John Justin : dernières sorties DVD/Blu-ray

Créez gratuitement votre compte Evernext pour être averti de toutes les actualités de John Justin.

Créer mon compte

Antérieurement en 2020
 

Le Mur du son (Combo Blu-ray + DVD) - Blu-ray

DVD/Blu-ray : 27 mai 2020

Editeur : Studiocanal

Année : 1952

De : David Lean

Avec : Ralph Richardson, Ann Todd, Nigel Patrick, John Justin, Dinah Sheridan, Joseph Tomelty, Denholm Elliott, Jack Allen, Ralph Michael

Antérieurement en 2018
 

La Salamandre d'Or - DVD

DVD/Blu-ray : 20 juin 2018

Année : 1962

De : Maurice Régamey

Avec : Jean-Claude Pascal, Valérie Lagrange, Madeleine Robinson, Michel Galabru, John Justin, Claude Titre, Antoine Balpêtré, Scilla Gabel

Antérieurement en 2017
 

Le voleur de Bagdad

Télévision : 7 novembre 2017 à 13:35-15:40 sur Arte

film fantastique

Jaffar a ravi son trône à Ahmad et l'a jeté en prison. Ce dernier y rencontre le futé Abu et s'évade. Ahmad rencontre alors l'amour sous les traits d'une merveilleuse princesse. Superbe conte des Mille et Une Nuits, dans un Technicolor chatoyant. A vous faire voler sur un tapis ! - Critique : Film de Michael Powell, Ludwig Berger et Tim Whelan (The Thief of Bagdad, GB/USA, 1940). Scénario : Lajos Biro, d'après Miles Malleson. Image : Georges Périnal, Osmond Borodaille. Musique : Miklos Rozsa. 105 mn. VM. Avec Conrad Veidt : Jaffar. Sabu : Abu. John Justin : le roi Ahmad. June Duprez : la princesse. Rex Ingram : le génie.

Genre : aventures exotiques et magnifiques.

Un jeune aveugle et son chien sont recueillis dans une riche maison : l'homme raconte son histoire. Il est en réalité Ahmad, prince héritier dépossédé de son trône par le méchant vizir Jaffar. Il s'est évadé grâce à un jeune voleur, Abu, et s'est épris de la fille du sultan de Bassora, que convoitait Jaffar. Jaffar a transformé Abu en chien et rendu Ahmad aveugle...

Le film a une curieuse histoire, puisqu'il a vu passer une demi-douzaine de cinéastes : Alexander Korda, le producteur, ayant vite compris que Ludwig Berger ne serait pas à la hauteur du grand spectacle en Technicolor dont il rêvait, appela Michael Powell en renfort, tandis que Tim Whelan tournait certaines scènes. Il y eut donc par moments trois équipes de tournage simultanées ! Puis la guerre éclata, et le film fut terminé à Hollywood. A qui doit-on alors cette somptueuse aventure tirée des Mille et Une Nuits ? Sa splendeur visuelle, ses décors et ses couleurs incroyables de beauté appartiennent totalement à l'esthétique de Michael Powell, habilement servie par le travail du chef opérateur Georges Périnal. C'est un véritable enchantement, un plaisir de tous les instants (auxquels participent les comédiens, l'inquiétant Conrad Veidt autant que le bondissant Sabu), la richesse visuelle contrebalançant quelques faiblesses du script. Si vos enfants ont aimé Aladdin, des studios Disney, qu'ils regardent Le Voleur de Bagdad : ils verront la même histoire, en chair, en os, magie et Technicolor véritables.

Année : 1940

Antérieurement en 2017
 

Le voleur de Bagdad

Télévision : 29 octobre 2017 à 09:35-11:20 sur Arte

film fantastique

Jaffar a ravi son trône à Ahmad et l'a jeté en prison. Ce dernier y rencontre le futé Abu et s'évade. Ahmad rencontre alors l'amour sous les traits d'une merveilleuse princesse. Superbe conte des Mille et Une Nuits, dans un Technicolor chatoyant. A vous faire voler sur un tapis ! - Critique : Film de Michael Powell, Ludwig Berger et Tim Whelan (The Thief of Bagdad, GB/USA, 1940). Scénario : Lajos Biro, d'après Miles Malleson. Image : Georges Périnal, Osmond Borodaille. Musique : Miklos Rozsa. 105 mn. VM. Avec Conrad Veidt : Jaffar. Sabu : Abu. John Justin : le roi Ahmad. June Duprez : la princesse. Rex Ingram : le génie.

Genre : aventures exotiques et magnifiques.

Un jeune aveugle et son chien sont recueillis dans une riche maison : l'homme raconte son histoire. Il est en réalité Ahmad, prince héritier dépossédé de son trône par le méchant vizir Jaffar. Il s'est évadé grâce à un jeune voleur, Abu, et s'est épris de la fille du sultan de Bassora, que convoitait Jaffar. Jaffar a transformé Abu en chien et rendu Ahmad aveugle...

Le film a une curieuse histoire, puisqu'il a vu passer une demi-douzaine de cinéastes : Alexander Korda, le producteur, ayant vite compris que Ludwig Berger ne serait pas à la hauteur du grand spectacle en Technicolor dont il rêvait, appela Michael Powell en renfort, tandis que Tim Whelan tournait certaines scènes. Il y eut donc par moments trois équipes de tournage simultanées ! Puis la guerre éclata, et le film fut terminé à Hollywood. A qui doit-on alors cette somptueuse aventure tirée des Mille et Une Nuits ? Sa splendeur visuelle, ses décors et ses couleurs incroyables de beauté appartiennent totalement à l'esthétique de Michael Powell, habilement servie par le travail du chef opérateur Georges Périnal. C'est un véritable enchantement, un plaisir de tous les instants (auxquels participent les comédiens, l'inquiétant Conrad Veidt autant que le bondissant Sabu), la richesse visuelle contrebalançant quelques faiblesses du script. Si vos enfants ont aimé Aladdin, des studios Disney, qu'ils regardent Le Voleur de Bagdad : ils verront la même histoire, en chair, en os, magie et Technicolor véritables.

Année : 1940

Antérieurement en 2017
 

Le voleur de Bagdad

Télévision : 26 octobre 2017 à 13:35-15:35 sur Arte

film fantastique

Jaffar a ravi son trône à Ahmad et l'a jeté en prison. Ce dernier y rencontre le futé Abu et s'évade. Ahmad rencontre alors l'amour sous les traits d'une merveilleuse princesse. Superbe conte des Mille et Une Nuits, dans un Technicolor chatoyant. A vous faire voler sur un tapis ! - Critique : Film de Michael Powell, Ludwig Berger et Tim Whelan (The Thief of Bagdad, GB/USA, 1940). Scénario : Lajos Biro, d'après Miles Malleson. Image : Georges Périnal, Osmond Borodaille. Musique : Miklos Rozsa. 105 mn. VM. Avec Conrad Veidt : Jaffar. Sabu : Abu. John Justin : le roi Ahmad. June Duprez : la princesse. Rex Ingram : le génie.

Genre : aventures exotiques et magnifiques.

Un jeune aveugle et son chien sont recueillis dans une riche maison : l'homme raconte son histoire. Il est en réalité Ahmad, prince héritier dépossédé de son trône par le méchant vizir Jaffar. Il s'est évadé grâce à un jeune voleur, Abu, et s'est épris de la fille du sultan de Bassora, que convoitait Jaffar. Jaffar a transformé Abu en chien et rendu Ahmad aveugle...

Le film a une curieuse histoire, puisqu'il a vu passer une demi-douzaine de cinéastes : Alexander Korda, le producteur, ayant vite compris que Ludwig Berger ne serait pas à la hauteur du grand spectacle en Technicolor dont il rêvait, appela Michael Powell en renfort, tandis que Tim Whelan tournait certaines scènes. Il y eut donc par moments trois équipes de tournage simultanées ! Puis la guerre éclata, et le film fut terminé à Hollywood. A qui doit-on alors cette somptueuse aventure tirée des Mille et Une Nuits ? Sa splendeur visuelle, ses décors et ses couleurs incroyables de beauté appartiennent totalement à l'esthétique de Michael Powell, habilement servie par le travail du chef opérateur Georges Périnal. C'est un véritable enchantement, un plaisir de tous les instants (auxquels participent les comédiens, l'inquiétant Conrad Veidt autant que le bondissant Sabu), la richesse visuelle contrebalançant quelques faiblesses du script. Si vos enfants ont aimé Aladdin, des studios Disney, qu'ils regardent Le Voleur de Bagdad : ils verront la même histoire, en chair, en os, magie et Technicolor véritables.

Année : 1940