Scott Jill : passages TV

Créez gratuitement votre compte Evernext pour être averti de toutes les actualités de Scott Jill.

Créer mon compte

Antérieurement en 2023
 

New York Unité Spéciale

Télévision : 31 octobre 2023 à 00:45-01:30 sur TF1

série policière

Sans mot pour le dire. Saison:11 - Episode:17 - Le chauffeur d'une navette pour personnes handicapées s'inquiète de ne pas voir une habituée à l'arrêt. Il monte chez elle et la trouve sur le sol : elle a été frappée et violée. Cette femme, Cara Raleigh, une ancienne chanteuse d'opéra, s'est retrouvée muette et tétraplégique à la suite d'une sclérose en plaques. Elle ne bouge que les yeux, et c'est sa soeur, Janice, qui prend soin d'elle avec son fils, Damien. Les inspecteurs Stabler et Benson sont chargés de l'affaire. En examinant des enregistrements vidéo, ils constatent que Janice maltraite sa soeur et mettent à mal l'alibi de Damien. Mais seule Cara est en mesure de leur désigner le coupable...

Année : 2009

De : Black Paul

Avec : Arrindell Lisa, BD Wong, Belzer Richard, Bishins David, Christopher Meloni, Dann Florek, ICE-T, Mariska Hargitay, Ralph Byers, Scott Jill, Tamara Tunie, Teddy Sears

Antérieurement en 2022
 

Get on Up

Télévision : 20 décembre 2022 à 00:55-01:30 sur France 3

film : biographie

Issu d'un milieu défavorisé en Caroline du Sud, James Brown est né et élevé dans la souffrance. Après avoir commis plusieurs méfaits qui le font passer par la case prison, il intègre une chorale de gospel où il fait montre de ses talents de chanteur et de bête de scène. A force de travail et grâce à sa rage de vivre, il devient bientôt l'empereur de la musique soul et funk et connaît une ascension fulgurante. Entre les coups durs de la vie, des relations amoureuses mouvementées et le monde impitoyable du show business, celui que l'on surnomme "Le parrain de la soul" ou "Monsieur dynamite" s'érige bientôt en véritable icône, l'un des musiciens les plus influents du XXe siècle... - Critique : Hollywood n'a pas eu la peau de James Brown. Après plus de dix ans de chantier intensif et une multitude de séances de brainstorming fiévreux, le film sur sa vie garde fermement le cap du biopic ultra psychologique, à l'américaine, sans épuiser l'énergie cyclonique et les facettes multiples de « Mister Dynamite », alias « The Boss », alias « Sex Machine ». Enrôlé après le succès de son chromo antiraciste, La Couleur des sentiments, Tate Taylor, réalisateur blanc du Mississippi, met pourtant tout son coeur à tirer les ficelles d'un récit bien cadré où les douleurs d'une enfance déchirée dans le Sud ségrégationniste attisent la flamme d'un destin hors du commun. Pour chahuter un peu l'édifice, le cinéaste construit son film comme un « megamix » où les époques se croisent et se télescopent. Les tableaux s'enchaînent et se répondent sur un ­tempo soutenu (2h19 pour cinquante ans de carrière pied au plancher), certains un peu fades, d'autres ébouriffants. Comme la surboum en pull de ski chez les minets blancs et la répétition où James Brown invente le funk en direct, déclarant à ses musiciens que tous leurs instruments sont des batteries et le seul Dieu à honorer, celui du rythme. Le black power, la drogue, les femmes et les affaires sont traités à vitesse grand V, mais, ­côté musique, Get on up prend ses aises et ne mégote pas sur la dépense. Tate Taylor reconstitue avec faste les concerts historiques à l'Apollo de Harlem ou à l'Olympia (en 1971) et les années d'apprentissage où James Brown convertit les hymnes de l'Eglise noire en transes érotiques. Il s'appuie sur la performance euphorique d'un Chadwick Boseman au sourire carnassier, qui se glisse à la perfection dans les chorégraphies sophistiquées du chanteur de Night Train. Et approche son mystère : comment un tel contrôle, une autorité aussi verrouillée peuvent accoucher, sur scène ou dans la vie, d'un abandon aussi vertigineux. — Laurent Rigoulet   Lire aussi notre portrait de Chadwick Boseman, p. 16, et notre rencontre avec Mick Jagger, coproducteur de Get on up, dans notre numéro précédent.

Année : 2014

De : Tate Taylor

Avec : Aakomon AJ, Chadwick Boseman, Codie L Wiggins, Craig Robinson, Dan Aykroyd, David Sincere Aiken, Ellis Nelsan, Fred Melamed, Josh Hopkins, Lennie James, Mychal Brandon, Octavia Spencer, Scott Jill, Tika Sumpter, Viola Davis

Antérieurement en 2022
 

Get on Up

Télévision : 19 décembre 2022 à 23:15-01:30 sur France 3

film : biographie

Issu d'un milieu défavorisé en Caroline du Sud, James Brown est né et élevé dans la souffrance. Après avoir commis plusieurs méfaits qui le font passer par la case prison, il intègre une chorale de gospel où il fait montre de ses talents de chanteur et de bête de scène. A force de travail et grâce à sa rage de vivre, il devient bientôt l'empereur de la musique soul et funk et connaît une ascension fulgurante. Entre les coups durs de la vie, des relations amoureuses mouvementées et le monde impitoyable du show business, celui que l'on surnomme "Le parrain de la soul" ou "Monsieur dynamite" s'érige bientôt en véritable icône, l'un des musiciens les plus influents du XXe siècle... - Critique : Hollywood n'a pas eu la peau de James Brown. Après plus de dix ans de chantier intensif et une multitude de séances de brainstorming fiévreux, le film sur sa vie garde fermement le cap du biopic ultra psychologique, à l'américaine, sans épuiser l'énergie cyclonique et les facettes multiples de « Mister Dynamite », alias « The Boss », alias « Sex Machine ». Enrôlé après le succès de son chromo antiraciste, La Couleur des sentiments, Tate Taylor, réalisateur blanc du Mississippi, met pourtant tout son coeur à tirer les ficelles d'un récit bien cadré où les douleurs d'une enfance déchirée dans le Sud ségrégationniste attisent la flamme d'un destin hors du commun. Pour chahuter un peu l'édifice, le cinéaste construit son film comme un « megamix » où les époques se croisent et se télescopent. Les tableaux s'enchaînent et se répondent sur un ­tempo soutenu (2h19 pour cinquante ans de carrière pied au plancher), certains un peu fades, d'autres ébouriffants. Comme la surboum en pull de ski chez les minets blancs et la répétition où James Brown invente le funk en direct, déclarant à ses musiciens que tous leurs instruments sont des batteries et le seul Dieu à honorer, celui du rythme. Le black power, la drogue, les femmes et les affaires sont traités à vitesse grand V, mais, ­côté musique, Get on up prend ses aises et ne mégote pas sur la dépense. Tate Taylor reconstitue avec faste les concerts historiques à l'Apollo de Harlem ou à l'Olympia (en 1971) et les années d'apprentissage où James Brown convertit les hymnes de l'Eglise noire en transes érotiques. Il s'appuie sur la performance euphorique d'un Chadwick Boseman au sourire carnassier, qui se glisse à la perfection dans les chorégraphies sophistiquées du chanteur de Night Train. Et approche son mystère : comment un tel contrôle, une autorité aussi verrouillée peuvent accoucher, sur scène ou dans la vie, d'un abandon aussi vertigineux. — Laurent Rigoulet   Lire aussi notre portrait de Chadwick Boseman, p. 16, et notre rencontre avec Mick Jagger, coproducteur de Get on up, dans notre numéro précédent.

Année : 2014

De : Tate Taylor

Avec : Aakomon AJ, Chadwick Boseman, Codie L Wiggins, Craig Robinson, Dan Aykroyd, David Sincere Aiken, Ellis Nelsan, Fred Melamed, Josh Hopkins, Lennie James, Mychal Brandon, Octavia Spencer, Scott Jill, Tika Sumpter, Viola Davis

Antérieurement en 2022
 

Get on Up

Télévision : 19 décembre 2022 à 23:15-00:55 sur France 3

film : biographie

Issu d'un milieu défavorisé en Caroline du Sud, James Brown est né et élevé dans la souffrance. Après avoir commis plusieurs méfaits qui le font passer par la case prison, il intègre une chorale de gospel où il fait montre de ses talents de chanteur et de bête de scène. A force de travail et grâce à sa rage de vivre, il devient bientôt l'empereur de la musique soul et funk et connaît une ascension fulgurante. Entre les coups durs de la vie, des relations amoureuses mouvementées et le monde impitoyable du show business, celui que l'on surnomme "Le parrain de la soul" ou "Monsieur dynamite" s'érige bientôt en véritable icône, l'un des musiciens les plus influents du XXe siècle... - Critique : Hollywood n'a pas eu la peau de James Brown. Après plus de dix ans de chantier intensif et une multitude de séances de brainstorming fiévreux, le film sur sa vie garde fermement le cap du biopic ultra psychologique, à l'américaine, sans épuiser l'énergie cyclonique et les facettes multiples de « Mister Dynamite », alias « The Boss », alias « Sex Machine ». Enrôlé après le succès de son chromo antiraciste, La Couleur des sentiments, Tate Taylor, réalisateur blanc du Mississippi, met pourtant tout son coeur à tirer les ficelles d'un récit bien cadré où les douleurs d'une enfance déchirée dans le Sud ségrégationniste attisent la flamme d'un destin hors du commun. Pour chahuter un peu l'édifice, le cinéaste construit son film comme un « megamix » où les époques se croisent et se télescopent. Les tableaux s'enchaînent et se répondent sur un ­tempo soutenu (2h19 pour cinquante ans de carrière pied au plancher), certains un peu fades, d'autres ébouriffants. Comme la surboum en pull de ski chez les minets blancs et la répétition où James Brown invente le funk en direct, déclarant à ses musiciens que tous leurs instruments sont des batteries et le seul Dieu à honorer, celui du rythme. Le black power, la drogue, les femmes et les affaires sont traités à vitesse grand V, mais, ­côté musique, Get on up prend ses aises et ne mégote pas sur la dépense. Tate Taylor reconstitue avec faste les concerts historiques à l'Apollo de Harlem ou à l'Olympia (en 1971) et les années d'apprentissage où James Brown convertit les hymnes de l'Eglise noire en transes érotiques. Il s'appuie sur la performance euphorique d'un Chadwick Boseman au sourire carnassier, qui se glisse à la perfection dans les chorégraphies sophistiquées du chanteur de Night Train. Et approche son mystère : comment un tel contrôle, une autorité aussi verrouillée peuvent accoucher, sur scène ou dans la vie, d'un abandon aussi vertigineux. — Laurent Rigoulet   Lire aussi notre portrait de Chadwick Boseman, p. 16, et notre rencontre avec Mick Jagger, coproducteur de Get on up, dans notre numéro précédent.

Année : 2014

De : Tate Taylor

Avec : Aakomon AJ, Chadwick Boseman, Codie L Wiggins, Craig Robinson, Dan Aykroyd, David Sincere Aiken, Ellis Nelsan, Fred Melamed, Josh Hopkins, Lennie James, Mychal Brandon, Octavia Spencer, Scott Jill, Tika Sumpter, Viola Davis