Kurt Luedtke : passages TV

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Antérieurement en 2018
 

Out of Africa

Télévision : 20 mai 2018 à 20:55-23:35 sur Numéro 23

film : drame

Magnifiques images de la vie africaine de Karen Blixen. Un beau roman classique, aux sentiments, aux paysages et à la musique qui tuent. Critique : | Genre : fresque sentimentale. « J’avais une ferme en Afrique, au pied de la montagne Ngong. » Il suffit que ces mots résonnent pour que les souvenirs de Karen Blixen apparaissent : une silhouette minuscule dans le soleil orange, un couple qui danse, une boussole, gage d’une affection perdue, et un gramophone qui diffuse du Mozart. Oui, elle avait possédé une ferme en Afrique. C’était en 1914. Venant de son Danemark natal, elle allait se découvrir une double passion. Pour une terre et pour un homme, aussi sauvages l’un que l’autre… Sydney Pollack a tourné un vrai « classique » au sens où l’entendait la littérature française du xviie siècle. Ses armes : suggestion et litote. Au plus fort du désir qui la porte vers Denys Finch Hatton (Robert Redford), Karen von Blixen (Meryl Streep) murmure une phrase presque racinienne : « Si, dans ce moment, vous me disiez quelque chose, je le croirais. » Et, sur la musique de John Barry, on soupçonne le réalisateur de n’avoir tourné ce film que pour la seconde où Robert Redford, après un danger, essuie la goutte de sang qui a perlé sur les lèvres de Meryl Streep. Aussi beau et troublant qu’un film de Sirk ou de Borzage.

Année : 1985

Avec : Meryl Streep, Robert Redford, Klaus Maria Brandauer, Michael Kitchen, Malick Bowens, Joseph Thiaka, Stephen Kinyanjui, Michael Gough, Sydney Pollack, John Barry, Kurt Luedtke, Karen Blixen, Judith Thurman, Errol Trzebinski, Stephen B Grimes, David Watkin

Antérieurement en 2018
 

Out of Africa

Télévision : 18 janvier 2018 à 13:35-16:30 sur Arte

film : drame

Magnifiques images de la vie africaine de Karen Blixen. Un beau roman classique, aux sentiments, aux paysages et à la musique qui tuent. Critique : Film de Sydney Pollack (USA, 1985). Scénario : Kurt Luedtke, d'après Karen Blixen. Image : David Watkin. Musique : John Barry. 165 mn. VF. Avec Meryl Streep : Karen Blixen. Robert Redford : Denys Finch Hatton. Klaus Maria Brandauer : baron von Blixen-Finecke. Genre : fresque sentimentale. « J'avais une ferme en Afrique, au pied de la montagne du Ngong. » La voix est cassée, rendue rugueuse par l'accent du Nord. Mais il suffit que ces mots résonnent pour que les souvenirs de Karen Blixen apparaissent : une silhouette minuscule dans le soleil orange, un couple qui danse, une boussole, gage d'une affection perdue, et un gramophone sur lequel un 78-tours égrène du Mozart. Oui, elle avait possédé une ferme en Afrique. C'était en 1914. Venant de son Danemark natal, elle allait se découvrir une double passion. Pour une terre et pour un homme aussi sauvages l'un que l'autre... Pollack a tourné un « classique », au sens où l'entendait la littérature française du XVIIe siècle. Ses armes : suggestion et litote. Au plus fort du désir qui la porte vers Robert Redford, Meryl Streep murmure une phrase presque racinienne : « Si, dans ce moment, vous me disiez quelque chose, je le croirais. » Et sur la musique romantique de John Barry, on soupçonne Pollack de n'avoir tourné ce film que pour la seconde où Redford, après un danger encouru, essuie la goutte de sang qui a perlé sur les lèvres de Meryl Streep. Aussi beau et troublant qu'un film de Sirk ou de Borzage. Pierre Murat

Année : 1985

Antérieurement en 2018
 

Out of Africa

Télévision : 10 janvier 2018 à 13:35-16:30 sur Arte

film : drame

Magnifiques images de la vie africaine de Karen Blixen. Un beau roman classique, aux sentiments, aux paysages et à la musique qui tuent. Critique : Film de Sydney Pollack (USA, 1985). Scénario : Kurt Luedtke, d'après Karen Blixen. Image : David Watkin. Musique : John Barry. 165 mn. VF. Avec Meryl Streep : Karen Blixen. Robert Redford : Denys Finch Hatton. Klaus Maria Brandauer : baron von Blixen-Finecke. Genre : fresque sentimentale. « J'avais une ferme en Afrique, au pied de la montagne du Ngong. » La voix est cassée, rendue rugueuse par l'accent du Nord. Mais il suffit que ces mots résonnent pour que les souvenirs de Karen Blixen apparaissent : une silhouette minuscule dans le soleil orange, un couple qui danse, une boussole, gage d'une affection perdue, et un gramophone sur lequel un 78-tours égrène du Mozart. Oui, elle avait possédé une ferme en Afrique. C'était en 1914. Venant de son Danemark natal, elle allait se découvrir une double passion. Pour une terre et pour un homme aussi sauvages l'un que l'autre... Pollack a tourné un « classique », au sens où l'entendait la littérature française du XVIIe siècle. Ses armes : suggestion et litote. Au plus fort du désir qui la porte vers Robert Redford, Meryl Streep murmure une phrase presque racinienne : « Si, dans ce moment, vous me disiez quelque chose, je le croirais. » Et sur la musique romantique de John Barry, on soupçonne Pollack de n'avoir tourné ce film que pour la seconde où Redford, après un danger encouru, essuie la goutte de sang qui a perlé sur les lèvres de Meryl Streep. Aussi beau et troublant qu'un film de Sirk ou de Borzage. Pierre Murat

Année : 1985