Igor van : passages TV et dernières sorties DVD/Blu-ray

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Antérieurement en 2023
 

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Télévision : 12 juillet 2023 à 02:09-03:50 sur Canal +

film : drame

Deux garçons de 13 ans, Léo et Rémi, sont inséparables. Ils passent pratiquement tous les jours ensemble et dorment parfois chez Rémi. Mais un évènement va bouleverser cette relation. Lors de leur rentrée au collège, un groupe de jeunes filles souhaitent savoir si les garçons sont en couple. C'est un véritable choc pour Léo et un coup de frein pour leur amitié. A la suite de cet incident, l'enfant va se remettre en question ainsi que la relation qui le lie à Rémi. Il s'éloigne de son ami de toujours, laissant celui-ci dans l'incompréhension. Jusqu'au jour où Léo décide de se rapprocher de la mère de son ami afin de trouver du soutien... - Critique : Le joli est-il l’ennemi du beau ? Vous avez une heure quarante-cinq, soit la durée de Close, deuxième long métrage de Lukas Dhont, 30 ans, récompensé par un Grand Prix au dernier Festival de Cannes (ex-aequo avec Stars at Noon, de Claire Denis). Après Girl, portrait d’une jeune fille en transition, Caméra d’or en 2018, le Belge confirme son goût pour les titres réduits à l’essentiel (une syllabe, un programme) et la douceur qui trompe son monde, façon loup déguisé en mère-grand – c’est pour mieux te faire pleurer, mon enfant. Dans sa première partie, la plus réussie, Close (« proche », en français) chronique le meurtre à bas bruit, ordinairement homophobe, d’une amitié idéale. Presque frères, Léo (Eden Dambrine) et Rémi (Gustav De Waele), 13 ans, partagent tout, batailles imaginaires et épées de bois, admiration réciproque, courses folles dans les champs de fleurs aux couleurs divines, chuchotis rieurs sur l’oreiller. L’amour ? Un jour peut-être, ou peut-être pas, ce n’est pas dit, ce n’est pas la question. Leur arrivée en sixième signe l’avis d’expulsion du paradis : deux gars qui se tiennent la main dans la cour de récré, ça fait « pédales », merci d’adopter les codes genrés appliqués par la majorité. Même si c’est parfois formulé sans malveillance (« Vous êtes ensemble ? », interroge simplement une collégienne dans une scène formidable), Léo, gêné, obtempère illico, intègre l’équipe de hockey sur glace, activité virile s’il en est, et s’éloigne progressivement de Rémi. Derrière son festival de rayons de soleil sur ravissants marmots, Close convainc tant qu’il s’en tient à une autopsie de la tendresse masculine en milieu scolaire. Nettement moins lorsqu’il bascule dans la tragédie et abandonne Léo à la solitude, au remords et à un unique et répétitif principe de mise en scène, entièrement centré sur les activités physiques du gamin – travail aux champs et sport, ad libitum, se faire mal pour oublier l’autre douleur. S’il montre l’ambition louable de s’en remettre aux images plutôt qu’à des dialogues explicatifs, Lukas Dhont n’échappe pas à la lourdeur symbolique – un poignet cassé, puis réparé, en devient par exemple sursignifiant. Il délaye son mélo photogénique, fasciné par la souffrance muette de son jeune héros, dont il scrute le visage et souligne chaque regard jusqu’à la dernière seconde. Pour dévier un peu de l’itinéraire balisé, il faut s’en remettre aux actrices, Léa Drucker, et, surtout la bouleversante Émilie Dequenne, qui ne laisseront personne les yeux secs.

Année : 2022

Avec : Eden Dambrine, Gustav De Waele, Herman van Slambrouck, Igor van, Iven Deduytschaver, Kevin Janssens, Léa Drucker, Léon Bataille, Marc Weiss, Robin Keyaert, Serine Ayari, Émilie Dequenne

Antérieurement en 2023
 

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Télévision : 22 juin 2023 à 10:24-12:06 sur Canal +

film : drame

Deux garçons de 13 ans, Léo et Rémi, sont inséparables. Ils passent pratiquement tous les jours ensemble et dorment parfois chez Rémi. Mais un évènement va bouleverser cette relation. Lors de leur rentrée au collège, un groupe de jeunes filles souhaitent savoir si les garçons sont en couple. C'est un véritable choc pour Léo et un coup de frein pour leur amitié. A la suite de cet incident, l'enfant va se remettre en question ainsi que la relation qui le lie à Rémi. Il s'éloigne de son ami de toujours, laissant celui-ci dans l'incompréhension. Jusqu'au jour où Léo décide de se rapprocher de la mère de son ami afin de trouver du soutien... - Critique : Le joli est-il l’ennemi du beau ? Vous avez une heure quarante-cinq, soit la durée de Close, deuxième long métrage de Lukas Dhont, 30 ans, récompensé par un Grand Prix au dernier Festival de Cannes (ex-aequo avec Stars at Noon, de Claire Denis). Après Girl, portrait d’une jeune fille en transition, Caméra d’or en 2018, le Belge confirme son goût pour les titres réduits à l’essentiel (une syllabe, un programme) et la douceur qui trompe son monde, façon loup déguisé en mère-grand – c’est pour mieux te faire pleurer, mon enfant. Dans sa première partie, la plus réussie, Close (« proche », en français) chronique le meurtre à bas bruit, ordinairement homophobe, d’une amitié idéale. Presque frères, Léo (Eden Dambrine) et Rémi (Gustav De Waele), 13 ans, partagent tout, batailles imaginaires et épées de bois, admiration réciproque, courses folles dans les champs de fleurs aux couleurs divines, chuchotis rieurs sur l’oreiller. L’amour ? Un jour peut-être, ou peut-être pas, ce n’est pas dit, ce n’est pas la question. Leur arrivée en sixième signe l’avis d’expulsion du paradis : deux gars qui se tiennent la main dans la cour de récré, ça fait « pédales », merci d’adopter les codes genrés appliqués par la majorité. Même si c’est parfois formulé sans malveillance (« Vous êtes ensemble ? », interroge simplement une collégienne dans une scène formidable), Léo, gêné, obtempère illico, intègre l’équipe de hockey sur glace, activité virile s’il en est, et s’éloigne progressivement de Rémi. Derrière son festival de rayons de soleil sur ravissants marmots, Close convainc tant qu’il s’en tient à une autopsie de la tendresse masculine en milieu scolaire. Nettement moins lorsqu’il bascule dans la tragédie et abandonne Léo à la solitude, au remords et à un unique et répétitif principe de mise en scène, entièrement centré sur les activités physiques du gamin – travail aux champs et sport, ad libitum, se faire mal pour oublier l’autre douleur. S’il montre l’ambition louable de s’en remettre aux images plutôt qu’à des dialogues explicatifs, Lukas Dhont n’échappe pas à la lourdeur symbolique – un poignet cassé, puis réparé, en devient par exemple sursignifiant. Il délaye son mélo photogénique, fasciné par la souffrance muette de son jeune héros, dont il scrute le visage et souligne chaque regard jusqu’à la dernière seconde. Pour dévier un peu de l’itinéraire balisé, il faut s’en remettre aux actrices, Léa Drucker, et, surtout la bouleversante Émilie Dequenne, qui ne laisseront personne les yeux secs.

Année : 2022

Avec : Eden Dambrine, Gustav De Waele, Herman van Slambrouck, Igor van, Iven Deduytschaver, Kevin Janssens, Léa Drucker, Léon Bataille, Marc Weiss, Robin Keyaert, Serine Ayari, Émilie Dequenne

Antérieurement en 2023
 

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Télévision : 13 juin 2023 à 22:40-00:21 sur Canal +

film : drame

Deux garçons de 13 ans, Léo et Rémi, sont inséparables. Ils passent pratiquement tous les jours ensemble et dorment parfois chez Rémi. Mais un évènement va bouleverser cette relation. Lors de leur rentrée au collège, un groupe de jeunes filles souhaitent savoir si les garçons sont en couple. C'est un véritable choc pour Léo et un coup de frein pour leur amitié. A la suite de cet incident, l'enfant va se remettre en question ainsi que la relation qui le lie à Rémi. Il s'éloigne de son ami de toujours, laissant celui-ci dans l'incompréhension. Jusqu'au jour où Léo décide de se rapprocher de la mère de son ami afin de trouver du soutien... - Critique : Le joli est-il l’ennemi du beau ? Vous avez une heure quarante-cinq, soit la durée de Close, deuxième long métrage de Lukas Dhont, 30 ans, récompensé par un Grand Prix au dernier Festival de Cannes (ex-aequo avec Stars at Noon, de Claire Denis). Après Girl, portrait d’une jeune fille en transition, Caméra d’or en 2018, le Belge confirme son goût pour les titres réduits à l’essentiel (une syllabe, un programme) et la douceur qui trompe son monde, façon loup déguisé en mère-grand – c’est pour mieux te faire pleurer, mon enfant. Dans sa première partie, la plus réussie, Close (« proche », en français) chronique le meurtre à bas bruit, ordinairement homophobe, d’une amitié idéale. Presque frères, Léo (Eden Dambrine) et Rémi (Gustav De Waele), 13 ans, partagent tout, batailles imaginaires et épées de bois, admiration réciproque, courses folles dans les champs de fleurs aux couleurs divines, chuchotis rieurs sur l’oreiller. L’amour ? Un jour peut-être, ou peut-être pas, ce n’est pas dit, ce n’est pas la question. Leur arrivée en sixième signe l’avis d’expulsion du paradis : deux gars qui se tiennent la main dans la cour de récré, ça fait « pédales », merci d’adopter les codes genrés appliqués par la majorité. Même si c’est parfois formulé sans malveillance (« Vous êtes ensemble ? », interroge simplement une collégienne dans une scène formidable), Léo, gêné, obtempère illico, intègre l’équipe de hockey sur glace, activité virile s’il en est, et s’éloigne progressivement de Rémi. Derrière son festival de rayons de soleil sur ravissants marmots, Close convainc tant qu’il s’en tient à une autopsie de la tendresse masculine en milieu scolaire. Nettement moins lorsqu’il bascule dans la tragédie et abandonne Léo à la solitude, au remords et à un unique et répétitif principe de mise en scène, entièrement centré sur les activités physiques du gamin – travail aux champs et sport, ad libitum, se faire mal pour oublier l’autre douleur. S’il montre l’ambition louable de s’en remettre aux images plutôt qu’à des dialogues explicatifs, Lukas Dhont n’échappe pas à la lourdeur symbolique – un poignet cassé, puis réparé, en devient par exemple sursignifiant. Il délaye son mélo photogénique, fasciné par la souffrance muette de son jeune héros, dont il scrute le visage et souligne chaque regard jusqu’à la dernière seconde. Pour dévier un peu de l’itinéraire balisé, il faut s’en remettre aux actrices, Léa Drucker, et, surtout la bouleversante Émilie Dequenne, qui ne laisseront personne les yeux secs.

Année : 2022

Avec : Eden Dambrine, Gustav De Waele, Herman van Slambrouck, Igor van, Iven Deduytschaver, Kevin Janssens, Léa Drucker, Léon Bataille, Marc Weiss, Robin Keyaert, Serine Ayari, Émilie Dequenne

Antérieurement en 2023
 

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Télévision : 13 juin 2023 à 22:40-00:20 sur Canal +

film : drame

Deux garçons de 13 ans, Léo et Rémi, sont inséparables. Ils passent pratiquement tous les jours ensemble et dorment parfois chez Rémi. Mais un évènement va bouleverser cette relation. Lors de leur rentrée au collège, un groupe de jeunes filles souhaitent savoir si les garçons sont en couple. C'est un véritable choc pour Léo et un coup de frein pour leur amitié. A la suite de cet incident, l'enfant va se remettre en question ainsi que la relation qui le lie à Rémi. Il s'éloigne de son ami de toujours, laissant celui-ci dans l'incompréhension. Jusqu'au jour où Léo décide de se rapprocher de la mère de son ami afin de trouver du soutien... - Critique : Le joli est-il l’ennemi du beau ? Vous avez une heure quarante-cinq, soit la durée de Close, deuxième long métrage de Lukas Dhont, 30 ans, récompensé par un Grand Prix au dernier Festival de Cannes (ex-aequo avec Stars at Noon, de Claire Denis). Après Girl, portrait d’une jeune fille en transition, Caméra d’or en 2018, le Belge confirme son goût pour les titres réduits à l’essentiel (une syllabe, un programme) et la douceur qui trompe son monde, façon loup déguisé en mère-grand – c’est pour mieux te faire pleurer, mon enfant. Dans sa première partie, la plus réussie, Close (« proche », en français) chronique le meurtre à bas bruit, ordinairement homophobe, d’une amitié idéale. Presque frères, Léo (Eden Dambrine) et Rémi (Gustav De Waele), 13 ans, partagent tout, batailles imaginaires et épées de bois, admiration réciproque, courses folles dans les champs de fleurs aux couleurs divines, chuchotis rieurs sur l’oreiller. L’amour ? Un jour peut-être, ou peut-être pas, ce n’est pas dit, ce n’est pas la question. Leur arrivée en sixième signe l’avis d’expulsion du paradis : deux gars qui se tiennent la main dans la cour de récré, ça fait « pédales », merci d’adopter les codes genrés appliqués par la majorité. Même si c’est parfois formulé sans malveillance (« Vous êtes ensemble ? », interroge simplement une collégienne dans une scène formidable), Léo, gêné, obtempère illico, intègre l’équipe de hockey sur glace, activité virile s’il en est, et s’éloigne progressivement de Rémi. Derrière son festival de rayons de soleil sur ravissants marmots, Close convainc tant qu’il s’en tient à une autopsie de la tendresse masculine en milieu scolaire. Nettement moins lorsqu’il bascule dans la tragédie et abandonne Léo à la solitude, au remords et à un unique et répétitif principe de mise en scène, entièrement centré sur les activités physiques du gamin – travail aux champs et sport, ad libitum, se faire mal pour oublier l’autre douleur. S’il montre l’ambition louable de s’en remettre aux images plutôt qu’à des dialogues explicatifs, Lukas Dhont n’échappe pas à la lourdeur symbolique – un poignet cassé, puis réparé, en devient par exemple sursignifiant. Il délaye son mélo photogénique, fasciné par la souffrance muette de son jeune héros, dont il scrute le visage et souligne chaque regard jusqu’à la dernière seconde. Pour dévier un peu de l’itinéraire balisé, il faut s’en remettre aux actrices, Léa Drucker, et, surtout la bouleversante Émilie Dequenne, qui ne laisseront personne les yeux secs.

Année : 2022

Avec : Eden Dambrine, Gustav De Waele, Herman van Slambrouck, Igor van, Iven Deduytschaver, Kevin Janssens, Léa Drucker, Léon Bataille, Marc Weiss, Robin Keyaert, Serine Ayari, Émilie Dequenne

Antérieurement en 2023
 

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Télévision : 13 juin 2023 à 01:47-03:28 sur Canal +

film : drame

Deux garçons de 13 ans, Léo et Rémi, sont inséparables. Ils passent pratiquement tous les jours ensemble et dorment parfois chez Rémi. Mais un évènement va bouleverser cette relation. Lors de leur rentrée au collège, un groupe de jeunes filles souhaitent savoir si les garçons sont en couple. C'est un véritable choc pour Léo et un coup de frein pour leur amitié. A la suite de cet incident, l'enfant va se remettre en question ainsi que la relation qui le lie à Rémi. Il s'éloigne de son ami de toujours, laissant celui-ci dans l'incompréhension. Jusqu'au jour où Léo décide de se rapprocher de la mère de son ami afin de trouver du soutien... - Critique : Le joli est-il l’ennemi du beau ? Vous avez une heure quarante-cinq, soit la durée de Close, deuxième long métrage de Lukas Dhont, 30 ans, récompensé par un Grand Prix au dernier Festival de Cannes (ex-aequo avec Stars at Noon, de Claire Denis). Après Girl, portrait d’une jeune fille en transition, Caméra d’or en 2018, le Belge confirme son goût pour les titres réduits à l’essentiel (une syllabe, un programme) et la douceur qui trompe son monde, façon loup déguisé en mère-grand – c’est pour mieux te faire pleurer, mon enfant. Dans sa première partie, la plus réussie, Close (« proche », en français) chronique le meurtre à bas bruit, ordinairement homophobe, d’une amitié idéale. Presque frères, Léo (Eden Dambrine) et Rémi (Gustav De Waele), 13 ans, partagent tout, batailles imaginaires et épées de bois, admiration réciproque, courses folles dans les champs de fleurs aux couleurs divines, chuchotis rieurs sur l’oreiller. L’amour ? Un jour peut-être, ou peut-être pas, ce n’est pas dit, ce n’est pas la question. Leur arrivée en sixième signe l’avis d’expulsion du paradis : deux gars qui se tiennent la main dans la cour de récré, ça fait « pédales », merci d’adopter les codes genrés appliqués par la majorité. Même si c’est parfois formulé sans malveillance (« Vous êtes ensemble ? », interroge simplement une collégienne dans une scène formidable), Léo, gêné, obtempère illico, intègre l’équipe de hockey sur glace, activité virile s’il en est, et s’éloigne progressivement de Rémi. Derrière son festival de rayons de soleil sur ravissants marmots, Close convainc tant qu’il s’en tient à une autopsie de la tendresse masculine en milieu scolaire. Nettement moins lorsqu’il bascule dans la tragédie et abandonne Léo à la solitude, au remords et à un unique et répétitif principe de mise en scène, entièrement centré sur les activités physiques du gamin – travail aux champs et sport, ad libitum, se faire mal pour oublier l’autre douleur. S’il montre l’ambition louable de s’en remettre aux images plutôt qu’à des dialogues explicatifs, Lukas Dhont n’échappe pas à la lourdeur symbolique – un poignet cassé, puis réparé, en devient par exemple sursignifiant. Il délaye son mélo photogénique, fasciné par la souffrance muette de son jeune héros, dont il scrute le visage et souligne chaque regard jusqu’à la dernière seconde. Pour dévier un peu de l’itinéraire balisé, il faut s’en remettre aux actrices, Léa Drucker, et, surtout la bouleversante Émilie Dequenne, qui ne laisseront personne les yeux secs.

Année : 2022

Avec : Eden Dambrine, Gustav De Waele, Herman van Slambrouck, Igor van, Iven Deduytschaver, Kevin Janssens, Léa Drucker, Léon Bataille, Marc Weiss, Robin Keyaert, Serine Ayari, Émilie Dequenne

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Télévision : 26 mai 2023 à 00:03-01:44 sur Canal +

film : drame

Deux garçons de 13 ans, Léo et Rémi, sont inséparables. Ils passent pratiquement tous les jours ensemble et dorment parfois chez Rémi. Mais un évènement va bouleverser cette relation. Lors de leur rentrée au collège, un groupe de jeunes filles souhaitent savoir si les garçons sont en couple. C'est un véritable choc pour Léo et un coup de frein pour leur amitié. A la suite de cet incident, l'enfant va se remettre en question ainsi que la relation qui le lie à Rémi. Il s'éloigne de son ami de toujours, laissant celui-ci dans l'incompréhension. Jusqu'au jour où Léo décide de se rapprocher de la mère de son ami afin de trouver du soutien... - Critique : Le joli est-il l’ennemi du beau ? Vous avez une heure quarante-cinq, soit la durée de Close, deuxième long métrage de Lukas Dhont, 30 ans, récompensé par un Grand Prix au dernier Festival de Cannes (ex-aequo avec Stars at Noon, de Claire Denis). Après Girl, portrait d’une jeune fille en transition, Caméra d’or en 2018, le Belge confirme son goût pour les titres réduits à l’essentiel (une syllabe, un programme) et la douceur qui trompe son monde, façon loup déguisé en mère-grand – c’est pour mieux te faire pleurer, mon enfant. Dans sa première partie, la plus réussie, Close (« proche », en français) chronique le meurtre à bas bruit, ordinairement homophobe, d’une amitié idéale. Presque frères, Léo (Eden Dambrine) et Rémi (Gustav De Waele), 13 ans, partagent tout, batailles imaginaires et épées de bois, admiration réciproque, courses folles dans les champs de fleurs aux couleurs divines, chuchotis rieurs sur l’oreiller. L’amour ? Un jour peut-être, ou peut-être pas, ce n’est pas dit, ce n’est pas la question. Leur arrivée en sixième signe l’avis d’expulsion du paradis : deux gars qui se tiennent la main dans la cour de récré, ça fait « pédales », merci d’adopter les codes genrés appliqués par la majorité. Même si c’est parfois formulé sans malveillance (« Vous êtes ensemble ? », interroge simplement une collégienne dans une scène formidable), Léo, gêné, obtempère illico, intègre l’équipe de hockey sur glace, activité virile s’il en est, et s’éloigne progressivement de Rémi. Derrière son festival de rayons de soleil sur ravissants marmots, Close convainc tant qu’il s’en tient à une autopsie de la tendresse masculine en milieu scolaire. Nettement moins lorsqu’il bascule dans la tragédie et abandonne Léo à la solitude, au remords et à un unique et répétitif principe de mise en scène, entièrement centré sur les activités physiques du gamin – travail aux champs et sport, ad libitum, se faire mal pour oublier l’autre douleur. S’il montre l’ambition louable de s’en remettre aux images plutôt qu’à des dialogues explicatifs, Lukas Dhont n’échappe pas à la lourdeur symbolique – un poignet cassé, puis réparé, en devient par exemple sursignifiant. Il délaye son mélo photogénique, fasciné par la souffrance muette de son jeune héros, dont il scrute le visage et souligne chaque regard jusqu’à la dernière seconde. Pour dévier un peu de l’itinéraire balisé, il faut s’en remettre aux actrices, Léa Drucker, et, surtout la bouleversante Émilie Dequenne, qui ne laisseront personne les yeux secs.

Année : 2022

Avec : Eden Dambrine, Gustav De Waele, Herman van Slambrouck, Igor van, Iven Deduytschaver, Kevin Janssens, Léa Drucker, Léon Bataille, Marc Weiss, Robin Keyaert, Serine Ayari, Émilie Dequenne

Antérieurement en 2023
 

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Télévision : 25 mai 2023 à 23:57-01:38 sur Canal +

film : drame

Deux garçons de 13 ans, Léo et Rémi, sont inséparables. Ils passent pratiquement tous les jours ensemble et dorment parfois chez Rémi. Mais un évènement va bouleverser cette relation. Lors de leur rentrée au collège, un groupe de jeunes filles souhaitent savoir si les garçons sont en couple. C'est un véritable choc pour Léo et un coup de frein pour leur amitié. A la suite de cet incident, l'enfant va se remettre en question ainsi que la relation qui le lie à Rémi. Il s'éloigne de son ami de toujours, laissant celui-ci dans l'incompréhension. Jusqu'au jour où Léo décide de se rapprocher de la mère de son ami afin de trouver du soutien... - Critique : Le joli est-il l’ennemi du beau ? Vous avez une heure quarante-cinq, soit la durée de Close, deuxième long métrage de Lukas Dhont, 30 ans, récompensé par un Grand Prix au dernier Festival de Cannes (ex-aequo avec Stars at Noon, de Claire Denis). Après Girl, portrait d’une jeune fille en transition, Caméra d’or en 2018, le Belge confirme son goût pour les titres réduits à l’essentiel (une syllabe, un programme) et la douceur qui trompe son monde, façon loup déguisé en mère-grand – c’est pour mieux te faire pleurer, mon enfant. Dans sa première partie, la plus réussie, Close (« proche », en français) chronique le meurtre à bas bruit, ordinairement homophobe, d’une amitié idéale. Presque frères, Léo (Eden Dambrine) et Rémi (Gustav De Waele), 13 ans, partagent tout, batailles imaginaires et épées de bois, admiration réciproque, courses folles dans les champs de fleurs aux couleurs divines, chuchotis rieurs sur l’oreiller. L’amour ? Un jour peut-être, ou peut-être pas, ce n’est pas dit, ce n’est pas la question. Leur arrivée en sixième signe l’avis d’expulsion du paradis : deux gars qui se tiennent la main dans la cour de récré, ça fait « pédales », merci d’adopter les codes genrés appliqués par la majorité. Même si c’est parfois formulé sans malveillance (« Vous êtes ensemble ? », interroge simplement une collégienne dans une scène formidable), Léo, gêné, obtempère illico, intègre l’équipe de hockey sur glace, activité virile s’il en est, et s’éloigne progressivement de Rémi. Derrière son festival de rayons de soleil sur ravissants marmots, Close convainc tant qu’il s’en tient à une autopsie de la tendresse masculine en milieu scolaire. Nettement moins lorsqu’il bascule dans la tragédie et abandonne Léo à la solitude, au remords et à un unique et répétitif principe de mise en scène, entièrement centré sur les activités physiques du gamin – travail aux champs et sport, ad libitum, se faire mal pour oublier l’autre douleur. S’il montre l’ambition louable de s’en remettre aux images plutôt qu’à des dialogues explicatifs, Lukas Dhont n’échappe pas à la lourdeur symbolique – un poignet cassé, puis réparé, en devient par exemple sursignifiant. Il délaye son mélo photogénique, fasciné par la souffrance muette de son jeune héros, dont il scrute le visage et souligne chaque regard jusqu’à la dernière seconde. Pour dévier un peu de l’itinéraire balisé, il faut s’en remettre aux actrices, Léa Drucker, et, surtout la bouleversante Émilie Dequenne, qui ne laisseront personne les yeux secs.

Année : 2022

Avec : Eden Dambrine, Gustav De Waele, Igor van, Kevin Janssens, Léa Drucker, Léon Bataille, Marc Weiss, Émilie Dequenne

Antérieurement en 2023
 

Trois jours et une vie

Télévision : 14 avril 2023 à 13:35-15:50 sur Arte

film : drame

Décembre 1999. Dans un village des Ardennes belges, le petit Rémi, 6 ans, disparaît soudainement. Ses voisins et ses proches sont interrogés, mais personne n'a rien vu. Pourtant, Antoine, 12 ans et sans histoire, sait ce qui est arrivé à son camarade de jeu. Mais saisi de honte et d'effroi, il garde le silence, observant la communauté autour de lui s'entredéchirer. Après une première battue dans la forêt, un événement inattendu met un coup d'arrêt aux recherches, enterrant du même coup le secret du garçon. Quinze ans plus tard, Antoine, jeune médecin promis à un bel avenir, retourne fêter Noël chez sa mère, au village. C'est alors que resurgissent les fantômes du passé. - Critique : Dans un village des Ardennes belges, un enfant disparaît… Nicolas Boukhrief adapte un roman de Pierre Lemaitre à la demande de celui-ci, qui a écrit le scénario. Pas de suspense, ni de révélation : d’emblée, on sait que l’enfant a perdu la vie, et on connaît le (tout jeune) responsable de sa mort accidentelle. Ce qui compte, c’est l’après, la deuxième heure du film, plus tendue : dans une ambiance chabrolienne — que Sandrine Bonnaire sait parfaitement suggérer —, la peur du qu’en-dira-t-on et les chantages petits-bourgeois finissent par engendrer une famille monstrueuse. Une autre sorte de prison, à vie.

Année : 2019

De : Nicolas Boukhrief

Avec : Arben Bajraktaraj, Charles Berling, Dimitri Storoge, Igor van, Jeremy Senez, Margot Bancilhon, Murielle Texier, Pablo Pauly, Pauline Sakellaridis, Philippe Torreton, Sandrine Bonnaire, Yoann Blanc

Antérieurement en 2023
 

Trois jours et une vie

Télévision : 30 mars 2023 à 13:35-15:45 sur Arte

film : drame

Décembre 1999. Dans un village des Ardennes belges, le petit Rémi, 6 ans, disparaît soudainement. Ses voisins et ses proches sont interrogés, mais personne n'a rien vu. Pourtant, Antoine, 12 ans et sans histoire, sait ce qui est arrivé à son camarade de jeu. Mais saisi de honte et d'effroi, il garde le silence, observant la communauté autour de lui s'entredéchirer. Après une première battue dans la forêt, un événement inattendu met un coup d'arrêt aux recherches, enterrant du même coup le secret du garçon. Quinze ans plus tard, Antoine, jeune médecin promis à un bel avenir, retourne fêter Noël chez sa mère, au village. C'est alors que resurgissent les fantômes du passé. - Critique : Dans un village des Ardennes belges, un enfant disparaît… Nicolas Boukhrief adapte un roman de Pierre Lemaitre à la demande de celui-ci, qui a écrit le scénario. Pas de suspense, ni de révélation : d’emblée, on sait que l’enfant a perdu la vie, et on connaît le (tout jeune) responsable de sa mort accidentelle. Ce qui compte, c’est l’après, la deuxième heure du film, plus tendue : dans une ambiance chabrolienne — que Sandrine Bonnaire sait parfaitement suggérer —, la peur du qu’en-dira-t-on et les chantages petits-bourgeois finissent par engendrer une famille monstrueuse. Une autre sorte de prison, à vie.

Année : 2019

De : Nicolas Boukhrief

Avec : Arben Bajraktaraj, Charles Berling, Dimitri Storoge, Igor van, Jeremy Senez, Margot Bancilhon, Murielle Texier, Pablo Pauly, Pauline Sakellaridis, Philippe Torreton, Sandrine Bonnaire, Yoann Blanc

Antérieurement en 2021
 

Ma Reum

Télévision : 9 novembre 2021 à 23:10-01:00 sur W9

Comédie

Fanny adore Arthur, son fils de 9 ans, et est aux petits soins pour lui. Quand elle découvre que celui-ci est la cible de trois garçons de son école, son sang ne fait qu'un tour. Pas question qu'ils continuent leur manège. Fanny leur déclare la guerre et tente de les piéger par tous les moyens...

Année : 2018

De : Frédéric Quiring

Avec : Audrey Lamy, Florent Peyre, Charlie Langendries, Max Boublil, Igor van, Martin Gillis, JoeyStarr, Louis Durant, Michèle Moretti, Tania Garbarski, Kody, Alice Verset, Karina Testa, Sandra Zidani, Hervé Lassïnce, Hélène de, Grégoire Baldari, Denyse Schwab, Laurent D'Elia, Jules Hanquet, Esteban Gomez-Navarro

Antérieurement en 2021
 

Ma Reum

Télévision : 28 octobre 2021 à 21:05-22:25 sur W9

Comédie

Fanny adore Arthur, son fils de 9 ans, et est aux petits soins pour lui. Quand elle découvre que celui-ci est la cible de trois garçons de son école, son sang ne fait qu'un tour. Pas question qu'ils continuent leur manège. Fanny leur déclare la guerre et tente de les piéger par tous les moyens...

Année : 2018

De : Frédéric Quiring

Avec : Audrey Lamy, Florent Peyre, Charlie Langendries, Max Boublil, Igor van, Martin Gillis, JoeyStarr, Louis Durant, Michèle Moretti, Tania Garbarski, Kody, Alice Verset, Karina Testa, Sandra Zidani, Hervé Lassïnce, Hélène de, Grégoire Baldari, Denyse Schwab, Laurent D'Elia, Jules Hanquet, Esteban Gomez-Navarro

Antérieurement en 2021
 

L'échange des princesses

Télévision : 27 septembre 2021 à 23:00-00:40 sur France 3

Film historique

En 1721, alors que les relations avec l'Espagne sont tendues, Philippe d'Orléans, régent jusqu'à la majorité du roi, propose à Philippe V d'Espagne que Louis XV, 11 ans, s'unisse à l'infante, Maria Anna Victoria, 4 ans. Il offre sa fille, Mademoiselle de Montpensier, comme épouse au prince des Asturies...

Année : 2017

De : Marc Dugain

Avec : Lambert Wilson, Olivier Gourmet, Kacey Mottet, Maya Sansa, Andréa Ferréol, Anamaria Vartolomei, Catherine Mouchet, Juliane Lepoureau, Igor van, Patrick Descamps, Thomas Mustin, Vincent Londez

Antérieurement en 2021
 

Ma Reum

Télévision : 10 août 2021 à 21:05-22:40 sur M6

Comédie

Fanny adore Arthur, son fils de 9 ans, et est aux petits soins pour lui. Quand elle découvre que celui-ci est la cible de trois garçons de son école, son sang ne fait qu'un tour. Pas question qu'ils continuent leur manège. Fanny leur déclare la guerre et tente de les piéger par tous les moyens...

Année : 2018

De : Frédéric Quiring

Avec : Audrey Lamy, Florent Peyre, Charlie Langendries, Max Boublil, Igor van, Martin Gillis, JoeyStarr, Louis Durant, Michèle Moretti, Tania Garbarski, Kody, Alice Verset, Karina Testa, Sandra Zidani, Hervé Lassïnce, Hélène De, Grégoire Baldari, Denyse Schwab, Laurent D'Elia, Jules Hanquet, Esteban Gomez-Navarro