de William Landay (États-Unis, 2020) | | Avec Chris Evans (Andy Barber), Michelle Dockery (Laurie Barber), Jaeden Martell (Jacob Barber), Cherry Jones (Joanna Klein).

Année : 2020

Avec : Ben Taylor, Betty Gabriel, Cherry Jones, Chris Evans, Daniel Henshall, Hale Lytle, Jaeden Martell, Jaffrey Sakina, Michelle Dockery, Pablo Schreiber, Poorna Jagannathan, Therese Plaehn

Récemment en mars
 

L'affaire Jacob Barber

Télévision : 13 mars à 22:05-22:55 sur TF1

série de suspense

Visiteurs. Saison:1 - Episode:5 - Andy prend la décision de rendre visite à son père, Billy, en prison, malgré son hostilité envers lui. Mais lorsqu'il comprend que son fils ne veut pas l'aider à réduire sa peine, Billy refuse de donner l'échantillon d'ADN. Le Sunday Globe Magazine publie un article qui reprend les commentaires de Laurie sur l'isolement de sa famille. Andy confronte Derek, qui lui explique qu'il y a énormément de choses dont il n'a pas connaissance sur son fils. Sarah apprend à Andy que Ben l'a poussé à lui envoyer un selfie nu, dont il s'est servi pour obtenir une fellation de la jeune fille. Lorsqu'elle a expliqué son histoire à Derek, ce dernier a alors volé le téléphone de Ben... - Critique : On croyait rassasié l’appétit des diffuseurs pour les polars nordiques, ces thrillers nocturnes et déprimants. Les Scandinaves sont eux-mêmes passés avec succès à d’autres types de récits. Mais certains, loin d’Oslo, Stockholm ou Copenhague, s’accrochent encore. Defending Jacob, disponible vendredi 24 avril sur Apple TV+, a dix ans de retard. Cette minisérie américaine réalisée par un Norvégien, Morten Tyldum (Imitation Game), et adaptée d’un roman de William Landay (éd. Michel Lafon), s’ouvre sur le meurtre d’un adolescent dans une banlieue boisée de Boston. Andy Barber (Chris Evans), procureur zélé, mène l’enquête avec d’autant plus d’énergie que la victime est un camarade de classe de son fils, Jacob (Jaeden Martell, vu dans It). Quand c’est justement ce dernier qui devient le principal suspect, sa famille s’effondre peu à peu… Mark Bomback, scénariste de cinéma expérimenté (Logan, La Planète des singes : Suprématie), ne maîtrise pas encore la grammaire sérielle. Defending Jacob est bien trop longue pour ce qu’elle a à dire, et aurait sans doute fait un meilleur film. Huit heures pour exposer les tourments des Barber et dénouer une intrigue assez banale, ce n’est pas indispensable. Rebondissements faiblards et personnages ternes En se concentrant sur l’essentiel, cette histoire aurait pu valoir le détour. Elle questionne le regard des parents sur leur enfant – un ado, c’est déroutant, surtout quand il est suspecté de meurtre – et s’aventure sur un terrain glissant, celui de l’hérédité de la violence – le grand-père de Jacob (J.K. Simmons) est un assassin. Malheureusement, cette réflexion contestable, donc intéressante, est complètement diluée dans un récit étiré, aux rebondissements faiblards, et tenu par des personnages ternes, incarnés par des acteurs éteints. Chris Evans regarde dans le vide et serre les mâchoires, Michelle Dockery, dans le rôle de sa femme Laurie, pleure en permanence – vive les stéréotypes ! Leur talent, celui de Martell, Simmons et de Cherry Jones (qui interprête l’avocate de Jacob), est sous-exploité de bout en bout. Photo grise, décors gris, ciel gris, tout est gris dans ce suspense qui recouvre chaque séquence d’un lourd tapis musical pour essayer de nous émouvoir, en vain. Peut-être un public novice, qui n’a jamais vu The Killing ou Broadchurch, se laissera-t-il tenter. Mais on lui conseillera plutôt de rattraper ces classiques… | Minisérie créée par Mark Bomback, d’après le roman de William Landay (États-Unis, 2020) | | Avec Chris Evans (Andy Barber), Michelle Dockery (Laurie Barber), Jaeden Martell (Jacob Barber), Cherry Jones (Joanna Klein).

Année : 2020

Avec : Ben Taylor, Betty Gabriel, Cherry Jones, Chris Evans, Hale Lytle, Hickey Tamara, Jaeden Martell, Jaffrey Sakina, Jordan Alexa, Michelle Dockery, Pablo Schreiber, Poorna Jagannathan

Récemment en mars
 

L'affaire Jacob Barber

Télévision : 13 mars à 21:10-22:05 sur TF1

série de suspense

Limiter les dégâts. Saison:1 - Episode:4 - Andy décide de prendre les choses en main et se rend au domicile de Matt, un adolescent ayant accusé Leonard Patz d'agression sexuelle. Mais alors qu'Andy tente de l'interroger, l'adolescent prend une posture défensive et la confrontation vire très vite à l'affrontement. Jacob explique à son père que Sarah pense que Derek a tué Ben. Celui-ci a d'ailleurs été interrogé une seconde fois par la police. De son côté, Laurie semble de plus en plus instable et se met à mentir à Andy. Elle tente de faire le point sur les évènements qui ont bouleversé sa vie. Elle fait une rencontre dans un restaurant, qui pourrait lui causer des soucis... - Critique : On croyait rassasié l’appétit des diffuseurs pour les polars nordiques, ces thrillers nocturnes et déprimants. Les Scandinaves sont eux-mêmes passés avec succès à d’autres types de récits. Mais certains, loin d’Oslo, Stockholm ou Copenhague, s’accrochent encore. Defending Jacob, disponible vendredi 24 avril sur Apple TV+, a dix ans de retard. Cette minisérie américaine réalisée par un Norvégien, Morten Tyldum (Imitation Game), et adaptée d’un roman de William Landay (éd. Michel Lafon), s’ouvre sur le meurtre d’un adolescent dans une banlieue boisée de Boston. Andy Barber (Chris Evans), procureur zélé, mène l’enquête avec d’autant plus d’énergie que la victime est un camarade de classe de son fils, Jacob (Jaeden Martell, vu dans It). Quand c’est justement ce dernier qui devient le principal suspect, sa famille s’effondre peu à peu… Mark Bomback, scénariste de cinéma expérimenté (Logan, La Planète des singes : Suprématie), ne maîtrise pas encore la grammaire sérielle. Defending Jacob est bien trop longue pour ce qu’elle a à dire, et aurait sans doute fait un meilleur film. Huit heures pour exposer les tourments des Barber et dénouer une intrigue assez banale, ce n’est pas indispensable. Rebondissements faiblards et personnages ternes En se concentrant sur l’essentiel, cette histoire aurait pu valoir le détour. Elle questionne le regard des parents sur leur enfant – un ado, c’est déroutant, surtout quand il est suspecté de meurtre – et s’aventure sur un terrain glissant, celui de l’hérédité de la violence – le grand-père de Jacob (J.K. Simmons) est un assassin. Malheureusement, cette réflexion contestable, donc intéressante, est complètement diluée dans un récit étiré, aux rebondissements faiblards, et tenu par des personnages ternes, incarnés par des acteurs éteints. Chris Evans regarde dans le vide et serre les mâchoires, Michelle Dockery, dans le rôle de sa femme Laurie, pleure en permanence – vive les stéréotypes ! Leur talent, celui de Martell, Simmons et de Cherry Jones (qui interprête l’avocate de Jacob), est sous-exploité de bout en bout. Photo grise, décors gris, ciel gris, tout est gris dans ce suspense qui recouvre chaque séquence d’un lourd tapis musical pour essayer de nous émouvoir, en vain. Peut-être un public novice, qui n’a jamais vu The Killing ou Broadchurch, se laissera-t-il tenter. Mais on lui conseillera plutôt de rattraper ces classiques… | Minisérie créée par Mark Bomback, d’après le roman de William Landay (États-Unis, 2020) | | Avec Chris Evans (Andy Barber), Michelle Dockery (Laurie Barber), Jaeden Martell (Jacob Barber), Cherry Jones (Joanna Klein).

Année : 2020

Avec : Ben Taylor, Betty Gabriel, Cherry Jones, Chris Evans, Daniel Henshall, Jaeden Martell, Jaffrey Sakina, Jordan Alexa, Michelle Dockery, Pablo Schreiber, Poorna Jagannathan

Récemment en mars
 

Un jour de pluie à New York

Télévision : 13 mars à 13:35-15:05 sur Arte

film : comédie dramatique

Ashleigh, une jeune étudiante, a obtenu l'interview de Roland Pollard, un réalisateur célèbre. Elle doit le rencontrer à New York. C'est l'occasion pour elle et son compagnon, Gatsby, de s'offrir un week-end en amoureux. Mais rien ne se passe comme prévu. Ashleigh est constamment accaparée par le cinéaste, en panne d'inspiration et capricieux. La jeune femme délaisse Gatsby qui, de son côté, se retrouve sur un tournage de film. Il fait la connaissance de Shannon avec laquelle il partage un baiser le temps d'une scène. Alors que la pluie s'abat sur New York, Gatsby tente de retrouver Ashleigh, fascinée par Roland Pollard et le milieu du cinéma... - Critique : Un couple à l’assaut de la grande ville pleine de tentations : voilà qui nous ramène à l’aube du cinéma, à L’Aurore, de Murnau (1927). Les amants de l’épo­que en sortaient unis comme jamais. Près d’un siècle après, a fortiori sous le regard de Woody Allen, on devine que l’issue sera plus complexe… La vraie surprise : le charme juvénile de cette coméd­ie réalisée par un ciné­aste de 83 ans. Que l’on reconnaît à ­travers la personnalité de Gatsby (Timothée Chalamet), étudiant frêle aimant les vieux films, le jazz, les endroits rétro, les jours de pluie… Et donc Gatsby, fils de grands bourgeois, installé sur un campus de la côte Est, se réjouit de faire découvrir Manhattan, où il a grandi, à sa petite amie, Ashleigh (Elle Fanning), native de l’Arizona. Mais une fois le couple sur place, rien ne se passe com­me prévu. Elle et lui ne parviennent plus à se rejoindre, sans cesse happés par le hasard. Et Gatsby tombe sur Chan (Selena Gomez), petite sœur d’une de ses ex qui a mûri, manie une ironie perçante. Le film provoque alors une émotion ténue, durable, que le cinéaste semblait avoir renoncé à poursuivre depuis longtemps. Dépassant les codes de la comédie romantique, Allen déploie finalement un sens aigu de l’éphémère, du temps qui passe. Les trois personnages constatent qu’ils ont changé, après quelques années ou saisons, voire en un jour. Une urgence et une exigence de vérité grandissent au fil de leurs déambulations. Les horloges de New York semblent surveiller cette magnifique jeunesse et lui adresser de doux mais solennels avertissements. | Film de Woody Allen (A Rainy Day in New York,C USA, 2019) | Scénario : W. Allen | 90 mn. VM. Inédit | Avec Timothée Chalamet (Gatsby), Elle Fanning (Ashleigh), Jude Law (Ted Davidoff), Selena Gomez (Chan), Kelly Rohrbach (Terry), Rebecca Hall (Connie).

Année : 2019

Avec : Annaleigh Ashford, Cherry Jones, Diego Luna, Elle Fanning, Jude Law, Kelly Rohrbach, Liev Schreiber, Rebecca Hall, Rogers Will, Selena Gomez, Suki Waterhouse, Timothée Chalamet

Récemment en mars
 

Signes

Disney+ : 5 mars

À Bucks County, en Pennsylvanie. Après la perte de sa femme, Graham Hess a rendu sa charge de pasteur. Tout en s'occupant de sa ferme, il tente d'élever de son mieux ses deux enfants, Morgan et Bo. Son jeune frère Merrill, une ancienne gloire du base-ball, est revenu vivre avec lui pour l'aider. Un matin, la petite famille découvre l'apparition dans ses champs de gigantesques signes et cercles étranges. Des extra-terrestres seraient-ils à l'origine de tels phénomènes surnaturels ? Graham et Merrill vont s'efforcer de percer le mystère qui entoure ces dessins.

De : M Night Shyamalan

Avec : Mel Gibson, Joaquin Phoenix, Rory Culkin, Abigail Breslin, Cherry Jones, M Night Shyamalan, Patricia Kalember

Récemment en mars
 

Le Village

Disney+ : 5 mars

Une petite communauté isolée vit dans la terrifiante certitude qu'une race de créatures mythiques peuple les bois entourant le village. Cette force maléfique est si menaçante que personne n'ose s'aventurer au-delà des dernières maisons, et encore moins pénétrer dans les bois... Le jeune Lucius Hunt, un garçon entêté, est cependant bien décidé à aller voir ce qui se cache par-delà des limites du village, et son audace menace de changer à jamais l'avenir de tous...

De : M Night Shyamalan

Avec : Bryce Dallas Howard, Joaquin Phoenix, Adrien Brody, William Hurt, Sigourney Weaver, Brendan Gleeson, Cherry Jones

Récemment en mars
 

Dans les yeux de Tammy Faye

Disney+ : 5 mars

Focus sur le parcours et la personnalité atypique de Tammy Faye Bakker, célèbre évangéliste américaine au maquillage outrancier. Épouse du télégénique Jim Bakker, le couple était très impliqué auprès des malades du sida dans les années 1980. Mais au début des années 1990, leur empire financier s'effondre.

De : Michael Showalter

Avec : Jessica Chastain, Andrew Garfield, Cherry Jones, Vincent D'Onofrio, Mark Wystrach, Sam Jaeger, Louis Cancelmi

Récemment en février
 

Brooklyn Affairs

Netflix : 29 février

New York dans les années 50. Lionel Essrog, détective privé souffrant du syndrome de Gilles de la Tourette, enquête sur le meurtre de son mentor et unique ami Frank Minna. Grâce aux rares indices en sa possession et à son esprit obsessionnel, il découvre des secrets dont la révélation pourrait avoir des conséquences sur la ville de New York…

De : Edward Norton

Avec : Edward Norton, Bruce Willis, Gugu Mbatha-Raw, Alec Baldwin, Willem Dafoe, Bobby Cannavale, Cherry Jones