Chadat Husam : passages TV

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Récemment en février
 

Un bon flic : Le ciel peut attendre

Télévision : 28 février à 22:45-00:15 sur Arte

téléfilm de suspense

Chargé de mener l'enquête sur le meurtre d'un ancien policier, recruté comme garde du corps par un investisseur immobilier, autrefois à la tête d'un vaste réseau criminel, le commissaire Fredo Schulz apprend qu'il est atteint d'un cancer à un stade avancé. En plein déni, il cache la mauvaise nouvelle à son entourage et poursuit ses investigations avec son jeune collègue, Radu Lupescu. Mais l'affaire se complique lorsque l'investisseur immobilier est à son tour assassiné et que sa famille mafieuse décide de sortir du bois. Schulz, qui prend secrètement de puissants antidouleurs, se trouve alors en difficulté. - Critique : Sale journée pour le commissaire berlinois Fredo Schulz : son médecin lui apprend qu’il est atteint d’un cancer à un stade avancé. Refusant de croire au diagnostic, le vieux limier reprend le travail sans parler à quiconque de sa maladie. Au même moment, on le charge d’enquêter sur l’assassinat d’un employé de Samir Berri, un investisseur immobilier à la tête d’une organisation mafieuse : l’homme a été abattu alors qu’il effectuait une transaction douteuse pour son patron. Lorsque Berri est tué à son tour, sa famille se met à chercher activement les auteurs du double meurtre. De son côté, Schulz, luttant contre des douleurs de plus en plus violentes, s’efforce de retrouver les responsables avant que la situation ne dégénère... Principale faiblesse de ce polar d’outre-Rhin : il ne parvient pas à susciter de l’empathie pour ses personnages. Alors que les cadavres s’accumulent, le hiératique commissaire Schulz mène son enquête sans faire de sentiment, mû par un sens du devoir qui lui fait oublier toute forme de compassion pour les victimes collatérales, femmes ou enfants de mafieux abattus. Le personnage aurait pu être intéressant, il est juste légèrement antipathique. On décroche assez vite, d’autant que les dialogues se révèlent souvent maladroits et que l’intrigue ne s’embrasse guère de vraisemblance.

Avec : Amali Sabrina, Armin Rohde, Chadat Husam, Dobra Anica, Farba Dieng, Johann von, Lena Kalisch, Mo Issa, Nazmi Kirik, Nele Kiper, Sabin Tambrea, Yasmina Djaballah

Récemment en février
 

Un bon flic : Le ciel peut attendre

Télévision : 15 février à 02:05-03:35 sur Arte

téléfilm de suspense

Chargé de mener l'enquête sur le meurtre d'un ancien policier, recruté comme garde du corps par un investisseur immobilier, autrefois à la tête d'un vaste réseau criminel, le commissaire Fredo Schulz apprend qu'il est atteint d'un cancer à un stade avancé. En plein déni, il cache la mauvaise nouvelle à son entourage et poursuit ses investigations avec son jeune collègue, Radu Lupescu. Mais l'affaire se complique lorsque l'investisseur immobilier est à son tour assassiné et que sa famille mafieuse décide de sortir du bois. Schulz, qui prend secrètement de puissants antidouleurs, se trouve alors en difficulté. - Critique : Sale journée pour le commissaire berlinois Fredo Schulz : son médecin lui apprend qu’il est atteint d’un cancer à un stade avancé. Refusant de croire au diagnostic, le vieux limier reprend le travail sans parler à quiconque de sa maladie. Au même moment, on le charge d’enquêter sur l’assassinat d’un employé de Samir Berri, un investisseur immobilier à la tête d’une organisation mafieuse : l’homme a été abattu alors qu’il effectuait une transaction douteuse pour son patron. Lorsque Berri est tué à son tour, sa famille se met à chercher activement les auteurs du double meurtre. De son côté, Schulz, luttant contre des douleurs de plus en plus violentes, s’efforce de retrouver les responsables avant que la situation ne dégénère... Principale faiblesse de ce polar d’outre-Rhin : il ne parvient pas à susciter de l’empathie pour ses personnages. Alors que les cadavres s’accumulent, le hiératique commissaire Schulz mène son enquête sans faire de sentiment, mû par un sens du devoir qui lui fait oublier toute forme de compassion pour les victimes collatérales, femmes ou enfants de mafieux abattus. Le personnage aurait pu être intéressant, il est juste légèrement antipathique. On décroche assez vite, d’autant que les dialogues se révèlent souvent maladroits et que l’intrigue ne s’embrasse guère de vraisemblance.

Avec : Amali Sabrina, Armin Rohde, Chadat Husam, Dobra Anica, Farba Dieng, Johann von, Lena Kalisch, Mo Issa, Nazmi Kirik, Nele Kiper, Sabin Tambrea, Yasmina Djaballah

Récemment en février
 

Un bon flic : Le ciel peut attendre

Télévision : 9 février à 20:55-22:30 sur Arte

téléfilm de suspense

Chargé de mener l'enquête sur le meurtre d'un ancien policier, recruté comme garde du corps par un investisseur immobilier, autrefois à la tête d'un vaste réseau criminel, le commissaire Fredo Schulz apprend qu'il est atteint d'un cancer à un stade avancé. En plein déni, il cache la mauvaise nouvelle à son entourage et poursuit ses investigations avec son jeune collègue, Radu Lupescu. Mais l'affaire se complique lorsque l'investisseur immobilier est à son tour assassiné et que sa famille mafieuse décide de sortir du bois. Schulz, qui prend secrètement de puissants antidouleurs, se trouve alors en difficulté. - Critique : Sale journée pour le commissaire berlinois Fredo Schulz : son médecin lui apprend qu’il est atteint d’un cancer à un stade avancé. Refusant de croire au diagnostic, le vieux limier reprend le travail sans parler à quiconque de sa maladie. Au même moment, on le charge d’enquêter sur l’assassinat d’un employé de Samir Berri, un investisseur immobilier à la tête d’une organisation mafieuse : l’homme a été abattu alors qu’il effectuait une transaction douteuse pour son patron. Lorsque Berri est tué à son tour, sa famille se met à chercher activement les auteurs du double meurtre. De son côté, Schulz, luttant contre des douleurs de plus en plus violentes, s’efforce de retrouver les responsables avant que la situation ne dégénère... Principale faiblesse de ce polar d’outre-Rhin : il ne parvient pas à susciter de l’empathie pour ses personnages. Alors que les cadavres s’accumulent, le hiératique commissaire Schulz mène son enquête sans faire de sentiment, mû par un sens du devoir qui lui fait oublier toute forme de compassion pour les victimes collatérales, femmes ou enfants de mafieux abattus. Le personnage aurait pu être intéressant, il est juste légèrement antipathique. On décroche assez vite, d’autant que les dialogues se révèlent souvent maladroits et que l’intrigue ne s’embrasse guère de vraisemblance.

Avec : Amali Sabrina, Armin Rohde, Chadat Husam, Dobra Anica, Farba Dieng, Johann von, Lena Kalisch, Mo Issa, Nazmi Kirik, Nele Kiper, Sabin Tambrea, Yasmina Djaballah

Récemment en décembre
 

L'homme qui a vendu sa peau

Télévision : 30 décembre 2023 à 02:35-04:15 sur Arte

film : drame

Sam Ali est un jeune Syrien réfugié au Liban. Il rêve de gagner l'Europe, où s'est rendue Abeer, sa bien-aimée qui a été contrainte par sa famille d'épouser un riche diplomate. Pour obtenir un visa Schengen, Sam accepte l'offre d'un artiste controversé, qui propose de lui tatouer le dos. Son corps devenu une oeuvre d'art, Sam est exposé partout en Europe. Le jeune homme réalise peu à peu que le prix qu'il a payé pour rejoindre un continent en paix est élevé... - Critique : Dans ce long métrage tourné en 2020, inédit dans les salles françaises, Kaouther Ben Hania tord le réel pour raconter une histoire plus ample. À la manière des Filles d’Olfa (2023), mais sans l’assise documentaire, plutôt façon « inspiré d’une histoire vraie ». En 2012, un Suisse vend son dos au plasticien flamand Wim Delvoye. Ce dernier le tatoue et pourra exposer le jeune homme trois fois par an. Performance de haut vol ou spéculation artistique ordinaire ? La cinéaste tunisienne embrasse plutôt le récit romanesque. Sam Ali, « l’œuvre d’art » du film, est syrien ; un artiste marque sa peau d’un visa Schengen et l’invite en Europe. Sam assume de faire l’objet d’une transaction, y voyant l’occasion de se rapprocher d’Abeer, son amour déçu — elle a épousé un diplomate par convenance familiale. L’intrigue se déroule autour des anciens amants, émaillée de questionnements moraux. Kaouther Ben Hania interroge ce que l’acte de se transformer en pièce de musée, assis, seul, des heures durant, fait à l’âme. Sa mise en scène, presque cynique, place Sam au centre des perspectives de chaque lieu d’exposition, épousant l’emphase rêvée par le plasticien démago (qui, sous les traits du comédien Koen De Bouw, incarne brillamment ce que l’on imagine de Jeff Koons ou Damien Hirst grimés en Hannibal Lecter). Dans ce geste soigné, on ne regrette qu’un dernier acte un brin frénétique, alignant plusieurs éléments que l’on devine passionnants mais à peine développés. Comme s’il n’y avait pas d’autre choix que de conclure d’urgence, pour libérer Sam.

Année : 2020

Avec : Chadat Husam, Christian Vadim, Darina Al Joundi, Dea Liane, Jan Dahdoh, Koen De, Monica Bellucci, Saad Lostan, Wim Delvoye, Yahya Mahayni, Zouheir Najoua, de Marc

Récemment en décembre
 

L'homme qui a vendu sa peau

Télévision : 13 décembre 2023 à 23:40-01:25 sur Arte

film : drame

Sam Ali est un jeune Syrien réfugié au Liban. Il rêve de gagner l'Europe, où s'est rendue Abeer, sa bien-aimée qui a été contrainte par sa famille d'épouser un riche diplomate. Pour obtenir un visa Schengen, Sam accepte l'offre d'un artiste controversé, qui propose de lui tatouer le dos. Son corps devenu une oeuvre d'art, Sam est exposé partout en Europe. Le jeune homme réalise peu à peu que le prix qu'il a payé pour rejoindre un continent en paix est élevé... - Critique : Dans ce long métrage tourné en 2020, inédit dans les salles françaises, Kaouther Ben Hania tord le réel pour raconter une histoire plus ample. À la manière des Filles d’Olfa (2023), mais sans l’assise documentaire, plutôt façon « inspiré d’une histoire vraie ». En 2012, un Suisse vend son dos au plasticien flamand Wim Delvoye. Ce dernier le tatoue et pourra exposer le jeune homme trois fois par an. Performance de haut vol ou spéculation artistique ordinaire ? La cinéaste tunisienne embrasse plutôt le récit romanesque. Sam Ali, « l’œuvre d’art » du film, est syrien ; un artiste marque sa peau d’un visa Schengen et l’invite en Europe. Sam assume de faire l’objet d’une transaction, y voyant l’occasion de se rapprocher d’Abeer, son amour déçu — elle a épousé un diplomate par convenance familiale. L’intrigue se déroule autour des anciens amants, émaillée de questionnements moraux. Kaouther Ben Hania interroge ce que l’acte de se transformer en pièce de musée, assis, seul, des heures durant, fait à l’âme. Sa mise en scène, presque cynique, place Sam au centre des perspectives de chaque lieu d’exposition, épousant l’emphase rêvée par le plasticien démago (qui, sous les traits du comédien Koen De Bouw, incarne brillamment ce que l’on imagine de Jeff Koons ou Damien Hirst grimés en Hannibal Lecter). Dans ce geste soigné, on ne regrette qu’un dernier acte un brin frénétique, alignant plusieurs éléments que l’on devine passionnants mais à peine développés. Comme s’il n’y avait pas d’autre choix que de conclure d’urgence, pour libérer Sam.

Année : 2020

Avec : Chadat Husam, Christian Vadim, Darina Al Joundi, Dea Liane, Jan Dahdoh, Koen De, Monica Bellucci, Saad Lostan, Wim Delvoye, Yahya Mahayni, Zouheir Najoua, de Marc

Récemment en décembre
 

L'homme qui a vendu sa peau

Télévision : 13 décembre 2023 à 23:40-01:20 sur Arte

film : drame

Sam Ali est un jeune Syrien réfugié au Liban. Il rêve de gagner l'Europe, où s'est rendue Abeer, sa bien-aimée qui a été contrainte par sa famille d'épouser un riche diplomate. Pour obtenir un visa Schengen, Sam accepte l'offre d'un artiste controversé, qui propose de lui tatouer le dos. Son corps devenu une oeuvre d'art, Sam est exposé partout en Europe. Le jeune homme réalise peu à peu que le prix qu'il a payé pour rejoindre un continent en paix est élevé... - Critique : Dans ce long métrage tourné en 2020, inédit dans les salles françaises, Kaouther Ben Hania tord le réel pour raconter une histoire plus ample. À la manière des Filles d’Olfa (2023), mais sans l’assise documentaire, plutôt façon « inspiré d’une histoire vraie ». En 2012, un Suisse vend son dos au plasticien flamand Wim Delvoye. Ce dernier le tatoue et pourra exposer le jeune homme trois fois par an. Performance de haut vol ou spéculation artistique ordinaire ? La cinéaste tunisienne embrasse plutôt le récit romanesque. Sam Ali, « l’œuvre d’art » du film, est syrien ; un artiste marque sa peau d’un visa Schengen et l’invite en Europe. Sam assume de faire l’objet d’une transaction, y voyant l’occasion de se rapprocher d’Abeer, son amour déçu — elle a épousé un diplomate par convenance familiale. L’intrigue se déroule autour des anciens amants, émaillée de questionnements moraux. Kaouther Ben Hania interroge ce que l’acte de se transformer en pièce de musée, assis, seul, des heures durant, fait à l’âme. Sa mise en scène, presque cynique, place Sam au centre des perspectives de chaque lieu d’exposition, épousant l’emphase rêvée par le plasticien démago (qui, sous les traits du comédien Koen De Bouw, incarne brillamment ce que l’on imagine de Jeff Koons ou Damien Hirst grimés en Hannibal Lecter). Dans ce geste soigné, on ne regrette qu’un dernier acte un brin frénétique, alignant plusieurs éléments que l’on devine passionnants mais à peine développés. Comme s’il n’y avait pas d’autre choix que de conclure d’urgence, pour libérer Sam.

Année : 2020

Avec : Chadat Husam, Christian Vadim, Darina Al Joundi, Dea Liane, Jan Dahdoh, Koen De, Monica Bellucci, Saad Lostan, Wim Delvoye, Yahya Mahayni, Zouheir Najoua, de Marc