Scheitz Clemens : passages TV

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Récemment en novembre
 

La ballade de Bruno

Télévision : 30 novembre 2023 à 01:55-03:40 sur Arte

film : drame

Bruno, un musicien itinérant, sort de prison. Il est décidé à refaire sa vie. Pourtant, il se dirige aussitôt vers l'estaminet où le directeur de la prison lui a formellement interdit d'aller. Il y est témoin d'une scène qui le révolte : Eva, une prostituée, est battue par deux souteneurs, l'un voulant la vendre à l'autre. Bruno recueille la jeune femme et la soigne. Mais les deux souteneurs ne les laissent pas en paix et le couple décide d'émigrer aux Etats-Unis, en compagnie d'un vieil original, Scheitz, qui habitait l'appartement de Bruno en son absence....

Année : 1977

Avec : Alfred Edel, Bruno S, Burkhard Driest, Clayton Szalpinski, Ely Rodriguez, Eva Mattes, Michael Gahr, Ralph Wade, Scheitz Clemens, Scott McKain, Vaclav Vojta, Wilhelm Von

Récemment en novembre
 

Nosferatu, fantôme de la nuit

Télévision : 30 novembre 2023 à 00:10-01:55 sur Arte

film fantastique

Au XIXe siècle, en Allemagne. Jonathan Harker travaille dans une agence immobilière. Une nuit, sa fiancée, Lucy, fait un horrible cauchemar qu'elle interprète comme une prémonition. Ne s'en souciant guère, Jonathan part le lendemain pour les Carpathes, afin de traiter une affaire avec le comte Dracula. Ce dernier l'accueille avec une grande courtoisie, qui ferait presque oublier son physique inquiétant - crâne rasé, longues oreilles et ongles démesurés. Le contrat signé, le comte gagne l'Allemagne. A Wismar, où il possède maintenant une maison, il débarque accompagné d'une armée de rats. Les habitants meurent les uns après les autres, frappés par la peste... - Critique : Les films de vampires ont fait les beaux jours de la série B, mais aussi les riches heures du cinéma d’auteur. Dès 1922, Murnau montrait l’exemple avec un Nosferatu qui allait marquer pour toujours l’histoire du septième art. Un tel monument méritait bien d’être revisité : c’est Werner Herzog, un compatriote, qui s’en chargea, avec bonheur. Toujours caché au fond de la Transylvanie, son comte Dracula est un maudit qui voudrait aimer. Amoureux d’une femme dont il n’a vu que le portrait, il quitte son château pour la rejoindre, répandant la peste derrière lui. Werner Herzog a parfaitement su tenir à distance le folklore du genre : ail, crucifix, hosties prophylactiques et autres grigris ne sont ici qu’accessoires. L’essentiel, ce sont les visages, qui deviennent de véritables icônes, sacralisés comme au temps du cinéma muet. Celui de Nosferatu est le plus étrange, tirant son pouvoir d’effroi de la laideur de son interprète, Klaus Kinski, qui savait se défigurer. Isabelle Adjani, elle, interprète la beauté absolue, presque irréelle, capable de damner un vampire. Pâle et fantomatique, ou lumineuse comme une apparition, elle porte toute la dimension picturale et impressionniste du film. « Vous pouvez tenir pour assuré que même l’inconcevable ne me désarçonnera pas », dit-elle à Dracula. Et on est comme lui : sidéré.

Année : 1979

Avec : Bodinus Carsten, Bruno Ganz, Dan van, Grohmann Martje, Groth Jan, Isabelle Adjani, Jacques Dufilho, Klaus Kinski, Ladengast Walter, Rijk de Gooyer, Scheitz Clemens, Topor Roland