Pierre Lhomme : passages TV

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Antérieurement en 2020
 

Le joli mai

Télévision : 3 septembre 2020 à 01:35-04:00 sur Arte

Film documentaire

En 1962, aux petits bonheurs de rencontres souvent impromptues, Chris Marker et son chef-opérateur, Pierre Lhomme, sillonnent la capitale et sa proche banlieue, comme Aubervilliers. Au gré de leur périple documentaire, ils captent en noir et blanc l'air d'un temps à la fois proche et lointain...

Année : 1963

De : Chris Marker, Pierre Lhomme

Antérieurement en 2018
 

Tout feu, tout flamme

Télévision : 13 juillet 2018 à 13:35-15:20 sur Arte

film : comédie

Victor, le père cigale, abandonne régulièrement les siens. Pauline, l'aînée fourmi, assume. Les flammes disputeuses entre papa et fifille crépitent. Le feu de l'amour filial se rallume. Les jolies notes de Michel Berger pianotent. Du charme, du rythme, du charme, du rythme : l'orfèvrerie selon Rappeneau. Critique : | Genre : comédie crépitante. Le père, cigale impénitente, s’est envolé pour les Bahamas. La fille, fourmi polytechnicienne, assume ses fonctions de « sœur de famille » auprès d’une grand-mère un peu fofolle et de cadettes turbulentes. Lorsque Victor réapparaît, tout le monde lui pardonne ses frasques, sauf Pauline… Quatrième comédie de Rappeneau, Tout feu, tout flamme parle d’amour allegro prestissimo. Comme Les Mariés de l’an II ou les amants du Sauvage, deux personnages que tout oppose courent à la rencontre d’eux-mêmes et de l’autre. Dialogues finement ciselés, scénario très travaillé, ils offrent un éblouissant divertissement. Isabelle Adjani, adorable tornade en bicorne, éclaire le film et trouve en Yves Montand un père délicieusement cabotin, un cavalier parfaitement ajusté à ses pas.

Année : 1981

Avec : Jean-Paul Rappeneau, Yves Montand, Isabelle Adjani, Jeanne Lalleman, Amélie Gonin, Alain Souchon, Lauren Hutton, Jean-Luc Bideau, Pinkas Braun, Michel Berger, Joyce Buñuel, Elisabeth Rappeneau, Jean-Paul Rappeneau, Pierre Lhomme

Antérieurement en 2018
 

Le sauvage

Télévision : 29 juin 2018 à 23:35-01:35 sur C8

film : comédie

La vie d'un Robinson Crusoé moderne est perturbée par une enquiquineuse. Une fantaisie débridée et légère. Catherine Deneuve n'a jamais été aussi belle. Critique : | Genre : sommet de la comédie française. Lequel des deux est le plus sauvage ? Martin, nez dans une multinationale de parfums, qui a fui la gloire et l'argent à Caracas ? Ou Nelly, cheveux au vent, qui passe son temps à courir, pour larguer un fiancé mafioso, voler un tableau, prendre un avion, un bateau, partir loin, toujours plus loin ? Elle a peur de se poser. Lui a décidé de ne plus jamais bouger de son îlot de solitude. Elle le menace avec un gourdin, il l'assomme avec un ananas. Ils sont faits pour s'aimer aussi sûrement que les beaux ours et les grandes enquiquineuses du cinéma hollywoodien. Soudain, elle dit : « Je veux rester avec toi. » Il répond : « Non. » Cette pointe de gravité suspend le temps un instant, avant qu'ils ne reprennent leur mouvement perpétuel. Pour Yves Montand, virtuose de la fantaisie, la mécanique de précision de Jean-Paul Rappeneau était du pain bénit. Catherine Deneuve pouvait enfin décoiffer sa beauté. Elle est capricieuse, délicieuse, et trouve là son plus beau rôle de comédie. Douze ans auparavant, Philippe de Broca avait offert à Françoise Dorléac un Homme de Rio. Cette fois, Rappeneau offrait à sa soeur Catherine un « sauvage » de Caracas. — Guillemette Odicino

Année : 1975

Avec : Jean-Paul Rappeneau, Yves Montand, Catherine Deneuve, Luigi Vanucchi, Tony Roberts, Dana Wynter, Bobo Lewis, Vernon Dobtcheff, Luis Gerardo Tovar, Michel Legrand, Jean-Loup Dabadie, Jean-Paul Rappeneau, Elisabeth Rappeneau, Max Douy, Pierre Lhomme

Antérieurement en 2018
 

Le sauvage

Télévision : 29 juin 2018 à 23:00-00:50 sur C8

film : comédie

La vie d'un Robinson Crusoé moderne est perturbée par une enquiquineuse. Une fantaisie débridée et légère. Catherine Deneuve n'a jamais été aussi belle. Critique : | Genre : sommet de la comédie française. Lequel des deux est le plus sauvage ? Martin, nez dans une multinationale de parfums, qui a fui la gloire et l'argent à Caracas ? Ou Nelly, cheveux au vent, qui passe son temps à courir, pour larguer un fiancé mafioso, voler un tableau, prendre un avion, un bateau, partir loin, toujours plus loin ? Elle a peur de se poser. Lui a décidé de ne plus jamais bouger de son îlot de solitude. Elle le menace avec un gourdin, il l'assomme avec un ananas. Ils sont faits pour s'aimer aussi sûrement que les beaux ours et les grandes enquiquineuses du cinéma hollywoodien. Soudain, elle dit : « Je veux rester avec toi. » Il répond : « Non. » Cette pointe de gravité suspend le temps un instant, avant qu'ils ne reprennent leur mouvement perpétuel. Pour Yves Montand, virtuose de la fantaisie, la mécanique de précision de Jean-Paul Rappeneau était du pain bénit. Catherine Deneuve pouvait enfin décoiffer sa beauté. Elle est capricieuse, délicieuse, et trouve là son plus beau rôle de comédie. Douze ans auparavant, Philippe de Broca avait offert à Françoise Dorléac un Homme de Rio. Cette fois, Rappeneau offrait à sa soeur Catherine un « sauvage » de Caracas. — Guillemette Odicino

Année : 1975

Avec : Jean-Paul Rappeneau, Yves Montand, Catherine Deneuve, Luigi Vanucchi, Tony Roberts, Dana Wynter, Bobo Lewis, Vernon Dobtcheff, Luis Gerardo Tovar, Michel Legrand, Jean-Loup Dabadie, Jean-Paul Rappeneau, Elisabeth Rappeneau, Max Douy, Pierre Lhomme

Antérieurement en 2018
 

Tout feu, tout flamme

Télévision : 26 juin 2018 à 13:35-15:35 sur Arte

film : comédie

Victor, le père cigale, abandonne régulièrement les siens. Pauline, l'aînée fourmi, assume. Les flammes disputeuses entre papa et fifille crépitent. Le feu de l'amour filial se rallume. Les jolies notes de Michel Berger pianotent. Du charme, du rythme, du charme, du rythme : l'orfèvrerie selon Rappeneau. Critique : | Genre : comédie crépitante. Le père, Victor, cigale impénitente, s'est envolé pour les Bahamas. En son absence, la fille, Pauline, fourmi polytechnicienne, assume ses fonctions de « soeur de famille » auprès d'une grand-mère un peu fofolle et de cadettes turbulentes. Lorsque Victor réapparaît, tout le monde lui pardonne ses frasques, sauf Pauline. En amour, la fourmi n'est pas prêteuse. Cette comédie de Jean-Paul Rappeneau parle d'amour allegro prestissimo. Comme Les Mariés de l'an II, ou les amants du Sauvage, deux personnages que tout oppose courent à la rencontre d'eux-mêmes et de l'autre. Bien en jambes, les héros de Rappeneau n'ont pas oublié leur tête. Dialogues ciselés, scénario travaillé, ils offrent un éblouissant divertissement, mi-comédie psychologique, mi-fantaisie policière. Adjani, adorable tornade en bicorne, éclaire le film et trouve en Montand un « père » délicieusement cabotin, un cavalier parfaitement ajusté à ses pas. — Cécile Mury

Année : 1981

Avec : Jean-Paul Rappeneau, Yves Montand, Isabelle Adjani, Jeanne Lalleman, Amélie Gonin, Alain Souchon, Lauren Hutton, Jean-Luc Bideau, Pinkas Braun, Michel Berger, Joyce Buñuel, Elisabeth Rappeneau, Jean-Paul Rappeneau, Pierre Lhomme

Antérieurement en 2018
 

Tout feu, tout flamme

Télévision : 24 juin 2018 à 20:55-22:40 sur Arte

film : comédie

Victor, le père cigale, abandonne régulièrement les siens. Pauline, l'aînée fourmi, assume. Les flammes disputeuses entre papa et fifille crépitent. Le feu de l'amour filial se rallume. Les jolies notes de Michel Berger pianotent. Du charme, du rythme, du charme, du rythme : l'orfèvrerie selon Rappeneau. Critique : | Genre : comédie crépitante. Le père, Victor, cigale impénitente, s'est envolé pour les Bahamas. En son absence, la fille, Pauline, fourmi polytechnicienne, assume ses fonctions de « soeur de famille » auprès d'une grand-mère un peu fofolle et de cadettes turbulentes. Lorsque Victor réapparaît, tout le monde lui pardonne ses frasques, sauf Pauline. En amour, la fourmi n'est pas prêteuse. Cette comédie de Jean-Paul Rappeneau parle d'amour allegro prestissimo. Comme Les Mariés de l'an II, ou les amants du Sauvage, deux personnages que tout oppose courent à la rencontre d'eux-mêmes et de l'autre. Bien en jambes, les héros de Rappeneau n'ont pas oublié leur tête. Dialogues ciselés, scénario travaillé, ils offrent un éblouissant divertissement, mi-comédie psychologique, mi-fantaisie policière. Adjani, adorable tornade en bicorne, éclaire le film et trouve en Montand un « père » délicieusement cabotin, un cavalier parfaitement ajusté à ses pas. — Cécile Mury

Année : 1981

Avec : Jean-Paul Rappeneau, Yves Montand, Isabelle Adjani, Jeanne Lalleman, Amélie Gonin, Alain Souchon, Lauren Hutton, Jean-Luc Bideau, Pinkas Braun, Michel Berger, Joyce Buñuel, Elisabeth Rappeneau, Jean-Paul Rappeneau, Pierre Lhomme

Antérieurement en 2018
 

L'armée des ombres

Télévision : 4 juin 2018 à 20:55-23:20 sur France 3

film : drame

La vie clandestine d'un réseau de la Résistance. Epure funèbre, magistralement mise en scène par Melville, qui a puisé dans le roman de Joseph Kessel et dans ses propres souvenirs. Critique : | Genre : chronique d'un réseau de la Résistance. On serait tenté de qualifier ce film de chef-d'oeuvre, si cette notion galvaudée ne renvoyait pas aussi souvent à l'art officiel. Officiel, le film se refuse à l'être, malgré son poids historique. Ancien résistant gaulliste, Melville l'a porté en lui vingt-cinq ans durant et n'a pu le réaliser qu'à la fin de sa carrière. C'est un regard démystifiant et grave à la fois qu'il porte sur la Résistance et ses hommes de l'ombre. Il montre un quotidien soumis à une tension permanente, où chacun doit se cacher, attendre, guetter, fuir, et parler le moins possible. Cette forme extrême d'engagement tend au cauchemar dépouillé. Elle exige de se salir les mains (l'exécution des traîtres) et surtout de se battre avec soi-même, ses doutes, sa lâcheté et sa peur. Filmant ces combattants clandestins comme des fantômes, des morts en sursis, Melville loue leur courage et leur abnégation sans céder à l'imagerie héroïque. L'Armée des ombres est une épure funèbre et hypnotique dans laquelle les hommes et les femmes, bien que liés par des convictions très fortes, sont immanquablement seuls. Au bout du compte, c'est par le biais de cette solitude mélancolique que ces silhouettes souveraines rejoignent le mythe. — Jacques Morice

Année : 1969

Avec : Jean-Pierre Melville, Lino Ventura, Paul Meurisse, Simone Signoret, Jean-Pierre Cassel, Paul Crauchet, Christian Barbier, Claude Mann, Serge Reggiani, Eric Demarsan, Jean-Pierre Melville, Joseph Kessel, Théobald Meurisse, Pierre Lhomme

Antérieurement en 2018
 

Le Joli Mai

Télévision : 6 mai 2018 à 23:30-01:50 sur Arte

film : documentaire

Formidable promenade documentaire dans le Paris de 1962 et au cœur de la société française du début des années 60. Une rareté précieuse, à ne pas manquer. Critique : Quel temps fait-il à Paris, au printemps 1962 ? Un peu frais pour la saison. Les accords d'Evian marquent la fin de la guerre d'Algérie. Au cinéma, on joue L'Année dernière à Marienbad et Cléo de 5 à 7. Au fil des rencontres, le film de Chris Marker et de Pierre Lhomme bruisse de tous les sujets, des plus légers aux plus graves. On parle de politique et d'amour, de bonheur, de misère et de progrès. Six ans avant un mois de mai plus fameux, les réalisateurs arpentent les rues de la capitale, en quête de rencontres. Marchands, ouvriers, jeunes mariés, danseurs de twist et bougnats : les mots fusent et composent un beau portrait sociologique de la France gaullienne. Cinquante ans plus tard, ce Joli Mai, repris en salles, ouvre une fenêtre lumineuse sur une société en pleine mutation, des moeurs à la technologie, des conditions de vie au temps de travail. Comme dit l'un des témoins, un ingénieur, « nos rêves sont trop courts pour ce qui existe déjà » : les ferments d'une révolution sont donc à venir, et les blessures, ouvertes. Certaines injustices ne changent pas : ici et maintenant, les vexations subies par un travailleur immigré semblent actuelles... Le charme du film naît de cette balade en noir et blanc dans tous les décors de Paris, des plus augustes aux plus modestes. Cet itinéraire est une déclaration d'amour à la ville, que berce la voix du « guide » Yves Montand. — Cécile Mury Joli Mai, documentaire de Chris Marker et Pierre Lhomme (1963), 2h15. En salles.

Année : 1963

Avec : Chris Marker, Pierre Lhomme