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Le dossier Odessa

Télévision : 16 avril 2018 à 20:50-22:55 sur Arte

film : thriller

Après avoir lu le journal intime d'un vieillard juif rescapé des camps, le journaliste Peter Miller décide d'enquêter sur un ancien capitaine des SS, commandant d'un camp de concentration durant la Seconde Guerre mondiale. Ce faisant, Miller se retrouve impliqué dans une affaire qui le dépasse et qui met en cause une puissante organisation : le réseau Odessa, qui réunit d'anciens membres des SS et utilise son influence pour protéger les criminels de guerre nazis. Poussant son enquête plus loin, Miller est amené à rencontrer des espions des services secrets israéliens et découvre avec horreur un lien entre le réseau Odessa et sa propre famille... Critique : Film anglais de Ronald Neame (1974). Précédente diffusion: septembre 79. Peter Miller: Jon Voight. Edouard Roschmann: Maximilian Schell. Frau Miller: Maria Schell. Sigi: Mary Tamm. Klaus Wenzer: Derek Jacobi. David Porath: Peter Jeffrey. Gustav Mackensen: Klaus Löwitsch. Le général Glücks: Hannes Messemer. Le général israélien: Garfield Morgan. Simon Wiesenthal: Shmuel Rodensky. Fiche technique. Scénario: Kenneth Ross et George Markstein, d'après le roman de Frederic Forsyth. Images: Oswald Morris, Atze Glanert. Décors: Rolf Zehetbauer. Montage: Ralph Kemplen. Musique: Andrew Lloyd Webber. Titre original: "The Odessa File". Critique parue dans Télérama 1548. Durée annoncée: 124 mn. Le genre. Dramatique. L'histoire. En 1963, à Hambourg, le jeune journaliste Peter Miller apprend le suicide d'un vieux juif du nom de Salomon Tauber. Survivant du camp d'extermination de Riga, Tauber a laissé un journal qui accable le capitaine SS Edouard Roschmann, qui commandait le camp et fut responsable d'une série d'exécutions. Celui-ci vivrait encore en Allemagne, sous un faux nom. Bouleversé par ce véritable testament du vieil homme, Miller décide de retrouver Roschmann. C'est alors qu'il se rend compte que l'organisation secrète Odessa, qui avait pour mission d'assurer la fuite et la réinsertion des anciens officiers SS, semble avoir des ramifications profondes en Allemagne... Ce que j'en pense. "Le dossier Odessa" est composé comme un véritable film policier. On suit avec un intérêt constant la chasse à l'homme que mène un journaliste obsédé par la personnalité d'un assassin hors du commun qui a échappé à la justice des hommes. Simon Wiesenthal - que l'on voit d'ailleurs dans le film sous les traits de Shmuel Rodensky - a servi de conseiller technique à ce film, dont l'intrigue ne faiblit jamais, jusqu'au coup de théâtre final. Très courageusement, car il a été tourné en partie avec des capitaux allemands, "Le dossier Odessa" dénonce la puissance occulte des anciens criminels de guerre, infiltrés dans l'administration et dans la police, qui n'hésitent pas à tuer pour protéger leurs nouvelles identités. Le film bénéficie de la présence de Jon Voight, le héros de "Macadam cowboy" et de "Délivrance", toujours remarquable (aussi dans "Retour", à 22.55 sur A2). Grâce à lui, ce qui n'aurait pu être qu'un épisode parmi d'autres de la chasse aux nazis trouve une indiscutable vérité. L'acharnement de Peter Miller a pris toute sa valeur lorsque, il y a quelques années, le parlement allemand a décidé de refuser la prescription pour les crimes commis contre l'humanité. André Moreau Chrétiens-Médias: adultes et adolescents

Année : 1947

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Compte tes blessures

Télévision : 9 mars 2018 à 00:45-02:00 sur Canal +

film : drame

Un père veuf présente sa nouvelle compagne à son fils rockeur et chômeur. Le complexe d’Œdipe revu par un disciple prometteur de Maurice Pialat. Critique : Avec son groupe de hard rock (en fait, de post-hardcore, pour les initiés), il s'époumone, il se déchaîne, il s'envole. Chez son père veuf, où il vit encore, à 24 ans, il retombe. Dans la mélancolie du deuil, dans l'amertume et les non-dits, dans la peur des lendemains — pas de diplôme, pas de travail. Le tête-à-tête ombrageux entre les deux hommes, ponctué par les allusions à la disparue, a tout d'une prison, même s'il y a encore de l'amour. Jusqu'au jour où le père, quadragénaire, ramène à la maison une femme, et la présente au fils comme sa nouvelle compagne. Morgan Simon, jeune réalisateur jusqu'ici remarqué pour ses courts métrages, admire manifestement Maurice Pialat : l'influence du maître est palpable dans la violence à peine contenue des rapports entre proches, dans le désespoir, et même dans l'humour discret que distille Compte tes blessures. Il y aussi l'acuité du regard porté sur les acteurs : Nathan Willcocks (le père), excellent dans la rugosité, la fatigue du travailleur matinal (poissonnier ambulant) et, bien sûr, Kévin Azaïs, possédé par son rôle, saisissant. Le relief de son visage et ses innombrables tatouages, spécialement sur le cou, sont au coeur de l'esthétique du film. Des jeux d'ombre et de lumière semblent décapiter le jeune homme quand il se soumet aux humiliations paternelles. Autour de la nouvelle venue (Monia Chokri, révélée par Les Amours imaginaires, de Xavier Dolan), d'un âge intermédiaire, une rivalité s'intensifie, secrètement puis ouvertement. Elle conduit à une longue scène mémorable : tour à tour irréelle, scabreuse, émouvante et d'une cruauté infinie... Le complexe d'OEdipe dans sa forme la plus animale. Ce moment extrême donne le sentiment de voir naître un cinéaste, qui s'arrache soudain à la prudence psychologique et à la vraisemblance pour atteindre une vérité brute. Et en même temps, il s'agit de l'émancipation radicale du jeune héros. La combinaison de ces deux événements signale bien souvent les premiers longs métrages qui comptent. — Louis Guichard

Année : 2016

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Compte tes blessures

Télévision : 9 mars 2018 à 00:40-02:00 sur Canal +

film : drame

Un père veuf présente sa nouvelle compagne à son fils rockeur et chômeur. Le complexe d’Œdipe revu par un disciple prometteur de Maurice Pialat. Critique : Avec son groupe de hard rock (en fait, de post-hardcore, pour les initiés), il s'époumone, il se déchaîne, il s'envole. Chez son père veuf, où il vit encore, à 24 ans, il retombe. Dans la mélancolie du deuil, dans l'amertume et les non-dits, dans la peur des lendemains — pas de diplôme, pas de travail. Le tête-à-tête ombrageux entre les deux hommes, ponctué par les allusions à la disparue, a tout d'une prison, même s'il y a encore de l'amour. Jusqu'au jour où le père, quadragénaire, ramène à la maison une femme, et la présente au fils comme sa nouvelle compagne. Morgan Simon, jeune réalisateur jusqu'ici remarqué pour ses courts métrages, admire manifestement Maurice Pialat : l'influence du maître est palpable dans la violence à peine contenue des rapports entre proches, dans le désespoir, et même dans l'humour discret que distille Compte tes blessures. Il y aussi l'acuité du regard porté sur les acteurs : Nathan Willcocks (le père), excellent dans la rugosité, la fatigue du travailleur matinal (poissonnier ambulant) et, bien sûr, Kévin Azaïs, possédé par son rôle, saisissant. Le relief de son visage et ses innombrables tatouages, spécialement sur le cou, sont au coeur de l'esthétique du film. Des jeux d'ombre et de lumière semblent décapiter le jeune homme quand il se soumet aux humiliations paternelles. Autour de la nouvelle venue (Monia Chokri, révélée par Les Amours imaginaires, de Xavier Dolan), d'un âge intermédiaire, une rivalité s'intensifie, secrètement puis ouvertement. Elle conduit à une longue scène mémorable : tour à tour irréelle, scabreuse, émouvante et d'une cruauté infinie... Le complexe d'OEdipe dans sa forme la plus animale. Ce moment extrême donne le sentiment de voir naître un cinéaste, qui s'arrache soudain à la prudence psychologique et à la vraisemblance pour atteindre une vérité brute. Et en même temps, il s'agit de l'émancipation radicale du jeune héros. La combinaison de ces deux événements signale bien souvent les premiers longs métrages qui comptent. — Louis Guichard

Année : 2016

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Compte tes blessures

Télévision : 19 janvier 2018 à 08:35-09:50 sur Canal +

film : drame

Un père veuf présente sa nouvelle compagne à son fils rockeur et chômeur. Le complexe d’Œdipe revu par un disciple prometteur de Maurice Pialat. Critique : Avec son groupe de hard rock (en fait, de post-hardcore, pour les initiés), il s'époumone, il se déchaîne, il s'envole. Chez son père veuf, où il vit encore, à 24 ans, il retombe. Dans la mélancolie du deuil, dans l'amertume et les non-dits, dans la peur des lendemains — pas de diplôme, pas de travail. Le tête-à-tête ombrageux entre les deux hommes, ponctué par les allusions à la disparue, a tout d'une prison, même s'il y a encore de l'amour. Jusqu'au jour où le père, quadragénaire, ramène à la maison une femme, et la présente au fils comme sa nouvelle compagne. Morgan Simon, jeune réalisateur jusqu'ici remarqué pour ses courts métrages, admire manifestement Maurice Pialat : l'influence du maître est palpable dans la violence à peine contenue des rapports entre proches, dans le désespoir, et même dans l'humour discret que distille Compte tes blessures. Il y aussi l'acuité du regard porté sur les acteurs : Nathan Willcocks (le père), excellent dans la rugosité, la fatigue du travailleur matinal (poissonnier ambulant) et, bien sûr, Kévin Azaïs, possédé par son rôle, saisissant. Le relief de son visage et ses innombrables tatouages, spécialement sur le cou, sont au coeur de l'esthétique du film. Des jeux d'ombre et de lumière semblent décapiter le jeune homme quand il se soumet aux humiliations paternelles. Autour de la nouvelle venue (Monia Chokri, révélée par Les Amours imaginaires, de Xavier Dolan), d'un âge intermédiaire, une rivalité s'intensifie, secrètement puis ouvertement. Elle conduit à une longue scène mémorable : tour à tour irréelle, scabreuse, émouvante et d'une cruauté infinie... Le complexe d'OEdipe dans sa forme la plus animale. Ce moment extrême donne le sentiment de voir naître un cinéaste, qui s'arrache soudain à la prudence psychologique et à la vraisemblance pour atteindre une vérité brute. Et en même temps, il s'agit de l'émancipation radicale du jeune héros. La combinaison de ces deux événements signale bien souvent les premiers longs métrages qui comptent. — Louis Guichard

Année : 2016

Antérieurement en 2018
 

Compte tes blessures

Télévision : 19 janvier 2018 à 08:34-09:50 sur Canal +

film : drame

Un père veuf présente sa nouvelle compagne à son fils rockeur et chômeur. Le complexe d’Œdipe revu par un disciple prometteur de Maurice Pialat. Critique : Avec son groupe de hard rock (en fait, de post-hardcore, pour les initiés), il s'époumone, il se déchaîne, il s'envole. Chez son père veuf, où il vit encore, à 24 ans, il retombe. Dans la mélancolie du deuil, dans l'amertume et les non-dits, dans la peur des lendemains — pas de diplôme, pas de travail. Le tête-à-tête ombrageux entre les deux hommes, ponctué par les allusions à la disparue, a tout d'une prison, même s'il y a encore de l'amour. Jusqu'au jour où le père, quadragénaire, ramène à la maison une femme, et la présente au fils comme sa nouvelle compagne. Morgan Simon, jeune réalisateur jusqu'ici remarqué pour ses courts métrages, admire manifestement Maurice Pialat : l'influence du maître est palpable dans la violence à peine contenue des rapports entre proches, dans le désespoir, et même dans l'humour discret que distille Compte tes blessures. Il y aussi l'acuité du regard porté sur les acteurs : Nathan Willcocks (le père), excellent dans la rugosité, la fatigue du travailleur matinal (poissonnier ambulant) et, bien sûr, Kévin Azaïs, possédé par son rôle, saisissant. Le relief de son visage et ses innombrables tatouages, spécialement sur le cou, sont au coeur de l'esthétique du film. Des jeux d'ombre et de lumière semblent décapiter le jeune homme quand il se soumet aux humiliations paternelles. Autour de la nouvelle venue (Monia Chokri, révélée par Les Amours imaginaires, de Xavier Dolan), d'un âge intermédiaire, une rivalité s'intensifie, secrètement puis ouvertement. Elle conduit à une longue scène mémorable : tour à tour irréelle, scabreuse, émouvante et d'une cruauté infinie... Le complexe d'OEdipe dans sa forme la plus animale. Ce moment extrême donne le sentiment de voir naître un cinéaste, qui s'arrache soudain à la prudence psychologique et à la vraisemblance pour atteindre une vérité brute. Et en même temps, il s'agit de l'émancipation radicale du jeune héros. La combinaison de ces deux événements signale bien souvent les premiers longs métrages qui comptent. — Louis Guichard

Année : 2016

Antérieurement en 2017
 

Compte tes blessures

Télévision : 27 décembre 2017 à 01:55-03:15 sur Canal +

film : drame

Un père veuf présente sa nouvelle compagne à son fils rockeur et chômeur. Le complexe d’Œdipe revu par un disciple prometteur de Maurice Pialat. Critique : Avec son groupe de hard rock (en fait, de post-hardcore, pour les initiés), il s'époumone, il se déchaîne, il s'envole. Chez son père veuf, où il vit encore, à 24 ans, il retombe. Dans la mélancolie du deuil, dans l'amertume et les non-dits, dans la peur des lendemains — pas de diplôme, pas de travail. Le tête-à-tête ombrageux entre les deux hommes, ponctué par les allusions à la disparue, a tout d'une prison, même s'il y a encore de l'amour. Jusqu'au jour où le père, quadragénaire, ramène à la maison une femme, et la présente au fils comme sa nouvelle compagne. Morgan Simon, jeune réalisateur jusqu'ici remarqué pour ses courts métrages, admire manifestement Maurice Pialat : l'influence du maître est palpable dans la violence à peine contenue des rapports entre proches, dans le désespoir, et même dans l'humour discret que distille Compte tes blessures. Il y aussi l'acuité du regard porté sur les acteurs : Nathan Willcocks (le père), excellent dans la rugosité, la fatigue du travailleur matinal (poissonnier ambulant) et, bien sûr, Kévin Azaïs, possédé par son rôle, saisissant. Le relief de son visage et ses innombrables tatouages, spécialement sur le cou, sont au coeur de l'esthétique du film. Des jeux d'ombre et de lumière semblent décapiter le jeune homme quand il se soumet aux humiliations paternelles. Autour de la nouvelle venue (Monia Chokri, révélée par Les Amours imaginaires, de Xavier Dolan), d'un âge intermédiaire, une rivalité s'intensifie, secrètement puis ouvertement. Elle conduit à une longue scène mémorable : tour à tour irréelle, scabreuse, émouvante et d'une cruauté infinie... Le complexe d'OEdipe dans sa forme la plus animale. Ce moment extrême donne le sentiment de voir naître un cinéaste, qui s'arrache soudain à la prudence psychologique et à la vraisemblance pour atteindre une vérité brute. Et en même temps, il s'agit de l'émancipation radicale du jeune héros. La combinaison de ces deux événements signale bien souvent les premiers longs métrages qui comptent. — Louis Guichard

Année : 2016

Antérieurement en 2017
 

Compte tes blessures - DVD

DVD/Blu-ray : 13 juin 2017

Année : 2016

De : Morgan Simon

Avec : Kévin Azaïs, Monia Chokri, Nathan Willcocks, Julien Krug, Selim Aymard, Cedric Laban

Antérieurement en 2017
 

Court-circuit

Télévision : 19 mars 2017 à 05:00-05:50 sur Arte

magazine du court métrage

Spécial révoltés - Au sommaire : Short cuts - «Blow Out», de Brian de Palma, revisité par le réalisateur de films d'animation Jon Boutin. La révolution n'est pas un dîner de gala - Un court métrage français réalisé par Youri Tchao-Débats en 2015. Sur une aire d'autoroute, Karim prend Lola en stop. Lola aimerait devenir actrice, Karim voudrait changer le cours de l'histoire. La révolution se fera avec ou sans eux. Feux - Un court métrage français réalisé par Mali Arun en 2015. Dans un village alsacien, deux adolescentes en crise traversent ensemble la nuit de la Saint-Jean. Regards croisés - Rencontre avec les réalisateurs Morgan Simon et Romain Goupil autour des représentations de la jeunesse en quête d'idéaux.

Antérieurement en 2017
 

Court-circuit

Télévision : 16 mars 2017 à 00:50-01:45 sur Arte

magazine du court métrage

Spécial révoltés - Au sommaire : Short cuts - «Blow Out», de Brian de Palma, revisité par le réalisateur de films d'animation Jon Boutin. La révolution n'est pas un dîner de gala - Un court métrage français réalisé par Youri Tchao-Débats en 2015. Sur une aire d'autoroute, Karim prend Lola en stop. Lola aimerait devenir actrice, Karim voudrait changer le cours de l'histoire. La révolution se fera avec ou sans eux. Feux - Un court métrage français réalisé par Mali Arun en 2015. Dans un village alsacien, deux adolescentes en crise traversent ensemble la nuit de la Saint-Jean. Regards croisés - Rencontre avec les réalisateurs Morgan Simon et Romain Goupil autour des représentations de la jeunesse en quête d'idéaux.

Antérieurement en 2017
 

Compte tes blessures

Cinéma : 25 janvier 2017

Année : 2016

De : Morgan Simon

Avec : Kévin Azaïs, Monia Chokri, Nathan Willcocks, Julien Krug, Selim Aymard, Cedric Laban