Rick Heinrichs : passages TV

Créez gratuitement votre compte Evernext pour être averti de toutes les actualités de Rick Heinrichs.

Créer mon compte

Antérieurement en 2018
 

Les désastreuses aventures des orphelins ...

Télévision : 8 juillet 2018 à 21:00-22:45 sur 6ter

film d'aventures

Trois gamins se heurtent à un oncle machiavélique, désireux de s'emparer de leur héritage... D'après les romans du très secret Lemony Snicket, un conte à l'ancienne, aux décors époustouflants. Jim Carrey est génial en méchant d'opérette. Critique : | Genre : le club des trois. Quand elle se noue les cheveux, Violette, 14 ans, invente des gadgets incroyables. Klaus, 12 ans, a retenu par cœur tous les livres de la bibliothèque. Prunille, elle, n’est encore qu’un bébé, mais ses dents acérées coupent tout ce qui dépasse. Devenus orphelins de manière pas si accidentelle que ça, les trois jeunes Baudelaire échouent chez des parents lointains… L’auteur des livres rivaux, en succès, de Harry Potter avait bien précisé que tous ses romans commenceraient mal, finiraient mal et que « tout y irait mal d’un bout à l’autre, ou peu s’en faut ». Ceux qui ont vu les films de Tim Burton apprécieront. Car c’est son habituel décorateur, Rick Heinrichs, qui a créé cet univers gothique et lunaire afin de refléter l’émerveillement et la sourde angoisse de l’enfance. Et Jim Carrey cabotine avec ­délices dans le rôle du comte Olaf, proche parent des orphelins, qu’il tente obstinément d’occire pour s’approprier leur fortune. C’est l’héritier en métamorphoses d’Alec Guinness et de Peter Sellers. Il est dément.

Année : 2004

Avec : Brad Silberling, Jim Carrey, Meryl Streep, Emily Browning, Liam Aiken, Kara Hoffman, Shelby Hoffman, Timothy Spall, Billy Connolly, Thomas Newman, Robert Gordon, Lemony Snicket, Rick Heinrichs, Emmanuel Lubezki

Antérieurement en 2018
 

Hulk

Télévision : 30 avril 2018 à 20:55-23:05 sur France 4

film d'action

On aimait le côté fait avec des bouts de ficelle de la série. Ici, on est dans l'artillerie lourde. Budget hulkien, cinéaste en vogue – le talentueux Ang Lee –, effets spéciaux travaillés. Cependant, l'intrigue psychologique tient la route. La fin, hélas, précipite le film dans le blockbuster un peu ridicule. Dommage. Critique : Film d'Ang Lee (Hulk, USA, 2003) Scénario : James Schamus. Image : Frederick Elmes. Musique : Danny Elfman. 130 mn. VF. Avec Eric Bana, Jennifer Connelly, Sam Elliott, Nick Nolte. Genre : hypertrophie maîtrisée. Star de la BD et de la télé, le gros tas de muscles vert nommé Hulk s'invite au cinéma, avec délicatesse. Confiée au réalisateur de Tigre et Dragon, cette superproduction montre un certain sens du raffinement. Dès le générique, Ang Lee imagine des plans stylisés, des images décadrées qui donnent à son film une griffe graphique séduisante. Plus audacieusement encore, il donne la priorité aux personnages. Sous le monstre, on redécouvre l'homme, Bruce Banner. Ce scientifique cache une faille secrète qui ouvre sur un profond trauma. Cette bonne vieille cuisine psychologique retrouve sa saveur dans une séquence de flash-back superbement rétro qui égrène tout au long du film les heures du terrible jour vécu par l'enfant rouquin, futur géant vert. C'est à son père que Bruce doit ses gènes mutants, qui, sous l'effet de la colère, le font enfler d'enfer. Le compte qu'ils ont à régler finit par prendre des proportions de champignon atomique, au risque d'écraser le film sous le poids de la surenchère. Mais l'ensemble redonne tout de même goût aux confiseries hollywoodiennes.

Année : 2003

Avec : Ang Lee, Eric Bana, Nick Nolte, Jennifer Connelly, Sam Elliott, Josh Lucas, Paul Kersey, Cara Buono, Todd Tesen, Danny Elfman, John Turman, Michael France, James Schamus, Stan Lee, Jack Kirby, James Schamus, Rick Heinrichs, Frederick Elmes, Kevin Rankin, Celia Weston, Mike Erwin, Daniella Kuhn, Ang Lee, Stan Lee, Jack Kirby, James Schamus, Rick Heinrichs, Frederick Elmes

Antérieurement en 2018
 

Hulk

Télévision : 30 avril 2018 à 20:55-23:00 sur France 4

film d'action

On aimait le côté fait avec des bouts de ficelle de la série. Ici, on est dans l'artillerie lourde. Budget hulkien, cinéaste en vogue – le talentueux Ang Lee –, effets spéciaux travaillés. Cependant, l'intrigue psychologique tient la route. La fin, hélas, précipite le film dans le blockbuster un peu ridicule. Dommage. Critique : Film d'Ang Lee (Hulk, USA, 2003) Scénario : James Schamus. Image : Frederick Elmes. Musique : Danny Elfman. 130 mn. VF. Avec Eric Bana, Jennifer Connelly, Sam Elliott, Nick Nolte. Genre : hypertrophie maîtrisée. Star de la BD et de la télé, le gros tas de muscles vert nommé Hulk s'invite au cinéma, avec délicatesse. Confiée au réalisateur de Tigre et Dragon, cette superproduction montre un certain sens du raffinement. Dès le générique, Ang Lee imagine des plans stylisés, des images décadrées qui donnent à son film une griffe graphique séduisante. Plus audacieusement encore, il donne la priorité aux personnages. Sous le monstre, on redécouvre l'homme, Bruce Banner. Ce scientifique cache une faille secrète qui ouvre sur un profond trauma. Cette bonne vieille cuisine psychologique retrouve sa saveur dans une séquence de flash-back superbement rétro qui égrène tout au long du film les heures du terrible jour vécu par l'enfant rouquin, futur géant vert. C'est à son père que Bruce doit ses gènes mutants, qui, sous l'effet de la colère, le font enfler d'enfer. Le compte qu'ils ont à régler finit par prendre des proportions de champignon atomique, au risque d'écraser le film sous le poids de la surenchère. Mais l'ensemble redonne tout de même goût aux confiseries hollywoodiennes.

Année : 2003

Avec : Ang Lee, Eric Bana, Nick Nolte, Jennifer Connelly, Sam Elliott, Josh Lucas, Paul Kersey, Cara Buono, Todd Tesen, Danny Elfman, John Turman, Michael France, James Schamus, Stan Lee, Jack Kirby, James Schamus, Rick Heinrichs, Frederick Elmes, Kevin Rankin, Celia Weston, Mike Erwin, Daniella Kuhn, Ang Lee, Stan Lee, Jack Kirby, James Schamus, Rick Heinrichs, Frederick Elmes