Télévision : jeudi 25 avril à 10:36-12:06 sur Canal +
film : drame
Joseph s'est toujours douté de l'homosexualité de son fils, mais lorsque ce dernier meurt accidentellement avec son compagnon, il apprend qu'ils attendaient un enfant par l'intermédiaire de Rita, une mère porteuse. Il se rend aussitôt en Belgique dans l'espoir de rencontrer cette femme qui porte sa petite-fille. Arrivé sur place, il découvre que Rita ne souhaite pas garder l'enfant, mais prévoit de le faire adopter. Espérant ainsi prolonger l'existence de son défunt fils, Joseph prend une décision très importante. - Critique : Emmanuel et son compagnon ont péri dans un crash d’avion. Le couple attendait un enfant, grâce à une jeune mère porteuse, en Belgique. Joseph, le père veuf d’Emmanuel, développe alors une idée fixe : que va devenir ce bébé à naître ? Puisque, dans ce petit corps, persistent quelques cellules de son fils, Joseph décide de retrouver Rita, la jeune Flamande qui porte l’enfant… On peut se demander ce que Guillaume Nicloux, dont la filmographie est nettement plus noire que rose, est venu faire dans cette histoire si sentimentale — et casse-gueule —, où se mêlent tragédie, gestation pour autrui et layette. À mieux chercher, pourtant, beaucoup de ses films traitent du deuil, de la solitude et de l’obsession de retrouver un enfant (Cette femme-là, Valley of Love), et il s’avère idéal pour imposer une noble sobriété, et même des pointes d’humour, à cette métamorphose d’un homme endolori grâce au ventre d’une fille qui ne s’en laisse pas conter. Même si le pianotage de la partition musicale omniprésente ne l’y aide vraiment pas, il tricote avec finesse l’évolution des rapports entre Joseph et Rita. Le tout avec un sens remarquable du détail juridique et administratif : il livre, en douce et en douceur, un film dossier sur la GPA (gestation pour autrui). Prouesse discrète qui aurait été impossible sans Maud Wyler en fille aimante et compréhensive, Mara Taquin, captivante révélation en louve aussi farouche qu’avisée, et, bien sûr, Fabrice Luchini. Comme lavé de ses tics de préciosité, rendu à la quotidienneté, il est éblouissant de normalité et de tendresse bourrue.
Année : 2023
Avec : Abbas Shirafkan, Anne Consigny, Fabrice Luchini, Juliette Metten, Lucas Van, Maud Wyler, Sandrine Dumas, Taquin Mara, Thierrée Aurélia, Van Viv, Veerle Baetens
Télévision : 22 avril à 15:14-16:44 sur Canal +
film : drame
Joseph s'est toujours douté de l'homosexualité de son fils, mais lorsque ce dernier meurt accidentellement avec son compagnon, il apprend qu'ils attendaient un enfant par l'intermédiaire de Rita, une mère porteuse. Il se rend aussitôt en Belgique dans l'espoir de rencontrer cette femme qui porte sa petite-fille. Arrivé sur place, il découvre que Rita ne souhaite pas garder l'enfant, mais prévoit de le faire adopter. Espérant ainsi prolonger l'existence de son défunt fils, Joseph prend une décision très importante. - Critique : Emmanuel et son compagnon ont péri dans un crash d’avion. Le couple attendait un enfant, grâce à une jeune mère porteuse, en Belgique. Joseph, le père veuf d’Emmanuel, développe alors une idée fixe : que va devenir ce bébé à naître ? Puisque, dans ce petit corps, persistent quelques cellules de son fils, Joseph décide de retrouver Rita, la jeune Flamande qui porte l’enfant… On peut se demander ce que Guillaume Nicloux, dont la filmographie est nettement plus noire que rose, est venu faire dans cette histoire si sentimentale — et casse-gueule —, où se mêlent tragédie, gestation pour autrui et layette. À mieux chercher, pourtant, beaucoup de ses films traitent du deuil, de la solitude et de l’obsession de retrouver un enfant (Cette femme-là, Valley of Love), et il s’avère idéal pour imposer une noble sobriété, et même des pointes d’humour, à cette métamorphose d’un homme endolori grâce au ventre d’une fille qui ne s’en laisse pas conter. Même si le pianotage de la partition musicale omniprésente ne l’y aide vraiment pas, il tricote avec finesse l’évolution des rapports entre Joseph et Rita. Le tout avec un sens remarquable du détail juridique et administratif : il livre, en douce et en douceur, un film dossier sur la GPA (gestation pour autrui). Prouesse discrète qui aurait été impossible sans Maud Wyler en fille aimante et compréhensive, Mara Taquin, captivante révélation en louve aussi farouche qu’avisée, et, bien sûr, Fabrice Luchini. Comme lavé de ses tics de préciosité, rendu à la quotidienneté, il est éblouissant de normalité et de tendresse bourrue.
Année : 2023
Avec : Abbas Shirafkan, Anne Consigny, Fabrice Luchini, Juliette Metten, Lucas Van, Maud Wyler, Sandrine Dumas, Taquin Mara, Thierrée Aurélia, Van Viv, Veerle Baetens
Télévision : 22 avril à 15:09-16:39 sur Canal +
film : drame
Joseph s'est toujours douté de l'homosexualité de son fils, mais lorsque ce dernier meurt accidentellement avec son compagnon, il apprend qu'ils attendaient un enfant par l'intermédiaire de Rita, une mère porteuse. Il se rend aussitôt en Belgique dans l'espoir de rencontrer cette femme qui porte sa petite-fille. Arrivé sur place, il découvre que Rita ne souhaite pas garder l'enfant, mais prévoit de le faire adopter. Espérant ainsi prolonger l'existence de son défunt fils, Joseph prend une décision très importante. - Critique : Emmanuel et son compagnon ont péri dans un crash d’avion. Le couple attendait un enfant, grâce à une jeune mère porteuse, en Belgique. Joseph, le père veuf d’Emmanuel, développe alors une idée fixe : que va devenir ce bébé à naître ? Puisque, dans ce petit corps, persistent quelques cellules de son fils, Joseph décide de retrouver Rita, la jeune Flamande qui porte l’enfant… On peut se demander ce que Guillaume Nicloux, dont la filmographie est nettement plus noire que rose, est venu faire dans cette histoire si sentimentale — et casse-gueule —, où se mêlent tragédie, gestation pour autrui et layette. À mieux chercher, pourtant, beaucoup de ses films traitent du deuil, de la solitude et de l’obsession de retrouver un enfant (Cette femme-là, Valley of Love), et il s’avère idéal pour imposer une noble sobriété, et même des pointes d’humour, à cette métamorphose d’un homme endolori grâce au ventre d’une fille qui ne s’en laisse pas conter. Même si le pianotage de la partition musicale omniprésente ne l’y aide vraiment pas, il tricote avec finesse l’évolution des rapports entre Joseph et Rita. Le tout avec un sens remarquable du détail juridique et administratif : il livre, en douce et en douceur, un film dossier sur la GPA (gestation pour autrui). Prouesse discrète qui aurait été impossible sans Maud Wyler en fille aimante et compréhensive, Mara Taquin, captivante révélation en louve aussi farouche qu’avisée, et, bien sûr, Fabrice Luchini. Comme lavé de ses tics de préciosité, rendu à la quotidienneté, il est éblouissant de normalité et de tendresse bourrue.
Année : 2023
Avec : Abbas Shirafkan, Anne Consigny, Fabrice Luchini, Juliette Metten, Lucas Van, Maud Wyler, Sandrine Dumas, Taquin Mara, Thierrée Aurélia, Van Viv, Veerle Baetens
Télévision : 16 avril à 21:10-22:42 sur Canal +
film : drame
Joseph s'est toujours douté de l'homosexualité de son fils, mais lorsque ce dernier meurt accidentellement avec son compagnon, il apprend qu'ils attendaient un enfant par l'intermédiaire de Rita, une mère porteuse. Il se rend aussitôt en Belgique dans l'espoir de rencontrer cette femme qui porte sa petite-fille. Arrivé sur place, il découvre que Rita ne souhaite pas garder l'enfant, mais prévoit de le faire adopter. Espérant ainsi prolonger l'existence de son défunt fils, Joseph prend une décision très importante. - Critique : Joseph, restaurateur de meubles veuf et recroquevillé sur son métier de solitaire, bougonne, comme souvent, en sortant de son atelier pour répondre au téléphone qui sonne sans relâche. Encore de la pub ! Mais c’est la pire des nouvelles qu’on lui annonce : son fils Emmanuel et le compagnon de celui-ci ont péri dans un crash d’avion. Le couple attendait un enfant, grâce à une jeune mère porteuse, en Belgique. Joseph développe alors une idée fixe : que va devenir ce bébé à naître ? Puisque, dans ce petit corps, persistent quelques cellules de son fils, Joseph décide, coûte que coûte, de retrouver Rita, la jeune Flamande qui porte l’enfant… Après Marion Vernoux (Les Beaux Jours), c’est au tour de Guillaume Nicloux d’adapter un roman de Fanny Chesnel, mais déjà, on peut deviner un léger changement d’axe quand il rebaptise Le Berceau en La Petite, s’attachant autant aux motivations d’un homme en deuil qu’à celles d’une femme qui couve une vie. On peut se demander ce que Nicloux, dont la filmographie est nettement plus noire que rose, est venu faire dans cette histoire si sentimentale — et casse-gueule —, où se mêlent tragédie, gestation pour autrui et layette. À mieux chercher, pourtant, beaucoup de ses films traitent du deuil, de la solitude et de l’obsession de retrouver un enfant (Cette femme-là, Valley of Love), et il s’avère idéal pour imposer une noble sobriété, et même des pointes d’humour, à cette métamorphose d’un homme endolori grâce au ventre d’une fille qui ne s’en laisse pas conter. Même si le pianotage de la partition musicale omniprésente ne l’y aide vraiment pas, il tricote avec finesse, à la manière d’un thriller filial, l’évolution des rapports entre Joseph et Rita, et donne corps à ces questions philosophiques et morales : ça vient d’où, un enfant ? De quelques gouttes de sperme, de la chair qui l’abrite ? Et comment lui offrir un berceau, un avenir, même des plus insolites ? Le tout avec un sens remarquable du détail juridique et administratif : ainsi, il livre, en douce et en douceur, un véritable film dossier sur la gestation pour autrui. Prouesse discrète qui aurait été impossible sans Maud Wyler en fille aimante et compréhensive, Mara Taquin, captivante révélation en jeune louve aussi farouche qu’avisée, et, bien sûr, Fabrice Luchini. Comme lavé de ses tics de préciosité, rendu à la quotidienneté, il est bouleversant quand il enterre des souvenirs de son fils, délicieusement grossier car la mer du Nord est trop froide, vraiment drôle lorsque, aviné, il tente de slamer sa colère. Éblouissant de normalité et de tendresse bourrue.
Année : 2023
Avec : Abbas Shirafkan, Anne Consigny, Fabrice Luchini, Juliette Metten, Lucas Van, Maud Wyler, Sandrine Dumas, Taquin Mara, Thierrée Aurélia, Van Viv, Veerle Baetens
Cinéma : 10 avril
Année : 2024
De : Delphine Girard
Avec : Selma Alaoui, Veerle Baetens, Guillaume Duhesme, Anne Dorval
Prime Video : 24 mars
Hannah Maes est nommée capitaine au sein de la brigade des mœurs de Gand où elle dirige avec tempérament et finesse sa nouvelle équipe exclusivement masculine : Charles adepte des méthodes traditionnelles de la vieille école, Bob le macho et le jeune Kevin, spécialiste des nouvelles technologies. Malgré leur scepticisme, les enquêteurs découvrent peu à peu cette trentenaire d’un genre nouveau. On comprend rapidement que l’arrivée de Hannah n’est pas un hasard. Elle est revenue pour résoudre une affaire personnelle…
Avec : Marc Lauwrys, Veerle Baetens, Michaël Pas, Gilles De Schryver, Carry Goossens, Ben Segers, Geert Van Rampelberg
Netflix : 1er mars
Le haut commandement des armées belges organise une importante réception. C'est un moment important pour le général Cassiman dont l'efficacité est appréciée de tous. Mais un homme se comporte de façon déplacée et gâche la fête. Il s'agit de Rick Symons. Malgré ses excellents états de service, ce plongeur est sanctionné par sa hierarchie exaspérée. Muté sur la petite base de Coxyde, au sein de la 40e Escadrille, Rick se lie d'amitié avec l'équipage du «Seaking». Mais Rick découvre, amusé, que la belle Alex Breynaert, le médecin qu'il a outrageusement importuné lors de la réception, y travaille aussi. Mais l'arrivée à Coxyde est pour Rick l'occasion de se confronter à son passé. Un an et demi auparavant, son ami Koen a subi un dramatique accident de plongée. Rick se sent coupable...
De : Hans Herbots
Avec : Kevin Janssens, Veerle Baetens, Tine Reymer, Axel Daeseleire, Koen De Bouw, Stan Van Samang, Ludo Busschots
Netflix : 29 février
Pierre a 25 ans quand il rentre du Wyoming pour retrouver Claire sa fiancée et reprendre la ferme familiale. Vingt ans plus tard, l'exploitation s’est agrandie, la famille aussi. C’est le temps des jours heureux, du moins au début… Les dettes s’accumulent et Pierre s’épuise au travail. Malgré l’amour de sa femme et ses enfants, il sombre peu à peu… Construit comme une saga familiale, et d’après la propre histoire du réalisateur, le film porte un regard humain sur l’évolution du monde agricole de ces 40 dernières années.
De : Édouard Bergeon
Avec : Guillaume Canet, Veerle Baetens, Anthony Bajon, Rufus, Samir Guesmi, Yona Kervern, Solal Forte
DVD/Blu-ray : 24 janvier
Editeur : M6 Vidéo
Année : 2023
De : Guillaume Nicloux
Avec : Fabrice Luchini, Mara Taquin, Maud Wyler, Juliette Metten, Veerle Baetens, Lucas Van Den Eynde, Viv Van Dingenen, Sandrine Dumas