Richard Jeni : passages TV

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Mardi dernier
 

The Mask

Télévision : 23 avril à 23:25-01:23 sur C8

film : comédie

Stanley Ipkiss travaille comme modeste employé dans une banque à Edge City et loge chez une ménagère aigrie, avec un chien pour seule compagnie. Sa vie de jeune homme timide et introverti commence à changer le jour où une nouvelle cliente, la superbe Tina, se présente à son guichet. Stanley tombe illico amoureux, mais comment aborder la belle ? Un masque ancien, ramassé dans l'eau, va lui fournir la réponse. Stanley s'aperçoit qu'il lui suffit de porter celui-ci pour que sa personnalité s'épanouisse et que toutes ses inhibitions disparaissent. En un tournemain, Stanley séduit Tina. Mais la mignonne est la maîtresse d'un dangereux malfaiteur... - Critique : Employé de banque maladroit et rêveur, Stanley Ipkiss découvre un masque ancien. Dès qu'il le met, il se transforme en un personnage arrogant et doté de pouvoirs exceptionnels, qui semble tout droit sorti d'un dessin animé... Les gamins furent les premiers (et meilleurs) « clients » de ce Mask cartoonesque et coloré. Le film a d'évidentes qualités : quelques gags explosifs vraiment drôles, une imagination visuelle débridée (servie par les images de synthèse), deux ou trois trouvailles de situation... Mais, de même que l'effigie de Droopy sur un tee-shirt est moins drôle que Droopy en action, le film n'est jamais aussi cocasse et inventif que les cartoons de Tex Avery, dont il s'inspire abondamment. Tout est un problème de ton : le Mask, porteur de nos pulsions les plus secrètes, devrait être un personnage « hénaurme », dérangeant, destructeur. Son anticonformisme, sa liberté se limitent ici à quelques rots, et tout rentre vite dans l'ordre... Il y a aussi le malentendu Jim Carrey. Les effets spéciaux en font un personnage tonitruant et grimaçant, ce qu'il est déjà au naturel. Où est le mérite ? Dans ce film, qui fut l'un de ses plus gros succès, il est paradoxalement moins drôle et moins personnel que dans Ace Ventura ou Dumb and Dumber.

Année : 1994

Avec : Amy Yasbeck, Ben Stein, Cameron Diaz, Greene Peter, Jerry Evans, Jim Carrey, Jim Doughan, Johnny Williams, Marlene Lang, Nancy Fish, Orestes Matacena, Peter Riegert, Richard Jeni

Mardi dernier
 

The Mask

Télévision : 23 avril à 23:25-01:10 sur C8

film : comédie

Stanley Ipkiss travaille comme modeste employé dans une banque à Edge City et loge chez une ménagère aigrie, avec un chien pour seule compagnie. Sa vie de jeune homme timide et introverti commence à changer le jour où une nouvelle cliente, la superbe Tina, se présente à son guichet. Stanley tombe illico amoureux, mais comment aborder la belle ? Un masque ancien, ramassé dans l'eau, va lui fournir la réponse. Stanley s'aperçoit qu'il lui suffit de porter celui-ci pour que sa personnalité s'épanouisse et que toutes ses inhibitions disparaissent. En un tournemain, Stanley séduit Tina. Mais la mignonne est la maîtresse d'un dangereux malfaiteur... - Critique : Employé de banque maladroit et rêveur, Stanley Ipkiss découvre un masque ancien. Dès qu'il le met, il se transforme en un personnage arrogant et doté de pouvoirs exceptionnels, qui semble tout droit sorti d'un dessin animé... Les gamins furent les premiers (et meilleurs) « clients » de ce Mask cartoonesque et coloré. Le film a d'évidentes qualités : quelques gags explosifs vraiment drôles, une imagination visuelle débridée (servie par les images de synthèse), deux ou trois trouvailles de situation... Mais, de même que l'effigie de Droopy sur un tee-shirt est moins drôle que Droopy en action, le film n'est jamais aussi cocasse et inventif que les cartoons de Tex Avery, dont il s'inspire abondamment. Tout est un problème de ton : le Mask, porteur de nos pulsions les plus secrètes, devrait être un personnage « hénaurme », dérangeant, destructeur. Son anticonformisme, sa liberté se limitent ici à quelques rots, et tout rentre vite dans l'ordre... Il y a aussi le malentendu Jim Carrey. Les effets spéciaux en font un personnage tonitruant et grimaçant, ce qu'il est déjà au naturel. Où est le mérite ? Dans ce film, qui fut l'un de ses plus gros succès, il est paradoxalement moins drôle et moins personnel que dans Ace Ventura ou Dumb and Dumber.

Année : 1994

Avec : Amy Yasbeck, Ben Stein, Cameron Diaz, Greene Peter, Jerry Evans, Jim Carrey, Jim Doughan, Johnny Williams, Marlene Lang, Nancy Fish, Orestes Matacena, Peter Riegert, Richard Jeni

Récemment en avril
 

The Mask

Télévision : 16 avril à 21:20-23:15 sur C8

film : comédie

Stanley Ipkiss travaille comme modeste employé dans une banque à Edge City et loge chez une ménagère aigrie, avec un chien pour seule compagnie. Sa vie de jeune homme timide et introverti commence à changer le jour où une nouvelle cliente, la superbe Tina, se présente à son guichet. Stanley tombe illico amoureux, mais comment aborder la belle ? Un masque ancien, ramassé dans l'eau, va lui fournir la réponse. Stanley s'aperçoit qu'il lui suffit de porter celui-ci pour que sa personnalité s'épanouisse et que toutes ses inhibitions disparaissent. En un tournemain, Stanley séduit Tina. Mais la mignonne est la maîtresse d'un dangereux malfaiteur... - Critique : Employé de banque maladroit et rêveur, Stanley Ipkiss découvre un masque ancien. Dès qu'il le met, il se transforme en un personnage arrogant et doté de pouvoirs exceptionnels, qui semble tout droit sorti d'un dessin animé... Les gamins furent les premiers (et meilleurs) « clients » de ce Mask cartoonesque et coloré. Le film a d'évidentes qualités : quelques gags explosifs vraiment drôles, une imagination visuelle débridée (servie par les images de synthèse), deux ou trois trouvailles de situation... Mais, de même que l'effigie de Droopy sur un tee-shirt est moins drôle que Droopy en action, le film n'est jamais aussi cocasse et inventif que les cartoons de Tex Avery, dont il s'inspire abondamment. Tout est un problème de ton : le Mask, porteur de nos pulsions les plus secrètes, devrait être un personnage « hénaurme », dérangeant, destructeur. Son anticonformisme, sa liberté se limitent ici à quelques rots, et tout rentre vite dans l'ordre... Il y a aussi le malentendu Jim Carrey. Les effets spéciaux en font un personnage tonitruant et grimaçant, ce qu'il est déjà au naturel. Où est le mérite ? Dans ce film, qui fut l'un de ses plus gros succès, il est paradoxalement moins drôle et moins personnel que dans Ace Ventura ou Dumb and Dumber.

Année : 1994

Avec : Amy Yasbeck, Ben Stein, Cameron Diaz, Greene Peter, Jerry Evans, Jim Carrey, Jim Doughan, Johnny Williams, Marlene Lang, Nancy Fish, Orestes Matacena, Peter Riegert, Richard Jeni

Récemment en avril
 

The Mask

Télévision : 16 avril à 21:20-23:10 sur C8

film : comédie

Stanley Ipkiss travaille comme modeste employé dans une banque à Edge City et loge chez une ménagère aigrie, avec un chien pour seule compagnie. Sa vie de jeune homme timide et introverti commence à changer le jour où une nouvelle cliente, la superbe Tina, se présente à son guichet. Stanley tombe illico amoureux, mais comment aborder la belle ? Un masque ancien, ramassé dans l'eau, va lui fournir la réponse. Stanley s'aperçoit qu'il lui suffit de porter celui-ci pour que sa personnalité s'épanouisse et que toutes ses inhibitions disparaissent. En un tournemain, Stanley séduit Tina. Mais la mignonne est la maîtresse d'un dangereux malfaiteur... - Critique : Employé de banque maladroit et rêveur, Stanley Ipkiss découvre un masque ancien. Dès qu'il le met, il se transforme en un personnage arrogant et doté de pouvoirs exceptionnels, qui semble tout droit sorti d'un dessin animé... Les gamins furent les premiers (et meilleurs) « clients » de ce Mask cartoonesque et coloré. Le film a d'évidentes qualités : quelques gags explosifs vraiment drôles, une imagination visuelle débridée (servie par les images de synthèse), deux ou trois trouvailles de situation... Mais, de même que l'effigie de Droopy sur un tee-shirt est moins drôle que Droopy en action, le film n'est jamais aussi cocasse et inventif que les cartoons de Tex Avery, dont il s'inspire abondamment. Tout est un problème de ton : le Mask, porteur de nos pulsions les plus secrètes, devrait être un personnage « hénaurme », dérangeant, destructeur. Son anticonformisme, sa liberté se limitent ici à quelques rots, et tout rentre vite dans l'ordre... Il y a aussi le malentendu Jim Carrey. Les effets spéciaux en font un personnage tonitruant et grimaçant, ce qu'il est déjà au naturel. Où est le mérite ? Dans ce film, qui fut l'un de ses plus gros succès, il est paradoxalement moins drôle et moins personnel que dans Ace Ventura ou Dumb and Dumber.

Année : 1994

Avec : Amy Yasbeck, Ben Stein, Cameron Diaz, Greene Peter, Jerry Evans, Jim Carrey, Jim Doughan, Johnny Williams, Marlene Lang, Nancy Fish, Orestes Matacena, Peter Riegert, Richard Jeni