Télévision : 10 mai à 10:15-11:49 sur Canal +
film : comédie dramatique
Tout va pour le mieux entre Fanny et Jean ; le couple file le parfait amour dans l'un des plus beaux quartiers de Paris. Jusqu'au jour où la jeune femme tombe par hasard sur un ancien camarade de classe, Alain, qui lui avoue avoir toujours eu le béguin pour elle. Le charme du jeune homme va très vite avoir raison de Fanny. A la suite de cette rencontre inattendue, Fanny et Alain décident de se revoir avant d'entamer une liaison charnelle aussi passionnée que dangereuse... - Critique : Woody Allen devrait ranger son passeport, les voyages ne lui réussissent plus. Douze ans après Minuit à Paris, qui réenchantait la capitale en projetant Owen Wilson dans le Montparnasse des années 1920 et les bras de Marion Cotillard, le cinéaste américain, 87 ans, retrouve la Ville lumière, mais pas la magie, dans Coup de chance. Le film tient davantage du vaudeville essoufflé que du rêve éveillé, rappelant ainsi la pénible virée espagnole de Rifkin’s Festival (2022) avec, en plus, un bémol impitoyable : alors que la carte postale de San Sebastián était rédigée en anglais, Woody se risque cette fois à diriger ses acteurs, tous français, dans la langue de Molière. Renonçant à la petite musique qui faisait encore, bon an mal an, le charme familier de son cinéma. Tout le monde ne dit pas « I love you », donc, mais « Je t’aime ». À l’occasion, Fanny (Lou de Laâge, très bien habillée) dit aussi : « Suzanne, Monsieur va prendre un cognac », mais ça, c’est quand elle parle à la bonne. Ou encore : « J’ai l’impression d’être une femme trophée », en s’adressant à son mari, Jean (Melvil Poupaud), lorsqu’il lui offre des bijoux ruineux dans leur appartement haussmannien de 200 mètres carrés. Entre deux réceptions où la malheureuse écoute Elsa Zylberstein ou Guillaume de Tonquédec débiter des mondanités en toc, Fanny tombe sur un ancien camarade de lycée, Alain (Niels Schneider). Écrivain soi-disant fauché, il incarne apparemment la bohème dans un coquet deux-pièces mansardé, tomettes et poutres à deux pas des Champs-Élysées, on n’invente rien. De déjeuner en balade, les voilà qui roucoulent sous la couette, tandis que le mari cocu, pour le moins louche, engage un détective privé. Des bourgeois évadés des années 1950, des platitudes sur l’amour et le hasard, une romance béate, un crime traité à la légère et une belle-mère (Valérie Lemercier, la seule qui s’en sorte, question de tempo) pour mener l’enquête… On rit un peu de la farce hors-sol (Jean, richard au rictus suspect, a réservé une chambre XL à son train électrique), on s’ennuie davantage, et c’est la perplexité qui gagne. S’il n’était pas tricard aux États-Unis et contraint de chercher des producteurs en Europe — notamment en France, où un public jusqu’ici fidèle se souvient qu’il n’a jamais été poursuivi à la suite des accusations de viol sur sa fille mineure —, l’auteur de Meurtre mystérieux à Manhattan et de Blue Jasmine aurait tourné son cinquantième et peut-être dernier long métrage à New York. Au lieu de quoi, il filme les jardins du Palais-Royal en regrettant Central Park, laisse ses acteurs à leur joie d’en être et son chef opérateur, Vittorio Storaro, à ses expériences déroutantes (notamment sur Melvil Poupaud, dont la moitié du visage semble suivie par un soleil portatif). Un coup pour rien.
Année : 2023
Avec : Anne Loiret, Arnaud Viard, Elsa Zylberstein, Grégory Gadebois, Guillaume de, Juliette Plumecocq-Mech, Lou de, Melvil Poupaud, Niels Schneider, Sara Martins, Valérie Lemercier, Yannick Choirat
Télévision : 10 mai à 10:14-11:48 sur Canal +
film : comédie dramatique
Tout va pour le mieux entre Fanny et Jean ; le couple file le parfait amour dans l'un des plus beaux quartiers de Paris. Jusqu'au jour où la jeune femme tombe par hasard sur un ancien camarade de classe, Alain, qui lui avoue avoir toujours eu le béguin pour elle. Le charme du jeune homme va très vite avoir raison de Fanny. A la suite de cette rencontre inattendue, Fanny et Alain décident de se revoir avant d'entamer une liaison charnelle aussi passionnée que dangereuse... - Critique : Woody Allen devrait ranger son passeport, les voyages ne lui réussissent plus. Douze ans après Minuit à Paris, qui réenchantait la capitale en projetant Owen Wilson dans le Montparnasse des années 1920 et les bras de Marion Cotillard, le cinéaste américain, 87 ans, retrouve la Ville lumière, mais pas la magie, dans Coup de chance. Le film tient davantage du vaudeville essoufflé que du rêve éveillé, rappelant ainsi la pénible virée espagnole de Rifkin’s Festival (2022) avec, en plus, un bémol impitoyable : alors que la carte postale de San Sebastián était rédigée en anglais, Woody se risque cette fois à diriger ses acteurs, tous français, dans la langue de Molière. Renonçant à la petite musique qui faisait encore, bon an mal an, le charme familier de son cinéma. Tout le monde ne dit pas « I love you », donc, mais « Je t’aime ». À l’occasion, Fanny (Lou de Laâge, très bien habillée) dit aussi : « Suzanne, Monsieur va prendre un cognac », mais ça, c’est quand elle parle à la bonne. Ou encore : « J’ai l’impression d’être une femme trophée », en s’adressant à son mari, Jean (Melvil Poupaud), lorsqu’il lui offre des bijoux ruineux dans leur appartement haussmannien de 200 mètres carrés. Entre deux réceptions où la malheureuse écoute Elsa Zylberstein ou Guillaume de Tonquédec débiter des mondanités en toc, Fanny tombe sur un ancien camarade de lycée, Alain (Niels Schneider). Écrivain soi-disant fauché, il incarne apparemment la bohème dans un coquet deux-pièces mansardé, tomettes et poutres à deux pas des Champs-Élysées, on n’invente rien. De déjeuner en balade, les voilà qui roucoulent sous la couette, tandis que le mari cocu, pour le moins louche, engage un détective privé. Des bourgeois évadés des années 1950, des platitudes sur l’amour et le hasard, une romance béate, un crime traité à la légère et une belle-mère (Valérie Lemercier, la seule qui s’en sorte, question de tempo) pour mener l’enquête… On rit un peu de la farce hors-sol (Jean, richard au rictus suspect, a réservé une chambre XL à son train électrique), on s’ennuie davantage, et c’est la perplexité qui gagne. S’il n’était pas tricard aux États-Unis et contraint de chercher des producteurs en Europe — notamment en France, où un public jusqu’ici fidèle se souvient qu’il n’a jamais été poursuivi à la suite des accusations de viol sur sa fille mineure —, l’auteur de Meurtre mystérieux à Manhattan et de Blue Jasmine aurait tourné son cinquantième et peut-être dernier long métrage à New York. Au lieu de quoi, il filme les jardins du Palais-Royal en regrettant Central Park, laisse ses acteurs à leur joie d’en être et son chef opérateur, Vittorio Storaro, à ses expériences déroutantes (notamment sur Melvil Poupaud, dont la moitié du visage semble suivie par un soleil portatif). Un coup pour rien.
Année : 2023
Avec : Anne Loiret, Arnaud Viard, Elsa Zylberstein, Grégory Gadebois, Guillaume de, Juliette Plumecocq-Mech, Lou de, Melvil Poupaud, Niels Schneider, Sara Martins, Valérie Lemercier, Yannick Choirat
Télévision : 7 mai à 08:21-09:55 sur Canal +
film : comédie dramatique
Tout va pour le mieux entre Fanny et Jean ; le couple file le parfait amour dans l'un des plus beaux quartiers de Paris. Jusqu'au jour où la jeune femme tombe par hasard sur un ancien camarade de classe, Alain, qui lui avoue avoir toujours eu le béguin pour elle. Le charme du jeune homme va très vite avoir raison de Fanny. A la suite de cette rencontre inattendue, Fanny et Alain décident de se revoir avant d'entamer une liaison charnelle aussi passionnée que dangereuse... - Critique : Woody Allen devrait ranger son passeport, les voyages ne lui réussissent plus. Douze ans après Minuit à Paris, qui réenchantait la capitale en projetant Owen Wilson dans le Montparnasse des années 1920 et les bras de Marion Cotillard, le cinéaste américain, 87 ans, retrouve la Ville lumière, mais pas la magie, dans Coup de chance. Le film tient davantage du vaudeville essoufflé que du rêve éveillé, rappelant ainsi la pénible virée espagnole de Rifkin’s Festival (2022) avec, en plus, un bémol impitoyable : alors que la carte postale de San Sebastián était rédigée en anglais, Woody se risque cette fois à diriger ses acteurs, tous français, dans la langue de Molière. Renonçant à la petite musique qui faisait encore, bon an mal an, le charme familier de son cinéma. Tout le monde ne dit pas « I love you », donc, mais « Je t’aime ». À l’occasion, Fanny (Lou de Laâge, très bien habillée) dit aussi : « Suzanne, Monsieur va prendre un cognac », mais ça, c’est quand elle parle à la bonne. Ou encore : « J’ai l’impression d’être une femme trophée », en s’adressant à son mari, Jean (Melvil Poupaud), lorsqu’il lui offre des bijoux ruineux dans leur appartement haussmannien de 200 mètres carrés. Entre deux réceptions où la malheureuse écoute Elsa Zylberstein ou Guillaume de Tonquédec débiter des mondanités en toc, Fanny tombe sur un ancien camarade de lycée, Alain (Niels Schneider). Écrivain soi-disant fauché, il incarne apparemment la bohème dans un coquet deux-pièces mansardé, tomettes et poutres à deux pas des Champs-Élysées, on n’invente rien. De déjeuner en balade, les voilà qui roucoulent sous la couette, tandis que le mari cocu, pour le moins louche, engage un détective privé. Des bourgeois évadés des années 1950, des platitudes sur l’amour et le hasard, une romance béate, un crime traité à la légère et une belle-mère (Valérie Lemercier, la seule qui s’en sorte, question de tempo) pour mener l’enquête… On rit un peu de la farce hors-sol (Jean, richard au rictus suspect, a réservé une chambre XL à son train électrique), on s’ennuie davantage, et c’est la perplexité qui gagne. S’il n’était pas tricard aux États-Unis et contraint de chercher des producteurs en Europe — notamment en France, où un public jusqu’ici fidèle se souvient qu’il n’a jamais été poursuivi à la suite des accusations de viol sur sa fille mineure —, l’auteur de Meurtre mystérieux à Manhattan et de Blue Jasmine aurait tourné son cinquantième et peut-être dernier long métrage à New York. Au lieu de quoi, il filme les jardins du Palais-Royal en regrettant Central Park, laisse ses acteurs à leur joie d’en être et son chef opérateur, Vittorio Storaro, à ses expériences déroutantes (notamment sur Melvil Poupaud, dont la moitié du visage semble suivie par un soleil portatif). Un coup pour rien.
Année : 2023
Avec : Anne Loiret, Arnaud Viard, Elsa Zylberstein, Grégory Gadebois, Guillaume de, Juliette Plumecocq-Mech, Lou de, Melvil Poupaud, Niels Schneider, Sara Martins, Valérie Lemercier, Yannick Choirat
Télévision : 7 mai à 08:19-09:53 sur Canal +
film : comédie dramatique
Tout va pour le mieux entre Fanny et Jean ; le couple file le parfait amour dans l'un des plus beaux quartiers de Paris. Jusqu'au jour où la jeune femme tombe par hasard sur un ancien camarade de classe, Alain, qui lui avoue avoir toujours eu le béguin pour elle. Le charme du jeune homme va très vite avoir raison de Fanny. A la suite de cette rencontre inattendue, Fanny et Alain décident de se revoir avant d'entamer une liaison charnelle aussi passionnée que dangereuse... - Critique : Woody Allen devrait ranger son passeport, les voyages ne lui réussissent plus. Douze ans après Minuit à Paris, qui réenchantait la capitale en projetant Owen Wilson dans le Montparnasse des années 1920 et les bras de Marion Cotillard, le cinéaste américain, 87 ans, retrouve la Ville lumière, mais pas la magie, dans Coup de chance. Le film tient davantage du vaudeville essoufflé que du rêve éveillé, rappelant ainsi la pénible virée espagnole de Rifkin’s Festival (2022) avec, en plus, un bémol impitoyable : alors que la carte postale de San Sebastián était rédigée en anglais, Woody se risque cette fois à diriger ses acteurs, tous français, dans la langue de Molière. Renonçant à la petite musique qui faisait encore, bon an mal an, le charme familier de son cinéma. Tout le monde ne dit pas « I love you », donc, mais « Je t’aime ». À l’occasion, Fanny (Lou de Laâge, très bien habillée) dit aussi : « Suzanne, Monsieur va prendre un cognac », mais ça, c’est quand elle parle à la bonne. Ou encore : « J’ai l’impression d’être une femme trophée », en s’adressant à son mari, Jean (Melvil Poupaud), lorsqu’il lui offre des bijoux ruineux dans leur appartement haussmannien de 200 mètres carrés. Entre deux réceptions où la malheureuse écoute Elsa Zylberstein ou Guillaume de Tonquédec débiter des mondanités en toc, Fanny tombe sur un ancien camarade de lycée, Alain (Niels Schneider). Écrivain soi-disant fauché, il incarne apparemment la bohème dans un coquet deux-pièces mansardé, tomettes et poutres à deux pas des Champs-Élysées, on n’invente rien. De déjeuner en balade, les voilà qui roucoulent sous la couette, tandis que le mari cocu, pour le moins louche, engage un détective privé. Des bourgeois évadés des années 1950, des platitudes sur l’amour et le hasard, une romance béate, un crime traité à la légère et une belle-mère (Valérie Lemercier, la seule qui s’en sorte, question de tempo) pour mener l’enquête… On rit un peu de la farce hors-sol (Jean, richard au rictus suspect, a réservé une chambre XL à son train électrique), on s’ennuie davantage, et c’est la perplexité qui gagne. S’il n’était pas tricard aux États-Unis et contraint de chercher des producteurs en Europe — notamment en France, où un public jusqu’ici fidèle se souvient qu’il n’a jamais été poursuivi à la suite des accusations de viol sur sa fille mineure —, l’auteur de Meurtre mystérieux à Manhattan et de Blue Jasmine aurait tourné son cinquantième et peut-être dernier long métrage à New York. Au lieu de quoi, il filme les jardins du Palais-Royal en regrettant Central Park, laisse ses acteurs à leur joie d’en être et son chef opérateur, Vittorio Storaro, à ses expériences déroutantes (notamment sur Melvil Poupaud, dont la moitié du visage semble suivie par un soleil portatif). Un coup pour rien.
Année : 2023
Avec : Anne Loiret, Arnaud Viard, Elsa Zylberstein, Grégory Gadebois, Guillaume de, Juliette Plumecocq-Mech, Lou de, Melvil Poupaud, Niels Schneider, Sara Martins, Valérie Lemercier, Yannick Choirat
Prime Video : 6 mars
Une Comtesse Vampire doit absolument se nourrir du sang d'une vierge trois fois avant la nuit d'Halloween si elle veut la jeunesse éternelle. Elle envoie alors son fidèle serviteur Sebastian en chercher une. Pendant ce temps, Mark a envie de conclure avec sa copine Robin, mais elle ne se sent pas encore prête... Les amis de Mark lui conseillent alors d'aller à Hollywood rencontrer la Comtesse, à la grande incompréhension de Robin...
De : Howard Storm
Avec : Jim Carrey, Lauren Hutton, Karen Kopins, Cleavon Little, Thomas Ballatore, Skip Lackey, Jeb Stuart Adams
Netflix : 4 mars
Dans ce spectacle intense, Sebastian met en scène les petits tracas du quotidien, comme les trajets jusqu'à l'école, les chiens sans laisse et les rencards avec sa femme.
De : Peter Segal
Avec : Sebastian Maniscalco
Netflix : 1er mars
Sebastian, comédien et animateur radio, donne l'image d'avoir une vie heureuse. Mais dans la réalité, il sombre dans une petite dépression depuis sa séparation avec sa femme dont il est toujours amoureux...
De : Hernán Guerschuny, Sebastián Wainraich, Alejandro De Grazia
Avec : Natalie Pérez, Sebastián Wainraich, Santiago Korovsky, Lucas Wainraich, Miguel Angel Podesta, Sofía Guerschuny Pesci, Peto Menahem
Netflix : 29 février
Après qu'une force mystérieuse a décimé la population mondiale, Sebastián doit tenter de survivre dans les rues désertes de Barcelone. Tandis qu'il forme une alliance de fortune avec d'autres survivants pour fuir la ville, une menace plus sombre encore se profile.
De : Àlex Pastor, David Pastor
Avec : Mario Casas, Georgina Campbell, Diego Calva, Naila Schuberth, Alejandra Howard, Patrick Criado, Celia Freijeiro
Netflix : 29 février
C.J. et Sebastian, deux lycéens passionnés de sciences, passent tout leur temps libre à travailler sur leur dernière invention : des sacs à dos permettant de voyager dans le temps. Quand le frère aîné de C.J. est tué par la police, les deux meilleurs amis décident de mettre leur technologie expérimentale à l'épreuve dans l'espoir fou de sauver Calvin.
De : Stefon Bristol
Avec : Eden Duncan-Smith, Dante Crichlow, Astro, Marsha Stephanie Blake, Johnathan Nieves, Michael J Fox, Myra Lucretia Taylor
Netflix : 28 février
1999. Sebastian s'enferme dans un studio de télévision. Il a deux otages, une arme et un message important pour le monde.
De : Jakub Piątek
Avec : Bartosz Bielenia, Magdalena Popławska, Andrzej Kłak, Małgorzata Hajewska-Krzysztofik, Dobromir Dymecki, Monika Frajczyk, Cezary Kosiński