Télévision : 27 juin à 21:10-21:55 sur TF1 Séries Films
série policière
Venin familial. Saison:7 - Episode:18 - Ken Randall, le fils de l'inspecteur Odafin Tutuola, a été arrêté en pleine nuit dans un terrain vague où il était en train de creuser. Il affirme s'être rendu dans un bar où il a entendu un homme avouer le meurtre d'une femme. Il serait ensuite allé sur les lieux du crime pour tenter de retrouver le corps de la victime. Cependant, sa version des faits n'est pas très crédible et il risque d'être inculpé pour meurtre. Ken demande de l'aide à Benson. Odafin est fermement décidé à faire lui-même toute la lumière sur cette affaire, et à sauver son fils de la terrible menace qui pèse sur sa tête...
Année : 2005
Avec : BD Wong, Belzer Richard, Christopher Meloni, Dann Florek, Darnell Williams, Diane Neal, Ernest Waddell, ICE-T, Joe Grifasi, LisaGay Hamilton, Mariska Hargitay, Tamara Tunie
Télévision : 25 juin à 13:35-16:10 sur Arte
film policier
Jackie Brown, une hôtesse de l'air travaillant pour une compagnie aérienne minable, arrondit ses fins de mois en convoyant de l'argent pour un trafiquant d'armes, Ordell Robbie. Arrêtée par la police, elle refuse de donner le nom de son commanditaire. Mais Ordell soupçonne Jackie d'avoir parlé et décide, avec la complicité de Max Cherry, un prêteur sur gages, de lui rendre visite afin de s'assurer définitivement de son silence. Après avoir résisté à Ordell grâce à l'arme qu'elle a volée à Max, Jackie décide de tromper son monde en concoctant un plan machiavélique. Elle s'assure de la collaboration de la police, puis propose à Ordell d'effectuer un dernier convoyage... - Critique : L'hôtesse de l'air Jackie Brown passe en fraude du fric sale pour le compte du gangster Ordell Robbie. Elle s'apprête à blouser tout le monde dans les grandes largeurs. Ce « coup » fumant se monte au rythme poisseux d'une musique omniprésente, mais aussi des conversations. On connaît le goût de Quentin Tarantino pour les personnages intarissables. Dans Jackie Brown, on ne flingue plus (enfin, juste ce qu'il faut...), mais on cause de plus belle. On chipote sur la couleur et le motif d'un sac de supermarché, on digresse sur les vieux disques en vinyle. L'arnaque est répétée comme une pièce de théâtre qui se jouerait sur la scène d'un centre commercial, entre une cafétéria et un magasin de vêtements — lieux passe-partout d'une Amérique standard. Le roman d'Elmore Leonard se passait à Miami. Tarantino l'a transposé dans la South Bay, ces banlieues mornes et ensoleillées de Los Angeles. Il nous balade ainsi jusqu'à ce que l'absence d'effets, de trucs fasse son effet. Jusqu'à ce que les protagonistes de cette assez mince intrigue imposent leur présence, deviennent chair à fiction. Et mémorables. Au travers de ces losers sympathiques, Tarantino suggère une morale, peu orthodoxe, mais qui étonnera ceux qui guettaient l'explosion de violence d'un polar de plus. Ce grand cinéaste mineur a su se rendre imprévisible.
Année : 1997
Avec : Fonda Bridget, Forster Robert, Hattie Winston, LisaGay Hamilton, Lister Tiny, Michael Bowen, Michael Keaton, Pam Grier, Robert De, Samuel L, Sid Haig, Tucker Chris
Télévision : 22 juin à 21:00-23:30 sur Arte
film policier
Jackie Brown, une hôtesse de l'air travaillant pour une compagnie aérienne minable, arrondit ses fins de mois en convoyant de l'argent pour un trafiquant d'armes, Ordell Robbie. Arrêtée par la police, elle refuse de donner le nom de son commanditaire. Mais Ordell soupçonne Jackie d'avoir parlé et décide, avec la complicité de Max Cherry, un prêteur sur gages, de lui rendre visite afin de s'assurer définitivement de son silence. Après avoir résisté à Ordell grâce à l'arme qu'elle a volée à Max, Jackie décide de tromper son monde en concoctant un plan machiavélique. Elle s'assure de la collaboration de la police, puis propose à Ordell d'effectuer un dernier convoyage... - Critique : L'hôtesse de l'air Jackie Brown passe en fraude du fric sale pour le compte du gangster Ordell Robbie. Elle s'apprête à blouser tout le monde dans les grandes largeurs. Ce « coup » fumant se monte au rythme poisseux d'une musique omniprésente, mais aussi des conversations. On connaît le goût de Quentin Tarantino pour les personnages intarissables. Dans Jackie Brown, on ne flingue plus (enfin, juste ce qu'il faut...), mais on cause de plus belle. On chipote sur la couleur et le motif d'un sac de supermarché, on digresse sur les vieux disques en vinyle. L'arnaque est répétée comme une pièce de théâtre qui se jouerait sur la scène d'un centre commercial, entre une cafétéria et un magasin de vêtements — lieux passe-partout d'une Amérique standard. Le roman d'Elmore Leonard se passait à Miami. Tarantino l'a transposé dans la South Bay, ces banlieues mornes et ensoleillées de Los Angeles. Il nous balade ainsi jusqu'à ce que l'absence d'effets, de trucs fasse son effet. Jusqu'à ce que les protagonistes de cette assez mince intrigue imposent leur présence, deviennent chair à fiction. Et mémorables. Au travers de ces losers sympathiques, Tarantino suggère une morale, peu orthodoxe, mais qui étonnera ceux qui guettaient l'explosion de violence d'un polar de plus. Ce grand cinéaste mineur a su se rendre imprévisible.
Année : 1997
Avec : Fonda Bridget, Forster Robert, Hattie Winston, LisaGay Hamilton, Lister Tiny, Michael Bowen, Michael Keaton, Pam Grier, Robert De, Samuel L, Sid Haig, Tucker Chris