Roger Hammond : passages TV

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Antérieurement en 2023
 

Le discours d'un roi

Télévision : 15 octobre 2023 à 21:05-23:10 sur 6ter

film : drame

Albert, duc d'York et deuxième fils du roi d'Angleterre George VI, doit prononcer un discours devant un immense public lors de la clôture de la British Empire Exhibition à Wembley, le 31 octobre 1925. Son bégaiement lui fait vivre un véritable calvaire derrière le microphone de la TSF. Une nouvelle tentative ridicule d'un médecin pour traiter son défaut d'élocution se solde par un échec cuisant. Son épouse, Elizabeth, ne désespère pas. Elle sonne à la porte de l'étrange Lionel Logue, un orthophoniste d'origine australienne. Logue accepte de soigner son royal patient, mais en respectant ses règles, pour le moins peu conformes à l'étiquette de la cour... - Critique : C'était une machine taillée pour les Oscars — Le Discours d'un roi y a raflé quatre statuettes en 2011, dont celles du meilleur film et du meilleur acteur. Recette du succès ? Un grand et noble sujet, d'autant plus noble qu'il s'agit, ici, du monarque anglais George VI et de son combat édifiant pour contrôler son bégaiement. Deuxième ingrédient : des décors et des costumes rutilants — au point que la reconstitution des années 1930 devient un corset trop serré pour la mise en scène platement illustrative de Tom Hooper. Troisième ingrédient, peut-être le plus important : un premier rôle propice à la performance de comédien. Simuler un handicap, ça marche presque à tous les coups. Colin Firth est, de fait, bluffant. Il parvient à restituer la gêne physique du bégayeur sans jamais le ridiculiser. L'ensemble est loin d'être désagréable. Les affrontements à fleurets de moins en moins mouchetés entre le souverain et son orthophoniste très particulier (Geoffrey Rush, irrésistible de malice) donnent les meilleures scènes, les plus satiriques. Mais à trop se focaliser sur les efforts acharnés du roi pour retrouver une élocution normale, le réalisateur néglige son thème le plus intéressant : l'emprise de la communication moderne sur la politique. A l'âge des médias de masse, un dirigeant qui ne sait pas parler ne peut pas gouverner...

Année : 2010

De : Tom Hooper

Avec : Adrian Scarborough, Andrew Havill, Charles Armstrong, Colin Firth, Derek Jacobi, Dixon Richard, Geoffrey Rush, Helena Bonham, Jennifer Ehle, Portal Robert, Roger Hammond, Scarlett Mackmin, Trussell Paul

Antérieurement en 2023
 

Le discours d'un roi

Télévision : 14 mai 2023 à 23:05-01:10 sur W9

film : drame

Albert, duc d'York et deuxième fils du roi d'Angleterre George VI, doit prononcer un discours devant un immense public lors de la clôture de la British Empire Exhibition à Wembley, le 31 octobre 1925. Son bégaiement lui fait vivre un véritable calvaire derrière le microphone de la TSF. Une nouvelle tentative ridicule d'un médecin pour traiter son défaut d'élocution se solde par un échec cuisant. Son épouse, Elizabeth, ne désespère pas. Elle sonne à la porte de l'étrange Lionel Logue, un orthophoniste d'origine australienne. Logue accepte de soigner son royal patient, mais en respectant ses règles, pour le moins peu conformes à l'étiquette de la cour... - Critique : C'était une machine taillée pour les Oscars — Le Discours d'un roi y a raflé quatre statuettes en 2011, dont celles du meilleur film et du meilleur acteur. Recette du succès ? Un grand et noble sujet, d'autant plus noble qu'il s'agit, ici, du monarque anglais George VI et de son combat édifiant pour contrôler son bégaiement. Deuxième ingrédient : des décors et des costumes rutilants — au point que la reconstitution des années 1930 devient un corset trop serré pour la mise en scène platement illustrative de Tom Hooper. Troisième ingrédient, peut-être le plus important : un premier rôle propice à la performance de comédien. Simuler un handicap, ça marche presque à tous les coups. Colin Firth est, de fait, bluffant. Il parvient à restituer la gêne physique du bégayeur sans jamais le ridiculiser. L'ensemble est loin d'être désagréable. Les affrontements à fleurets de moins en moins mouchetés entre le souverain et son orthophoniste très particulier (Geoffrey Rush, irrésistible de malice) donnent les meilleures scènes, les plus satiriques. Mais à trop se focaliser sur les efforts acharnés du roi pour retrouver une élocution normale, le réalisateur néglige son thème le plus intéressant : l'emprise de la communication moderne sur la politique. A l'âge des médias de masse, un dirigeant qui ne sait pas parler ne peut pas gouverner...

Année : 2010

De : Tom Hooper

Avec : Adrian Scarborough, Andrew Havill, Charles Armstrong, Colin Firth, Derek Jacobi, Dixon Richard, Geoffrey Rush, Helena Bonham, Jennifer Ehle, Portal Robert, Roger Hammond, Scarlett Mackmin, Trussell Paul

Antérieurement en 2023
 

Le discours d'un roi

Télévision : 7 mai 2023 à 21:05-23:10 sur W9

film : drame

Albert, duc d'York et deuxième fils du roi d'Angleterre George VI, doit prononcer un discours devant un immense public lors de la clôture de la British Empire Exhibition à Wembley, le 31 octobre 1925. Son bégaiement lui fait vivre un véritable calvaire derrière le microphone de la TSF. Une nouvelle tentative ridicule d'un médecin pour traiter son défaut d'élocution se solde par un échec cuisant. Son épouse, Elizabeth, ne désespère pas. Elle sonne à la porte de l'étrange Lionel Logue, un orthophoniste d'origine australienne. Logue accepte de soigner son royal patient, mais en respectant ses règles, pour le moins peu conformes à l'étiquette de la cour... - Critique : C'était une machine taillée pour les Oscars — Le Discours d'un roi y a raflé quatre statuettes, dont celles du meilleur film et du meilleur acteur. Recette du succès ? Un grand et noble sujet, d'autant plus noble qu'il s'agit, ici, du monarque anglais George VI et de son combat édifiant pour contrôler son bégaiement. Deuxième ingrédient : des décors et des costumes rutilants — au point que la reconstitution des années 1930 devient un corset trop serré pour la mise en scène platement illustrative de Tom Hooper. Troisième ingrédient, peut-être le plus important : un premier rôle propice à la performance de comédien. Simuler un handicap, ça marche presque à tous les coups. Colin Firth est, de fait, bluffant. Il parvient à restituer la gêne physique du bégayeur sans jamais le ridiculiser. L'ensemble est loin d'être désagréable. Les affrontements à fleurets de moins en moins mouchetés entre le souverain et son orthophoniste très particulier (Geoffrey Rush, irrésistible de malice) donnent les meilleures scènes, les plus satiriques. Mais à trop se focaliser sur les efforts acharnés du roi pour retrouver une élocution normale, le réalisateur néglige son thème le plus intéressant : l'emprise de la communication moderne sur la politique. A l'âge des médias de masse, un dirigeant qui ne sait pas parler ne peut pas gouverner...

Année : 2010

De : Tom Hooper

Avec : Adrian Scarborough, Andrew Havill, Charles Armstrong, Colin Firth, Derek Jacobi, Dixon Richard, Geoffrey Rush, Helena Bonham, Jennifer Ehle, Portal Robert, Roger Hammond, Scarlett Mackmin, Trussell Paul

Antérieurement en 2022
 

Le discours d'un roi

Télévision : 14 septembre 2022 à 21:05-23:10 sur 6ter

film : drame

Albert, duc d'York et deuxième fils du roi d'Angleterre George VI, doit prononcer un discours devant un immense public lors de la clôture de la British Empire Exhibition à Wembley, le 31 octobre 1925. Son bégaiement lui fait vivre un véritable calvaire derrière le microphone de la TSF. Une nouvelle tentative ridicule d'un médecin pour traiter son défaut d'élocution se solde par un échec cuisant. Son épouse, Elizabeth, ne désespère pas. Elle sonne à la porte de l'étrange Lionel Logue, un orthophoniste d'origine australienne. Logue accepte de soigner son royal patient, mais en respectant ses règles, pour le moins peu conformes à l'étiquette de la cour... - Critique : | Genre : co-co-co-correct. C'était une machine taillée pour les Oscars - Le Discours d'un roi y a raflé quatre ­statuettes, donc celles du meilleur film et du meilleur acteur. Recette du succès ? Un grand et noble sujet. D'autant plus noble qu'il s'agit, ici, du monarque anglais George VI et de son combat édifiant pour vaincre le bégaiement. Deuxième ingrédient : des décors et des costumes rutilants. Au point que la reconstitution des années 1930 devient un corset trop serré pour la mise en scène platement illustrative de Tom Hooper. Troisième ingrédient, peut-être le plus important : un premier rôle propice à la performance de comédien. Simuler un handicap, ça marche presque à tous les coups. Colin Firth est, de fait, bluffant. Il parvient à restituer la gêne physique du bégayeur sans jamais le ridiculiser. L'ensemble est loin d'être désagréable. Les affrontements à fleurets de moins en moins mouchetés entre le souverain et son orthophoniste très particulier (Geoffrey Rush, irrésistible de malice) donnent les meilleures scènes, les plus satiriques. Mais à trop se focaliser sur les efforts acharnés du roi pour retrouver une élocution normale, le réalisateur néglige son thème le plus ­intéressant : l'emprise de la communication moderne sur la politique - à l'âge des médias de masse, un dirigeant qui ne sait pas parler ne peut pas gouverner...

Année : 2010

De : Tom Hooper

Avec : Adrian Scarborough, Andrew Havill, Calum Gittins, Charles Armstrong, Colin Firth, Derek Jacobi, Dixon Richard, Geoffrey Rush, Helena Bonham, Portal Robert, Roger Hammond, Scarlett Mackmin, Trussell Paul

Antérieurement en 2022
 

Le tour du monde en 80 jours

Télévision : 15 avril 2022 à 22:50-00:55 sur Gulli

film d'aventures

A la fin du XIXe siècle en Angleterre, Phileas Fogg, un inventeur de renom, fait un pari insensé avec lord Kelvin, le président de la prestigieuse "Royal Academy of Science" : celui de réaliser un tour du monde en 80 jours. S'il relève le défi, Phileas Fogg succédera à Kelvin à la tête de l'Académie. Aussi celui-ci entreprend-il d'engager l'inspecteur Fix, afin qu'il sabote l'ambitieux projet de son rival potentiel. L'aventure démarre pour Phileas Fogg, qui ignore tout des sombres desseins nourris par lord Kelvin. Accompagné de Passepartout et de Monique La Roche, une ravissante artiste française, Phileas Fogg débute son long périple... - Critique : | Genre : voyage d'agrément. Jules Verne, pourtant excellent scénariste, n'avait pas pensé au kung-fu pour pimenter ses récits. Jackie Chan s'en est chargé. Tant pis pour les puristes, l'idée est amusante d'avoir musclé le pari de Phileas Fogg (Steve Coogan) avec une histoire de statuette de jade à rapporter au fin fond de la Chine. Le valet Passepartout est donc chinois, rapide comme le tigre, malin comme le singe, entêté comme la chèvre... Ce tour du monde de Fogg est donc plutôt celui de Chan, avec baston chorégraphiée à chaque étape du tour. A Paris, la romance est aussi au rendez-vous. En jeune peintre gourmande de voyages, Cécile de France vole la vedette à Jackie Chan, qui l'avait lui-même chipée dès le début à Steve Coogan. En dirigeable, en train, en bateau, en machine volante, et jusque dans le harem du prince Hari (Schwarzenegger, ridicule à souhait), elle pétille. Grâce à son sens du rythme, ce petit monde très coloré, plein d'embûches et de gadgets rétrofuturistes, tourne encore plus rond. — Guillemette Odicino

Année : 2004

De : Frank Coraci

Avec : Adam Godley, Cécile De, Daniel Hinchcliffe, David Ryall, Howard Cooper, Ian McNeice, Jackie Chan, Jim Broadbent, Karen Mok, Robert Fyfe, Roger Hammond, Steve Coogan

Antérieurement en 2022
 

Le tour du monde en 80 jours

Télévision : 8 avril 2022 à 21:05-23:05 sur Gulli

film d'aventures

A la fin du XIXe siècle en Angleterre, Phileas Fogg, un inventeur de renom, fait un pari insensé avec lord Kelvin, le président de la prestigieuse "Royal Academy of Science" : celui de réaliser un tour du monde en 80 jours. S'il relève le défi, Phileas Fogg succédera à Kelvin à la tête de l'Académie. Aussi celui-ci entreprend-il d'engager l'inspecteur Fix, afin qu'il sabote l'ambitieux projet de son rival potentiel. L'aventure démarre pour Phileas Fogg, qui ignore tout des sombres desseins nourris par lord Kelvin. Accompagné de Passepartout et de Monique La Roche, une ravissante artiste française, Phileas Fogg débute son long périple... - Critique : | Genre : voyage d'agrément. Jules Verne, pourtant excellent scénariste, n'avait pas pensé au kung-fu pour pimenter ses récits. Jackie Chan s'en est chargé. Tant pis pour les puristes, l'idée est amusante d'avoir musclé le pari de Phileas Fogg (Steve Coogan) avec une histoire de statuette de jade à rapporter au fin fond de la Chine. Le valet Passepartout est donc chinois, rapide comme le tigre, malin comme le singe, entêté comme la chèvre... Ce tour du monde de Fogg est donc plutôt celui de Chan, avec baston chorégraphiée à chaque étape du tour. A Paris, la romance est aussi au rendez-vous. En jeune peintre gourmande de voyages, Cécile de France vole la vedette à Jackie Chan, qui l'avait lui-même chipée dès le début à Steve Coogan. En dirigeable, en train, en bateau, en machine volante, et jusque dans le harem du prince Hari (Schwarzenegger, ridicule à souhait), elle pétille. Grâce à son sens du rythme, ce petit monde très coloré, plein d'embûches et de gadgets rétrofuturistes, tourne encore plus rond. — Guillemette Odicino

Année : 2004

De : Frank Coraci

Avec : Adam Godley, Cécile De, Daniel Hinchcliffe, David Ryall, Howard Cooper, Ian McNeice, Jackie Chan, Jim Broadbent, Karen Mok, Robert Fyfe, Roger Hammond, Steve Coogan