Dirty Dancing

Télévision : 3 janvier à 15:40-17:25 sur TF1

film : comédie dramatique

Durant l'été 1963, le docteur Jack Houseman quitte New York pour passer trois semaines dans un club de vacances avec sa femme Marjorie et ses deux filles. La cadette, Frances, dite Baby, s'ennuie à mourir, jusqu'au soir où une promenade l'entraîne vers les bâtiments réservés au personnel. Elle y découvre un spectacle étrange. Sur une musique tonitruante et entre des cascades de bière, les moniteurs s'exercent à une danse frénétique, la "Dirty Dancing", c'est-à-dire le mambo. Johnny Castle, le plus aguerri de ces danseurs sensuels et athlétiques, repère vite les qualités gestuelles et physiques de la jeune fille, dont il a par ailleurs reconnu le charme au premier coup d'oeil... - Critique : La romance musicale la plus moite des années 1980, qui narre les amours de Patrick Swayze (Johnny) et de Jennifer Grey (« Bébé »), est plus populaire que jamais. Ou comment une bluette archidatée — voir la coupe banane-nuque-longue de Johnny, ou la tignasse façon caniche affolé de sa partenaire — a bénéficié de cette évolution quasi darwinienne qui, de temps en temps, peut transformer n’importe quoi en film dit « culte ». N’importe quoi, vraiment ? Rappelons qu’au départ il s’agit d’une gentille fille qui rencontre un (pas si) mauvais garçon pendant les vacances, hop ! il lui apprend à danser, hop ! ils s’aiment. Pas de quoi fouetter un chorégraphe, et pourtant… On ne compte plus, par exemple, les reprises (Black Eyed Peas en tête) de l’immortel tube du film (tous en chœur : « I’ve had… the time of my liiiiife ! »). Au cinéma, avec ses scènes de danse romantico-torrides, Dirty Dancing est devenu une référence. Ce n’est plus un film, c’est une technique de drague, utilisée entre autres par Romain Duris dans L’Arnacœur ou par Ryan Gosling dans Crazy, Stupid, Love. C’est que, derrière la façade kitsch ou la nostalgie des années 80, se cache un universel récit d’initiation. Mais si : ­Dirty Dancing (ou, selon le titre québécois, Danse lascive) raconte l’éveil du corps à la sexualité, rien de moins.

Année : 1987

De : Emile Ardolino

Avec : Charles 'Honi, Cynthia Rhodes, Jack Weston, Jane Brucker, Jennifer Grey, Jerry Orbach, Kelly Bishop, Kenny Ortega, Lonny Price, Max Cantor, Miranda Garrison, Neal Jones, Patrick Swayze, Wayne Knight

Dirty Dancing

Télévision : 11 décembre 2023 à 21:10-23:00 sur TF1

film : comédie dramatique

Durant l'été 1963, le docteur Jack Houseman quitte New York pour passer trois semaines dans un club de vacances avec sa femme Marjorie et ses deux filles. La cadette, Frances, dite Baby, s'ennuie à mourir, jusqu'au soir où une promenade l'entraîne vers les bâtiments réservés au personnel. Elle y découvre un spectacle étrange. Sur une musique tonitruante et entre des cascades de bière, les moniteurs s'exercent à une danse frénétique, la "Dirty Dancing", c'est-à-dire le mambo. Johnny Castle, le plus aguerri de ces danseurs sensuels et athlétiques, repère vite les qualités gestuelles et physiques de la jeune fille, dont il a par ailleurs reconnu le charme au premier coup d'oeil... - Critique : | Genre : lascif. La romance musicale la plus moite des années 1980, qui narre les amours de Patrick Swayze (Johnny) et de Jennifer Grey (« Bébé »), est plus populaire que jamais. Ou comment une bluette archidatée — voir la coupe banane-nuque-longue de Johnny, ou la tignasse façon caniche affolé de sa partenaire — a bénéficié de cette évolution quasi darwinienne qui, de temps en temps, peut transformer n'importe quoi en film dit « culte ». N'importe quoi, vraiment ? Rappelons qu'à la base il s'agit d'une gentille fille qui rencontre un (pas si) mauvais garçon pendant les vacances, hop ! il lui apprend à danser, hop ! ils s'aiment. Pas de quoi fouetter un chorégraphe, et pourtant... On ne compte plus, par exemple, les reprises (Black Eyed Peas en tête) de l'immortel tube du film (tous en choeur : « I've had... the time of my liiiiife ! »). Au cinéma, avec ses scènes de danse romantico-torrides, Dirty Dancing est devenu une référence. Ce n'est plus un film, c'est une technique de drague, utilisée entre autres par Romain Duris dans L'Arnacoeur ou par Ryan Gosling dans Crazy, Stupid, Love. C'est que, derrière la façade kitsch ou la nostalgie des années 80, se cache un universel récit d'initiation. Mais si : ­Dirty Dancing (ou, selon le titre québécois, Danse lascive) raconte l'éveil du corps à la sexualité, rien de moins. — Cécile Mury

Année : 1987

De : Emile Ardolino

Avec : Charles 'Honi, Cynthia Rhodes, Jack Weston, Jane Brucker, Jennifer Grey, Jerry Orbach, Kelly Bishop, Kenny Ortega, Lonny Price, Max Cantor, Miranda Garrison, Neal Jones, Patrick Swayze, Wayne Knight

Et au milieu coule une rivière

Télévision : 12 octobre 2023 à 23:35-02:00 sur Chérie 25

film : drame

Fils de pasteur, Norman et Paul Maclean, nés au tournant du XXe siècle dans une localité du Montana, grandissent dans un milieu presbytérien avec pour seul loisir celui d'accompagner leur père à la pêche tous les dimanches après-midi. Norman, l'aîné, reproduit le comportement paternel, calme et réfléchi, à la différence de son cadet, plus instable. L'adolescence les voit emprunter des chemins différents : à Norman l'université et la littérature, à Paul le journalisme, les femmes et l'alcool. Peu à peu, les rapports entre les deux frères se distendent. Ils ne se retrouvent plus qu'à l'occasion de quelques parties de pêche. Norman rencontre bientôt la fougueuse Jessie Burns... - Critique : Une petite bourgade du Montana, dans les années 1930. Les frères Maclean ont été élevés par leur père, pasteur, dans le respect de la religion et dans le culte... de la pêche à la mouche. Norman Maclean, l'aîné, s'apprête à devenir enseignant ; il retrouve son frère, Paul, journaliste, qui boit, joue, tout le contraire de son studieux aîné.Robert Redford a mis des années avant de pouvoir adapter le beau roman autobiographique de Norman Maclean. On voit ce que le projet pouvait avoir d'atypique, selon les normes hollywoodiennes : cette manière forcenée d'expulser l'anecdote hors champ de la même façon que la caméra reste, avec Paul, en dehors du cercle de jeu dont on lui a refusé l'entrée. Mais Redford, servi par une formidable distribution (notamment Brad Pitt, dont la ressemblance avec son metteur en scène jeune donne au film des airs d'autobiographie masquée), a réussi son pari de faire un cinéma « antinarratif ».Le film oppose sans didactisme deux choix de vie, l'un sérieux, l'autre dissipé, montre la fascination muette que les deux frères, si différents, ont l'un pour l'autre. S'appuyant sur la superbe photo de Philippe Rousselot, le cinéaste fait de la rivière Blackfoot une métaphore centrale et polysémique, symbole de l'existence humaine, du temps, de la narration. Il fait jaillir l'émotion d'instants fugitifs, de non-dits chargés de sens. Ce film humaniste et écologique (au sens le moins politique du terme) est une pure merveille.

Année : 1992

Avec : Brad Pitt, Brenda Blethyn, Craig Sheffer, Don MacDonald, Edie McClurg, Emily Lloyd, Johnny Almaraz, Michael Cudlitz, Miranda Garrison, Nicole Burdette, Rob Cox, Stephen Shellen, Susan Traylor, Tom Skerritt, Vann Gravage

Et au milieu coule une rivière

Télévision : 5 octobre 2023 à 21:05-23:30 sur Chérie 25

film : drame

Fils de pasteur, Norman et Paul Maclean, nés au tournant du XXe siècle dans une localité du Montana, grandissent dans un milieu presbytérien avec pour seul loisir celui d'accompagner leur père à la pêche tous les dimanches après-midi. Norman, l'aîné, reproduit le comportement paternel, calme et réfléchi, à la différence de son cadet, plus instable. L'adolescence les voit emprunter des chemins différents : à Norman l'université et la littérature, à Paul le journalisme, les femmes et l'alcool. Peu à peu, les rapports entre les deux frères se distendent. Ils ne se retrouvent plus qu'à l'occasion de quelques parties de pêche. Norman rencontre bientôt la fougueuse Jessie Burns... - Critique : Une bourgade du Montana, dans les années 1930. Les frères Maclean ont été élevés par leur père, pasteur, dans le respect de la religion et dans le culte de… la pêche à la mouche. Norman, l’aîné, va devenir enseignant ; il retrouve son frère, Paul, journaliste, qui boit, joue, tout son contraire. Robert Redford a mis des années avant d’adapter le beau roman autobiographique de Norman Maclean. On voit ce que le projet avait d’atypique selon les normes hollywoodiennes : une manière forcenée d’expulser l’anecdote hors champ, de la même façon que la caméra reste, avec Paul, en dehors du cercle de jeu dont on lui a refusé l’entrée. Mais Redford, servi par des acteurs formidables (notamment Brad Pitt, dont la ressemblance avec son metteur en scène jeune donne au film des airs d’autobiographie), réussit son pari de cinéma antinarratif. Le film oppose sans didactisme deux choix de vie, l’un sérieux, l’autre dissipé, montre la fascination muette que les deux frères ont l’un pour l’autre. Le cinéaste fait de la rivière Blackfoot une métaphore centrale et polysémique, symbole de l’existence humaine, du temps, de la narration. Il fait jaillir l’émotion de non-dits et d’instants fugitifs.

Année : 1992

Avec : Brad Pitt, Brenda Blethyn, Craig Sheffer, Don MacDonald, Edie McClurg, Emily Lloyd, Johnny Almaraz, Michael Cudlitz, Miranda Garrison, Nicole Burdette, Rob Cox, Stephen Shellen, Susan Traylor, Tom Skerritt, Vann Gravage

Dirty Dancing

Télévision : 16 avril 2023 à 16:55-18:55 sur TMC

film : comédie dramatique

Durant l'été 1963, le docteur Jack Houseman quitte New York pour passer trois semaines dans un club de vacances avec sa femme Marjorie et ses deux filles. La cadette, Frances, dite Baby, s'ennuie à mourir, jusqu'au soir où une promenade l'entraîne vers les bâtiments réservés au personnel. Elle y découvre un spectacle étrange. Sur une musique tonitruante et entre des cascades de bière, les moniteurs s'exercent à une danse frénétique, la "Dirty Dancing", c'est-à-dire le mambo. Johnny Castle, le plus aguerri de ces danseurs sensuels et athlétiques, repère vite les qualités gestuelles et physiques de la jeune fille, dont il a par ailleurs reconnu le charme au premier coup d'oeil... - Critique : | Genre : lascif. La romance musicale la plus moite des années 1980, qui narre les amours de Patrick Swayze (Johnny) et de Jennifer Grey (« Bébé »), est plus populaire que jamais. Ou comment une bluette archidatée — voir la coupe banane-nuque-longue de Johnny, ou la tignasse façon caniche affolé de sa partenaire — a bénéficié de cette évolution quasi darwinienne qui, de temps en temps, peut transformer n'importe quoi en film dit « culte ». N'importe quoi, vraiment ? Rappelons qu'à la base il s'agit d'une gentille fille qui rencontre un (pas si) mauvais garçon pendant les vacances, hop ! il lui apprend à danser, hop ! ils s'aiment. Pas de quoi fouetter un chorégraphe, et pourtant... On ne compte plus, par exemple, les reprises (Black Eyed Peas en tête) de l'immortel tube du film (tous en choeur : « I've had... the time of my liiiiife ! »). Au cinéma, avec ses scènes de danse romantico-torrides, Dirty Dancing est devenu une référence. Ce n'est plus un film, c'est une technique de drague, utilisée entre autres par Romain Duris dans L'Arnacoeur ou par Ryan Gosling dans Crazy, Stupid, Love. C'est que, derrière la façade kitsch ou la nostalgie des années 80, se cache un universel récit d'initiation. Mais si : ­Dirty Dancing (ou, selon le titre québécois, Danse lascive) raconte l'éveil du corps à la sexualité, rien de moins. — Cécile Mury

Année : 1987

De : Emile Ardolino

Avec : Cousin Brucie, Charles 'Honi, Cynthia Rhodes, Jack Weston, Jane Brucker, Jennifer Grey, Jerry Orbach, Kelly Bishop, Kenny Ortega, Lonny Price, Max Cantor, Miranda Garrison, Neal Jones, Patrick Swayze

Dirty Dancing

Télévision : 27 mars 2023 à 21:25-23:20 sur TMC

film : comédie dramatique

Durant l'été 1963, le docteur Jack Houseman quitte New York pour passer trois semaines dans un club de vacances avec sa femme Marjorie et ses deux filles. La cadette, Frances, dite Baby, s'ennuie à mourir, jusqu'au soir où une promenade l'entraîne vers les bâtiments réservés au personnel. Elle y découvre un spectacle étrange. Sur une musique tonitruante et entre des cascades de bière, les moniteurs s'exercent à une danse frénétique, la "Dirty Dancing", c'est-à-dire le mambo. Johnny Castle, le plus aguerri de ces danseurs sensuels et athlétiques, repère vite les qualités gestuelles et physiques de la jeune fille, dont il a par ailleurs reconnu le charme au premier coup d'oeil... - Critique : | Genre : lascif. La romance musicale la plus moite des années 1980, qui narre les amours de Patrick Swayze (Johnny) et de Jennifer Grey (« Bébé »), est plus populaire que jamais. Ou comment une bluette archidatée — voir la coupe banane-nuque-longue de Johnny, ou la tignasse façon caniche affolé de sa partenaire — a bénéficié de cette évolution quasi darwinienne qui, de temps en temps, peut transformer n'importe quoi en film dit « culte ». N'importe quoi, vraiment ? Rappelons qu'à la base il s'agit d'une gentille fille qui rencontre un (pas si) mauvais garçon pendant les vacances, hop ! il lui apprend à danser, hop ! ils s'aiment. Pas de quoi fouetter un chorégraphe, et pourtant... On ne compte plus, par exemple, les reprises (Black Eyed Peas en tête) de l'immortel tube du film (tous en choeur : « I've had... the time of my liiiiife ! »). Au cinéma, avec ses scènes de danse romantico-torrides, Dirty Dancing est devenu une référence. Ce n'est plus un film, c'est une technique de drague, utilisée entre autres par Romain Duris dans L'Arnacoeur ou par Ryan Gosling dans Crazy, Stupid, Love. C'est que, derrière la façade kitsch ou la nostalgie des années 80, se cache un universel récit d'initiation. Mais si : ­Dirty Dancing (ou, selon le titre québécois, Danse lascive) raconte l'éveil du corps à la sexualité, rien de moins. — Cécile Mury

Année : 1987

De : Emile Ardolino

Avec : Cousin Brucie, Charles 'Honi, Cynthia Rhodes, Jack Weston, Jane Brucker, Jennifer Grey, Jerry Orbach, Kelly Bishop, Kenny Ortega, Lonny Price, Max Cantor, Miranda Garrison, Neal Jones, Patrick Swayze

Dirty Dancing

Télévision : 3 mai 2022 à 23:00-00:55 sur TFX

film : comédie dramatique

Durant l'été 1963, le docteur Jack Houseman quitte New York pour passer trois semaines dans un club de vacances avec sa femme Marjorie et ses deux filles. La cadette, Frances, dite Baby, s'ennuie à mourir, jusqu'au soir où une promenade l'entraîne vers les bâtiments réservés au personnel. Elle y découvre un spectacle étrange. Sur une musique tonitruante et entre des cascades de bière, les moniteurs s'exercent à une danse frénétique, la "Dirty Dancing", c'est-à-dire le mambo. Johnny Castle, le plus aguerri de ces danseurs sensuels et athlétiques, repère vite les qualités gestuelles et physiques de la jeune fille, dont il a par ailleurs reconnu le charme au premier coup d'oeil... - Critique : | Genre : lascif. La romance musicale la plus moite des années 1980, qui narre les amours de Patrick Swayze (Johnny) et de Jennifer Grey (« Bébé »), est plus populaire que jamais. Ou comment une bluette archidatée — voir la coupe banane-nuque-longue de Johnny, ou la tignasse façon caniche affolé de sa partenaire — a bénéficié de cette évolution quasi darwinienne qui, de temps en temps, peut transformer n'importe quoi en film dit « culte ». N'importe quoi, vraiment ? Rappelons qu'à la base il s'agit d'une gentille fille qui rencontre un (pas si) mauvais garçon pendant les vacances, hop ! il lui apprend à danser, hop ! ils s'aiment. Pas de quoi fouetter un chorégraphe, et pourtant... On ne compte plus, par exemple, les reprises (Black Eyed Peas en tête) de l'immortel tube du film (tous en choeur : « I've had... the time of my liiiiife ! »). Au cinéma, avec ses scènes de danse romantico-torrides, Dirty Dancing est devenu une référence. Ce n'est plus un film, c'est une technique de drague, utilisée entre autres par Romain Duris dans L'Arnacoeur ou par Ryan Gosling dans Crazy, Stupid, Love. C'est que, derrière la façade kitsch ou la nostalgie des années 80, se cache un universel récit d'initiation. Mais si : ­Dirty Dancing (ou, selon le titre québécois, Danse lascive) raconte l'éveil du corps à la sexualité, rien de moins. — Cécile Mury

Année : 1987

De : Emile Ardolino

Avec : Cousin Brucie, Charles 'Honi, Cynthia Rhodes, Jack Weston, Jane Brucker, Jennifer Grey, Jerry Orbach, Kelly Bishop, Kenny Ortega, Lonny Price, Max Cantor, Miranda Garrison, Neal Jones, Patrick Swayze

Dirty Dancing

Télévision : 21 avril 2022 à 21:05-23:00 sur TFX

film : comédie dramatique

Durant l'été 1963, le docteur Jack Houseman quitte New York pour passer trois semaines dans un club de vacances avec sa femme Marjorie et ses deux filles. La cadette, Frances, dite Baby, s'ennuie à mourir, jusqu'au soir où une promenade l'entraîne vers les bâtiments réservés au personnel. Elle y découvre un spectacle étrange. Sur une musique tonitruante et entre des cascades de bière, les moniteurs s'exercent à une danse frénétique, la "Dirty Dancing", c'est-à-dire le mambo. Johnny Castle, le plus aguerri de ces danseurs sensuels et athlétiques, repère vite les qualités gestuelles et physiques de la jeune fille, dont il a par ailleurs reconnu le charme au premier coup d'oeil... - Critique : | Genre : lascif. La romance musicale la plus moite des années 1980, qui narre les amours de Patrick Swayze (Johnny) et de Jennifer Grey (« Bébé »), est plus populaire que jamais. Ou comment une bluette archidatée — voir la coupe banane-nuque-longue de Johnny, ou la tignasse façon caniche affolé de sa partenaire — a bénéficié de cette évolution quasi darwinienne qui, de temps en temps, peut transformer n'importe quoi en film dit « culte ». N'importe quoi, vraiment ? Rappelons qu'à la base il s'agit d'une gentille fille qui rencontre un (pas si) mauvais garçon pendant les vacances, hop ! il lui apprend à danser, hop ! ils s'aiment. Pas de quoi fouetter un chorégraphe, et pourtant... On ne compte plus, par exemple, les reprises (Black Eyed Peas en tête) de l'immortel tube du film (tous en choeur : « I've had... the time of my liiiiife ! »). Au cinéma, avec ses scènes de danse romantico-torrides, Dirty Dancing est devenu une référence. Ce n'est plus un film, c'est une technique de drague, utilisée entre autres par Romain Duris dans L'Arnacoeur ou par Ryan Gosling dans Crazy, Stupid, Love. C'est que, derrière la façade kitsch ou la nostalgie des années 80, se cache un universel récit d'initiation. Mais si : ­Dirty Dancing (ou, selon le titre québécois, Danse lascive) raconte l'éveil du corps à la sexualité, rien de moins. — Cécile Mury

Année : 1987

De : Emile Ardolino

Avec : Cousin Brucie, Charles 'Honi, Cynthia Rhodes, Jack Weston, Jane Brucker, Jennifer Grey, Jerry Orbach, Kelly Bishop, Kenny Ortega, Lonny Price, Max Cantor, Miranda Garrison, Neal Jones, Patrick Swayze

Dirty Dancing

Télévision : 24 décembre 2021 à 00:10-02:05 sur TF1

Comédie dramatique

Durant l'été 1963, le docteur Jack Houseman quitte New York pour passer trois semaines dans un club de vacances avec sa femme et ses filles. La cadette, Frances, dite Baby, s'ennuie, jusqu'au soir où une promenade l'entraîne vers les bâtiments réservés au personnel, où elle découvre un spectacle étrange...

Année : 1987

De : Emile Ardolino

Avec : Jennifer Grey, Patrick Swayze, Jerry Orbach, Cynthia Rhodes, Jack Weston, Jane Brucker, Lonny Price, Kelly Bishop, Max Cantor, Neal Jones, Wayne Knight, Paula Trueman, Charles 'Honi, Cousin Brucie, Alvin Myerovich, Miranda Garrison, Garry Goodrow, Antone Pagan, Thomas Cannold, M R Fletcher, Jesus Fuentes, Heather Lea, Karen Getz, Andrew Charles, D A Pauley, Doriana Sanchez, Jennifer Stahl, Jonathan Barnes, Dwyght Bryan, Tom Drake

Dirty Dancing

Télévision : 22 décembre 2021 à 17:00-18:40 sur TF1

Comédie dramatique

Durant l'été 1963, le docteur Jack Houseman quitte New York pour passer trois semaines dans un club de vacances avec sa femme et ses filles. La cadette, Frances, dite Baby, s'ennuie, jusqu'au soir où une promenade l'entraîne vers les bâtiments réservés au personnel, où elle découvre un spectacle étrange...

Année : 1987

De : Emile Ardolino

Avec : Jennifer Grey, Patrick Swayze, Jerry Orbach, Cynthia Rhodes, Jack Weston, Jane Brucker, Lonny Price, Kelly Bishop, Max Cantor, Neal Jones, Wayne Knight, Paula Trueman, Charles 'Honi, Cousin Brucie, Alvin Myerovich, Miranda Garrison, Garry Goodrow, Antone Pagan, Thomas Cannold, M R Fletcher, Jesus Fuentes, Heather Lea, Karen Getz, Andrew Charles, D A Pauley, Doriana Sanchez, Jennifer Stahl, Jonathan Barnes, Dwyght Bryan, Tom Drake

Dirty Dancing

Télévision : 21 juin 2021 à 23:00-01:00 sur TMC

Comédie dramatique

Durant l'été 1963, le docteur Jack Houseman quitte New York pour passer trois semaines dans un club de vacances avec sa femme et ses filles. La cadette, Frances, dite Baby, s'ennuie, jusqu'au soir où une promenade l'entraîne vers les bâtiments réservés au personnel, où elle découvre un spectacle étrange...

Année : 1987

De : Emile Ardolino

Avec : Jennifer Grey, Patrick Swayze, Jerry Orbach, Cynthia Rhodes, Jack Weston, Jane Brucker, Lonny Price, Kelly Bishop, Max Cantor, Neal Jones, Wayne Knight, Paula Trueman, Charles 'Honi, Cousin Brucie, Alvin Myerovich, Miranda Garrison, Garry Goodrow, Antone Pagan, Thomas Cannold, M R Fletcher, Jesus Fuentes, Heather Lea, Karen Getz, Andrew Charles, D A Pauley, Doriana Sanchez, Jennifer Stahl, Jonathan Barnes, Dwyght Bryan, Tom Drake

Dirty Dancing

Télévision : 14 juin 2021 à 21:15-23:05 sur TMC

Comédie dramatique

Durant l'été 1963, le docteur Jack Houseman quitte New York pour passer trois semaines dans un club de vacances avec sa femme et ses filles. La cadette, Frances, dite Baby, s'ennuie, jusqu'au soir où une promenade l'entraîne vers les bâtiments réservés au personnel, où elle découvre un spectacle étrange...

Année : 1987

De : Emile Ardolino

Avec : Jennifer Grey, Patrick Swayze, Jerry Orbach, Cynthia Rhodes, Jack Weston, Jane Brucker, Lonny Price, Kelly Bishop, Max Cantor, Neal Jones, Wayne Knight, Paula Trueman, Charles 'Honi, Cousin Brucie, Alvin Myerovich, Miranda Garrison, Garry Goodrow, Antone Pagan, Thomas Cannold, M R Fletcher, Jesus Fuentes, Heather Lea, Karen Getz, Andrew Charles, D A Pauley, Doriana Sanchez, Jennifer Stahl, Jonathan Barnes, Dwyght Bryan, Tom Drake