Valentin Sottopietra : passages TV

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Récemment en janvier
 

Le silence des ânes

Télévision : 31 janvier à 13:30-15:00 sur Arte

téléfilm policier

Depuis sa condamnation pour meurtre, Jonas Horak est détenu à l'Institut pénal pour déficients mentaux d'Alberswange, où il s'adonne au jardinage. Alors que le sort d'un chat orphelin, dont la propriétaire a été retrouvée noyée, agite la presse locale, la policière Sophie Landner fait par hasard une découverte macabre : le corps de madame Güggalar gît sans tête dans sa ferme isolée, où volète un coq. À la suite d'un appel anonyme, l'enquêtrice rend visite à Horak, qu'elle a arrêté deux ans plus tôt. Pour le prisonnier, il est évident que ces assassinats font écho aux Musiciens de Brême, le fameux conte des frères Grimm, qui met également en scène un chien et un âne. Sophie parviendra-t-elle à arrêter le coupable avant qu'il ne frappe à nouveau ? - Critique : Suite d’Hôtel fantôme (2019), parodie de whodunit dans un établissement des Alpes, Le Silence des ânes se situe lui aussi au cœur du Vorarlberg, land à l’extrémité ouest de l’Autriche. Il appartient à la collection de téléfilms régionaux Landkrimi — équivalent local de Meurtres à… en plus sophistiqué —, produite depuis 2014 par l’ORF. L’acteur-réalisateur Karl Markovics reprend son rôle de psychotique se faisant passer pour un commissaire, flanqué d’un assistant imaginaire. Désormais interné, il vient en aide à une policière face à une série d’assassinats inspirés des Musiciens de Brême, fameux conte des frères Grimm, où un âne, un chien, un chat et un coq s’affranchissent du joug humain. Comme son prédécesseur, le film s’achève en queue de poisson, avec un twist grossièrement plagié sur celui d’Usual Suspects (Bryan Singer, 1995). C’est d’autant plus dommage que l’enquête fourmille de bonnes idées, entre ambiance surréaliste – l’hôpital psychiatrique aux allures de château fort – et humour macabre façon Agatha Christie (la tête dans une marmite). Le tout en décors naturels — forêts boueuses, prairies verdoyantes —, qui se dévoilent lors des ascensions cyclistes de l’héroïne.

Avec : Frank Caroline, Julia Koch, Julian Marcel, Karl Markovics, Klaus Windisch, Konstanze Dutzi, Liebmann Gerhard, Stefan Pohl, Tobias Fend, Valentin Sottopietra

Récemment en janvier
 

Le silence des ânes

Télévision : 17 janvier à 13:35-15:40 sur Arte

téléfilm policier

Depuis sa condamnation pour meurtre, Jonas Horak est détenu à l'Institut pénal pour déficients mentaux d'Alberswange, où il s'adonne au jardinage. Alors que le sort d'un chat orphelin, dont la propriétaire a été retrouvée noyée, agite la presse locale, la policière Sophie Landner fait par hasard une découverte macabre : le corps de madame Güggalar gît sans tête dans sa ferme isolée, où volète un coq. À la suite d'un appel anonyme, l'enquêtrice rend visite à Horak, qu'elle a arrêté deux ans plus tôt. Pour le prisonnier, il est évident que ces assassinats font écho aux Musiciens de Brême, le fameux conte des frères Grimm, qui met également en scène un chien et un âne. Sophie parviendra-t-elle à arrêter le coupable avant qu'il ne frappe à nouveau ? - Critique : Suite d’Hôtel fantôme (2019), parodie de whodunit dans un établissement des Alpes, Le Silence des ânes se situe lui aussi au cœur du Vorarlberg, land à l’extrémité ouest de l’Autriche. Il appartient à la collection de téléfilms régionaux Landkrimi — équivalent local de Meurtres à… en plus sophistiqué —, produite depuis 2014 par l’ORF. L’acteur-réalisateur Karl Markovics reprend son rôle de psychotique se faisant passer pour un commissaire, flanqué d’un assistant imaginaire. Désormais interné, il vient en aide à une policière face à une série d’assassinats inspirés des Musiciens de Brême, fameux conte des frères Grimm, où un âne, un chien, un chat et un coq s’affranchissent du joug humain. Comme son prédécesseur, le film s’achève en queue de poisson, avec un twist grossièrement plagié sur celui d’Usual Suspects (Bryan Singer, 1995). C’est d’autant plus dommage que l’enquête fourmille de bonnes idées, entre ambiance surréaliste – l’hôpital psychiatrique aux allures de château fort – et humour macabre façon Agatha Christie (la tête dans une marmite). Le tout en décors naturels — forêts boueuses, prairies verdoyantes —, qui se dévoilent lors des ascensions cyclistes de l’héroïne.

Avec : Frank Caroline, Julia Koch, Julian Marcel, Karl Markovics, Klaus Windisch, Konstanze Dutzi, Liebmann Gerhard, Stefan Pohl, Tobias Fend, Valentin Sottopietra

Récemment en janvier
 

Le silence des ânes

Télévision : 12 janvier à 20:55-22:25 sur Arte

téléfilm policier

Depuis sa condamnation pour meurtre, Jonas Horak est détenu à l'Institut pénal pour déficients mentaux d'Alberswange, où il s'adonne au jardinage. Alors que le sort d'un chat orphelin, dont la propriétaire a été retrouvée noyée, agite la presse locale, la policière Sophie Landner fait par hasard une découverte macabre : le corps de madame Güggalar gît sans tête dans sa ferme isolée, où volète un coq. À la suite d'un appel anonyme, l'enquêtrice rend visite à Horak, qu'elle a arrêté deux ans plus tôt. Pour le prisonnier, il est évident que ces assassinats font écho aux Musiciens de Brême, le fameux conte des frères Grimm, qui met également en scène un chien et un âne. Sophie parviendra-t-elle à arrêter le coupable avant qu'il ne frappe à nouveau ? - Critique : Suite d’Hôtel fantôme (2019), parodie de whodunit dans un établissement des Alpes, Le Silence des ânes se situe lui aussi au cœur du Vorarlberg, land à l’extrémité ouest de l’Autriche. Il appartient à la collection de téléfilms régionaux Landkrimi — équivalent local de Meurtres à… en plus sophistiqué —, produite depuis 2014 par l’ORF. L’acteur-réalisateur Karl Markovics reprend son rôle de psychotique se faisant passer pour un commissaire, flanqué d’un assistant imaginaire. Désormais interné, il vient en aide à une policière face à une série d’assassinats inspirés des Musiciens de Brême, fameux conte des frères Grimm, où un âne, un chien, un chat et un coq s’affranchissent du joug humain. Comme son prédécesseur, le film s’achève en queue de poisson, avec un twist grossièrement plagié sur celui d’Usual Suspects (Bryan Singer, 1995). C’est d’autant plus dommage que l’enquête fourmille de bonnes idées, entre ambiance surréaliste – l’hôpital psychiatrique aux allures de château fort – et humour macabre façon Agatha Christie (la tête dans une marmite). Le tout en décors naturels — forêts boueuses, prairies verdoyantes —, qui se dévoilent lors des ascensions cyclistes de l’héroïne.

Avec : Frank Caroline, Julia Koch, Julian Marcel, Karl Markovics, Klaus Windisch, Konstanze Dutzi, Liebmann Gerhard, Stefan Pohl, Tobias Fend, Valentin Sottopietra