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Antérieurement en 2018
 

La meilleure façon de marcher

Télévision : 23 mars 2018 à 13:35-15:00 sur Arte

film : drame psychologique

Un film courageux et délicat sur les ambiguïtés de l'identité. Les deux Patrick, justes et fragiles, sont épatants. Critique : Film de Claude Miller (France, 1975). Scénario : C. Miller et Luc Béraud. Image : Bruno Nuytten. Musique : Alain Jomy. 85 mn. Avec Patrick Dewaere : Marc. Patrick Bouchitey : Philippe. Christine Pascal : Chantal. Claude Piéplu : le directeur. Marc Chapiteau : Gérard. Michel Blanc : Deloux. Genre : drame de l'identité. Marc et Philippe sont moniteurs dans une colonie de vacances. Un soir, Marc surprend Philippe déguisé en femme dans sa chambre. Entre eux, naît une relation trouble, faite de sadisme et de vénération. Claude Miller a tourné ce premier film en pensant à Ingmar Bergman, qui pleura, dans une interview, la prédestination de l'homme pour l'humiliation. A la sortie du film, il répéta même que le thème de l'homosexualité n'était que secondaire, par crainte d'être trop vite catalogué. Le happy end, très moral, prouve qu'il était encore impossible, dans les années 70, d'afficher un bonheur durable hors de la norme hétérosexuelle. Mais oublions cet­te fin un peu lâche, tant le reste du film brille par son courage et sa délicatesse. A travers des scènes courtes entrecoupées de fondus au noir qui portent conseil comme des nuits denses, Claude Miller - dont ce fut le premier long métrage - dit la souffrance qu'infligent les éraflures verbales d'autrui quand elles s'attaquent à une identité vacillante. Entre Marc et Philippe, le non-dit est un jeu d'autant plus cruel qu'il est conscient et évolutif. Si Philippe commence par être victime, il reprend le dessus quand la honte l'abandonne. A l'inverse, Marc a beau se protéger derrière sa virilité, il finit par flancher. Patrick De­waere choisit d'orienter son personnage vers cette fragilité : « Je vais le jouer comme si j'avais voulu rester dans la chambre de Philippe... », décréta-t-il après le tourna­ge de la scène clé où il surprend son compère travesti. Sa performance tient du miracle, tout comme celle de Patrick Bou­chitey, gracile, vulnérable. Marine Landrot

Année : 1975

Antérieurement en 2018
 

La meilleure façon de marcher

Télévision : 6 mars 2018 à 13:40-15:15 sur Arte

film : drame psychologique

Un film courageux et délicat sur les ambiguïtés de l'identité. Les deux Patrick, justes et fragiles, sont épatants. Critique : Film de Claude Miller (France, 1975). Scénario : C. Miller et Luc Béraud. Image : Bruno Nuytten. Musique : Alain Jomy. 85 mn. Avec Patrick Dewaere : Marc. Patrick Bouchitey : Philippe. Christine Pascal : Chantal. Claude Piéplu : le directeur. Marc Chapiteau : Gérard. Michel Blanc : Deloux. Genre : drame de l'identité. Marc et Philippe sont moniteurs dans une colonie de vacances. Un soir, Marc surprend Philippe déguisé en femme dans sa chambre. Entre eux, naît une relation trouble, faite de sadisme et de vénération. Claude Miller a tourné ce premier film en pensant à Ingmar Bergman, qui pleura, dans une interview, la prédestination de l'homme pour l'humiliation. A la sortie du film, il répéta même que le thème de l'homosexualité n'était que secondaire, par crainte d'être trop vite catalogué. Le happy end, très moral, prouve qu'il était encore impossible, dans les années 70, d'afficher un bonheur durable hors de la norme hétérosexuelle. Mais oublions cet­te fin un peu lâche, tant le reste du film brille par son courage et sa délicatesse. A travers des scènes courtes entrecoupées de fondus au noir qui portent conseil comme des nuits denses, Claude Miller - dont ce fut le premier long métrage - dit la souffrance qu'infligent les éraflures verbales d'autrui quand elles s'attaquent à une identité vacillante. Entre Marc et Philippe, le non-dit est un jeu d'autant plus cruel qu'il est conscient et évolutif. Si Philippe commence par être victime, il reprend le dessus quand la honte l'abandonne. A l'inverse, Marc a beau se protéger derrière sa virilité, il finit par flancher. Patrick De­waere choisit d'orienter son personnage vers cette fragilité : « Je vais le jouer comme si j'avais voulu rester dans la chambre de Philippe... », décréta-t-il après le tourna­ge de la scène clé où il surprend son compère travesti. Sa performance tient du miracle, tout comme celle de Patrick Bou­chitey, gracile, vulnérable. Marine Landrot

Année : 1975

Antérieurement en 2018
 

La meilleure façon de marcher

Télévision : 6 mars 2018 à 13:35-15:15 sur Arte

film : drame psychologique

Un film courageux et délicat sur les ambiguïtés de l'identité. Les deux Patrick, justes et fragiles, sont épatants. Critique : Film de Claude Miller (France, 1975). Scénario : C. Miller et Luc Béraud. Image : Bruno Nuytten. Musique : Alain Jomy. 85 mn. Avec Patrick Dewaere : Marc. Patrick Bouchitey : Philippe. Christine Pascal : Chantal. Claude Piéplu : le directeur. Marc Chapiteau : Gérard. Michel Blanc : Deloux. Genre : drame de l'identité. Marc et Philippe sont moniteurs dans une colonie de vacances. Un soir, Marc surprend Philippe déguisé en femme dans sa chambre. Entre eux, naît une relation trouble, faite de sadisme et de vénération. Claude Miller a tourné ce premier film en pensant à Ingmar Bergman, qui pleura, dans une interview, la prédestination de l'homme pour l'humiliation. A la sortie du film, il répéta même que le thème de l'homosexualité n'était que secondaire, par crainte d'être trop vite catalogué. Le happy end, très moral, prouve qu'il était encore impossible, dans les années 70, d'afficher un bonheur durable hors de la norme hétérosexuelle. Mais oublions cet­te fin un peu lâche, tant le reste du film brille par son courage et sa délicatesse. A travers des scènes courtes entrecoupées de fondus au noir qui portent conseil comme des nuits denses, Claude Miller - dont ce fut le premier long métrage - dit la souffrance qu'infligent les éraflures verbales d'autrui quand elles s'attaquent à une identité vacillante. Entre Marc et Philippe, le non-dit est un jeu d'autant plus cruel qu'il est conscient et évolutif. Si Philippe commence par être victime, il reprend le dessus quand la honte l'abandonne. A l'inverse, Marc a beau se protéger derrière sa virilité, il finit par flancher. Patrick De­waere choisit d'orienter son personnage vers cette fragilité : « Je vais le jouer comme si j'avais voulu rester dans la chambre de Philippe... », décréta-t-il après le tourna­ge de la scène clé où il surprend son compère travesti. Sa performance tient du miracle, tout comme celle de Patrick Bou­chitey, gracile, vulnérable. Marine Landrot

Année : 1975

Antérieurement en 2018
 

La meilleure façon de marcher

Télévision : 5 mars 2018 à 22:40-00:05 sur Arte

film : drame psychologique

Un film courageux et délicat sur les ambiguïtés de l'identité. Les deux Patrick, justes et fragiles, sont épatants. Critique : Film de Claude Miller (France, 1975). Scénario : C. Miller et Luc Béraud. Image : Bruno Nuytten. Musique : Alain Jomy. 85 mn. Avec Patrick Dewaere : Marc. Patrick Bouchitey : Philippe. Christine Pascal : Chantal. Claude Piéplu : le directeur. Marc Chapiteau : Gérard. Michel Blanc : Deloux. Genre : drame de l'identité. Marc et Philippe sont moniteurs dans une colonie de vacances. Un soir, Marc surprend Philippe déguisé en femme dans sa chambre. Entre eux, naît une relation trouble, faite de sadisme et de vénération. Claude Miller a tourné ce premier film en pensant à Ingmar Bergman, qui pleura, dans une interview, la prédestination de l'homme pour l'humiliation. A la sortie du film, il répéta même que le thème de l'homosexualité n'était que secondaire, par crainte d'être trop vite catalogué. Le happy end, très moral, prouve qu'il était encore impossible, dans les années 70, d'afficher un bonheur durable hors de la norme hétérosexuelle. Mais oublions cet­te fin un peu lâche, tant le reste du film brille par son courage et sa délicatesse. A travers des scènes courtes entrecoupées de fondus au noir qui portent conseil comme des nuits denses, Claude Miller - dont ce fut le premier long métrage - dit la souffrance qu'infligent les éraflures verbales d'autrui quand elles s'attaquent à une identité vacillante. Entre Marc et Philippe, le non-dit est un jeu d'autant plus cruel qu'il est conscient et évolutif. Si Philippe commence par être victime, il reprend le dessus quand la honte l'abandonne. A l'inverse, Marc a beau se protéger derrière sa virilité, il finit par flancher. Patrick De­waere choisit d'orienter son personnage vers cette fragilité : « Je vais le jouer comme si j'avais voulu rester dans la chambre de Philippe... », décréta-t-il après le tourna­ge de la scène clé où il surprend son compère travesti. Sa performance tient du miracle, tout comme celle de Patrick Bou­chitey, gracile, vulnérable. Marine Landrot

Année : 1975

Antérieurement en 2017
 

Plein Sud - Blu-ray

DVD/Blu-ray : 11 octobre 2017

Année : 1981

De : Luc Béraud

Avec : Patrick Dewaere, Clio Goldsmith, Jeanne Moreau, Pierre Dux, Guy Marchand, José Luis López Vázquez

Antérieurement en 2017
 

Courgette : La vie c'est mieux quand on est grand ...

DVD/Blu-ray : 25 avril 2017

Année : 2008

De : Luc Béraud

Avec : Daniel Russo, Christine Citti, Antoine Fonck, Stéphane Bissot, Thierry Gibault, Sandy Lewis

Antérieurement en 2017
 

La petite amie

Télévision : 14 février 2017 à 02:35-04:00 sur M6

comédie

Martin Morel, riche entrepreneur de travaux publics, travaille en collaboration avec Guillaume Bertin, un architecte doué, mais maladroit et empoté. Martin décide de se servir de son difficile associé pour se tirer d'une situation épineuse, lors d'un séjour à la neige. Il le fait passer auprès de sa femme, Béatrice, et de ses invités, pour le petit ami d'Agnès, la jeune et belle secrétaire qu'il vient de séduire. Le début du séjour, compliqué par des avalanches, tourne à la catastrophe. Guillaume ne réussit guère qu'à s'attirer la sympathie intéressée de Benoît et la compréhension de Béatrice, alors qu'Agnès l'écrase de son mépris et que Martin l'utilise au gré de ses besoins...

Année : 1988

De : Luc Béraud

Avec : Jean Poiret, Jacques Villeret, Agnès Blanchot, Eva Darlan, Jacques Sereys, Catherine Hiegel, Jacques Boudet, Catherine Arditi

Antérieurement en 2017
 

La petite amie

Télévision : 23 janvier 2017 à 01:45-03:10 sur M6

comédie

Martin Morel, riche entrepreneur de travaux publics, travaille en collaboration avec Guillaume Bertin, un architecte doué, mais maladroit et empoté. Martin décide de se servir de son difficile associé pour se tirer d'une situation épineuse, lors d'un séjour à la neige. Il le fait passer auprès de sa femme, Béatrice, et de ses invités, pour le petit ami d'Agnès, la jeune et belle secrétaire qu'il vient de séduire. Le début du séjour, compliqué par des avalanches, tourne à la catastrophe. Guillaume ne réussit guère qu'à s'attirer la sympathie intéressée de Benoît et la compréhension de Béatrice, alors qu'Agnès l'écrase de son mépris et que Martin l'utilise au gré de ses besoins...

Année : 1988

De : Luc Béraud

Avec : Jean Poiret, Jacques Villeret, Agnès Blanchot, Eva Darlan, Jacques Sereys, Catherine Hiegel, Jacques Boudet, Catherine Arditi