Jeff Nathanson : passages TV

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Antérieurement en 2018
 

Pirates des Caraïbes : la vengeance de Salazar

Télévision : 2 juin 2018 à 14:40-16:45 sur Canal +

film : aventure

Johnny Depp rempile encore une fois en pirate déglingué. On pourrait se lasser, mais l’humour qui faisait le sel du premier volet est heureusement de retour. Critique : Démarche de danseur ivre, regard opaque et charbonneux, tignasse embrouillée : c’est bien lui, Jack Sparrow, le pirate le plus lunaire de tous les océans, fidèle à lui-même jusqu’au bout des dreadlocks. En apprenant que Johnny Depp remettait la perruque à perles pour la cinquième fois, on n’attendait plus grand-chose du large des Caraïbes. Pourtant, ce volet tardif de la fameuse saga d’aventures à l’eau salée est plutôt une bonne surprise. Davantage que dans les autres suites de suites, on y retrouve l’humour et le rythme qui faisaient le charme du premier volet. Entre une nouvelle héroïne piquante, intrépide et féministe (astronome prise pour une sorcière) et un méchant de choc, Javier Bardem, capitaine zombifié par d’impressionnants effets spéciaux, il s’agit d’une énième quête d’un trésor magique. Qui fait la part belle aux gags, aux morceaux de bravoure numériques (les flots s’entrouvrent comme chez Moïse) et aux apparitions clin d’œil (saurez-vous repérer Paul McCartney ?)… Bref, l’attraction que l’on croyait usée a encore du ressort.

Année : 2017

Avec : Espen Sandberg, Joachim Ronning, Johnny Depp, Kaya Scodelario, Brenton Thwaites, Javier Bardem, Orlando Bloom, Martin Klebba, Adam Brown, Golshifteh Farahani, Geoff Zanelli, Jeff Nathanson, Stuart Beattie, Ted Elliott, Terry Rossio, Jay Wolpert, Jeff Nathanson, Nigel Phelps, Paul Cameron

Antérieurement en 2018
 

Pirates des Caraïbes : la vengeance de Salazar

Télévision : 12 mai 2018 à 17:05-19:15 sur Canal +

film : aventure

Johnny Depp rempile encore une fois en pirate déglingué. On pourrait se lasser, mais l’humour qui faisait le sel du premier volet est heureusement de retour. Critique : Démarche de danseur ivre, regard opaque et charbonneux, tignasse embrouillée : c’est bien lui, Jack Sparrow, le pirate le plus lunaire de tous les océans, fidèle à lui-même jusqu’au bout des dreadlocks. En apprenant que Johnny Depp remettait la perruque à perles pour la cinquième fois, on n’attendait plus grand-chose du large des Caraïbes. Pourtant, ce volet tardif de la fameuse saga d’aventures à l’eau salée est plutôt une bonne surprise. Davantage que dans les autres suites de suites, on y retrouve l’humour et le rythme qui faisaient le charme du premier volet. Entre une nouvelle héroïne piquante, intrépide et féministe (astronome prise pour une sorcière) et un méchant de choc, Javier Bardem, capitaine zombifié par d’impressionnants effets spéciaux, il s’agit d’une énième quête d’un trésor magique. Qui fait la part belle aux gags, aux morceaux de bravoure numériques (les flots s’entrouvrent comme chez Moïse) et aux apparitions clin d’œil (saurez-vous repérer Paul McCartney ?)… Bref, l’attraction que l’on croyait usée a encore du ressort.

Année : 2017

Avec : Johnny Depp, Kaya Scodelario, Brenton Thwaites, Javier Bardem, Kevin McNally, Martin Klebba, Adam Brown, Golshifteh Farahani, Geoffrey Rush, Stephen Graham, Espen Sandberg, Joachim Ronning, Paul McCartney, Stuart Beattie, Ted Elliott, Terry Rossio, Jay Wolpert, Orlando Bloom, Geoff Zanelli, Jeff Nathanson, Jeff Nathanson, Nigel Phelps, Paul Cameron

Antérieurement en 2018
 

Pirates des Caraïbes : la vengeance de Salazar

Télévision : 11 mai 2018 à 23:25-01:30 sur Canal +

film : aventure

Johnny Depp rempile encore une fois en pirate déglingué. On pourrait se lasser, mais l’humour qui faisait le sel du premier volet est heureusement de retour. Critique : Démarche de danseur ivre, regard opaque et charbonneux, tignasse embrouillée : c’est bien lui, Jack Sparrow, le pirate le plus lunaire de tous les océans, fidèle à lui-même jusqu’au bout des dreadlocks. En apprenant que Johnny Depp remettait la perruque à perles pour la cinquième fois, on n’attendait plus grand-chose du large des Caraïbes. Pourtant, ce volet tardif de la fameuse saga d’aventures à l’eau salée est plutôt une bonne surprise. Davantage que dans les autres suites de suites, on y retrouve l’humour et le rythme qui faisaient le charme du premier volet. Entre une nouvelle héroïne piquante, intrépide et féministe (astronome prise pour une sorcière) et un méchant de choc, Javier Bardem, capitaine zombifié par d’impressionnants effets spéciaux, il s’agit d’une énième quête d’un trésor magique. Qui fait la part belle aux gags, aux morceaux de bravoure numériques (les flots s’entrouvrent comme chez Moïse) et aux apparitions clin d’œil (saurez-vous repérer Paul McCartney ?)… Bref, l’attraction que l’on croyait usée a encore du ressort.

Année : 2017

Avec : Johnny Depp, Kaya Scodelario, Brenton Thwaites, Javier Bardem, Kevin McNally, Martin Klebba, Adam Brown, Golshifteh Farahani, Geoffrey Rush, Stephen Graham, Espen Sandberg, Joachim Ronning, Paul McCartney, Stuart Beattie, Ted Elliott, Terry Rossio, Jay Wolpert, Orlando Bloom, Geoff Zanelli, Jeff Nathanson, Jeff Nathanson, Nigel Phelps, Paul Cameron

Antérieurement en 2018
 

Pirates des Caraïbes : la vengeance de Salazar

Télévision : 11 mai 2018 à 23:20-01:30 sur Canal +

film : aventure

Johnny Depp rempile encore une fois en pirate déglingué. On pourrait se lasser, mais l’humour qui faisait le sel du premier volet est heureusement de retour. Critique : Démarche de danseur ivre, regard opaque et charbonneux, tignasse embrouillée : c’est bien lui, Jack Sparrow, le pirate le plus lunaire de tous les océans, fidèle à lui-même jusqu’au bout des dreadlocks. En apprenant que Johnny Depp remettait la perruque à perles pour la cinquième fois, on n’attendait plus grand-chose du large des Caraïbes. Pourtant, ce volet tardif de la fameuse saga d’aventures à l’eau salée est plutôt une bonne surprise. Davantage que dans les autres suites de suites, on y retrouve l’humour et le rythme qui faisaient le charme du premier volet. Entre une nouvelle héroïne piquante, intrépide et féministe (astronome prise pour une sorcière) et un méchant de choc, Javier Bardem, capitaine zombifié par d’impressionnants effets spéciaux, il s’agit d’une énième quête d’un trésor magique. Qui fait la part belle aux gags, aux morceaux de bravoure numériques (les flots s’entrouvrent comme chez Moïse) et aux apparitions clin d’œil (saurez-vous repérer Paul McCartney ?)… Bref, l’attraction que l’on croyait usée a encore du ressort.

Année : 2017

Avec : Johnny Depp, Kaya Scodelario, Brenton Thwaites, Javier Bardem, Kevin McNally, Martin Klebba, Adam Brown, Golshifteh Farahani, Geoffrey Rush, Stephen Graham, Espen Sandberg, Joachim Ronning, Paul McCartney, Stuart Beattie, Ted Elliott, Terry Rossio, Jay Wolpert, Orlando Bloom, Geoff Zanelli, Jeff Nathanson, Jeff Nathanson, Nigel Phelps, Paul Cameron

Antérieurement en 2018
 

Rush Hour 2

Télévision : 10 mai 2018 à 22:50-00:25 sur C8

film d'action

Deux flics, l'un chinois, l'autre américain, en mission à Hongkong. Impec', Jackie Chan transforme en arme inattendue tout objet : cache-pot, poubelle ou cageot à poisson. Tchatcheur, Chris Tucker, se débat plaisamment avec les mœurs locales. C'est tonique, inventif, ludique, supérieur au n° 1. Critique : | Genre : « buddy movie » réussi. On ne change pas une équipe qui gagne. Jackie Chan est donc à nouveau ce flic de Hongkong au vocabulaire anglais limité mais aux poings d’acier, tandis que Chris Tucker est ce détective dragueur et beau parleur. L’humour naît des différences de culture et de caractère, mais, surprise, cette suite se révèle nettement supérieure à l’original… Les scénaristes ont eu la bonne idée d’emmener la fine équipe à Hongkong. L’exotisme est propice à de nouveaux gags : le flic est ainsi lâché successivement dans un karaoké où il imite Michael Jackson, puis dans un salon de massage infiltré par les triades. Dans ses combats-cascades, Jackie Chan retrouve la précision qui lui manquait parfois dans ses films américains. Il a la manie de transformer en arme ce qui lui tombe sous la main : un cache-pot, une poubelle, un cageot à poissons… C’est tonique, inventif, ludique.

Année : 2001

Avec : Jackie Chan, Chris Tucker, John Lone, Zhang Ziyi, Roselyn Sanchez, Alan King, Harris Yulin, Brett Ratner, Lalo Schifrin, Jeff Nathanson, Ross LaManna

Antérieurement en 2018
 

Rush Hour 2

Télévision : 10 mai 2018 à 22:45-00:20 sur C8

film d'action

Deux flics, l'un chinois, l'autre américain, en mission à Hongkong. Impec', Jackie Chan transforme en arme inattendue tout objet : cache-pot, poubelle ou cageot à poisson. Tchatcheur, Chris Tucker, se débat plaisamment avec les mœurs locales. C'est tonique, inventif, ludique, supérieur au n° 1. Critique : | Genre : « buddy movie » réussi. On ne change pas une équipe qui gagne. Jackie Chan est donc à nouveau ce flic de Hongkong au vocabulaire anglais limité mais aux poings d’acier, tandis que Chris Tucker est ce détective dragueur et beau parleur. L’humour naît des différences de culture et de caractère, mais, surprise, cette suite se révèle nettement supérieure à l’original… Les scénaristes ont eu la bonne idée d’emmener la fine équipe à Hongkong. L’exotisme est propice à de nouveaux gags : le flic est ainsi lâché successivement dans un karaoké où il imite Michael Jackson, puis dans un salon de massage infiltré par les triades. Dans ses combats-cascades, Jackie Chan retrouve la précision qui lui manquait parfois dans ses films américains. Il a la manie de transformer en arme ce qui lui tombe sous la main : un cache-pot, une poubelle, un cageot à poissons… C’est tonique, inventif, ludique.

Année : 2001

Avec : Jackie Chan, Chris Tucker, John Lone, Zhang Ziyi, Roselyn Sanchez, Alan King, Harris Yulin, Brett Ratner, Lalo Schifrin, Jeff Nathanson, Ross LaManna

Antérieurement en 2018
 

Rush Hour 3

Télévision : 10 mai 2018 à 21:10-22:45 sur C8

film d'action

Jackie Chan s’est empâté et a ralenti la cadence aux côtés de Chris Tucker, comique sans qualités. Seule distinction de cet énième opus : Il se termine en baston sur la tour Eiffel. Critique : Aux dernières nouvelles, l'inusable Jackie Chan corrigeait les méchants dans le Bronx. Trois films inédits plus tard, le revoici à San Francisco. Cette fois, on lui colle au train Chris Tucker, vu dans Jackie Brown et Le Cinquième Elément. Vu ou plutôt entendu. Car ce disciple d'Eddie Murphy se distingue surtout par une voix suraiguë qui peut lasser plus vite encore que la gymnastique de super-Jackie, ici préposé au sauvetage d'une petite fille enlevée par d'affreux mafieux. Comme d'habitude, Jackie Chan fait des pieds, des mains, du corps tout entier et de divers accessoires pour épater la galerie. Nouveauté mineure : soucieux de patrimoine, il s'efforce aussi de sauver les objets d'art d'une expo chinoise. En vain : le réalisateur ne peut s'empêcher de fracasser les vases Ming. François Gorin

Année : 2007

Avec : Brett Ratner, Jackie Chan, Chris Tucker, Noémie Lenoir, Max von Sydow, Yvan Attal, Hiroyuki Sanada, Zhang Jingchu, Dana Ivey, Lalo Schifrin, Jeff Nathanson, Ross LaManna

Antérieurement en 2018
 

Rush Hour 3

Télévision : 10 mai 2018 à 21:00-22:50 sur C8

film d'action

Jackie Chan s’est empâté et a ralenti la cadence aux côtés de Chris Tucker, comique sans qualités. Seule distinction de cet énième opus : Il se termine en baston sur la tour Eiffel. Critique : Aux dernières nouvelles, l'inusable Jackie Chan corrigeait les méchants dans le Bronx. Trois films inédits plus tard, le revoici à San Francisco. Cette fois, on lui colle au train Chris Tucker, vu dans Jackie Brown et Le Cinquième Elément. Vu ou plutôt entendu. Car ce disciple d'Eddie Murphy se distingue surtout par une voix suraiguë qui peut lasser plus vite encore que la gymnastique de super-Jackie, ici préposé au sauvetage d'une petite fille enlevée par d'affreux mafieux. Comme d'habitude, Jackie Chan fait des pieds, des mains, du corps tout entier et de divers accessoires pour épater la galerie. Nouveauté mineure : soucieux de patrimoine, il s'efforce aussi de sauver les objets d'art d'une expo chinoise. En vain : le réalisateur ne peut s'empêcher de fracasser les vases Ming. François Gorin

Année : 2007

Avec : Brett Ratner, Jackie Chan, Chris Tucker, Noémie Lenoir, Max von Sydow, Yvan Attal, Hiroyuki Sanada, Zhang Jingchu, Dana Ivey, Lalo Schifrin, Jeff Nathanson, Ross LaManna

Antérieurement en 2018
 

Rush Hour 2

Télévision : 8 mai 2018 à 21:05-22:50 sur C8

film d'action

Deux flics, l'un chinois, l'autre américain, en mission à Hongkong. Impec', Jackie Chan transforme en arme inattendue tout objet : cache-pot, poubelle ou cageot à poisson. Tchatcheur, Chris Tucker, se débat plaisamment avec les mœurs locales. C'est tonique, inventif, ludique, supérieur au n° 1. Critique : | Genre : « buddy movie » réussi. On ne change pas une équipe qui gagne. Jackie Chan est donc à nouveau ce flic de Hongkong au vocabulaire anglais limité mais aux poings d’acier, tandis que Chris Tucker est ce détective dragueur et beau parleur. L’humour naît des différences de culture et de caractère, mais, surprise, cette suite se révèle nettement supérieure à l’original… Les scénaristes ont eu la bonne idée d’emmener la fine équipe à Hongkong. L’exotisme est propice à de nouveaux gags : le flic est ainsi lâché successivement dans un karaoké où il imite Michael Jackson, puis dans un salon de massage infiltré par les triades. Dans ses combats-cascades, Jackie Chan retrouve la précision qui lui manquait parfois dans ses films américains. Il a la manie de transformer en arme ce qui lui tombe sous la main : un cache-pot, une poubelle, un cageot à poissons… C’est tonique, inventif, ludique.

Année : 2001

Avec : Jackie Chan, Chris Tucker, John Lone, Zhang Ziyi, Roselyn Sanchez, Alan King, Harris Yulin, Brett Ratner, Lalo Schifrin, Jeff Nathanson, Ross LaManna

Antérieurement en 2018
 

Rush Hour 2

Télévision : 8 mai 2018 à 21:00-23:00 sur C8

film d'action

Deux flics, l'un chinois, l'autre américain, en mission à Hongkong. Impec', Jackie Chan transforme en arme inattendue tout objet : cache-pot, poubelle ou cageot à poisson. Tchatcheur, Chris Tucker, se débat plaisamment avec les mœurs locales. C'est tonique, inventif, ludique, supérieur au n° 1. Critique : | Genre : « buddy movie » réussi. On ne change pas une équipe qui gagne. Jackie Chan est donc à nouveau ce flic de Hongkong au vocabulaire anglais limité mais aux poings d'acier, tandis que Chris Tucker est ce détective dragueur et beau parleur. L'humour naît à nouveau des différences de culture et de caractère, mais, surprise, cette suite s'avère nettement supérieure à l'original... Les scénaristes ont eu la bonne idée d'emmener la fine équipe à Hongkong. L'exotisme est propice à de nouveaux gags : le flic est ainsi lâché successivement dans un karaoké où il imite Michael Jackson, puis dans un salon de massage infiltré par les triades. Dans ses combats-cascades, Jackie Chan retrouve la précision qui lui manquait parfois dans ses films américains. Il a la manie de transformer en arme ce qui lui tombe sous la main : un cache-pot, une poubelle, un cageot à poissons... C'est tonique, inventif, ludique. — Aurélien Ferenczi

Année : 2001

Avec : Jackie Chan, Chris Tucker, John Lone, Zhang Ziyi, Roselyn Sanchez, Alan King, Harris Yulin, Brett Ratner, Lalo Schifrin, Jeff Nathanson, Ross LaManna

Antérieurement en 2018
 

Pirates des Caraïbes : la vengeance de Salazar

Télévision : 8 mai 2018 à 13:55-16:05 sur Canal +

film : aventure

Johnny Depp rempile encore une fois en pirate déglingué. On pourrait se lasser, mais l’humour qui faisait le sel du premier volet est heureusement de retour. Critique : Démarche de danseur ivre, regard opaque et charbonneux, tignasse embrouillée : c’est bien lui, Jack Sparrow, le pirate le plus lunaire de tous les océans, fidèle à lui-même jusqu’au bout des dreadlocks. En apprenant que Johnny Depp remettait la perruque à perles pour la cinquième fois, on n’attendait plus grand-chose du large des Caraïbes. Pourtant, ce volet tardif de la fameuse saga d’aventures à l’eau salée est plutôt une bonne surprise. Davantage que dans les autres suites de suites, on y retrouve l’humour et le rythme qui faisaient le charme du premier volet. Entre une nouvelle héroïne piquante, intrépide et féministe (astronome prise pour une sorcière) et un méchant de choc, Javier Bardem, capitaine zombifié par d’impressionnants effets spéciaux, il s’agit d’une énième quête d’un trésor magique. Qui fait la part belle aux gags, aux morceaux de bravoure numériques (les flots s’entrouvrent comme chez Moïse) et aux apparitions clin d’œil (saurez-vous repérer Paul McCartney ?)… Bref, l’attraction que l’on croyait usée a encore du ressort.

Année : 2017

Avec : Johnny Depp, Kaya Scodelario, Brenton Thwaites, Javier Bardem, Kevin McNally, Martin Klebba, Adam Brown, Golshifteh Farahani, Geoffrey Rush, Stephen Graham, Espen Sandberg, Joachim Ronning, Paul McCartney, Stuart Beattie, Ted Elliott, Terry Rossio, Jay Wolpert, Orlando Bloom, Geoff Zanelli, Jeff Nathanson, Jeff Nathanson, Nigel Phelps, Paul Cameron

Antérieurement en 2018
 

Pirates des Caraïbes : la vengeance de Salazar

Télévision : 8 mai 2018 à 13:55-16:00 sur Canal +

film : aventure

Johnny Depp rempile encore une fois en pirate déglingué. On pourrait se lasser, mais l’humour qui faisait le sel du premier volet est heureusement de retour. Critique : Démarche de danseur ivre, regard opaque et charbonneux, tignasse embrouillée : c’est bien lui, Jack Sparrow, le pirate le plus lunaire de tous les océans, fidèle à lui-même jusqu’au bout des dreadlocks. En apprenant que Johnny Depp remettait la perruque à perles pour la cinquième fois, on n’attendait plus grand-chose du large des Caraïbes. Pourtant, ce volet tardif de la fameuse saga d’aventures à l’eau salée est plutôt une bonne surprise. Davantage que dans les autres suites de suites, on y retrouve l’humour et le rythme qui faisaient le charme du premier volet. Entre une nouvelle héroïne piquante, intrépide et féministe (astronome prise pour une sorcière) et un méchant de choc, Javier Bardem, capitaine zombifié par d’impressionnants effets spéciaux, il s’agit d’une énième quête d’un trésor magique. Qui fait la part belle aux gags, aux morceaux de bravoure numériques (les flots s’entrouvrent comme chez Moïse) et aux apparitions clin d’œil (saurez-vous repérer Paul McCartney ?)… Bref, l’attraction que l’on croyait usée a encore du ressort.

Année : 2017

Avec : Johnny Depp, Kaya Scodelario, Brenton Thwaites, Javier Bardem, Kevin McNally, Martin Klebba, Adam Brown, Golshifteh Farahani, Geoffrey Rush, Stephen Graham, Espen Sandberg, Joachim Ronning, Paul McCartney, Stuart Beattie, Ted Elliott, Terry Rossio, Jay Wolpert, Orlando Bloom, Geoff Zanelli, Jeff Nathanson, Jeff Nathanson, Nigel Phelps, Paul Cameron

Antérieurement en 2018
 

Pirates des Caraïbes : la vengeance de Salazar

Télévision : 2 mai 2018 à 09:55-12:00 sur Canal +

film : aventure

Johnny Depp rempile encore une fois en pirate déglingué. On pourrait se lasser, mais l’humour qui faisait le sel du premier volet est heureusement de retour. Critique : Démarche de danseur ivre, regard opaque et charbonneux, tignasse embrouillée : c’est bien lui, Jack Sparrow, le pirate le plus lunaire de tous les océans, fidèle à lui-même jusqu’au bout des dreadlocks. En apprenant que Johnny Depp remettait la perruque à perles pour la cinquième fois, on n’attendait plus grand-chose du large des Caraïbes. Pourtant, ce volet tardif de la fameuse saga d’aventures à l’eau salée est plutôt une bonne surprise. Davantage que dans les autres suites de suites, on y retrouve l’humour et le rythme qui faisaient le charme du premier volet. Entre une nouvelle héroïne piquante, intrépide et féministe (astronome prise pour une sorcière) et un méchant de choc, Javier Bardem, capitaine zombifié par d’impressionnants effets spéciaux, il s’agit d’une énième quête d’un trésor magique. Qui fait la part belle aux gags, aux morceaux de bravoure numériques (les flots s’entrouvrent comme chez Moïse) et aux apparitions clin d’œil (saurez-vous repérer Paul McCartney ?)… Bref, l’attraction que l’on croyait usée a encore du ressort.

Année : 2017

Avec : Johnny Depp, Kaya Scodelario, Brenton Thwaites, Javier Bardem, Kevin McNally, Martin Klebba, Adam Brown, Golshifteh Farahani, Geoffrey Rush, Stephen Graham, Espen Sandberg, Joachim Ronning, Paul McCartney, Stuart Beattie, Ted Elliott, Terry Rossio, Jay Wolpert, Orlando Bloom, Geoff Zanelli, Jeff Nathanson, Jeff Nathanson, Nigel Phelps, Paul Cameron

Antérieurement en 2018
 

Arrête-moi si tu peux

Télévision : 5 mars 2018 à 21:00-23:45 sur C8

film : comédie dramatique

Incroyablement rocambolesque, mais vrai ! Tom Hanks traque Leonardo DiCaprio délicieux en escroc de génie. Spielberg donne encore une leçon de virtuosité. Un régal ! Critique : Film de Steven Spielberg (Catch me if you can, USA, 2002). Scénario : Jeff Nathanson. 135 mn. VF. Avec Leonardo DiCaprio, Tom Hanks, Nathalie Baye, Christopher Walken. Le genre : incorrigible rêveur. Dans les années 60, un certain Frank Abagnale est devenu l'as de la mystification : en se faisant passer pour un pilote de ligne, un médecin ou encore un avocat, il ramassa des millions de dollars. Ça l'occupa de 16 à 21 ans, ce que peut durer une enfance qui joue les prolongations. Car cette escroquerie tient plutôt des quatre cents coups. Déguisements, farces qui rapportent et toutes sortes d'attrape-nigauds : la brillante carrière de Frank Abagnale est un jeu. Mais elle se joue sur un fond de mélancolie particulièrement émouvante : dès la première scène, on sait que les miracles n'existent pas. Les gendarmes arrêtent toujours les voleurs. C'est ce que la vie vous apprend. C'est ce que Frank Abagnale refuse d'accepter. Spielberg, l'illusionniste hanté par le désir de fuir le monde des adultes, s'est évidemment pris d'affection pour ce personnage. Il a fait de son aventure une comédie pleine de brio, facile et séduisante, comme un tour de passe-passe. Troublante aussi, puisqu'on oublie très vite les dollars. L'essentiel, ici, est immatériel : Frank Abagnale ne court pas comme un voleur, il court pour ne jamais arriver nulle part, pour ne surtout pas faire un pas en avant, pour ne pas grandir. Avec la complicité d'acteurs qui, eux aussi, font des merveilles dans un registre léger mais subtilement grave, Spielberg signe, mine de rien, un de ses films les plus personnels. Une profonde rêverie autour de l'enfance et de ses sortilèges. Frédéric Strauss

Année : 2002