Joano Clotilde : passages TV

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Récemment en décembre
 

Le diable par la queue

Télévision : 23 décembre 2023 à 15:20-16:55 sur Arte

film : comédie

La marquise, la comtesse Diane et la baronne Amélie ont beau représenter trois générations de femmes d'une même famille aristocratique, leur château n'en est pas moins vétuste et l'hôtellerie qu'elles y ont installée n'attire pas le chaland. Seules les complaisances du garagiste local, amoureux de la baronne Amélie, donnent à des automobilistes, victimes de pannes aussi soudaines qu'étranges, l'occasion de faire fonctionner le tiroir-caisse du trio. Un certain baron de Maricorne, flanqué de deux amis patibulaires et équipé d'une mallette dont il ne se sépare jamais, prend pension. Ces dames ne tardent pas à deviner que le prétendu baron est en fait un truand en cavale et que son bagage vaut une fortune. Rien de plus tentant, dès lors, que de le supprimer. Mais Maricorne a une chance de pendu... - Critique : Posséder un manoir du XVIIIe siècle et des lettres de noblesse ne garantit pas de l’indigence. La marquise et son extravagante famille, lassées d’aligner les pots de chambre sous les fuites du toit, ont transformé la demeure ancestrale en hôtellerie de luxe. Un garagiste amoureux de la jeune baronne s’arrange pour qu’une panne oblige des touristes à séjourner au château. Parmi eux, Maricorne, personnage douteux et séduisant. Tournée en pleine floraison soixante-huitarde, cette comédie farfelue dégage un parfum de tranquille amoralité. Les benjamines sont futées et peu farouches, les grands-mères fomentent joyeusement des assassinats. Mais l’humour noir est toujours éclaboussé de rose. Les gangsters sont charmants ; on escroque, on com­plote, on libertine avec bonne humeur, dans une ambiance de douce loufoquerie. Yves Montand, alors abonné aux rôles ­graves, s’offre une récréation. Madeleine Renaud joue à merveille les aïeules coquines. La jeune Marthe Keller compose une espiègle séductrice. Avec cette galerie de personnages multicolores, Philippe de Broca a réalisé l’un de ses meilleurs films : drôle et libre, tantôt rêveur, tantôt burlesque. Un pur délice.

Année : 1969

Avec : Claude Piéplu, Gélin Xavier, Jacques Balutin, Jean Rochefort, Jean-Pierre Marielle, Joano Clotilde, Madeleine Renaud, Maria Schell, Marthe Keller, Pierre Tornade, Tanya Lopert, Yves Montand

Récemment en décembre
 

Le diable par la queue

Télévision : 15 décembre 2023 à 01:55-03:30 sur Arte

film : comédie

La marquise, la comtesse Diane et la baronne Amélie ont beau représenter trois générations de femmes d'une même famille aristocratique, leur château n'en est pas moins vétuste et l'hôtellerie qu'elles y ont installée n'attire pas le chaland. Seules les complaisances du garagiste local, amoureux de la baronne Amélie, donnent à des automobilistes, victimes de pannes aussi soudaines qu'étranges, l'occasion de faire fonctionner le tiroir-caisse du trio. Un certain baron de Maricorne, flanqué de deux amis patibulaires et équipé d'une mallette dont il ne se sépare jamais, prend pension. Ces dames ne tardent pas à deviner que le prétendu baron est en fait un truand en cavale et que son bagage vaut une fortune. Rien de plus tentant, dès lors, que de le supprimer. Mais Maricorne a une chance de pendu... - Critique : Posséder un manoir du XVIIIe siècle et des lettres de noblesse ne garantit pas de l’indigence. La marquise et son extravagante famille, lassées d’aligner les pots de chambre sous les fuites du toit, ont transformé la demeure ancestrale en hôtellerie de luxe. Un garagiste amoureux de la jeune baronne s’arrange pour qu’une panne oblige des touristes à séjourner au château. Parmi eux, Maricorne, personnage douteux et séduisant. Tournée en pleine floraison soixante-huitarde, cette comédie farfelue dégage un parfum de tranquille amoralité. Les benjamines sont futées et peu farouches, les grands-mères fomentent joyeusement des assassinats. Mais l’humour noir est toujours éclaboussé de rose. Les gangsters sont charmants ; on escroque, on com­plote, on libertine avec bonne humeur, dans une ambiance de douce loufoquerie. Yves Montand, alors abonné aux rôles ­graves, s’offre une récréation. Madeleine Renaud joue à merveille les aïeules coquines. La jeune Marthe Keller compose une espiègle séductrice. Avec cette galerie de personnages multicolores, Philippe de Broca a réalisé l’un de ses meilleurs films : drôle et libre, tantôt rêveur, tantôt burlesque. Un pur délice.

Année : 1969

Avec : Claude Piéplu, Gélin Xavier, Jacques Balutin, Jean Rochefort, Jean-Pierre Marielle, Joano Clotilde, Madeleine Renaud, Maria Schell, Marthe Keller, Pierre Tornade, Tanya Lopert, Yves Montand

Récemment en décembre
 

Le diable par la queue

Télévision : 4 décembre 2023 à 20:55-22:30 sur Arte

film : comédie

La marquise, la comtesse Diane et la baronne Amélie ont beau représenter trois générations de femmes d'une même famille aristocratique, leur château n'en est pas moins vétuste et l'hôtellerie qu'elles y ont installée n'attire pas le chaland. Seules les complaisances du garagiste local, amoureux de la baronne Amélie, donnent à des automobilistes, victimes de pannes aussi soudaines qu'étranges, l'occasion de faire fonctionner le tiroir-caisse du trio. Un certain baron de Maricorne, flanqué de deux amis patibulaires et équipé d'une mallette dont il ne se sépare jamais, prend pension. Ces dames ne tardent pas à deviner que le prétendu baron est en fait un truand en cavale et que son bagage vaut une fortune. Rien de plus tentant, dès lors, que de le supprimer. Mais Maricorne a une chance de pendu... - Critique : Posséder un manoir du xviiie siècle et des lettres de noblesse ne garantit pas de l’indigence. La marquise et son extravagante famille, lassées d’aligner les pots de chambre sous les fuites du toit, ont transformé la demeure ancestrale en hôtellerie de luxe. Un garagiste amoureux de la jeune baronne s’arrange pour qu’une panne oblige des touristes à séjourner au château. Parmi eux, Maricorne, personnage douteux et séduisant. Tournée en pleine floraison soixante-huitarde, cette comédie farfelue dégage un parfum de tranquille amoralité. Les benjamines sont futées et peu farouches, les grands-mères fomentent joyeusement des assassinats. Mais l’humour noir est toujours éclaboussé de rose. Les gangsters sont charmants ; on escroque, on com­plote, on libertine avec bonne humeur, dans une ambiance de douce loufoquerie. Yves Montand, alors abonné aux rôles ­graves, s’offre une récréation. Madeleine Renaud joue à merveille les aïeules coquines. La jeune Marthe Keller compose une espiègle séductrice. Avec cette galerie de personnages multicolores, Philippe de Broca a réalisé l’un de ses meilleurs films : drôle et libre, tantôt rêveur, tantôt burlesque. Un pur délice.

Année : 1969

Avec : Claude Piéplu, Gélin Xavier, Jacques Balutin, Jean Rochefort, Jean-Pierre Marielle, Joano Clotilde, Madeleine Renaud, Maria Schell, Marthe Keller, Pierre Tornade, Tanya Lopert, Yves Montand

Antérieurement en 2023
 

L'horloger de Saint-Paul

Télévision : 3 février 2023 à 21:00-22:45 sur France 5

film : drame

Michel Descombes est horloger à Lyon, dans le quartier de Saint-Paul. Depuis que sa femme l'a quitté, il élève seul son fils, Bernard. Un jour, Michel, convoqué par le commissaire Guilboud, découvre que son fils est recherché pour meurtre. La veille, Bernard aurait tué l'un des gardiens de l'usine où travaillait Liliane, sa petite amie. Depuis, les deux jeunes gens ont disparu. Au fur et à mesure que l'enquête avance, Michel, qui se lie d'amitié avec Guilboud, se rend compte qu'il ignorait tout de son fils. Une fois Bernard sous les verrous, Michel entreprend de le comprendre et finit par prendre fait et cause en sa faveur... - Critique : Pour son premier long, Tavernier, fort de son bagage de cinéphile, adaptait à Lyon, sa ville natale, L’Horloger d’Everton, de Simenon, qui, lui, se déroule aux États-Unis. Pour l’occasion, il sortait du placard les grands scénaristes Jean Aurenche et Pierre Bost, honnis par la Nouvelle Vague. Les flics débarquent chez Michel Descombes : son fils, Bernard, aurait as­sassiné un vigile ; il est en fuite avec sa petite amie. Cela tourne à l’affaire politique… Le ronron droitiste du pompidolisme, le slogan « un bon flic est un flic mort » sur les murs, l’UDR, les syndicats prompts à la récupération : le film donne l’heure juste sur le climat politique tendu des années 1970. Et Michel Descombes dans tout ça ? Un homme tranquille à la John Ford, père célibataire un peu laxiste, vacciné contre la politique, vaguement anar, et qui va se réveiller. La culpabilité de son enfant, les motivations du crime, il s’en fout, l’horloger. Il veut juste que son fils le regarde à nouveau. Dans le rôle, Noiret est prodigieux. Autre personnage à part entière : Lyon, qui est à Tavernier ce que New York est à Scorsese… Comment combler le fossé des générations ? La réponse, lumineuse, apaisée, est au bout de ce drame : la mission de nos pères n’est pas de juger, mais d’être présents dans les mauvais temps.

Année : 1974

Avec : Bertheau Julien, Cécile Vassort, Denis Jacques, Jacques Hilling, Jean Rochefort, Joano Clotilde, Pascal Christine, Philippe Noiret, Rougerie Sylvain, Tainsy Andrée, William Sabatier, Yves Afonso