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Antérieurement en 2023
 

Les fables de La Fontaine

Télévision : 12 mars 2023 à 21:10-22:49 sur France 4

théâtre : pièce de théâtre

Considéré comme l'un des artistes les plus créatifs de la scène actuelle, Bob Wilson aborde tous les genres : théâtre, music-hall, opéra, dessin, peinture, sculpture. Sa vision des "Fables de La Fontaine", très graphique, donne au texte du célèbre moraliste une résonance étonnamment actuelle. Au-delà de sa propre réalisation, les textes de La Fontaine sont restés, depuis leur première parution en 1668, un succès jamais démenti. Aujourd'hui comme hier, tous les enfants les récitent. Le choix de La Fontaine - donner la parole aux plantes et aux animaux afin de mettre en lumière des préceptes moraux simples - n'est peut-être pas étranger à une telle longévité.

De : Don Kent, Wilson Robert

Avec : Bakary Sangaré, Blanc Christian, Brune Cécile, Christine Fersen, Céline Samie, Eric Génovèse, Florence Viala, Giroudon Gérard, Julie Sicard, Laurent Stocker, Madeleine Marion, Nicolas Lormeau

Antérieurement en 2022
 

L'Avare

Télévision : 6 mars 2022 à 01:20-03:40 sur France 4

théâtre : pièce de théâtre

Elise et Cléante, les enfants d'Harpagon, se font confidence de leurs amours. Elise s'est éprise de Valère, un gentilhomme qu'une passion partagée a conduit à entrer subrepticement dans sa maison sous l'uniforme de majordome de son père. Cléante est amoureux d'une jeune fille pauvre, Marianne, qui vit avec sa mère dans une maison voisine. Mais l'avarice sordide de leur père contrarie leurs sentiments. Le vieillard entend marier Elise à un vénérable seigneur qui l'acceptera sans dot, et pousser Cléante dans les bras d'une momie aristocratique, vieille, laide et riche. Il compte également se réserver la jeune et fraîche Marianne... - Critique : Cet avare-là n'est ni vieux, ni laid, ni particulièrement repoussant, comme on le représente si souvent depuis 1668. Cet avare-là est mince, alerte et virevoltant, tel un personnage de commedia dell'arte : c'est Denis Podalydès, bondissant au milieu du public de fauteuil en fauteuil, escaladant le décor, plein de vie, d'envies, de désirs. Un veuf dans la force de l'âge, qui épargne dans l'espoir, peut-être, de recommencer autre chose, ailleurs ; un veuf que l'avarice ne plonge pas dans le passé, la rétention, la solitude, mais engage au contraire dans l'avenir, un nouveau mariage possible, l'abandon de grands enfants trop encombrants, d'un fils surtout qui se pose désormais en rival. On n'a peu l'habitude d'Harpagon en quête assumée de pareille jouissance. L'argent étant souvent de par chez nous sujet maudit (et son attrait des plus malséants), l'interprétation que propose ici Catherine Hiegel peut déranger. Mais elle donne au spectacle une vitalité qui fait réentendre autrement le texte. Et si l'on peut s'interroger sur la pertinence du décor - les personnages vivent-ils dans l'escalier ? -, la troupe, pour l'essentiel composée des dernières recrues de la Comédie-Française (excepté la troublante et formidable Dominique Constanza en Frosine), est d'une homogénéité, d'un allant qu'on ne lui connaissait plus. Comme si les comédiens étaient enfin heureux de jouer ensemble. Ce bonheur-là est communicatif et donne une dimension neuve à la traditionnelle mélancolie de Molière, à ses héros tourmentés de passions douloureuses et inavouables...

De : Catherine Hiegel, Don Kent

Avec : Benjamin Jungers, Blanc Christian, Brahim Suliane, Camille Blouet, Christophe Dumas, Denis Podalydès, Dominique Constanza, Florent Gouëlou, Marie-Sophie Ferdane, Pierre Louis-Calixte, Pouly Jérôme, Renaud Triffault, Serge Bagdassarian, Varupenne Stéphane

Antérieurement en 2022
 

L'Avare

Télévision : 6 mars 2022 à 01:00-03:20 sur France 4

théâtre : pièce de théâtre

Elise et Cléante, les enfants d'Harpagon, se font confidence de leurs amours. Elise s'est éprise de Valère, un gentilhomme qu'une passion partagée a conduit à entrer subrepticement dans sa maison sous l'uniforme de majordome de son père. Cléante est amoureux d'une jeune fille pauvre, Marianne, qui vit avec sa mère dans une maison voisine. Mais l'avarice sordide de leur père contrarie leurs sentiments. Le vieillard entend marier Elise à un vénérable seigneur qui l'acceptera sans dot, et pousser Cléante dans les bras d'une momie aristocratique, vieille, laide et riche. Il compte également se réserver la jeune et fraîche Marianne... - Critique : Cet avare-là n'est ni vieux, ni laid, ni particulièrement repoussant, comme on le représente si souvent depuis 1668. Cet avare-là est mince, alerte et virevoltant, tel un personnage de commedia dell'arte : c'est Denis Podalydès, bondissant au milieu du public de fauteuil en fauteuil, escaladant le décor, plein de vie, d'envies, de désirs. Un veuf dans la force de l'âge, qui épargne dans l'espoir, peut-être, de recommencer autre chose, ailleurs ; un veuf que l'avarice ne plonge pas dans le passé, la rétention, la solitude, mais engage au contraire dans l'avenir, un nouveau mariage possible, l'abandon de grands enfants trop encombrants, d'un fils surtout qui se pose désormais en rival. On n'a peu l'habitude d'Harpagon en quête assumée de pareille jouissance. L'argent étant souvent de par chez nous sujet maudit (et son attrait des plus malséants), l'interprétation que propose ici Catherine Hiegel peut déranger. Mais elle donne au spectacle une vitalité qui fait réentendre autrement le texte. Et si l'on peut s'interroger sur la pertinence du décor - les personnages vivent-ils dans l'escalier ? -, la troupe, pour l'essentiel composée des dernières recrues de la Comédie-Française (excepté la troublante et formidable Dominique Constanza en Frosine), est d'une homogénéité, d'un allant qu'on ne lui connaissait plus. Comme si les comédiens étaient enfin heureux de jouer ensemble. Ce bonheur-là est communicatif et donne une dimension neuve à la traditionnelle mélancolie de Molière, à ses héros tourmentés de passions douloureuses et inavouables...

De : Catherine Hiegel, Don Kent

Avec : Benjamin Jungers, Blanc Christian, Brahim Suliane, Camille Blouet, Christophe Dumas, Denis Podalydès, Dominique Constanza, Florent Gouëlou, Marie-Sophie Ferdane, Pierre Louis-Calixte, Pouly Jérôme, Renaud Triffault, Serge Bagdassarian, Varupenne Stéphane

Antérieurement en 2022
 

L'Avare

Télévision : 26 février 2022 à 01:45-04:05 sur France 4

théâtre : pièce de théâtre

Elise et Cléante, les enfants d'Harpagon, se font confidence de leurs amours. Elise s'est éprise de Valère, un gentilhomme qu'une passion partagée a conduit à entrer subrepticement dans sa maison sous l'uniforme de majordome de son père. Cléante est amoureux d'une jeune fille pauvre, Marianne, qui vit avec sa mère dans une maison voisine. Mais l'avarice sordide de leur père contrarie leurs sentiments. Le vieillard entend marier Elise à un vénérable seigneur qui l'acceptera sans dot, et pousser Cléante dans les bras d'une momie aristocratique, vieille, laide et riche. Il compte également se réserver la jeune et fraîche Marianne... - Critique : Cet avare-là n'est ni vieux, ni laid, ni particulièrement repoussant, comme on le représente si souvent depuis 1668. Cet avare-là est mince, alerte et virevoltant, tel un personnage de commedia dell'arte : c'est Denis Podalydès, bondissant au milieu du public de fauteuil en fauteuil, escaladant le décor, plein de vie, d'envies, de désirs. Un veuf dans la force de l'âge, qui épargne dans l'espoir, peut-être, de recommencer autre chose, ailleurs ; un veuf que l'avarice ne plonge pas dans le passé, la rétention, la solitude, mais engage au contraire dans l'avenir, un nouveau mariage possible, l'abandon de grands enfants trop encombrants, d'un fils surtout qui se pose désormais en rival. On n'a peu l'habitude d'Harpagon en quête assumée de pareille jouissance. L'argent étant souvent de par chez nous sujet maudit (et son attrait des plus malséants), l'interprétation que propose ici Catherine Hiegel peut déranger. Mais elle donne au spectacle une vitalité qui fait réentendre autrement le texte. Et si l'on peut s'interroger sur la pertinence du décor - les personnages vivent-ils dans l'escalier ? -, la troupe, pour l'essentiel composée des dernières recrues de la Comédie-Française (excepté la troublante et formidable Dominique Constanza en Frosine), est d'une homogénéité, d'un allant qu'on ne lui connaissait plus. Comme si les comédiens étaient enfin heureux de jouer ensemble. Ce bonheur-là est communicatif et donne une dimension neuve à la traditionnelle mélancolie de Molière, à ses héros tourmentés de passions douloureuses et inavouables...

De : Catherine Hiegel, Don Kent

Avec : Benjamin Jungers, Blanc Christian, Brahim Suliane, Camille Blouet, Christophe Dumas, Denis Podalydès, Dominique Constanza, Florent Gouëlou, Marie-Sophie Ferdane, Pierre Louis-Calixte, Pouly Jérôme, Renaud Triffault, Serge Bagdassarian, Varupenne Stéphane

Antérieurement en 2022
 

L'Avare

Télévision : 26 février 2022 à 01:40-04:00 sur France 4

théâtre : pièce de théâtre

Elise et Cléante, les enfants d'Harpagon, se font confidence de leurs amours. Elise s'est éprise de Valère, un gentilhomme qu'une passion partagée a conduit à entrer subrepticement dans sa maison sous l'uniforme de majordome de son père. Cléante est amoureux d'une jeune fille pauvre, Marianne, qui vit avec sa mère dans une maison voisine. Mais l'avarice sordide de leur père contrarie leurs sentiments. Le vieillard entend marier Elise à un vénérable seigneur qui l'acceptera sans dot, et pousser Cléante dans les bras d'une momie aristocratique, vieille, laide et riche. Il compte également se réserver la jeune et fraîche Marianne... - Critique : Cet avare-là n'est ni vieux, ni laid, ni particulièrement repoussant, comme on le représente si souvent depuis 1668. Cet avare-là est mince, alerte et virevoltant, tel un personnage de commedia dell'arte : c'est Denis Podalydès, bondissant au milieu du public de fauteuil en fauteuil, escaladant le décor, plein de vie, d'envies, de désirs. Un veuf dans la force de l'âge, qui épargne dans l'espoir, peut-être, de recommencer autre chose, ailleurs ; un veuf que l'avarice ne plonge pas dans le passé, la rétention, la solitude, mais engage au contraire dans l'avenir, un nouveau mariage possible, l'abandon de grands enfants trop encombrants, d'un fils surtout qui se pose désormais en rival. On n'a peu l'habitude d'Harpagon en quête assumée de pareille jouissance. L'argent étant souvent de par chez nous sujet maudit (et son attrait des plus malséants), l'interprétation que propose ici Catherine Hiegel peut déranger. Mais elle donne au spectacle une vitalité qui fait réentendre autrement le texte. Et si l'on peut s'interroger sur la pertinence du décor - les personnages vivent-ils dans l'escalier ? -, la troupe, pour l'essentiel composée des dernières recrues de la Comédie-Française (excepté la troublante et formidable Dominique Constanza en Frosine), est d'une homogénéité, d'un allant qu'on ne lui connaissait plus. Comme si les comédiens étaient enfin heureux de jouer ensemble. Ce bonheur-là est communicatif et donne une dimension neuve à la traditionnelle mélancolie de Molière, à ses héros tourmentés de passions douloureuses et inavouables...

De : Catherine Hiegel, Don Kent

Avec : Benjamin Jungers, Blanc Christian, Brahim Suliane, Camille Blouet, Christophe Dumas, Denis Podalydès, Dominique Constanza, Florent Gouëlou, Marie-Sophie Ferdane, Pierre Louis-Calixte, Pouly Jérôme, Renaud Triffault, Serge Bagdassarian, Varupenne Stéphane

Antérieurement en 2022
 

L'Avare

Télévision : 7 février 2022 à 00:40-02:59 sur France 4

théâtre : pièce de théâtre

Elise et Cléante, les enfants d'Harpagon, se font confidence de leurs amours. Elise s'est éprise de Valère, un gentilhomme qu'une passion partagée a conduit à entrer subrepticement dans sa maison sous l'uniforme de majordome de son père. Cléante est amoureux d'une jeune fille pauvre, Marianne, qui vit avec sa mère dans une maison voisine. Mais l'avarice sordide de leur père contrarie leurs sentiments. Le vieillard entend marier Elise à un vénérable seigneur qui l'acceptera sans dot, et pousser Cléante dans les bras d'une momie aristocratique, vieille, laide et riche. Il compte également se réserver la jeune et fraîche Marianne... - Critique : Cet avare-là n'est ni vieux, ni laid, ni particulièrement repoussant, comme on le représente si souvent depuis 1668. Cet avare-là est mince, alerte et virevoltant, tel un personnage de commedia dell'arte : c'est Denis Podalydès, bondissant au milieu du public de fauteuil en fauteuil, escaladant le décor, plein de vie, d'envies, de désirs. Un veuf dans la force de l'âge, qui épargne dans l'espoir, peut-être, de recommencer autre chose, ailleurs ; un veuf que l'avarice ne plonge pas dans le passé, la rétention, la solitude, mais engage au contraire dans l'avenir, un nouveau mariage possible, l'abandon de grands enfants trop encombrants, d'un fils surtout qui se pose désormais en rival. On n'a peu l'habitude d'Harpagon en quête assumée de pareille jouissance. L'argent étant souvent de par chez nous sujet maudit (et son attrait des plus malséants), l'interprétation que propose ici Catherine Hiegel peut déranger. Mais elle donne au spectacle une vitalité qui fait réentendre autrement le texte. Et si l'on peut s'interroger sur la pertinence du décor - les personnages vivent-ils dans l'escalier ? -, la troupe, pour l'essentiel composée des dernières recrues de la Comédie-Française (excepté la troublante et formidable Dominique Constanza en Frosine), est d'une homogénéité, d'un allant qu'on ne lui connaissait plus. Comme si les comédiens étaient enfin heureux de jouer ensemble. Ce bonheur-là est communicatif et donne une dimension neuve à la traditionnelle mélancolie de Molière, à ses héros tourmentés de passions douloureuses et inavouables...

De : Catherine Hiegel, Don Kent

Avec : Benjamin Jungers, Blanc Christian, Brahim Suliane, Camille Blouet, Christophe Dumas, Denis Podalydès, Dominique Constanza, Florent Gouëlou, Marie-Sophie Ferdane, Pierre Louis-Calixte, Pouly Jérôme, Renaud Triffault, Serge Bagdassarian, Varupenne Stéphane

Antérieurement en 2022
 

L'Avare

Télévision : 6 février 2022 à 23:40-01:55 sur France 4

théâtre : pièce de théâtre

Elise et Cléante, les enfants d'Harpagon, se font confidence de leurs amours. Elise s'est éprise de Valère, un gentilhomme qu'une passion partagée a conduit à entrer subrepticement dans sa maison sous l'uniforme de majordome de son père. Cléante est amoureux d'une jeune fille pauvre, Marianne, qui vit avec sa mère dans une maison voisine. Mais l'avarice sordide de leur père contrarie leurs sentiments. Le vieillard entend marier Elise à un vénérable seigneur qui l'acceptera sans dot, et pousser Cléante dans les bras d'une momie aristocratique, vieille, laide et riche. Il compte également se réserver la jeune et fraîche Marianne... - Critique : Cet avare-là n'est ni vieux, ni laid, ni particulièrement repoussant, comme on le représente si souvent depuis 1668. Cet avare-là est mince, alerte et virevoltant, tel un personnage de commedia dell'arte : c'est Denis Podalydès, bondissant au milieu du public de fauteuil en fauteuil, escaladant le décor, plein de vie, d'envies, de désirs. Un veuf dans la force de l'âge, qui épargne dans l'espoir, peut-être, de recommencer autre chose, ailleurs ; un veuf que l'avarice ne plonge pas dans le passé, la rétention, la solitude, mais engage au contraire dans l'avenir, un nouveau mariage possible, l'abandon de grands enfants trop encombrants, d'un fils surtout qui se pose désormais en rival. On n'a peu l'habitude d'Harpagon en quête assumée de pareille jouissance. L'argent étant souvent de par chez nous sujet maudit (et son attrait des plus malséants), l'interprétation que propose ici Catherine Hiegel peut déranger. Mais elle donne au spectacle une vitalité qui fait réentendre autrement le texte. Et si l'on peut s'interroger sur la pertinence du décor - les personnages vivent-ils dans l'escalier ? -, la troupe, pour l'essentiel composée des dernières recrues de la Comédie-Française (excepté la troublante et formidable Dominique Constanza en Frosine), est d'une homogénéité, d'un allant qu'on ne lui connaissait plus. Comme si les comédiens étaient enfin heureux de jouer ensemble. Ce bonheur-là est communicatif et donne une dimension neuve à la traditionnelle mélancolie de Molière, à ses héros tourmentés de passions douloureuses et inavouables...

De : Catherine Hiegel, Don Kent

Avec : Benjamin Jungers, Blanc Christian, Brahim Suliane, Camille Blouet, Christophe Dumas, Denis Podalydès, Dominique Constanza, Florent Gouëlou, Marie-Sophie Ferdane, Pierre Louis-Calixte, Pouly Jérôme, Renaud Triffault, Serge Bagdassarian, Varupenne Stéphane