Adrian Biddle : passages TV

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Antérieurement en 2018
 

V pour vendetta

Télévision : 22 juillet 2018 à 23:40-02:10 sur TFX

film de science-fiction

Une production des frères Wachowski (Matrix). Entre thriller romantique et politique-fiction, un blockbuster baroque bourré de charme. Critique : | Genre : Les Indignés, version SF. C'est l'an 2020 environ, et les choses ont mal tourné en Occident, on veut bien le croire. Le Royaume-Uni est devenu un Etat policier sous la coupe d'un chancelier entre Hitler, Berlusconi et Bush. Un seul opposant au régime : l'insaisissable « V ». Il n'apparaît que sous le masque stylisé d'une figure historique, Guy Fawkes, pendu pour avoir tenté de faire sauter le Parlement en 1605, et présenté, à ce titre, comme pionnier de l'anarchisme — les Indignés du monde entier ont repris ce masque, à commencer par les Anonymous. V pour Vendetta est un drôle de mélange entre le brûlot échevelé et le thriller SF calibré. L'Angleterre thatchérienne, sa dureté et ses intolérances avaient, dans les années 1980, inspiré la BD. Les producteurs du film, les fameux Wachowski (Matrix), ont su injecter dans ce tableau des éléments qui renvoient à notre début de millénaire. Mais l'attrait baroque du film passe aussi par ses deux personnages principaux : la belle Evey (Natalie Portman), activiste orpheline hantée par une tragédie familiale, et son mentor masqué, grand brûlé esthète, qui se cache dans une galerie pleine de vieux livres et de tableaux, comme le Nautilus du capitaine Nemo. Leur baiser, les lèvres de l'une contre la céramique du masque de l'autre, sera étrangement émouvant. Tout comme la pyrotechnie destructrice qui fait l'ordinaire des films à grand spectacle et le clou romantique de celui-ci. — Louis Guichard

Année : 2006

Avec : James McTeigue, Natalie Portman, Hugo Weaving, John Hurt, Stephen Rea, Stephen Fry, Tim Pigott-Smith, Rupert Graves, Roger Allan, Dario Marianelli, Lana Wachowski, Lilly Wachowski, David Lloyd, Alan Moore, Owen Paterson, Adrian Biddle

Antérieurement en 2018
 

Le retour de la momie

Télévision : 12 juillet 2018 à 21:00-23:20 sur TMC

film fantastique

Elle revient de loin cette momie... et pour un formidable gâchis. Le scénario est aussi superficiel qu'une bande-annonce. Dans cette aventure creuse comme un sarcophage, la momie a perdu tout son charme. Critique : Avec ses égyptologues qui réveillaient des pharaons en bandelettes, La Momie ranimait agréablement le cinéma d'aventures. Le succès aidant, la voici de retour pour un formidable... gâchis. Merveilleux et malédiction, les ingrédients sont les mêmes, mais le scénario est aussi haché, expéditif et superficiel qu'une bande-annonce. Les effets spéciaux se noient dans les effets spéciaux, dilapidés avec la bêtise et la vulgarité des nouveaux riches. Dans cette aventure poussive et creuse comme un sarcophage, la momie a perdu tout son charme. F.Str.

Année : 2001

Avec : Stephen Sommers, Brendan Fraser, Rachel Weisz, John Hannah, Arnold Vosloo, Adewale Akinnuoye-Agbaje, Patricia Velasquez, Oded Fehr, Freddie Boath, Alan Silvestri, Stephen Sommers, Peter Young, Adrian Biddle

Antérieurement en 2018
 

V pour vendetta

Télévision : 8 juillet 2018 à 20:55-23:20 sur TFX

film de science-fiction

Une production des frères Wachowski (Matrix). Entre thriller romantique et politique-fiction, un blockbuster baroque bourré de charme. Critique : | Genre : Les Indignés, version SF. C'est l'an 2020 environ, et les choses ont mal tourné en Occident, on veut bien le croire. Le Royaume-Uni est devenu un Etat policier sous la coupe d'un chancelier entre Hitler, Berlusconi et Bush. Un seul opposant au régime : l'insaisissable « V ». Il n'apparaît que sous le masque stylisé d'une figure historique, Guy Fawkes, pendu pour avoir tenté de faire sauter le Parlement en 1605, et présenté, à ce titre, comme pionnier de l'anarchisme — les Indignés du monde entier ont repris ce masque, à commencer par les Anonymous. V pour Vendetta est un drôle de mélange entre le brûlot échevelé et le thriller SF calibré. L'Angleterre thatchérienne, sa dureté et ses intolérances avaient, dans les années 1980, inspiré la BD. Les producteurs du film, les fameux Wachowski (Matrix), ont su injecter dans ce tableau des éléments qui renvoient à notre début de millénaire. Mais l'attrait baroque du film passe aussi par ses deux personnages principaux : la belle Evey (Natalie Portman), activiste orpheline hantée par une tragédie familiale, et son mentor masqué, grand brûlé esthète, qui se cache dans une galerie pleine de vieux livres et de tableaux, comme le Nautilus du capitaine Nemo. Leur baiser, les lèvres de l'une contre la céramique du masque de l'autre, sera étrangement émouvant. Tout comme la pyrotechnie destructrice qui fait l'ordinaire des films à grand spectacle et le clou romantique de celui-ci. — Louis Guichard

Année : 2006

Avec : Natalie Portman, Hugo Weaving, John Hurt, Stephen Rea, Stephen Fry, Tim Pigott-Smith, Rupert Graves, Roger Allan, Clive Ashborn, Natasha Wightman, Eddie Marsan, John Standing, James McTeigue, Dario Marianelli, Lana Wachowski, Lilly Wachowski, David Lloyd, Alan Moore, Owen Paterson, Adrian Biddle

Antérieurement en 2018
 

Judge Dredd

Télévision : 28 mai 2018 à 23:30-01:10 sur C8

film de science-fiction

Un décor impressionnant, certes, mais pour un gros machin pyrotechnique qui a tout oublié de la BD originale. Stallone grimace en justicier obtus, condamné à son tour. Critique : Le doute et la compassion, ce n'est pas son fort. Il juge aussi vite qu'il exécute la sentence. Il, c'est le juge Dredd, alias Sylvester Stallone. Sa mission : faire respecter la loi dans Mega City One. Une cité tentaculaire et chaotique que nous découvrons en l'an de disgrâce 2139. Judge Dredd, à l'origine, c'est une BD culte anglaise délirante, provocatrice, qui introduisait une bonne dose de vitriol dans l'univers très codé des super-héros. Il n'en reste plus grand-chose dans cette adaptation où les effets spéciaux et les gadgets sont censés pallier une flagrante pauvreté d'imagination. Dans cette surenchère pyrotechnique permanente, l'intrigue, déjà squelettique, perd rapidement toute consistance. Reste le décor monumental, très inspiré à la fois de Blade Runner et de Metropolis. Et Stallone. Il pèse des tonnes, avec son armure et sa grosse moto, il aboie plus qu'il ne parle, et l'essentiel de son jeu est concentré dans le rictus de carnassier qui envahit en toute occasion l'écran. Le juge Dredd est ce genre de super-héros qui a banni toute trace d'émotion humaine afin de mieux accomplir son devoir. Stallone est, sans contestation possible, à l'unisson avec le rôle... J.C

Année : 1995

Avec : Danny Cannon, Sylvester Stallone, Armand Assante, Rob Schneider, Max von Sydow, Joan Chen, Diane Lane, Jürgen Prochnow, Joanna Miles, Alan Silvestri, John Wagner, Carlos Ezquerra, William Wisher Jr, Steven E De Souza, Michael De Luca, William Wisher Jr, Nigel Phelps, Adrian Biddle

Antérieurement en 2018
 

Judge Dredd

Télévision : 28 mai 2018 à 23:15-01:00 sur C8

film de science-fiction

Un décor impressionnant, certes, mais pour un gros machin pyrotechnique qui a tout oublié de la BD originale. Stallone grimace en justicier obtus, condamné à son tour. Critique : Le doute et la compassion, ce n'est pas son fort. Il juge aussi vite qu'il exécute la sentence. Il, c'est le juge Dredd, alias Sylvester Stallone. Sa mission : faire respecter la loi dans Mega City One. Une cité tentaculaire et chaotique que nous découvrons en l'an de disgrâce 2139. Judge Dredd, à l'origine, c'est une BD culte anglaise délirante, provocatrice, qui introduisait une bonne dose de vitriol dans l'univers très codé des super-héros. Il n'en reste plus grand-chose dans cette adaptation où les effets spéciaux et les gadgets sont censés pallier une flagrante pauvreté d'imagination. Dans cette surenchère pyrotechnique permanente, l'intrigue, déjà squelettique, perd rapidement toute consistance. Reste le décor monumental, très inspiré à la fois de Blade Runner et de Metropolis. Et Stallone. Il pèse des tonnes, avec son armure et sa grosse moto, il aboie plus qu'il ne parle, et l'essentiel de son jeu est concentré dans le rictus de carnassier qui envahit en toute occasion l'écran. Le juge Dredd est ce genre de super-héros qui a banni toute trace d'émotion humaine afin de mieux accomplir son devoir. Stallone est, sans contestation possible, à l'unisson avec le rôle... J.C

Année : 1995

Avec : Danny Cannon, Sylvester Stallone, Armand Assante, Rob Schneider, Max von Sydow, Joan Chen, Diane Lane, Jürgen Prochnow, Joanna Miles, Alan Silvestri, John Wagner, Carlos Ezquerra, William Wisher Jr, Steven E De Souza, Michael De Luca, William Wisher Jr, Nigel Phelps, Adrian Biddle

Antérieurement en 2018
 

Judge Dredd

Télévision : 21 mai 2018 à 23:00-00:40 sur C8

film de science-fiction

Un décor impressionnant, certes, mais pour un gros machin pyrotechnique qui a tout oublié de la BD originale. Stallone grimace en justicier obtus, condamné à son tour. Critique : Le doute et la compassion, ce n'est pas son fort. Il juge aussi vite qu'il exécute la sentence. Il, c'est le juge Dredd, alias Sylvester Stallone. Sa mission : faire respecter la loi dans Mega City One. Une cité tentaculaire et chaotique que nous découvrons en l'an de disgrâce 2139. Judge Dredd, à l'origine, c'est une BD culte anglaise délirante, provocatrice, qui introduisait une bonne dose de vitriol dans l'univers très codé des super-héros. Il n'en reste plus grand-chose dans cette adaptation où les effets spéciaux et les gadgets sont censés pallier une flagrante pauvreté d'imagination. Dans cette surenchère pyrotechnique permanente, l'intrigue, déjà squelettique, perd rapidement toute consistance. Reste le décor monumental, très inspiré à la fois de Blade Runner et de Metropolis. Et Stallone. Il pèse des tonnes, avec son armure et sa grosse moto, il aboie plus qu'il ne parle, et l'essentiel de son jeu est concentré dans le rictus de carnassier qui envahit en toute occasion l'écran. Le juge Dredd est ce genre de super-héros qui a banni toute trace d'émotion humaine afin de mieux accomplir son devoir. Stallone est, sans contestation possible, à l'unisson avec le rôle... J.C

Année : 1995

Avec : Danny Cannon, Sylvester Stallone, Armand Assante, Rob Schneider, Max von Sydow, Joan Chen, Diane Lane, Jürgen Prochnow, Joanna Miles, Alan Silvestri, John Wagner, Carlos Ezquerra, William Wisher Jr, Steven E De Souza, Michael De Luca, William Wisher Jr, Nigel Phelps, Adrian Biddle

Antérieurement en 2018
 

Les 101 dalmatiens

Télévision : 8 mai 2018 à 15:25-17:20 sur 6ter

film : comédie

Deux dalmatiens doivent retrouver cent un chiots, volés par une femme qui rêve de les transformer en manteau. Glenn Close compose une Cruella... d'enfer, dans cette réjouissante adaptation « en vrai » du dessin animé. Critique : | Genre : ex-cartoon. Si vous avez vu le dessin animé Disney, vous serez en pays connu. Tout y est : les jardins de Londres où Roger et Anita font connaissance à vélo grâce à leurs chiens ; le manoir délabré qui sert de cachette à Jasper et Horace, les deux truands stupides ; la ferme où les animaux lancent une chaîne de solidarité pour retrouver les toutous « kidnappés ». Même la nounou rondouillarde qui veille sur la nichée de Pongo et Perdita est copie conforme... Le coup de génie de cette adaptation, c'est Glenn Close. Affublée de tenues extravagantes et d'un interminable fume-cigarette, elle compose une Cruella... d'enfer. On pourra reprocher au scénariste, John Hughes, d'avoir (encore !) utilisé la recette de Maman, j'ai raté l'avion en forçant la dose sur les sévices infligés à la « méchante ». Mais chaque apparition de Cruella est un régal. — Bernard Génin

Année : 1996

Avec : Glenn Close, Jeff Daniels, Joely Richardson, Joan Plowright, Hugh Laurie, Mark Williams, John Schrapnel, Tim McInnerny, Stephen Herek, Michael Kamen, John Hughes, Assheton Gorton, Adrian Biddle

Antérieurement en 2018
 

Le retour de la momie

Télévision : 1er mai 2018 à 23:00-01:25 sur TF1 Séries Films

film fantastique

Elle revient de loin cette momie... et pour un formidable gâchis. Le scénario est aussi superficiel qu'une bande-annonce. Dans cette aventure creuse comme un sarcophage, la momie a perdu tout son charme. Critique : Avec ses égyptologues qui réveillaient des pharaons en bandelettes, La Momie ranimait agréablement le cinéma d'aventures. Le succès aidant, la voici de retour pour un formidable... gâchis. Merveilleux et malédiction, les ingrédients sont les mêmes, mais le scénario est aussi haché, expéditif et superficiel qu'une bande-annonce. Les effets spéciaux se noient dans les effets spéciaux, dilapidés avec la bêtise et la vulgarité des nouveaux riches. Dans cette aventure poussive et creuse comme un sarcophage, la momie a perdu tout son charme. F.Str.

Année : 2001

Avec : Stephen Sommers, Brendan Fraser, Rachel Weisz, John Hannah, Arnold Vosloo, Adewale Akinnuoye-Agbaje, Patricia Velasquez, Oded Fehr, Freddie Boath, Alan Silvestri, Stephen Sommers, Peter Young, Adrian Biddle