Télévision : 26 décembre 2021 à 01:15-02:15 sur Arte
Classique
Lang Lang, Thomas Hampson und Fatma Said - es sind herausragende Künstlerinnen und Künstler, die der Stargeiger Daniel Hope für ein besonderes Weihnachtskonzert, in seinem in Corona-Zeiten berühmt gewordenem Wohnzimmer, gewinnen konnte. In einer Zeit, in der Momente des Trosts, der Zuversicht, vielleicht sogar der Sorglosigkeit bitter notwendig sind, zünden Hope & Friends musikalisch die Kerzen an.
Année : 2021
De : Stefan Mathieu
Télévision : 24 décembre 2020 à 18:40-19:45 sur Arte
Classique
Pour cause de pandémie, le traditionnel gala des fêtes de fin d'année de Vienne ne pourra avoir lieu au Wiener Konzerthaus. Mais les organisateurs sont parvenus à maintenir la manifestation dans deux lieux distincts : un premier concert à l'hôtel Sacher réunira la soprano Camilla Nylund, la mezzo Angelika Kirchschlager, le baryton Thomas Hampson, le baryton-basse Luca Pisaroni, le ténor Saimir Pirgu et les Petits Chanteurs de Vienne. Puis, sous la direction musicale de Sascha Goetzel, des musiciens de onze nationalités et vivant à Vienne interprèteront Stille Nacht à la Cathédrale Saint-Étienne. Un symbole de cohésion dans ces moments difficiles.
Année : 2020
De : Felix Breisach
Télévision : 6 avril 2018 à 00:15-03:00 sur France 2
drame lyrique
Opéra peu joué depuis sa création en 1903 au Théâtre royal de la Monnaie de Bruxelles, cette oeuvre d'Ernest Chausson, composée entre 1886 et 1895, nous immerge dans l'univers d'Arthur et de la Table ronde. Genièvre, Merlin l'Enchanteur ou Lancelot déroulent leurs aventures sur fond d'adultère et de tragédie... Critique : Pour l'entrée à l'Opéra de Paris du Roi Arthus d'Ernest Chausson (1855-1899), créé à Bruxelles en 1903, une distribution de rêve a été convoquée : le baryton Thomas Hampson, noble Arthus au français presque parfait, le ténor Roberto Alagna, poignant en héros « infâme », et la mezzo-soprano Sophie Koch, ambiguë à souhait dans le rôle de Genièvre. Les seconds rôles ne déparent pas, et l'on ne saurait trop couvrir d'éloges l'engagement de l'orchestre et du choeur, dirigés avec une suprême élégance par un chef en quête, pour ce drame post-wagnérien, « d'une forme de lyrisme absolument français ». Musicalement, on n'est donc pas loin du nirvana. Visuellement, c'est autre chose. La laideur des costumes n'apporte rien, et la maison en kit au centre du décor, censée symboliser la société idéale rêvée par Arthus, semble vouée à la destruction moins du fait de la fatalité que par son caractère précaire et étriqué. A la réalisation, François-René Martin sauve de l'insignifiance la mise en scène de Graham Vick en s'attardant sur la finesse de sa direction d'acteurs, souvent perdue pour les spectateurs de l'Opéra Bastille. On (re)voit ainsi de près la scène bouleversante où Merlin (Peter Sidhom) annonce à Arthus l'anéantissement de leur oeuvre commune. — Sophie Bourdais
Télévision : 6 avril 2018 à 00:10-02:56 sur France 2
drame lyrique
Opéra peu joué depuis sa création en 1903 au Théâtre royal de la Monnaie de Bruxelles, cette oeuvre d'Ernest Chausson, composée entre 1886 et 1895, nous immerge dans l'univers d'Arthur et de la Table ronde. Genièvre, Merlin l'Enchanteur ou Lancelot déroulent leurs aventures sur fond d'adultère et de tragédie... Critique : Pour l'entrée à l'Opéra de Paris du Roi Arthus d'Ernest Chausson (1855-1899), créé à Bruxelles en 1903, une distribution de rêve a été convoquée : le baryton Thomas Hampson, noble Arthus au français presque parfait, le ténor Roberto Alagna, poignant en héros « infâme », et la mezzo-soprano Sophie Koch, ambiguë à souhait dans le rôle de Genièvre. Les seconds rôles ne déparent pas, et l'on ne saurait trop couvrir d'éloges l'engagement de l'orchestre et du choeur, dirigés avec une suprême élégance par un chef en quête, pour ce drame post-wagnérien, « d'une forme de lyrisme absolument français ». Musicalement, on n'est donc pas loin du nirvana. Visuellement, c'est autre chose. La laideur des costumes n'apporte rien, et la maison en kit au centre du décor, censée symboliser la société idéale rêvée par Arthus, semble vouée à la destruction moins du fait de la fatalité que par son caractère précaire et étriqué. A la réalisation, François-René Martin sauve de l'insignifiance la mise en scène de Graham Vick en s'attardant sur la finesse de sa direction d'acteurs, souvent perdue pour les spectateurs de l'Opéra Bastille. On (re)voit ainsi de près la scène bouleversante où Merlin (Peter Sidhom) annonce à Arthus l'anéantissement de leur oeuvre commune. — Sophie Bourdais
Télévision : 25 octobre 2017 à 05:00-06:05 sur Arte
magazine musical
Daniel Hope et Alice Tumler accueillent le baryton américain Thomas Hampson et la mezzosoprano suédoise Anne Sofie von Otter. La cantatrice se produit avec Bengt Forsberg, qui l'accompagne depuis 1980 lorsqu'elle chante en solo. Le jeune musicien israélien Avi Avital démontre sa virtuosité à la mandoline. Quant à la Lettone Ksenija Sidorova, elle met l'accordéon au service de la musique classique. Enfin, le chanteur-auteur-compositeur Adam Cohen, fils du célèbre Leonard, livre quelques titres de son dernier album «We Go Home»
Présenté par : Daniel Hope, Alice Tumler
DVD/Blu-ray : 7 juillet 2017
Année : 2016
De : John Schlesinger
Avec : Royal Opera House Covent Garden, Evelino Pido, Vittorio Grigolo, Sonya Yoncheva, Thomas Hampson
DVD/Blu-ray : 7 juillet 2017
Année : 2016
De : John Schlesinger
Avec : Royal Opera House Covent Garden, Evelino Pido, Vittorio Grigolo, Sonya Yoncheva, Thomas Hampson