Jerry Goldsmith : passages TV

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Antérieurement en 2021
 

Gremlins 2 : La nouvelle génération

Télévision : 4 novembre 2021 à 22:45-00:45 sur TF1 Séries Films

Film fantastique

Six ans après avoir triomphé des Gremlins, Billy Peltzer et sa fiancée se sont installés à New York, où ils ont trouvé du travail. Par hasard, Billy retrouve le tendre Gizmo, séquestré par un cruel généticien. Mais l'animal est malencontreusement mouillé, donnant ainsi naissance à des cortèges de Gremlins...

Année : 1990

De : Joe Dante

Avec : Zach Galligan, Phoebe Cates, John Glover, Robert Prosky, Robert Picardo, Christopher Lee, Haviland Morris, Dick Miller, Jackie Joseph, Gedde Watanabe, Keye Luke, Kathleen Freeman, Don Stanton, Dan Stanton, Shawn Nelson, Archie Hahn, Leslie Neale, Ron Fassler, Time Winters, Heather Haase, Jason Presson, Lisa Mende, Patrika Darbo, Jerry Goldsmith, Rick Ducommun, John Capodice, Belinda Balaski, Nicky Rose, Paul Bartel, Kenneth Tobey

Antérieurement en 2021
 

Gremlins 2 : La nouvelle génération

Télévision : 29 octobre 2021 à 21:00-23:00 sur TF1 Séries Films

Film fantastique

Six ans après avoir triomphé des Gremlins, Billy Peltzer et sa fiancée se sont installés à New York, où ils ont trouvé du travail. Par hasard, Billy retrouve le tendre Gizmo, séquestré par un cruel généticien. Mais l'animal est malencontreusement mouillé, donnant ainsi naissance à des cortèges de Gremlins...

Année : 1990

De : Joe Dante

Avec : Zach Galligan, Phoebe Cates, John Glover, Robert Prosky, Robert Picardo, Christopher Lee, Haviland Morris, Dick Miller, Jackie Joseph, Gedde Watanabe, Keye Luke, Kathleen Freeman, Don Stanton, Dan Stanton, Shawn Nelson, Archie Hahn, Leslie Neale, Ron Fassler, Time Winters, Heather Haase, Jason Presson, Lisa Mende, Patrika Darbo, Jerry Goldsmith, Rick Ducommun, John Capodice, Belinda Balaski, Nicky Rose, Paul Bartel, Kenneth Tobey

Antérieurement en 2018
 

Le masque de l'araignée

Télévision : 1er mai 2018 à 21:00-23:10 sur C8

film

Le docteur Alex Cross, profileur, utilise son sens de l'observation et de la déduction pour résoudre les affaires qui lui sont confiées. Depuis la mort de sa coéquipière, quelques mois plus tôt, il a pris du recul sur son métier. Gary Soneji, un criminel, l'incite à abréger sa retraite. Il vient de kidnapper la fille d'un sénateur, Megan Rose. Pendant des années, Soneji s'est fait passer pour un enseignant dans le lycée de Megan afin de bien l'observer avant de l'enlever. Directement contacté par Soneji, Alex Cross se lance sur les traces de la fillette en compagnie de Jezzie Flannigan, l'agente du FBI chargée de la sécurité de l'établissement... Critique : Film de Lee Tamahori (Along came a spider, USA, 2001). 100 mn. VF. Avec Morgan Freeman, Monica Potter, Michael Wincott. Genre : déjà vu. Révélé par L'Ame des guerriers, sombre chronique des déclassés maoris dans la banlieue d'Auckland, Lee Tamahori semble avoir perdu la sienne en émigrant à Hollywood (Les Hommes de l'ombre, A couteaux tirés). Il n'y a pas grand-chose à retenir de ce polar de série où un flic, rongé de culpabilité depuis la mort de sa coéquipière, poursuit un tueur pervers qui kidnappe une enfant de 10 ans. Rien de neuf à l'horizon, même le coup de théâtre final fait « déjà vu »... Dommage pour Morgan Freeman, sous-employé. Bernard Génin

Année : 2001

Avec : Michael Wincott, Morgan Freeman, Jay O Sanders, Dylan Baker, Lee Tamahori, Monica Potter, Mika Boorem, Anton Yelchin, Kimberly Hawthorne, Jerry Goldsmith, Marc Moss, James Patterson, Elizabeth Wilcox, Matthew F Leonetti

Antérieurement en 2018
 

Total Recall

Télévision : 1er février 2018 à 01:00-02:50 sur Arte

film de science-fiction

Superproduction futuriste, doublée d'une critique de la société américaine. Schwarzie est parfait en demi-schizophrène ne sachant plus à quelle réalité se vouer. Critique : Film de Paul Verhoeven (Total Recall, USA, 1990). Scénario : Ronald Shusett, Dan O'Bannon et Gary Goldman, d'après Philip K. Dick. Image : Jost Vacano. Musique : Jerry Goldsmith. 125 mn. Avec Arnold Schwarzenegger : Doug Quaid. Rachel Ticotin : Melina. Sharon Stone : Lori. Genre : pré-Matrix. 2048. Arnold Schwarzenegger, ouvrier de chantier, s'endort avec sa femme, Sharon Stone, mais il rêve chaque nuit de Mars (planète colonisée par les humains) et d'une autre femme, « brune, athlétique, vicieuse et réservée ». Un laboratoire voyagiste lui vend un substitut onirique de voyage sur Mars, pour qu'il satisfasse sa curiosité. Mais le procédé réveille en lui le souvenir d'un séjour bien réel sur Mars, à l'époque où il était l'agent du gouverneur local... Dans le grand roman de Hollywood, Total Recall a marqué une étape glorieuse pour un trio semi-oublié, semi-reconverti depuis. Dans la foulée de Robocop, le Néerlandais Paul Verhoeven tenait le plus gros budget de l'année. Schwarzenegger devenait l'action hero no 1. Après dix ans de charmantes panouilles, Sharon Stone explosait dans un rôle pervers qui devait ensuite la mener à Basic Instinct - avec Verhoeven de nouveau. Tant de fortune s'explique encore très bien : Total Recall reste à la fois une grande réussite et un prototype. Outre le tableau très actuel d'une opinion américaine dupée, un énorme mensonge, il y a la naissance d'un genre. Bien plus que la précédente adaptation de Philip K. Dick (Blade Runner), celle-ci ouvre vraiment la voie au film d'action mental, schizophrénique, rongé par le soupçon absolu : toutes nos expériences humaines ne seraient que virtuelles. Louis Guichard

Année : 1990

Antérieurement en 2018
 

Total Recall

Télévision : 21 janvier 2018 à 20:55-22:45 sur Arte

film de science-fiction

Superproduction futuriste, doublée d'une critique de la société américaine. Schwarzie est parfait en demi-schizophrène ne sachant plus à quelle réalité se vouer. Critique : Film de Paul Verhoeven (Total Recall, USA, 1990). Scénario : Ronald Shusett, Dan O'Bannon et Gary Goldman, d'après Philip K. Dick. Image : Jost Vacano. Musique : Jerry Goldsmith. 125 mn. Avec Arnold Schwarzenegger : Doug Quaid. Rachel Ticotin : Melina. Sharon Stone : Lori. Genre : pré-Matrix. 2048. Arnold Schwarzenegger, ouvrier de chantier, s'endort avec sa femme, Sharon Stone, mais il rêve chaque nuit de Mars (planète colonisée par les humains) et d'une autre femme, « brune, athlétique, vicieuse et réservée ». Un laboratoire voyagiste lui vend un substitut onirique de voyage sur Mars, pour qu'il satisfasse sa curiosité. Mais le procédé réveille en lui le souvenir d'un séjour bien réel sur Mars, à l'époque où il était l'agent du gouverneur local... Dans le grand roman de Hollywood, Total Recall a marqué une étape glorieuse pour un trio semi-oublié, semi-reconverti depuis. Dans la foulée de Robocop, le Néerlandais Paul Verhoeven tenait le plus gros budget de l'année. Schwarzenegger devenait l'action hero no 1. Après dix ans de charmantes panouilles, Sharon Stone explosait dans un rôle pervers qui devait ensuite la mener à Basic Instinct - avec Verhoeven de nouveau. Tant de fortune s'explique encore très bien : Total Recall reste à la fois une grande réussite et un prototype. Outre le tableau très actuel d'une opinion américaine dupée, un énorme mensonge, il y a la naissance d'un genre. Bien plus que la précédente adaptation de Philip K. Dick (Blade Runner), celle-ci ouvre vraiment la voie au film d'action mental, schizophrénique, rongé par le soupçon absolu : toutes nos expériences humaines ne seraient que virtuelles. Louis Guichard

Année : 1990

Antérieurement en 2017
 

Papillon

Télévision : 27 novembre 2017 à 22:50-01:10 sur France ô

film d'aventures

Les tentatives d'évasion d'un bagnard injustement condamné. Sur un scénario de Dalton Trumbo, le réprouvé du maccarthysme, un beau duel entre deux grands acteurs. Critique : Film américain de Franklin J. Schaffner (Papillon, 1973). Scénario : Dalton Trumbo et Lorenzo Semple Jr., d'après Henri Charrière. Image : Fred J. Koenekamp. Musique : Jerry Goldsmith. 145 mn. VF. Avec Steve McQueen, Dustin Hoffman, Victor Jory. Le genre : aventures. Condamné au bagne pour un meurtre qu'il n'a pas commis, Papillon fait la connaissance, à bord du navire-prison La Martinière, du faussaire Louis Dega. Ce dernier transporte une importante somme d'argent et Papillon devient son garde du corps. Initialement, Robert Dorfmann, le producteur, avait pensé à Belmondo pour interpréter le rôle de Papillon. Il fut ensuite question de Warren Beatty, à un moment où la mise en scène devait être confiée à Roman Polanski. Franklin Schaffner assura finalement la réalisation, et Steve McQueen joua le rôle principal. Ancienne victime des persécutions maccarthystes, Dalton Trumbo (qui joue le commandant français) dénonce le risque d'erreur judiciaire, l'horreur de l'univers carcéral et affirme le droit à la liberté. Schaffner a joué la carte de l'aventure, accumulant les péripéties. Il est pourtant visible que Schaffner ne manifeste pas pour cette histoire de prisonniers l'intérêt qu'il portait à La Planète des singes ou à Patton, deux de ses meilleurs films. Malgré cela, Papillon demeure un véritable spectacle, et le face-à-face de Steve ­McQueen et de Dustin Hoffman est fascinant. André Moreau

Année : 1973

Antérieurement en 2017
 

Papillon

Télévision : 20 novembre 2017 à 21:00-23:20 sur France ô

film d'aventures

Les tentatives d'évasion d'un bagnard injustement condamné. Sur un scénario de Dalton Trumbo, le réprouvé du maccarthysme, un beau duel entre deux grands acteurs. Critique : Film américain de Franklin J. Schaffner (Papillon, 1973). Scénario : Dalton Trumbo et Lorenzo Semple Jr., d'après Henri Charrière. Image : Fred J. Koenekamp. Musique : Jerry Goldsmith. 145 mn. VF. Avec Steve McQueen, Dustin Hoffman, Victor Jory. Le genre : aventures. Condamné au bagne pour un meurtre qu'il n'a pas commis, Papillon fait la connaissance, à bord du navire-prison La Martinière, du faussaire Louis Dega. Ce dernier transporte une importante somme d'argent et Papillon devient son garde du corps. Initialement, Robert Dorfmann, le producteur, avait pensé à Belmondo pour interpréter le rôle de Papillon. Il fut ensuite question de Warren Beatty, à un moment où la mise en scène devait être confiée à Roman Polanski. Franklin Schaffner assura finalement la réalisation, et Steve McQueen joua le rôle principal. Ancienne victime des persécutions maccarthystes, Dalton Trumbo (qui joue le commandant français) dénonce le risque d'erreur judiciaire, l'horreur de l'univers carcéral et affirme le droit à la liberté. Schaffner a joué la carte de l'aventure, accumulant les péripéties. Il est pourtant visible que Schaffner ne manifeste pas pour cette histoire de prisonniers l'intérêt qu'il portait à La Planète des singes ou à Patton, deux de ses meilleurs films. Malgré cela, Papillon demeure un véritable spectacle, et le face-à-face de Steve ­McQueen et de Dustin Hoffman est fascinant. André Moreau

Année : 1973

Antérieurement en 2017
 

Papillon

Télévision : 20 novembre 2017 à 20:55-23:20 sur France ô

film d'aventures

Les tentatives d'évasion d'un bagnard injustement condamné. Sur un scénario de Dalton Trumbo, le réprouvé du maccarthysme, un beau duel entre deux grands acteurs. Critique : Film américain de Franklin J. Schaffner (Papillon, 1973). Scénario : Dalton Trumbo et Lorenzo Semple Jr., d'après Henri Charrière. Image : Fred J. Koenekamp. Musique : Jerry Goldsmith. 145 mn. VF. Avec Steve McQueen, Dustin Hoffman, Victor Jory. Le genre : aventures. Condamné au bagne pour un meurtre qu'il n'a pas commis, Papillon fait la connaissance, à bord du navire-prison La Martinière, du faussaire Louis Dega. Ce dernier transporte une importante somme d'argent et Papillon devient son garde du corps. Initialement, Robert Dorfmann, le producteur, avait pensé à Belmondo pour interpréter le rôle de Papillon. Il fut ensuite question de Warren Beatty, à un moment où la mise en scène devait être confiée à Roman Polanski. Franklin Schaffner assura finalement la réalisation, et Steve McQueen joua le rôle principal. Ancienne victime des persécutions maccarthystes, Dalton Trumbo (qui joue le commandant français) dénonce le risque d'erreur judiciaire, l'horreur de l'univers carcéral et affirme le droit à la liberté. Schaffner a joué la carte de l'aventure, accumulant les péripéties. Il est pourtant visible que Schaffner ne manifeste pas pour cette histoire de prisonniers l'intérêt qu'il portait à La Planète des singes ou à Patton, deux de ses meilleurs films. Malgré cela, Papillon demeure un véritable spectacle, et le face-à-face de Steve ­McQueen et de Dustin Hoffman est fascinant. André Moreau

Année : 1973