Rahimi Alice : passages TV

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Antérieurement en 2023
 

Narvalo

Télévision : 13 septembre 2023 à 07:38-07:53 sur Canal +

série humoristique

Presque princesse. Saison:1 - Episode:5 - Après une première nuit d'amour magique, Hanane se réveille chez un beau gosse rencontré la veille en boîte. Il est juste parfait. Il l'embrasse, part travailler, la laissant seule dans l'appartement. Et là, les choses vont se compliquer. - Critique : Un jeune chauffard sans permis se fait contrôler par la police à chaque rond-point ; une femme sur le point d’accoucher doit gérer les écarts de son compagnon ivre mort ; un père cherche à comprendre comment son fils a organisé une soirée qui a ravagé la maison familiale… Narvalo dramatise des « galères » réelles, racontées par des jeunes au pied des immeubles de leur quartier de banlieue… D’un récit à l’autre, on rit plus ou moins fort, mais il se dégage de cet exercice rafraîchissant, ­incarné par de jeunes acteurs étonnants, une énergie communicative, relevée par une langue déliée, truffée d’argot, rare dans nos séries aux dialogues trop souvent affectés. La frontière est mince entre récit naturaliste et rodomontade — c’est à celui qui impressionnera le plus ses amis en racontant ses mésaventures — et permet aux vrais dérapages, souvent alcoolisés, de prendre des airs de comédies aux improbables scénarios. Sous les vannes, Narvalo dessine avec bienveillance une banlieue loin des clichés misérabilistes, qui, si elle galère bien, le fait avec bonne humeur.

Année : 2020

Avec : Clémence Boisnard, Foëd Amara, Mathilde Lamusse, Rahimi Alice

Antérieurement en 2023
 

Narvalo

Télévision : 13 septembre 2023 à 07:32-07:47 sur Canal +

série humoristique

Presque princesse. Saison:1 - Episode:5 - Après une première nuit d'amour magique, Hanane se réveille chez un beau gosse rencontré la veille en boîte. Il est juste parfait. Il l'embrasse, part travailler, la laissant seule dans l'appartement. Et là, les choses vont se compliquer. - Critique : Un jeune chauffard sans permis se fait contrôler par la police à chaque rond-point ; une femme sur le point d’accoucher doit gérer les écarts de son compagnon ivre mort ; un père cherche à comprendre comment son fils a organisé une soirée qui a ravagé la maison familiale… Narvalo dramatise des « galères » réelles, racontées par des jeunes au pied des immeubles de leur quartier de banlieue… D’un récit à l’autre, on rit plus ou moins fort, mais il se dégage de cet exercice rafraîchissant, ­incarné par de jeunes acteurs étonnants, une énergie communicative, relevée par une langue déliée, truffée d’argot, rare dans nos séries aux dialogues trop souvent affectés. La frontière est mince entre récit naturaliste et rodomontade — c’est à celui qui impressionnera le plus ses amis en racontant ses mésaventures — et permet aux vrais dérapages, souvent alcoolisés, de prendre des airs de comédies aux improbables scénarios. Sous les vannes, Narvalo dessine avec bienveillance une banlieue loin des clichés misérabilistes, qui, si elle galère bien, le fait avec bonne humeur.

Année : 2020

Avec : Clémence Boisnard, Foëd Amara, Mathilde Lamusse, Rahimi Alice

Antérieurement en 2023
 

Les nuits de Mashhad

Télévision : 28 mai 2023 à 03:11-05:06 sur Canal +

film : thriller

En 2001, Rahimi, journaliste réputée de Téhéran, décide de se rendre dans la ville sainte de Mashhad pour mener sa propre enquête sur une mystérieuse série de meurtres. En effet, depuis quelques mois, des femmes soupçonnées de s'adonner à la prostitution sont retrouvées sauvagement assassinées. Dès son arrivée sur place, Rahimi saisit qu'elle va devoir affronter de nombreux obstacles pour parvenir à découvrir qui se cache derrière ces crimes odieux. Justice, policiers, et même les habitants semblent peu enclins à démasquer l'auteur des faits, estimant pour la plupart que les victimes méritent amplement le sort qu'elles ont subi... - Critique : :u4: POUR L’histoire, aussi incroyable que véridique, semble écrite en lettres de feu… En Iran, dans la ville sainte de Mashhad, lieu de pèlerinage pour les musulmans chiites, un tueur en série a sévi à partir du mois d’août 2000, pendant toute une année. Il s’appelait Saeed Hanaei et assassinait des prostituées. De cette affaire criminelle qui expose crûment la noirceur cachée de la société iranienne, Ali Abbasi a osé s’emparer avec réalisme. Né à Téhéran en 1981, ce réalisateur formé en Scandinavie (où il avait tourné Border) a été contraint de reconstituer les faits en Jordanie. Mais les images auxquelles il nous confronte n’en sont pas moins d’une véracité sidérante. Les visages maquillés des femmes, leurs corps, la maison du meurtrier, ouvrier et père de famille, sa cruauté : plus rien n’est caché. Mené comme un thriller, Les Nuits de Mashhad est un choc éclairant. Un monde nous est ouvert où la misère des prostituées se réfugie dans l’ombre, où la misogynie s’étale, où la violence est un droit qui s’exerce sur les femmes, à peine considérées comme des êtres humains quand elles se vendent. Mis en scène avec une parfaite maîtrise, le film s’affirme comme un geste de dévoilement très réfléchi. Car, tout en nous montrant la vérité, le réalisateur nous dit, avec pessimisme et lucidité, qu’elle n’éclatera jamais. Le personnage de Rahimi, la journaliste jouée par l’étonnante Zar Amir Ebrahimi, Prix d’interprétation à Cannes, trouve là toute son importance. En suivant l’enquête des policiers, elle y voit une mascarade. Une chasse à l’homme qui ne veut mener nulle part. Le serial killer peut laver Mashhad de ses pécheresses sans être dérangé : ses crimes sont une bénédiction pour la ville... Même quand la justice sera rendue, ce sera seulement dans l’intérêt du pouvoir. Des victimes, personne ne veut rien savoir. Sauf Rahimi. Fragile et solitaire, elle garde les yeux ouverts. Un beau symbole pour ce film aussi prenant que politique, courageusement engagé. – Frédéric Strauss :u2: CONTRE Certes, le constat terrible d’Ali Abbasi sur la société iranienne en général, et la condition des femmes en particulier, ne manque pas d’intérêt. Le problème est que le cinéaste ne recule devant aucun effet choc pour appuyer son propos. Tourner en gros plan l’agonie d’une femme qu’on étrangle pour mieux faire ressentir les souffrances qui lui sont infligées, pourquoi pas. Mais quand le procédé se répète pour une deuxième, puis une troisième victimes, le réalisateur fait preuve d’une complaisance malsaine pour le spectacle de la violence. Dès la première séquence, où une femme apparaît seins nus face à un miroir, on devine la volonté d’Ali Abbasi de montrer l’Iran tel qu’on ne l’a jamais vu à l’écran. Sauf que l’Iran des bas-fonds, du crime et de la misère, on l’a découvert au cinéma l’an dernier dans un film formidable, réalisé, lui, sur place, La Loi de Téhéran, sans que son auteur, Saeed Roustaee, n’ait eu besoin de rajouter du glauque au sordide. – Samuel Douhaire

Année : 2022

Avec : Arash Ashtiani, Ariane Naziri, Fazilat Sara, Firouz Agheli, Forouzan Jamshidnejad, Majd Eid, Mehdi Bajestani, Mesbah Taleb, Nima Akbarpour, Rahimi Alice, Sina Parvaneh, Zahra Amir

Antérieurement en 2023
 

Les nuits de Mashhad

Télévision : 28 mai 2023 à 03:09-05:03 sur Canal +

film : thriller

En 2001, Rahimi, journaliste réputée de Téhéran, décide de se rendre dans la ville sainte de Mashhad pour mener sa propre enquête sur une mystérieuse série de meurtres. En effet, depuis quelques mois, des femmes soupçonnées de s'adonner à la prostitution sont retrouvées sauvagement assassinées. Dès son arrivée sur place, Rahimi saisit qu'elle va devoir affronter de nombreux obstacles pour parvenir à découvrir qui se cache derrière ces crimes odieux. Justice, policiers, et même les habitants semblent peu enclins à démasquer l'auteur des faits, estimant pour la plupart que les victimes méritent amplement le sort qu'elles ont subi... - Critique : :u4: POUR L’histoire, aussi incroyable que véridique, semble écrite en lettres de feu… En Iran, dans la ville sainte de Mashhad, lieu de pèlerinage pour les musulmans chiites, un tueur en série a sévi à partir du mois d’août 2000, pendant toute une année. Il s’appelait Saeed Hanaei et assassinait des prostituées. De cette affaire criminelle qui expose crûment la noirceur cachée de la société iranienne, Ali Abbasi a osé s’emparer avec réalisme. Né à Téhéran en 1981, ce réalisateur formé en Scandinavie (où il avait tourné Border) a été contraint de reconstituer les faits en Jordanie. Mais les images auxquelles il nous confronte n’en sont pas moins d’une véracité sidérante. Les visages maquillés des femmes, leurs corps, la maison du meurtrier, ouvrier et père de famille, sa cruauté : plus rien n’est caché. Mené comme un thriller, Les Nuits de Mashhad est un choc éclairant. Un monde nous est ouvert où la misère des prostituées se réfugie dans l’ombre, où la misogynie s’étale, où la violence est un droit qui s’exerce sur les femmes, à peine considérées comme des êtres humains quand elles se vendent. Mis en scène avec une parfaite maîtrise, le film s’affirme comme un geste de dévoilement très réfléchi. Car, tout en nous montrant la vérité, le réalisateur nous dit, avec pessimisme et lucidité, qu’elle n’éclatera jamais. Le personnage de Rahimi, la journaliste jouée par l’étonnante Zar Amir Ebrahimi, Prix d’interprétation à Cannes, trouve là toute son importance. En suivant l’enquête des policiers, elle y voit une mascarade. Une chasse à l’homme qui ne veut mener nulle part. Le serial killer peut laver Mashhad de ses pécheresses sans être dérangé : ses crimes sont une bénédiction pour la ville... Même quand la justice sera rendue, ce sera seulement dans l’intérêt du pouvoir. Des victimes, personne ne veut rien savoir. Sauf Rahimi. Fragile et solitaire, elle garde les yeux ouverts. Un beau symbole pour ce film aussi prenant que politique, courageusement engagé. – Frédéric Strauss :u2: CONTRE Certes, le constat terrible d’Ali Abbasi sur la société iranienne en général, et la condition des femmes en particulier, ne manque pas d’intérêt. Le problème est que le cinéaste ne recule devant aucun effet choc pour appuyer son propos. Tourner en gros plan l’agonie d’une femme qu’on étrangle pour mieux faire ressentir les souffrances qui lui sont infligées, pourquoi pas. Mais quand le procédé se répète pour une deuxième, puis une troisième victimes, le réalisateur fait preuve d’une complaisance malsaine pour le spectacle de la violence. Dès la première séquence, où une femme apparaît seins nus face à un miroir, on devine la volonté d’Ali Abbasi de montrer l’Iran tel qu’on ne l’a jamais vu à l’écran. Sauf que l’Iran des bas-fonds, du crime et de la misère, on l’a découvert au cinéma l’an dernier dans un film formidable, réalisé, lui, sur place, La Loi de Téhéran, sans que son auteur, Saeed Roustaee, n’ait eu besoin de rajouter du glauque au sordide. – Samuel Douhaire

Année : 2022

Avec : Arash Ashtiani, Ariane Naziri, Fazilat Sara, Firouz Agheli, Forouzan Jamshidnejad, Majd Eid, Mehdi Bajestani, Mesbah Taleb, Nima Akbarpour, Rahimi Alice, Sina Parvaneh, Zahra Amir

Antérieurement en 2023
 

Les nuits de Mashhad

Télévision : 23 mai 2023 à 23:02-00:56 sur Canal +

film : thriller

En 2001, Rahimi, journaliste réputée de Téhéran, décide de se rendre dans la ville sainte de Mashhad pour mener sa propre enquête sur une mystérieuse série de meurtres. En effet, depuis quelques mois, des femmes soupçonnées de s'adonner à la prostitution sont retrouvées sauvagement assassinées. Dès son arrivée sur place, Rahimi saisit qu'elle va devoir affronter de nombreux obstacles pour parvenir à découvrir qui se cache derrière ces crimes odieux. Justice, policiers, et même les habitants semblent peu enclins à démasquer l'auteur des faits, estimant pour la plupart que les victimes méritent amplement le sort qu'elles ont subi... - Critique : :u4: POUR L’histoire, aussi incroyable que véridique, semble écrite en lettres de feu… En Iran, dans la ville sainte de Mashhad, lieu de pèlerinage pour les musulmans chiites, un tueur en série a sévi à partir du mois d’août 2000, pendant toute une année. Il s’appelait Saeed Hanaei et assassinait des prostituées. De cette affaire criminelle qui expose crûment la noirceur cachée de la société iranienne, Ali Abbasi a osé s’emparer avec réalisme. Né à Téhéran en 1981, ce réalisateur formé en Scandinavie (où il avait tourné Border) a été contraint de reconstituer les faits en Jordanie. Mais les images auxquelles il nous confronte n’en sont pas moins d’une véracité sidérante. Les visages maquillés des femmes, leurs corps, la maison du meurtrier, ouvrier et père de famille, sa cruauté : plus rien n’est caché. Mené comme un thriller, Les Nuits de Mashhad est un choc éclairant. Un monde nous est ouvert où la misère des prostituées se réfugie dans l’ombre, où la misogynie s’étale, où la violence est un droit qui s’exerce sur les femmes, à peine considérées comme des êtres humains quand elles se vendent. Mis en scène avec une parfaite maîtrise, le film s’affirme comme un geste de dévoilement très réfléchi. Car, tout en nous montrant la vérité, le réalisateur nous dit, avec pessimisme et lucidité, qu’elle n’éclatera jamais. Le personnage de Rahimi, la journaliste jouée par l’étonnante Zar Amir Ebrahimi, Prix d’interprétation à Cannes, trouve là toute son importance. En suivant l’enquête des policiers, elle y voit une mascarade. Une chasse à l’homme qui ne veut mener nulle part. Le serial killer peut laver Mashhad de ses pécheresses sans être dérangé : ses crimes sont une bénédiction pour la ville... Même quand la justice sera rendue, ce sera seulement dans l’intérêt du pouvoir. Des victimes, personne ne veut rien savoir. Sauf Rahimi. Fragile et solitaire, elle garde les yeux ouverts. Un beau symbole pour ce film aussi prenant que politique, courageusement engagé. – Frédéric Strauss :u2: CONTRE Certes, le constat terrible d’Ali Abbasi sur la société iranienne en général, et la condition des femmes en particulier, ne manque pas d’intérêt. Le problème est que le cinéaste ne recule devant aucun effet choc pour appuyer son propos. Tourner en gros plan l’agonie d’une femme qu’on étrangle pour mieux faire ressentir les souffrances qui lui sont infligées, pourquoi pas. Mais quand le procédé se répète pour une deuxième, puis une troisième victimes, le réalisateur fait preuve d’une complaisance malsaine pour le spectacle de la violence. Dès la première séquence, où une femme apparaît seins nus face à un miroir, on devine la volonté d’Ali Abbasi de montrer l’Iran tel qu’on ne l’a jamais vu à l’écran. Sauf que l’Iran des bas-fonds, du crime et de la misère, on l’a découvert au cinéma l’an dernier dans un film formidable, réalisé, lui, sur place, La Loi de Téhéran, sans que son auteur, Saeed Roustaee, n’ait eu besoin de rajouter du glauque au sordide. – Samuel Douhaire

Année : 2022

Avec : Arash Ashtiani, Ariane Naziri, Fazilat Sara, Firouz Agheli, Forouzan Jamshidnejad, Majd Eid, Mehdi Bajestani, Mesbah Taleb, Nima Akbarpour, Rahimi Alice, Sina Parvaneh, Zahra Amir

Antérieurement en 2023
 

Le sel des larmes

Télévision : 20 février 2023 à 23:40-01:20 sur Arte

film : drame

Très proche de son père qu'il admire, Luc monte à Paris pour passer le concours d'entrée à l'école Boulle. Dans la rue, Il y rencontre Djemila avec qui il vit une aventure. Mais la jeune femme tombe amoureuse. De retour chez son père, Luc renoue avec Geneviève. Mais Djemila vient le retrouver. Le jeune homme se dérobe, et peu de temps après c'est la jeune provinciale qui tombe enceinte. La jeune fille va alors voir le père du jeune homme et lui avoue tout. Le père veut s'en mêler, mais à Paris, le jeune homme est tombé amoureux d'une troisième jeune fille avec qui il vit… - Critique : Les femmes de sa vie. Et son père, l’homme de sa vie. Voilà ce qui sera montré de Luc, jeune et frêle provincial qui, monté à Paris pour passer le concours de l’école Boulle, y rencontre la belle Djemila, farouche, très sentimentale. Elle est attirée par Luc, mais préfère attendre. Lui est plus impatient, un peu mufle, un peu lâche… Le regard de Philippe Garrel n’est pas tendre. Il l’est davantage avec les femmes. Après Djemila apparaît Geneviève, charnelle, conquérante, possessive. Puis enfin Betsy, volage, libre et dominante à la fois. Trois beaux portraits gravés en noir et blanc frémissant, trois paraboles qui disent la joie et la difficulté d’aimer, l’incompréhension entre homme et femme, la non-concordance du sentiment, les rendez-vous manqués. L’angélisme garrélien est ici tempéré par des notes inédites d’érotisme. Un goût d’intemporel imprègne l’épure, artisanale, servie par de jeunes comédiens fiévreux, tous formidables. On relève quelques maladresses (dont une scène de rixe avec des racistes) et une tonalité d’ensemble peut-être moins vibrante qu’à l’accoutumée. C’est plutôt dans la relation durable avec le père menuisier (André Wilms, intense) que le film se révèle le plus émouvant. Il est bien sûr difficile de ne pas songer à Maurice Garrel, le père de Philippe, disparu en 2011, souvent présent dans son ­cinéma. Au-delà, c’est toute la généalogie familiale qui se dessine dans cet éloge de la transmission.

Année : 2020

Avec : André Wilms, Antuofermo Logann, Belibi Aline, Caroline Marcadé, Graïa Hammou, Louise Chevillotte, Lucie Epicuero, Martin Mesnier, Oulaya Amamra, Rahimi Alice, Souheila Yacoub, Stefan Crepon, Teddy Chawa

Antérieurement en 2022
 

Section de recherches

Télévision : 16 juillet 2022 à 18:40-19:40 sur TMC

série policière

Mauvais genre. Saison:11 - Episode:12 - Sasha Duroy, une championne de triathlon, a été assassinée après une course. Faut-il chercher la vérité sur sa mort dans une histoire de rivalité ? Bernier et son équipe découvrent que la victime est l'objet d'une véritable cabale dans le milieu, à cause de ses résultats hors du commun. Accusée de dopage, et même d'être un homme, Sasha Duroy a vécu l'enfer. Pourquoi a-t-elle été victime d'un tel acharnement ? Y avait-il un fond de vérité dans ces accusations, ou bien étaient-elles le fruit de la malveillance de concurrentes jalouses ? Des adversaires pourraient-elles lui en avoir voulu au point de souhaiter sa mort ?...

Année : 2017

De : Jean-Marc Thérin

Avec : Charlotte Levy, Chrystelle Labaude, Daisy Broom, Franck Sémonin, Félicité Chaton, Guillaume Denaiffe, Marine Sainsily, Nicolas Jouhet, Rahimi Alice, Raphaèle Bouchard, Stéphane Soo, Xavier Deluc

Antérieurement en 2022
 

Section de recherches

Télévision : 10 juillet 2022 à 19:35-20:45 sur TMC

série policière

Mauvais genre. Saison:11 - Episode:12 - Sasha Duroy, une championne de triathlon, a été assassinée après une course. Faut-il chercher la vérité sur sa mort dans une histoire de rivalité ? Bernier et son équipe découvrent que la victime est l'objet d'une véritable cabale dans le milieu, à cause de ses résultats hors du commun. Accusée de dopage, et même d'être un homme, Sasha Duroy a vécu l'enfer. Pourquoi a-t-elle été victime d'un tel acharnement ? Y avait-il un fond de vérité dans ces accusations, ou bien étaient-elles le fruit de la malveillance de concurrentes jalouses ? Des adversaires pourraient-elles lui en avoir voulu au point de souhaiter sa mort ?...

Année : 2017

De : Jean-Marc Thérin

Avec : Charlotte Levy, Chrystelle Labaude, Daisy Broom, Franck Sémonin, Félicité Chaton, Guillaume Denaiffe, Marine Sainsily, Nicolas Jouhet, Rahimi Alice, Raphaèle Bouchard, Stéphane Soo, Xavier Deluc