Emilie Gavois-Kahn : passages TV et dernières sorties DVD/Blu-ray

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Mercredi dernier
 

Les Barbares

Télévision : 30 juillet à 13:32-15:14 sur Canal +

film : comédie

A Paimpont, charmant village breton, l'harmonie règne. Parmi les habitants, il y a Joëlle, l'institutrice donneuse de leçons, Anne, la propriétaire de la supérette portée sur le chouchen, Hervé, le plombier alsacien plus breton que les Bretons, ou encore Johnny, le garde-champêtre fan de Johnny Hallyday. Dans un bel élan de solidarité, tous acceptent avec enthousiasme d'accueillir une famille de réfugiés ukrainiens. Sauf que les émigrés qui débarquent ne sont pas ukrainiens, mais syriens. Et certains ne voient pas l'arrivée de leurs nouveaux voisins d'un très bon oeil... - Critique : « Il ne leur restait plus d’Ukrainiens… ». Consternation sur le visage du maire de Paimpont quand Joëlle, l’institutrice bien-pensante, lui annonce que les réfugiés que la municipalité a accepté d’accueillir ne sont pas ukrainiens comme prévu… mais syriens ! L’humanitaire, bien entendu, mais cela dépend quel visage a la détresse du monde… Comment Anne, la propriétaire de la supérette qui picole pas mal, son mari infidèle, et surtout Hervé, plombier qui se la joue ultra-breton alors qu’il est alsacien, vont-ils se comporter avec leurs nouveaux voisins ? Surtout quand ils découvriront que Marwan était architecte dans son pays, sa fille, chirurgienne, et que le grand-père, lui, dira tout haut ce que tout le monde pense tout bas (les galettes de la crêperie du village sont immangeables) ? Le titre du dernier film de Julie Delpy, actrice devenue internationale et réalisatrice atypique et iconoclaste (Lolo, My Zoe), est on ne peut plus explicite : de quel côté se situe la civilisation quand rampe le racisme, ou du moins, la méfiance infondée face à « l’étranger » ? Pour répondre à cette question brûlante, elle choisit la fable grinçante, et pousse tous les curseurs. Alors oui, sa comédie penche nettement plus du côté d’un Étienne Chatiliez que d’un Ken Loach pour caricaturer, avec gourmandise, certains travers, mais aussi assumer un happy end, en des temps où le cinéma peut choisir de renoncer au réalisme pour garder espoir. D’un simple fruit sec qui transforme, à tort, un Syrien en voleur, puis en une paix des braves autour de galettes de sarrasin, en passant par des tags violents ou un nationalisme bas du front, elle opère, avec une savoureuse énergie, la synthèse entre le pire et le meilleur. Face à elle, qui s’amuse à incarner un parangon du wokisme, Sandrine Kiberlain fait de deux scènes d’ivresse des sommets de fantaisie, et Laurent Laffite est impayable en raciste qui fait mine de s’ignorer. Une comédie qui assume – et prouve – que la nuance peut être étrangère à certains combats. Regardez l’avis de nos critiques en vidéo

Année : 2024

Avec : Albert Delpy, Dalia Naous, Emilie Gavois-Kahn, Fares Helou, India Hair, Jean-Charles Clichet, Julie Delpy, Laurent Lafitte, Marc Fraize, Mathieu Demy, Sandrine Kiberlain, Ziad Bakri

Récemment en juillet
 

Les petits meurtres d'Agatha Christie

Télévision : 26 juillet à 00:20-01:45 sur France 2

série policière

Mortel karma. Saison:3 - Episode:9 - Le patron d'un empire du luxe français, Pierre Baldini, est assassiné sauvagement alors qu'il allait modifier son testament. Il était sur le point de déshériter sa fille unique, Jade, et de léguer toute sa fortune à ses nouveaux amis, un groupe de jeunes hippies bouddhistes. Jade, insupportable petite-fille de riches pourrie-gâtée, se retrouve dans le collimateur de la police. Mais une surprise de taille attend la commissaire Gréco. Jade est une enfant adoptée et les dates coïncident : elle pourrait être la petite fille que Gréco a abandonnée il y a vingt-cinq ans. La commissaire doit se concentrer pour garder la tête froide dans cette affaire... - Critique : Nous voilà au cœur des années 1970 et leurs cols pelle à tarte, minijupes sexy, couleurs psychédéliques et autres délires hippies. Dans ce deuxième épisode, on suit donc la première femme commissaire de France, Annie Gréco (Émilie Gavois-Kahn), et ses deux acolytes, Max Beretta (Arthur Dupont) et la psychologue Rose Bellecour (Chloé Chaudoye), qui enquêtent sur le meurtre de deux jeunes mannequins, habituées des couvertures d’un magazine de mode, Femmes. Très vite, les premiers indices semblent désigner le photographe John Devers, dragueur lourd et amateur notoire de très jeunes filles. Mais alors que l’on découvre le corps d’une troisième femme dans les locaux du journal, la menace d’un tueur en série plane et le commissaire Gréco se trouve sur la touche. Furieuse, elle claque la porte et décide de mener l’enquête en sous-marin. Un épisode brillamment réalisé par Nicolas Picard-Dreyfuss et interprété par un trio gagnant, drôle et attachant, qui sous couvert de mode et de superficialité aborde, l’air de rien, les questions de libération et d’émancipation sexuelles des femmes de cette époque (magnifiquement reconstituée par ailleurs) avec intelligence et justesse. Ces Petits Meurtres nouvelle version n’ont rien perdu de leur ton loufoque et décalé, de leur féminisme joyeux, et c’est tant mieux.

Année : 2021

De : Christophe Douchand, Nicolas Picard

Avec : Arthur Dupont, Benoît Moret, Chloé Chaudoye, Emilie Gavois-Kahn, Lola Aubrière, Lukas Ionesco, Nicolas Lumbreras, Philippe Vieux, Pouly Jérôme, Quentin Baillot, Sophie Le Tellier, Xavier Lemaître

Récemment en juillet
 

Les Barbares

Télévision : 25 juillet à 15:40-17:20 sur Canal +

film : comédie

A Paimpont, charmant village breton, l'harmonie règne. Parmi les habitants, il y a Joëlle, l'institutrice donneuse de leçons, Anne, la propriétaire de la supérette portée sur le chouchen, Hervé, le plombier alsacien plus breton que les Bretons, ou encore Johnny, le garde-champêtre fan de Johnny Hallyday. Dans un bel élan de solidarité, tous acceptent avec enthousiasme d'accueillir une famille de réfugiés ukrainiens. Sauf que les émigrés qui débarquent ne sont pas ukrainiens, mais syriens. Et certains ne voient pas l'arrivée de leurs nouveaux voisins d'un très bon oeil... - Critique : « Il ne leur restait plus d’Ukrainiens… ». Consternation sur le visage du maire de Paimpont quand Joëlle, l’institutrice bien-pensante, lui annonce que les réfugiés que la municipalité a accepté d’accueillir ne sont pas ukrainiens comme prévu… mais syriens ! L’humanitaire, bien entendu, mais cela dépend quel visage a la détresse du monde… Comment Anne, la propriétaire de la supérette qui picole pas mal, son mari infidèle, et surtout Hervé, plombier qui se la joue ultra-breton alors qu’il est alsacien, vont-ils se comporter avec leurs nouveaux voisins ? Surtout quand ils découvriront que Marwan était architecte dans son pays, sa fille, chirurgienne, et que le grand-père, lui, dira tout haut ce que tout le monde pense tout bas (les galettes de la crêperie du village sont immangeables) ? Le titre du dernier film de Julie Delpy, actrice devenue internationale et réalisatrice atypique et iconoclaste (Lolo, My Zoe), est on ne peut plus explicite : de quel côté se situe la civilisation quand rampe le racisme, ou du moins, la méfiance infondée face à « l’étranger » ? Pour répondre à cette question brûlante, elle choisit la fable grinçante, et pousse tous les curseurs. Alors oui, sa comédie penche nettement plus du côté d’un Étienne Chatiliez que d’un Ken Loach pour caricaturer, avec gourmandise, certains travers, mais aussi assumer un happy end, en des temps où le cinéma peut choisir de renoncer au réalisme pour garder espoir. D’un simple fruit sec qui transforme, à tort, un Syrien en voleur, puis en une paix des braves autour de galettes de sarrasin, en passant par des tags violents ou un nationalisme bas du front, elle opère, avec une savoureuse énergie, la synthèse entre le pire et le meilleur. Face à elle, qui s’amuse à incarner un parangon du wokisme, Sandrine Kiberlain fait de deux scènes d’ivresse des sommets de fantaisie, et Laurent Laffite est impayable en raciste qui fait mine de s’ignorer. Une comédie qui assume – et prouve – que la nuance peut être étrangère à certains combats. Regardez l’avis de nos critiques en vidéo

Année : 2024

Avec : Albert Delpy, Dalia Naous, Emilie Gavois-Kahn, Fares Al-Helou, India Hair, Jean-Charles Clichet, Julie Delpy, Laurent Lafitte, Marc Fraize, Mathieu Demy, Sandrine Kiberlain, Ziyad Bakri

Récemment en juillet
 

Les petits meurtres d'Agatha Christie

Télévision : 24 juillet à 00:50-02:15 sur France 2

série policière

Meurtres au pensionnat. Saison:3 - Episode:10 - Rose Bellecour donne une conférence de psychologie aux Cascades, un pensionnat pour jeunes gens ultrariches, et se retrouve accusée, par un concours de circonstances regrettable, du meurtre de la professeure de français, Julie Fremont. Gréco découvre que Rose et Julie étaient dans la même classe de terminale aux Cascades et que Rose était le souffre-douleur de Julie. La jeune femme a-t-elle voulu se venger ? Gréco et Beretta ont du mal à imaginer la douce jeune femme en meurtrière. Mais les preuves contre elle s'accumulent. Beretta se fait engager sous un faux nom comme professeur de français remplaçant dans l'espoir de parvenir à innocenter Rose... - Critique : Nous voilà au cœur des années 1970 et leurs cols pelle à tarte, minijupes sexy, couleurs psychédéliques et autres délires hippies. Dans ce deuxième épisode, on suit donc la première femme commissaire de France, Annie Gréco (Émilie Gavois-Kahn), et ses deux acolytes, Max Beretta (Arthur Dupont) et la psychologue Rose Bellecour (Chloé Chaudoye), qui enquêtent sur le meurtre de deux jeunes mannequins, habituées des couvertures d’un magazine de mode, Femmes. Très vite, les premiers indices semblent désigner le photographe John Devers, dragueur lourd et amateur notoire de très jeunes filles. Mais alors que l’on découvre le corps d’une troisième femme dans les locaux du journal, la menace d’un tueur en série plane et le commissaire Gréco se trouve sur la touche. Furieuse, elle claque la porte et décide de mener l’enquête en sous-marin. Un épisode brillamment réalisé par Nicolas Picard-Dreyfuss et interprété par un trio gagnant, drôle et attachant, qui sous couvert de mode et de superficialité aborde, l’air de rien, les questions de libération et d’émancipation sexuelles des femmes de cette époque (magnifiquement reconstituée par ailleurs) avec intelligence et justesse. Ces Petits Meurtres nouvelle version n’ont rien perdu de leur ton loufoque et décalé, de leur féminisme joyeux, et c’est tant mieux.

Année : 2021

De : Christophe Douchand, Nicolas Picard

Avec : Arthur Dupont, Benoît Moret, Chloé Chaudoye, Claire Romain, Crampon Julien, Emilie Gavois-Kahn, Hélène Alexandridis, Nicolas Grandhomme, Nicolas Lumbreras, Paul Balent, Quentin Baillot, Saverio Maligno

Récemment en juillet
 

Les Barbares

Télévision : 22 juillet à 23:27-01:07 sur Canal +

film : comédie

A Paimpont, charmant village breton, l'harmonie règne. Parmi les habitants, il y a Joëlle, l'institutrice donneuse de leçons, Anne, la propriétaire de la supérette portée sur le chouchen, Hervé, le plombier alsacien plus breton que les Bretons, ou encore Johnny, le garde-champêtre fan de Johnny Hallyday. Dans un bel élan de solidarité, tous acceptent avec enthousiasme d'accueillir une famille de réfugiés ukrainiens. Sauf que les émigrés qui débarquent ne sont pas ukrainiens, mais syriens. Et certains ne voient pas l'arrivée de leurs nouveaux voisins d'un très bon oeil... - Critique : « Il ne leur restait plus d’Ukrainiens… ». Consternation sur le visage du maire de Paimpont quand Joëlle, l’institutrice bien-pensante, lui annonce que les réfugiés que la municipalité a accepté d’accueillir ne sont pas ukrainiens comme prévu… mais syriens ! L’humanitaire, bien entendu, mais cela dépend quel visage a la détresse du monde… Comment Anne, la propriétaire de la supérette qui picole pas mal, son mari infidèle, et surtout Hervé, plombier qui se la joue ultra-breton alors qu’il est alsacien, vont-ils se comporter avec leurs nouveaux voisins ? Surtout quand ils découvriront que Marwan était architecte dans son pays, sa fille, chirurgienne, et que le grand-père, lui, dira tout haut ce que tout le monde pense tout bas (les galettes de la crêperie du village sont immangeables) ? Le titre du dernier film de Julie Delpy, actrice devenue internationale et réalisatrice atypique et iconoclaste (Lolo, My Zoe), est on ne peut plus explicite : de quel côté se situe la civilisation quand rampe le racisme, ou du moins, la méfiance infondée face à « l’étranger » ? Pour répondre à cette question brûlante, elle choisit la fable grinçante, et pousse tous les curseurs. Alors oui, sa comédie penche nettement plus du côté d’un Étienne Chatiliez que d’un Ken Loach pour caricaturer, avec gourmandise, certains travers, mais aussi assumer un happy end, en des temps où le cinéma peut choisir de renoncer au réalisme pour garder espoir. D’un simple fruit sec qui transforme, à tort, un Syrien en voleur, puis en une paix des braves autour de galettes de sarrasin, en passant par des tags violents ou un nationalisme bas du front, elle opère, avec une savoureuse énergie, la synthèse entre le pire et le meilleur. Face à elle, qui s’amuse à incarner un parangon du wokisme, Sandrine Kiberlain fait de deux scènes d’ivresse des sommets de fantaisie, et Laurent Laffite est impayable en raciste qui fait mine de s’ignorer. Une comédie qui assume – et prouve – que la nuance peut être étrangère à certains combats. Regardez l’avis de nos critiques en vidéo

Année : 2024

Avec : Albert Delpy, Dalia Naous, Emilie Gavois-Kahn, Fares Al-Helou, India Hair, Jean-Charles Clichet, Julie Delpy, Laurent Lafitte, Marc Fraize, Mathieu Demy, Sandrine Kiberlain, Ziyad Bakri

Récemment en mars
 

Olympe, une femme dans la Révolution - DVD

DVD/Blu-ray : 12 mars

Editeur : Koba Films

Année : 2024

De : Julie Gayet, Mathieu Busson

Avec : Julie Gayet, Dimitri Storoge, Pauline Serieys, Jean-Pierre Lorit, madine Dewasmes, Frédéric Noaille, Luc Antoni, Émilie Gavois-Kahn