Katia Wyszkop : passages TV

Créez gratuitement votre compte Evernext pour être averti de toutes les actualités de Katia Wyszkop.

Créer mon compte

Antérieurement en 2018
 

Rodin

Télévision : 24 juillet 2018 à 23:25-01:20 sur Canal +

film : divers

A rebours des clichés et du biopic classique, Jacques Doillon, cinéaste de la parole, se concentre, cette fois, sur la beauté du labeur créatif, aidé par un Vincent Lindon habité. Critique : | Genre : artiste et modèle. Le premier plan-séquence est splendide : sinueux, il glisse dans un atelier de sculpteur, entre les rideaux qui séparent vaguement l’espace, les ébauches entassées sur l’étagère, quelques employés qui s’affairent et Rodin, lourd, massif, comme fait d’un seul bloc de chair, qui va, vient, étudie, mesure, compare… A chaque instant, le cinéaste insiste sur l’effort, le doute, la peine, le labeur. Pour lui, de toute évidence, le talent naît du travail. Il n’est même que ça. Certes, on voit le sculpteur avec celle qui sera sa passion : Camille Claudel. Et avec la femme qu’il épousera : Rose Beuret. Mais l’essentiel, pour lui, dans ce film qui a déçu, parce qu’éloigné des biographies traditionnelles, c’est de montrer le sculpteur à la tâche. D’en faire un mons­tre barbu et grommelant (Vincent Lindon) parcourant, en longues enjambées, son univers, toujours en quête d’une idée. On le voit plonger à pleines mains une longue robe de chambre dans du plâtre, l’imprégner, la malaxer, la pétrir et l’envelopper, toute dégoulinante encore, sur les épaules de son Balzac, statue que ses contemporains détesteront. Il l’ajuste tant bien que mal, la regarde comme si sa vie en dépendait. Bref, Doillon s’attarde sur Lindon, son Rodin, qui contemple son Balzac en train de prendre forme. D’exister…

Année : 2017

Avec : Jacques Doillon, Vincent Lindon, Izïa Higelin, Séverine Caneele, Bernard Verley, Anders Danielsen Lie, Arthur Nauzyciel, Laurent Poitrenaux, Olivier Cadiot, Philippe Sarde, Jacques Doillon, Katia Wyszkop, Christophe Beaucarne

Antérieurement en 2018
 

Rodin

Télévision : 26 juin 2018 à 09:55-11:50 sur Canal +

film : divers

A rebours des clichés et du biopic classique, Jacques Doillon, cinéaste de la parole, se concentre, cette fois, sur la beauté du labeur créatif, aidé par un Vincent Lindon habité. Critique : | Genre : artiste et modèle. Le premier plan-séquence est splendide : sinueux, il glisse dans un atelier de sculpteur, entre les rideaux qui séparent vaguement l’espace, les ébauches entassées sur l’étagère, quelques employés qui s’affairent et Rodin, lourd, massif, comme fait d’un seul bloc de chair, qui va, vient, étudie, mesure, compare… A chaque instant, le cinéaste insiste sur l’effort, le doute, la peine, le labeur. Pour lui, de toute évidence, le talent naît du travail. Il n’est même que ça. Certes, on voit le sculpteur avec celle qui sera sa passion : Camille Claudel. Et avec la femme qu’il épousera : Rose Beuret. Mais l’essentiel, pour lui, dans ce film qui a déçu, parce qu’éloigné des biographies traditionnelles, c’est de montrer le sculpteur à la tâche. D’en faire un mons­tre barbu et grommelant (Vincent Lindon) parcourant, en longues enjambées, son univers, toujours en quête d’une idée. On le voit plonger à pleines mains une longue robe de chambre dans du plâtre, l’imprégner, la malaxer, la pétrir et l’envelopper, toute dégoulinante encore, sur les épaules de son Balzac, statue que ses contemporains détesteront. Il l’ajuste tant bien que mal, la regarde comme si sa vie en dépendait. Bref, Doillon s’attarde sur Lindon, son Rodin, qui contemple son Balzac en train de prendre forme. D’exister…

Année : 2017

Avec : Jacques Doillon, Vincent Lindon, Izïa Higelin, Séverine Caneele, Bernard Verley, Anders Danielsen Lie, Arthur Nauzyciel, Laurent Poitrenaux, Olivier Cadiot, Philippe Sarde, Jacques Doillon, Katia Wyszkop, Christophe Beaucarne

Antérieurement en 2018
 

Rodin

Télévision : 4 juin 2018 à 13:35-15:30 sur Canal +

film : divers

A rebours des clichés et du biopic classique, Jacques Doillon, cinéaste de la parole, se concentre, cette fois, sur la beauté du labeur créatif, aidé par un Vincent Lindon habité. Critique : | Genre : artiste et modèle. Le premier plan-séquence est splendide : sinueux, il glisse dans un atelier de sculpteur, entre les rideaux qui séparent vaguement l’espace, les ébauches entassées sur l’étagère, quelques employés qui s’affairent et Rodin, lourd, massif, comme fait d’un seul bloc de chair, qui va, vient, étudie, mesure, compare… A chaque instant, le cinéaste insiste sur l’effort, le doute, la peine, le labeur. Pour lui, de toute évidence, le talent naît du travail. Il n’est même que ça. Certes, on voit le sculpteur avec celle qui sera sa passion : Camille Claudel. Et avec la femme qu’il épousera : Rose Beuret. Mais l’essentiel, pour lui, dans ce film qui a déçu, parce qu’éloigné des biographies traditionnelles, c’est de montrer le sculpteur à la tâche. D’en faire un mons­tre barbu et grommelant (Vincent Lindon) parcourant, en longues enjambées, son univers, toujours en quête d’une idée. On le voit plonger à pleines mains une longue robe de chambre dans du plâtre, l’imprégner, la malaxer, la pétrir et l’envelopper, toute dégoulinante encore, sur les épaules de son Balzac, statue que ses contemporains détesteront. Il l’ajuste tant bien que mal, la regarde comme si sa vie en dépendait. Bref, Doillon s’attarde sur Lindon, son Rodin, qui contemple son Balzac en train de prendre forme. D’exister…

Année : 2017

Avec : Jacques Doillon, Vincent Lindon, Izïa Higelin, Séverine Caneele, Bernard Verley, Anders Danielsen Lie, Arthur Nauzyciel, Laurent Poitrenaux, Olivier Cadiot, Philippe Sarde, Jacques Doillon, Katia Wyszkop, Christophe Beaucarne

Antérieurement en 2018
 

Rodin

Télévision : 25 mai 2018 à 10:05-12:05 sur Canal +

film : divers

A rebours des clichés et du biopic classique, Jacques Doillon, cinéaste de la parole, se concentre, cette fois, sur la beauté du labeur créatif, aidé par un Vincent Lindon habité. Critique : | Genre : artiste et modèle. Le premier plan-séquence est splendide : sinueux, il glisse dans un atelier de sculpteur, entre les rideaux qui séparent vaguement l’espace, les ébauches entassées sur l’étagère, quelques employés qui s’affairent et Rodin, lourd, massif, comme fait d’un seul bloc de chair, qui va, vient, étudie, mesure, compare… A chaque instant, le cinéaste insiste sur l’effort, le doute, la peine, le labeur. Pour lui, de toute évidence, le talent naît du travail. Il n’est même que ça. Certes, on voit le sculpteur avec celle qui sera sa passion : Camille Claudel. Et avec la femme qu’il épousera : Rose Beuret. Mais l’essentiel, pour lui, dans ce film qui a déçu, parce qu’éloigné des biographies traditionnelles, c’est de montrer le sculpteur à la tâche. D’en faire un mons­tre barbu et grommelant (Vincent Lindon) parcourant, en longues enjambées, son univers, toujours en quête d’une idée. On le voit plonger à pleines mains une longue robe de chambre dans du plâtre, l’imprégner, la malaxer, la pétrir et l’envelopper, toute dégoulinante encore, sur les épaules de son Balzac, statue que ses contemporains détesteront. Il l’ajuste tant bien que mal, la regarde comme si sa vie en dépendait. Bref, Doillon s’attarde sur Lindon, son Rodin, qui contemple son Balzac en train de prendre forme. D’exister…

Année : 2017

Avec : Jacques Doillon, Vincent Lindon, Izïa Higelin, Séverine Caneele, Bernard Verley, Anders Danielsen Lie, Arthur Nauzyciel, Laurent Poitrenaux, Olivier Cadiot, Philippe Sarde, Jacques Doillon, Katia Wyszkop, Christophe Beaucarne

Antérieurement en 2018
 

Rodin

Télévision : 21 mai 2018 à 23:52-01:45 sur Canal +

film : divers

A rebours des clichés et du biopic classique, Jacques Doillon, cinéaste de la parole, se concentre, cette fois, sur la beauté du labeur créatif, aidé par un Vincent Lindon habité. Critique : | Genre : artiste et modèle. Le premier plan-séquence est splendide : sinueux, il glisse dans un atelier de sculpteur, entre les rideaux qui séparent vaguement l’espace, les ébauches entassées sur l’étagère, quelques employés qui s’affairent et Rodin, lourd, massif, comme fait d’un seul bloc de chair, qui va, vient, étudie, mesure, compare… A chaque instant, le cinéaste insiste sur l’effort, le doute, la peine, le labeur. Pour lui, de toute évidence, le talent naît du travail. Il n’est même que ça. Certes, on voit le sculpteur avec celle qui sera sa passion : Camille Claudel. Et avec la femme qu’il épousera : Rose Beuret. Mais l’essentiel, pour lui, dans ce film qui a déçu, parce qu’éloigné des biographies traditionnelles, c’est de montrer le sculpteur à la tâche. D’en faire un mons­tre barbu et grommelant (Vincent Lindon) parcourant, en longues enjambées, son univers, toujours en quête d’une idée. On le voit plonger à pleines mains une longue robe de chambre dans du plâtre, l’imprégner, la malaxer, la pétrir et l’envelopper, toute dégoulinante encore, sur les épaules de son Balzac, statue que ses contemporains détesteront. Il l’ajuste tant bien que mal, la regarde comme si sa vie en dépendait. Bref, Doillon s’attarde sur Lindon, son Rodin, qui contemple son Balzac en train de prendre forme. D’exister…

Année : 2017

Avec : Vincent Lindon, Edward Akrout, Izïa Higelin, Olivia Baes, Zina Esepciuc, Séverine Caneele, Jacques Doillon, Jacques Doillon, Philippe Sarde, Katia Wyszkop, Christophe Beaucarne

Antérieurement en 2018
 

Rodin

Télévision : 21 mai 2018 à 23:50-01:45 sur Canal +

film : divers

A rebours des clichés et du biopic classique, Jacques Doillon, cinéaste de la parole, se concentre, cette fois, sur la beauté du labeur créatif, aidé par un Vincent Lindon habité. Critique : | Genre : artiste et modèle. Le premier plan-séquence est splendide : sinueux, il glisse dans un atelier de sculpteur, entre les rideaux qui séparent vaguement l’espace, les ébauches entassées sur l’étagère, quelques employés qui s’affairent et Rodin, lourd, massif, comme fait d’un seul bloc de chair, qui va, vient, étudie, mesure, compare… A chaque instant, le cinéaste insiste sur l’effort, le doute, la peine, le labeur. Pour lui, de toute évidence, le talent naît du travail. Il n’est même que ça. Certes, on voit le sculpteur avec celle qui sera sa passion : Camille Claudel. Et avec la femme qu’il épousera : Rose Beuret. Mais l’essentiel, pour lui, dans ce film qui a déçu, parce qu’éloigné des biographies traditionnelles, c’est de montrer le sculpteur à la tâche. D’en faire un mons­tre barbu et grommelant (Vincent Lindon) parcourant, en longues enjambées, son univers, toujours en quête d’une idée. On le voit plonger à pleines mains une longue robe de chambre dans du plâtre, l’imprégner, la malaxer, la pétrir et l’envelopper, toute dégoulinante encore, sur les épaules de son Balzac, statue que ses contemporains détesteront. Il l’ajuste tant bien que mal, la regarde comme si sa vie en dépendait. Bref, Doillon s’attarde sur Lindon, son Rodin, qui contemple son Balzac en train de prendre forme. D’exister…

Année : 2017

Avec : Vincent Lindon, Edward Akrout, Izïa Higelin, Olivia Baes, Zina Esepciuc, Séverine Caneele, Jacques Doillon, Jacques Doillon, Philippe Sarde, Katia Wyszkop, Christophe Beaucarne

Antérieurement en 2018
 

Rodin

Télévision : 16 mai 2018 à 21:04-23:03 sur Canal +

film : divers

A rebours des clichés et du biopic classique, Jacques Doillon, cinéaste de la parole, se concentre, cette fois, sur la beauté du labeur créatif, aidé par un Vincent Lindon habité. Critique : | Genre : artiste et modèle. Le premier plan-séquence est splendide : sinueux, il glisse dans un atelier de sculpteur, entre les rideaux qui séparent vaguement l’espace, les ébauches entassées sur l’étagère, quelques employés qui s’affairent et Rodin, lourd, massif, comme fait d’un seul bloc de chair, qui va, vient, étudie, mesure, compare… A chaque instant, le cinéaste insiste sur l’effort, le doute, la peine, le labeur. Pour lui, de toute évidence, le talent naît du travail. Il n’est même que ça. Certes, on voit le sculpteur avec celle qui sera sa passion : Camille Claudel. Et avec la femme qu’il épousera : Rose Beuret. Mais l’essentiel, pour lui, dans ce film qui a déçu, parce qu’éloigné des biographies traditionnelles, c’est de montrer le sculpteur à la tâche. D’en faire un mons­tre barbu et grommelant (Vincent Lindon) parcourant, en longues enjambées, son univers, toujours en quête d’une idée. On le voit plonger à pleines mains une longue robe de chambre dans du plâtre, l’imprégner, la malaxer, la pétrir et l’envelopper, toute dégoulinante encore, sur les épaules de son Balzac, statue que ses contemporains détesteront. Il l’ajuste tant bien que mal, la regarde comme si sa vie en dépendait. Bref, Doillon s’attarde sur Lindon, son Rodin, qui contemple son Balzac en train de prendre forme. D’exister…

Année : 2017

Avec : Vincent Lindon, Edward Akrout, Izïa Higelin, Olivia Baes, Zina Esepciuc, Séverine Caneele, Jacques Doillon, Jacques Doillon, Philippe Sarde, Katia Wyszkop, Christophe Beaucarne

Antérieurement en 2018
 

Rodin

Télévision : 16 mai 2018 à 21:03-23:03 sur Canal +

film : divers

A rebours des clichés et du biopic classique, Jacques Doillon, cinéaste de la parole, se concentre, cette fois, sur la beauté du labeur créatif, aidé par un Vincent Lindon habité. Critique : | Genre : artiste et modèle. Le premier plan-séquence est splendide : sinueux, il glisse dans un atelier de sculpteur, entre les rideaux qui séparent vaguement l’espace, les ébauches entassées sur l’étagère, quelques employés qui s’affairent et Rodin, lourd, massif, comme fait d’un seul bloc de chair, qui va, vient, étudie, mesure, compare… A chaque instant, le cinéaste insiste sur l’effort, le doute, la peine, le labeur. Pour lui, de toute évidence, le talent naît du travail. Il n’est même que ça. Certes, on voit le sculpteur avec celle qui sera sa passion : Camille Claudel. Et avec la femme qu’il épousera : Rose Beuret. Mais l’essentiel, pour lui, dans ce film qui a déçu, parce qu’éloigné des biographies traditionnelles, c’est de montrer le sculpteur à la tâche. D’en faire un mons­tre barbu et grommelant (Vincent Lindon) parcourant, en longues enjambées, son univers, toujours en quête d’une idée. On le voit plonger à pleines mains une longue robe de chambre dans du plâtre, l’imprégner, la malaxer, la pétrir et l’envelopper, toute dégoulinante encore, sur les épaules de son Balzac, statue que ses contemporains détesteront. Il l’ajuste tant bien que mal, la regarde comme si sa vie en dépendait. Bref, Doillon s’attarde sur Lindon, son Rodin, qui contemple son Balzac en train de prendre forme. D’exister…

Année : 2017

Avec : Vincent Lindon, Edward Akrout, Izïa Higelin, Olivia Baes, Zina Esepciuc, Séverine Caneele, Jacques Doillon, Jacques Doillon, Philippe Sarde, Katia Wyszkop, Christophe Beaucarne

Antérieurement en 2018
 

Rodin

Télévision : 16 mai 2018 à 21:03-23:00 sur Canal +

film : divers

A rebours des clichés et du biopic classique, Jacques Doillon, cinéaste de la parole, se concentre, cette fois, sur la beauté du labeur créatif, aidé par un Vincent Lindon habité. Critique : | Genre : artiste et modèle. Le premier plan-séquence est splendide : sinueux, il glisse dans un atelier de sculpteur, entre les rideaux qui séparent vaguement l’espace, les ébauches entassées sur l’étagère, quelques employés qui s’affairent et Rodin, lourd, massif, comme fait d’un seul bloc de chair, qui va, vient, étudie, mesure, compare… A chaque instant, le cinéaste insiste sur l’effort, le doute, la peine, le labeur. Pour lui, de toute évidence, le talent naît du travail. Il n’est même que ça. Certes, on voit le sculpteur avec celle qui sera sa passion : Camille Claudel. Et avec la femme qu’il épousera : Rose Beuret. Mais l’essentiel, pour lui, dans ce film qui a déçu, parce qu’éloigné des biographies traditionnelles, c’est de montrer le sculpteur à la tâche. D’en faire un mons­tre barbu et grommelant (Vincent Lindon) parcourant, en longues enjambées, son univers, toujours en quête d’une idée. On le voit plonger à pleines mains une longue robe de chambre dans du plâtre, l’imprégner, la malaxer, la pétrir et l’envelopper, toute dégoulinante encore, sur les épaules de son Balzac, statue que ses contemporains détesteront. Il l’ajuste tant bien que mal, la regarde comme si sa vie en dépendait. Bref, Doillon s’attarde sur Lindon, son Rodin, qui contemple son Balzac en train de prendre forme. D’exister…

Année : 2017

Avec : Vincent Lindon, Edward Akrout, Izïa Higelin, Olivia Baes, Zina Esepciuc, Séverine Caneele, Jacques Doillon, Jacques Doillon, Philippe Sarde, Katia Wyszkop, Christophe Beaucarne