William Wisher Jr : passages TV

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Antérieurement en 2018
 

Judge Dredd

Télévision : 28 mai 2018 à 23:30-01:10 sur C8

film de science-fiction

Un décor impressionnant, certes, mais pour un gros machin pyrotechnique qui a tout oublié de la BD originale. Stallone grimace en justicier obtus, condamné à son tour. Critique : Le doute et la compassion, ce n'est pas son fort. Il juge aussi vite qu'il exécute la sentence. Il, c'est le juge Dredd, alias Sylvester Stallone. Sa mission : faire respecter la loi dans Mega City One. Une cité tentaculaire et chaotique que nous découvrons en l'an de disgrâce 2139. Judge Dredd, à l'origine, c'est une BD culte anglaise délirante, provocatrice, qui introduisait une bonne dose de vitriol dans l'univers très codé des super-héros. Il n'en reste plus grand-chose dans cette adaptation où les effets spéciaux et les gadgets sont censés pallier une flagrante pauvreté d'imagination. Dans cette surenchère pyrotechnique permanente, l'intrigue, déjà squelettique, perd rapidement toute consistance. Reste le décor monumental, très inspiré à la fois de Blade Runner et de Metropolis. Et Stallone. Il pèse des tonnes, avec son armure et sa grosse moto, il aboie plus qu'il ne parle, et l'essentiel de son jeu est concentré dans le rictus de carnassier qui envahit en toute occasion l'écran. Le juge Dredd est ce genre de super-héros qui a banni toute trace d'émotion humaine afin de mieux accomplir son devoir. Stallone est, sans contestation possible, à l'unisson avec le rôle... J.C

Année : 1995

Avec : Danny Cannon, Sylvester Stallone, Armand Assante, Rob Schneider, Max von Sydow, Joan Chen, Diane Lane, Jürgen Prochnow, Joanna Miles, Alan Silvestri, John Wagner, Carlos Ezquerra, William Wisher Jr, Steven E De Souza, Michael De Luca, William Wisher Jr, Nigel Phelps, Adrian Biddle

Antérieurement en 2018
 

Judge Dredd

Télévision : 28 mai 2018 à 23:15-01:00 sur C8

film de science-fiction

Un décor impressionnant, certes, mais pour un gros machin pyrotechnique qui a tout oublié de la BD originale. Stallone grimace en justicier obtus, condamné à son tour. Critique : Le doute et la compassion, ce n'est pas son fort. Il juge aussi vite qu'il exécute la sentence. Il, c'est le juge Dredd, alias Sylvester Stallone. Sa mission : faire respecter la loi dans Mega City One. Une cité tentaculaire et chaotique que nous découvrons en l'an de disgrâce 2139. Judge Dredd, à l'origine, c'est une BD culte anglaise délirante, provocatrice, qui introduisait une bonne dose de vitriol dans l'univers très codé des super-héros. Il n'en reste plus grand-chose dans cette adaptation où les effets spéciaux et les gadgets sont censés pallier une flagrante pauvreté d'imagination. Dans cette surenchère pyrotechnique permanente, l'intrigue, déjà squelettique, perd rapidement toute consistance. Reste le décor monumental, très inspiré à la fois de Blade Runner et de Metropolis. Et Stallone. Il pèse des tonnes, avec son armure et sa grosse moto, il aboie plus qu'il ne parle, et l'essentiel de son jeu est concentré dans le rictus de carnassier qui envahit en toute occasion l'écran. Le juge Dredd est ce genre de super-héros qui a banni toute trace d'émotion humaine afin de mieux accomplir son devoir. Stallone est, sans contestation possible, à l'unisson avec le rôle... J.C

Année : 1995

Avec : Danny Cannon, Sylvester Stallone, Armand Assante, Rob Schneider, Max von Sydow, Joan Chen, Diane Lane, Jürgen Prochnow, Joanna Miles, Alan Silvestri, John Wagner, Carlos Ezquerra, William Wisher Jr, Steven E De Souza, Michael De Luca, William Wisher Jr, Nigel Phelps, Adrian Biddle

Antérieurement en 2018
 

Judge Dredd

Télévision : 21 mai 2018 à 23:00-00:40 sur C8

film de science-fiction

Un décor impressionnant, certes, mais pour un gros machin pyrotechnique qui a tout oublié de la BD originale. Stallone grimace en justicier obtus, condamné à son tour. Critique : Le doute et la compassion, ce n'est pas son fort. Il juge aussi vite qu'il exécute la sentence. Il, c'est le juge Dredd, alias Sylvester Stallone. Sa mission : faire respecter la loi dans Mega City One. Une cité tentaculaire et chaotique que nous découvrons en l'an de disgrâce 2139. Judge Dredd, à l'origine, c'est une BD culte anglaise délirante, provocatrice, qui introduisait une bonne dose de vitriol dans l'univers très codé des super-héros. Il n'en reste plus grand-chose dans cette adaptation où les effets spéciaux et les gadgets sont censés pallier une flagrante pauvreté d'imagination. Dans cette surenchère pyrotechnique permanente, l'intrigue, déjà squelettique, perd rapidement toute consistance. Reste le décor monumental, très inspiré à la fois de Blade Runner et de Metropolis. Et Stallone. Il pèse des tonnes, avec son armure et sa grosse moto, il aboie plus qu'il ne parle, et l'essentiel de son jeu est concentré dans le rictus de carnassier qui envahit en toute occasion l'écran. Le juge Dredd est ce genre de super-héros qui a banni toute trace d'émotion humaine afin de mieux accomplir son devoir. Stallone est, sans contestation possible, à l'unisson avec le rôle... J.C

Année : 1995

Avec : Danny Cannon, Sylvester Stallone, Armand Assante, Rob Schneider, Max von Sydow, Joan Chen, Diane Lane, Jürgen Prochnow, Joanna Miles, Alan Silvestri, John Wagner, Carlos Ezquerra, William Wisher Jr, Steven E De Souza, Michael De Luca, William Wisher Jr, Nigel Phelps, Adrian Biddle

Antérieurement en 2018
 

Terminator 2 : le jugement dernier

Télévision : 9 avril 2018 à 23:30-01:50 sur C8

film de science-fiction

Un T-1000 est envoyé dans le passé pour tuer John Connor. Terminator, lui, est devenu gentil. Effets spéciaux assassins, Arnold au poil et Cameron vrai cinéaste. Incontournable. Critique : Film de James Cameron (Terminator 2 : Judgment Day, USA/France, 1991). Scénario : J. Cameron et William Wisher Jr. 135 mn. VF. Avec Arnold Schwarzenegger, Linda Hamilton.Genre : hasta la vista, baby.Il faut s'incliner devant ce monstre d'efficacité intelligente et amère qu'est Terminator 2, suite à gros budget du non moins réussi Terminator, bricolé par Cameron sept ans auparavant. John Connor, ado délinquant, a été placé dans une famille d'adoption à la suite de l'internement de sa mère, Sarah. Elle promet l'apocalypse nucléaire pour 1997, prétend que son rejeton est destiné à mener la résistance contre les machines, hurle qu'un cyborg a tenté de la tuer... Givrée, pense logiquement le psy (qui n'a pas vu le premier Terminator).Et, pourtant, tout recommence, à un savoureux détail près. Terminator, vieux modèle T-800, est cette fois programmé pour protéger John, traqué par un T-1000, machine à tuer dernier cri en acier liquide. Ce dernier (qui a pris l'apparence d'un flic...) fond, coule, se resolidifie et prend la forme de ce qu'il touche : autant de merveilles visuelles qui jouent sur l'élément liquide, obsession cameronienne. Pendant ce temps, John, Sarah et Terminator créent un nouveau schéma oedipien post-apocalyptique avec une mère plus virile qu'un para et une machine paternelle sur laquelle on peut toujours compter dans une société en autodestruction. Cameron ? Une pythie alarmiste qui a un sacré sens de l'action.

Année : 1991

Antérieurement en 2018
 

Terminator 2 : le jugement dernier

Télévision : 9 avril 2018 à 23:25-01:50 sur C8

film de science-fiction

Un T-1000 est envoyé dans le passé pour tuer John Connor. Terminator, lui, est devenu gentil. Effets spéciaux assassins, Arnold au poil et Cameron vrai cinéaste. Incontournable. Critique : Film de James Cameron (Terminator 2 : Judgment Day, USA/France, 1991). Scénario : J. Cameron et William Wisher Jr. 135 mn. VF. Avec Arnold Schwarzenegger, Linda Hamilton.Genre : hasta la vista, baby.Il faut s'incliner devant ce monstre d'efficacité intelligente et amère qu'est Terminator 2, suite à gros budget du non moins réussi Terminator, bricolé par Cameron sept ans auparavant. John Connor, ado délinquant, a été placé dans une famille d'adoption à la suite de l'internement de sa mère, Sarah. Elle promet l'apocalypse nucléaire pour 1997, prétend que son rejeton est destiné à mener la résistance contre les machines, hurle qu'un cyborg a tenté de la tuer... Givrée, pense logiquement le psy (qui n'a pas vu le premier Terminator).Et, pourtant, tout recommence, à un savoureux détail près. Terminator, vieux modèle T-800, est cette fois programmé pour protéger John, traqué par un T-1000, machine à tuer dernier cri en acier liquide. Ce dernier (qui a pris l'apparence d'un flic...) fond, coule, se resolidifie et prend la forme de ce qu'il touche : autant de merveilles visuelles qui jouent sur l'élément liquide, obsession cameronienne. Pendant ce temps, John, Sarah et Terminator créent un nouveau schéma oedipien post-apocalyptique avec une mère plus virile qu'un para et une machine paternelle sur laquelle on peut toujours compter dans une société en autodestruction. Cameron ? Une pythie alarmiste qui a un sacré sens de l'action.

Année : 1991