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Antérieurement en 2022
 

La route des Indes

Télévision : 19 juin 2022 à 15:05-17:45 sur Arte

film : drame

Dans les années 20, Adela Quested arrive aux Indes en compagnie d'une vieille dame, madame Moore, sa future belle-mère. Elle vient retrouver Ronny, son fiancé, qui exerce les fonctions de juge à Chandrapore, une petite ville de province. Les deux femmes refusent de se laisser enfermer dans le petit monde des colons et n'ont qu'un souhait : plonger dans cette Inde chatoyante et mystérieuse qu'elles découvrent et qui les fascine. Elles font la connaissance de deux Indiens : Aziz, un jeune médecin, et Godbole, un vieux brahmane. Devenu leur ami, Aziz leur propose de leur faire découvrir les merveilleuses grottes de Marabar. Peu à peu, Adela s'éloigne de Ronny... - Critique : Cela aurait pu être du James Ivory, qui a adapté deux romans de E. M. For­ster, Howards End et Maurice. Mais c’est du David Lean, son dernier film, et loin d’être le meilleur. L’académisme ampoulé est parfois gênant, certains personnages sont caricaturaux et la loufoquerie est mal dosée. Malgré tout, il y a des motifs intéressants. Dans les années 1920, une jeune femme et sa future belle-mère (Peggy Ashcroft, excellente) arrivent en Inde, où les attend le fiancé, magistrat à Chandrapore, qui déçoit vite la mère comme sa promise. Humanistes éclairées, celles-ci ont du mal avec le monde dédaigneux des colons que le promis incarne et souhaitent avant tout découvrir la culture indienne, échanger avec ses habitants. Mais une excursion dans des grottes tourne mal. La jeune femme, victime d’une hallucination, accuse ensuite un guide de viol… Le film dénonce ouvertement les préjugés et le racisme des Britanniques, montre les prémices d’une soif d’indépendance de l’Inde. Mais c’est à travers la relation impossible entre l’héroïne (Judy Davis), enfermée dans ses inhibitions, et un médecin naïf que le récit s’avère plus étonnant. Ce sont à la fois deux mondes et deux personnes qui n’arrivent pas à se parler. Le lyrisme discret de plusieurs séquences nocturnes et la découverte d’un palais enfoui dans la végétation suggèrent finement une peur de la sexualité. Au final, David Lean révèle surtout un amour manqué, thème qui n’est pas sans rappeler Brève Rencontre (1945), l’une de ses œuvres phares.

Année : 1984

Avec : Alec Guinness, Antonia Pemberton, Art Malik, Clive Swift, James Fox, Judy Davis, Michael Culver, Nigel Havers, Peggy Ashcroft, Richard Wilson, Sandra Hotz, Victor Banerjee

Antérieurement en 2022
 

La route des Indes

Télévision : 14 juin 2022 à 13:35-16:25 sur Arte

film : drame

Dans les années 20, Adela Quested arrive aux Indes en compagnie d'une vieille dame, madame Moore, sa future belle-mère. Elle vient retrouver Ronny, son fiancé, qui exerce les fonctions de juge à Chandrapore, une petite ville de province. Les deux femmes refusent de se laisser enfermer dans le petit monde des colons et n'ont qu'un souhait : plonger dans cette Inde chatoyante et mystérieuse qu'elles découvrent et qui les fascine. Elles font la connaissance de deux Indiens : Aziz, un jeune médecin, et Godbole, un vieux brahmane. Devenu leur ami, Aziz leur propose de leur faire découvrir les merveilleuses grottes de Marabar. Peu à peu, Adela s'éloigne de Ronny... - Critique : Film de David Lean (A passage to India, Grande-Bretagne, 1984). Scénario : D. Lean, d'après E.M. Forster. Image : Ernest Day. Musique : Maurice Jarre. 165 mn. VM. Avec Peggy Ashcroft : madame Moore. Judy Davis : Adela Quested. James Fox : Richard Fielding. Richard Wilson : Turton. Alec Guinness : Godbole. Victor Banerjee : le docteur Aziz. Nigel Havers : Ronny Heaslop. Antonia Pemberton : madame Turton. Genre : grand spectacle. Dans les années 20, Adela Quested arrive en Inde, avec la mère de son fiancé Ronny Moore. Elles décident d'échapper au petit monde des colons et veulent découvrir l'« Inde profonde ». Accompagnées de deux Indiens, le Dr Aziz et le vieux professeur Godbole, elles font une excursion aux grottes de Malabar. Au retour, Adela accuse Aziz d'avoir tenté de la violer. A la fin de sa carrière, David Lean s'est fait une spécialité des grands films épiques. La Route des Indes fut son dernier film ; il avait 77 ans. Insensible aux modes, il a filmé ­cette adaptation d'un roman d'E.M. For­ster avec un lyrisme discret. La lenteur du rythme surprend. Mais elle est nécessaire, car David Lean veut faire ressentir une atmosphère, une interrogation qui sont le quotidien de ses personnages. Pour montrer deux mondes fermés sur eux-mêmes et qui n'arrivent pas à communiquer, il nous installe dans des paysages qui expriment ce que les êtres ne savent pas dire. Une excursion aux grottes, une promenade solitaire à bicyclette et la découverte d'un temple enfoui dans la végétation : ces moments-là nous plongent dans un univers sensuel et magique. Le cinéaste se perd parfois dans des séquences plus explicatives. Le « passage » du titre original renvoie à un passage intérieur autant qu'à une route. C'est donc une oeuvre en demi-­teinte dont un trop petit écran peut amoindrir la splendeur visuelle. Philippe Piazzo

Année : 1984

De : David Lean

Avec : Alec Guinness, Antonia Pemberton, Art Malik, Clive Swift, James Fox, Judy Davis, Michael Culver, Nigel Havers, Peggy Ashcroft, Richard Wilson, Sandra Hotz, Victor Banerjee

Antérieurement en 2022
 

La route des Indes

Télévision : 12 juin 2022 à 21:00-23:40 sur Arte

film : drame

Dans les années 20, Adela Quested arrive aux Indes en compagnie d'une vieille dame, madame Moore, sa future belle-mère. Elle vient retrouver Ronny, son fiancé, qui exerce les fonctions de juge à Chandrapore, une petite ville de province. Les deux femmes refusent de se laisser enfermer dans le petit monde des colons et n'ont qu'un souhait : plonger dans cette Inde chatoyante et mystérieuse qu'elles découvrent et qui les fascine. Elles font la connaissance de deux Indiens : Aziz, un jeune médecin, et Godbole, un vieux brahmane. Devenu leur ami, Aziz leur propose de leur faire découvrir les merveilleuses grottes de Marabar. Peu à peu, Adela s'éloigne de Ronny... - Critique : Film de David Lean (A passage to India, Grande-Bretagne, 1984). Scénario : D. Lean, d'après E.M. Forster. Image : Ernest Day. Musique : Maurice Jarre. 165 mn. VM. Avec Peggy Ashcroft : madame Moore. Judy Davis : Adela Quested. James Fox : Richard Fielding. Richard Wilson : Turton. Alec Guinness : Godbole. Victor Banerjee : le docteur Aziz. Nigel Havers : Ronny Heaslop. Antonia Pemberton : madame Turton. Genre : grand spectacle. Dans les années 20, Adela Quested arrive en Inde, avec la mère de son fiancé Ronny Moore. Elles décident d'échapper au petit monde des colons et veulent découvrir l'« Inde profonde ». Accompagnées de deux Indiens, le Dr Aziz et le vieux professeur Godbole, elles font une excursion aux grottes de Malabar. Au retour, Adela accuse Aziz d'avoir tenté de la violer. A la fin de sa carrière, David Lean s'est fait une spécialité des grands films épiques. La Route des Indes fut son dernier film ; il avait 77 ans. Insensible aux modes, il a filmé ­cette adaptation d'un roman d'E.M. For­ster avec un lyrisme discret. La lenteur du rythme surprend. Mais elle est nécessaire, car David Lean veut faire ressentir une atmosphère, une interrogation qui sont le quotidien de ses personnages. Pour montrer deux mondes fermés sur eux-mêmes et qui n'arrivent pas à communiquer, il nous installe dans des paysages qui expriment ce que les êtres ne savent pas dire. Une excursion aux grottes, une promenade solitaire à bicyclette et la découverte d'un temple enfoui dans la végétation : ces moments-là nous plongent dans un univers sensuel et magique. Le cinéaste se perd parfois dans des séquences plus explicatives. Le « passage » du titre original renvoie à un passage intérieur autant qu'à une route. C'est donc une oeuvre en demi-­teinte dont un trop petit écran peut amoindrir la splendeur visuelle. Philippe Piazzo

Année : 1984

De : David Lean

Avec : Alec Guinness, Antonia Pemberton, Art Malik, Clive Swift, James Fox, Judy Davis, Michael Culver, Nigel Havers, Peggy Ashcroft, Richard Wilson, Sandra Hotz, Victor Banerjee

Antérieurement en 2021
 

Cérémonie secrète - Blu-ray

DVD/Blu-ray : 24 août 2021

Editeur : Elephant Films

Année : 1968

De : Joseph Losey

Avec : Elizabeth Taylor, Mia Farrow, Robert Mitchum, Peggy Ashcroft, Pamela Brown, Robert Douglas, Michael Strong

Antérieurement en 2021
 

Cérémonie secrète (Combo Blu-ray + DVD) - ...

DVD/Blu-ray : 18 mai 2021

Editeur : Elephant Films

Année : 1968

De : Joseph Losey

Avec : Elizabeth Taylor, Mia Farrow, Robert Mitchum, Peggy Ashcroft, Pamela Brown, Robert Douglas, Michael Strong

Antérieurement en 2021
 

Cérémonie secrète - DVD

DVD/Blu-ray : 18 mai 2021

Editeur : Elephant Films

Année : 1968

De : Joseph Losey

Avec : Elizabeth Taylor, Mia Farrow, Robert Mitchum, Peggy Ashcroft, Pamela Brown, Robert Douglas, Michael Strong

Antérieurement en 2019
 

Cérémonie secrète

Cinéma : 1er mai 2019

Editeur : Splendor Films

Année : 1969

De : Joseph Losey

Avec : Elizabeth Taylor, Mia Farrow, Robert Mitchum, Peggy Ashcroft, Pamela Brown

Antérieurement en 2018
 

La route des Indes

Télévision : 18 juin 2018 à 20:55-23:35 sur France ô

film : drame

Années 1920. Deux Anglaises découvrent les Indes. Pour montrer deux mondes qui n'arrivent pas à communiquer, David Lean nous installe dans des paysages superbes qui expriment ce que les êtres ne savent pas dire. Critique : Film de David Lean (A passage to India, Grande-Bretagne, 1984). Scénario : D. Lean, d'après E.M. Forster. Image : Ernest Day. Musique : Maurice Jarre. 165 mn. VM. Avec Peggy Ashcroft : madame Moore. Judy Davis : Adela Quested. James Fox : Richard Fielding. Richard Wilson : Turton. Alec Guinness : Godbole. Victor Banerjee : le docteur Aziz. Nigel Havers : Ronny Heaslop. Antonia Pemberton : madame Turton. Genre : grand spectacle. Dans les années 20, Adela Quested arrive en Inde, avec la mère de son fiancé Ronny Moore. Elles décident d'échapper au petit monde des colons et veulent découvrir l'« Inde profonde ». Accompagnées de deux Indiens, le Dr Aziz et le vieux professeur Godbole, elles font une excursion aux grottes de Malabar. Au retour, Adela accuse Aziz d'avoir tenté de la violer. A la fin de sa carrière, David Lean s'est fait une spécialité des grands films épiques. La Route des Indes fut son dernier film ; il avait 77 ans. Insensible aux modes, il a filmé ­cette adaptation d'un roman d'E.M. For­ster avec un lyrisme discret. La lenteur du rythme surprend. Mais elle est nécessaire, car David Lean veut faire ressentir une atmosphère, une interrogation qui sont le quotidien de ses personnages. Pour montrer deux mondes fermés sur eux-mêmes et qui n'arrivent pas à communiquer, il nous installe dans des paysages qui expriment ce que les êtres ne savent pas dire. Une excursion aux grottes, une promenade solitaire à bicyclette et la découverte d'un temple enfoui dans la végétation : ces moments-là nous plongent dans un univers sensuel et magique. Le cinéaste se perd parfois dans des séquences plus explicatives. Le « passage » du titre original renvoie à un passage intérieur autant qu'à une route. C'est donc une oeuvre en demi-­teinte dont un trop petit écran peut amoindrir la splendeur visuelle. Philippe Piazzo

Année : 1984

Avec : David Lean, Judy Davis, Peggy Ashcroft, Alec Guinness, Nigel Havers, Victor Banerjee, James Fox, Richard Wilson, Antonia Pemberton, Maurice Jarre, David Lean, EM Forster, Sanha Rama Rauu, John Box, Ernest Day

Antérieurement en 2018
 

La route des Indes

Télévision : 7 mai 2018 à 23:00-01:40 sur France ô

film : drame

Années 1920. Deux Anglaises découvrent les Indes. Pour montrer deux mondes qui n'arrivent pas à communiquer, David Lean nous installe dans des paysages superbes qui expriment ce que les êtres ne savent pas dire. Critique : Film de David Lean (A passage to India, Grande-Bretagne, 1984). Scénario : D. Lean, d'après E.M. Forster. Image : Ernest Day. Musique : Maurice Jarre. 165 mn. VM. Avec Peggy Ashcroft : madame Moore. Judy Davis : Adela Quested. James Fox : Richard Fielding. Richard Wilson : Turton. Alec Guinness : Godbole. Victor Banerjee : le docteur Aziz. Nigel Havers : Ronny Heaslop. Antonia Pemberton : madame Turton. Genre : grand spectacle. Dans les années 20, Adela Quested arrive en Inde, avec la mère de son fiancé Ronny Moore. Elles décident d'échapper au petit monde des colons et veulent découvrir l'« Inde profonde ». Accompagnées de deux Indiens, le Dr Aziz et le vieux professeur Godbole, elles font une excursion aux grottes de Malabar. Au retour, Adela accuse Aziz d'avoir tenté de la violer. A la fin de sa carrière, David Lean s'est fait une spécialité des grands films épiques. La Route des Indes fut son dernier film ; il avait 77 ans. Insensible aux modes, il a filmé ­cette adaptation d'un roman d'E.M. For­ster avec un lyrisme discret. La lenteur du rythme surprend. Mais elle est nécessaire, car David Lean veut faire ressentir une atmosphère, une interrogation qui sont le quotidien de ses personnages. Pour montrer deux mondes fermés sur eux-mêmes et qui n'arrivent pas à communiquer, il nous installe dans des paysages qui expriment ce que les êtres ne savent pas dire. Une excursion aux grottes, une promenade solitaire à bicyclette et la découverte d'un temple enfoui dans la végétation : ces moments-là nous plongent dans un univers sensuel et magique. Le cinéaste se perd parfois dans des séquences plus explicatives. Le « passage » du titre original renvoie à un passage intérieur autant qu'à une route. C'est donc une oeuvre en demi-­teinte dont un trop petit écran peut amoindrir la splendeur visuelle. Philippe Piazzo

Année : 1984

Avec : David Lean, Judy Davis, Peggy Ashcroft, Alec Guinness, Nigel Havers, Victor Banerjee, James Fox, Richard Wilson, Antonia Pemberton, Maurice Jarre, David Lean, EM Forster, Sanha Rama Rauu, John Box, Ernest Day, Michael Culver, Art Malik, Saeed Jaffrey, Clive Swift

Antérieurement en 2018
 

La route des Indes

Télévision : 7 mai 2018 à 23:00-01:35 sur France ô

film : drame

Années 1920. Deux Anglaises découvrent les Indes. Pour montrer deux mondes qui n'arrivent pas à communiquer, David Lean nous installe dans des paysages superbes qui expriment ce que les êtres ne savent pas dire. Critique : Film de David Lean (A passage to India, Grande-Bretagne, 1984). Scénario : D. Lean, d'après E.M. Forster. Image : Ernest Day. Musique : Maurice Jarre. 165 mn. VM. Avec Peggy Ashcroft : madame Moore. Judy Davis : Adela Quested. James Fox : Richard Fielding. Richard Wilson : Turton. Alec Guinness : Godbole. Victor Banerjee : le docteur Aziz. Nigel Havers : Ronny Heaslop. Antonia Pemberton : madame Turton. Genre : grand spectacle. Dans les années 20, Adela Quested arrive en Inde, avec la mère de son fiancé Ronny Moore. Elles décident d'échapper au petit monde des colons et veulent découvrir l'« Inde profonde ». Accompagnées de deux Indiens, le Dr Aziz et le vieux professeur Godbole, elles font une excursion aux grottes de Malabar. Au retour, Adela accuse Aziz d'avoir tenté de la violer. A la fin de sa carrière, David Lean s'est fait une spécialité des grands films épiques. La Route des Indes fut son dernier film ; il avait 77 ans. Insensible aux modes, il a filmé ­cette adaptation d'un roman d'E.M. For­ster avec un lyrisme discret. La lenteur du rythme surprend. Mais elle est nécessaire, car David Lean veut faire ressentir une atmosphère, une interrogation qui sont le quotidien de ses personnages. Pour montrer deux mondes fermés sur eux-mêmes et qui n'arrivent pas à communiquer, il nous installe dans des paysages qui expriment ce que les êtres ne savent pas dire. Une excursion aux grottes, une promenade solitaire à bicyclette et la découverte d'un temple enfoui dans la végétation : ces moments-là nous plongent dans un univers sensuel et magique. Le cinéaste se perd parfois dans des séquences plus explicatives. Le « passage » du titre original renvoie à un passage intérieur autant qu'à une route. C'est donc une oeuvre en demi-­teinte dont un trop petit écran peut amoindrir la splendeur visuelle. Philippe Piazzo

Année : 1984

Avec : David Lean, Judy Davis, Peggy Ashcroft, Alec Guinness, Nigel Havers, Victor Banerjee, James Fox, Richard Wilson, Antonia Pemberton, Maurice Jarre, David Lean, EM Forster, Sanha Rama Rauu, John Box, Ernest Day, Michael Culver, Art Malik, Saeed Jaffrey, Clive Swift

Antérieurement en 2018
 

La route des Indes

Télévision : 16 avril 2018 à 20:55-23:40 sur France ô

film : drame

Années 1920. Deux Anglaises découvrent les Indes. Pour montrer deux mondes qui n'arrivent pas à communiquer, David Lean nous installe dans des paysages superbes qui expriment ce que les êtres ne savent pas dire. Critique : Film de David Lean (A passage to India, Grande-Bretagne, 1984). Scénario : D. Lean, d'après E.M. Forster. Image : Ernest Day. Musique : Maurice Jarre. 165 mn. VM. Avec Peggy Ashcroft : madame Moore. Judy Davis : Adela Quested. James Fox : Richard Fielding. Richard Wilson : Turton. Alec Guinness : Godbole. Victor Banerjee : le docteur Aziz. Nigel Havers : Ronny Heaslop. Antonia Pemberton : madame Turton. Genre : grand spectacle. Dans les années 20, Adela Quested arrive en Inde, avec la mère de son fiancé Ronny Moore. Elles décident d'échapper au petit monde des colons et veulent découvrir l'« Inde profonde ». Accompagnées de deux Indiens, le Dr Aziz et le vieux professeur Godbole, elles font une excursion aux grottes de Malabar. Au retour, Adela accuse Aziz d'avoir tenté de la violer. A la fin de sa carrière, David Lean s'est fait une spécialité des grands films épiques. La Route des Indes fut son dernier film ; il avait 77 ans. Insensible aux modes, il a filmé ­cette adaptation d'un roman d'E.M. For­ster avec un lyrisme discret. La lenteur du rythme surprend. Mais elle est nécessaire, car David Lean veut faire ressentir une atmosphère, une interrogation qui sont le quotidien de ses personnages. Pour montrer deux mondes fermés sur eux-mêmes et qui n'arrivent pas à communiquer, il nous installe dans des paysages qui expriment ce que les êtres ne savent pas dire. Une excursion aux grottes, une promenade solitaire à bicyclette et la découverte d'un temple enfoui dans la végétation : ces moments-là nous plongent dans un univers sensuel et magique. Le cinéaste se perd parfois dans des séquences plus explicatives. Le « passage » du titre original renvoie à un passage intérieur autant qu'à une route. C'est donc une oeuvre en demi-­teinte dont un trop petit écran peut amoindrir la splendeur visuelle. Philippe Piazzo

Année : 1984

Antérieurement en 2018
 

La route des Indes

Télévision : 16 avril 2018 à 20:55-23:35 sur France ô

film : drame

Années 1920. Deux Anglaises découvrent les Indes. Pour montrer deux mondes qui n'arrivent pas à communiquer, David Lean nous installe dans des paysages superbes qui expriment ce que les êtres ne savent pas dire. Critique : Film de David Lean (A passage to India, Grande-Bretagne, 1984). Scénario : D. Lean, d'après E.M. Forster. Image : Ernest Day. Musique : Maurice Jarre. 165 mn. VM. Avec Peggy Ashcroft : madame Moore. Judy Davis : Adela Quested. James Fox : Richard Fielding. Richard Wilson : Turton. Alec Guinness : Godbole. Victor Banerjee : le docteur Aziz. Nigel Havers : Ronny Heaslop. Antonia Pemberton : madame Turton. Genre : grand spectacle. Dans les années 20, Adela Quested arrive en Inde, avec la mère de son fiancé Ronny Moore. Elles décident d'échapper au petit monde des colons et veulent découvrir l'« Inde profonde ». Accompagnées de deux Indiens, le Dr Aziz et le vieux professeur Godbole, elles font une excursion aux grottes de Malabar. Au retour, Adela accuse Aziz d'avoir tenté de la violer. A la fin de sa carrière, David Lean s'est fait une spécialité des grands films épiques. La Route des Indes fut son dernier film ; il avait 77 ans. Insensible aux modes, il a filmé ­cette adaptation d'un roman d'E.M. For­ster avec un lyrisme discret. La lenteur du rythme surprend. Mais elle est nécessaire, car David Lean veut faire ressentir une atmosphère, une interrogation qui sont le quotidien de ses personnages. Pour montrer deux mondes fermés sur eux-mêmes et qui n'arrivent pas à communiquer, il nous installe dans des paysages qui expriment ce que les êtres ne savent pas dire. Une excursion aux grottes, une promenade solitaire à bicyclette et la découverte d'un temple enfoui dans la végétation : ces moments-là nous plongent dans un univers sensuel et magique. Le cinéaste se perd parfois dans des séquences plus explicatives. Le « passage » du titre original renvoie à un passage intérieur autant qu'à une route. C'est donc une oeuvre en demi-­teinte dont un trop petit écran peut amoindrir la splendeur visuelle. Philippe Piazzo

Année : 1984

Antérieurement en 2017
 

La route des Indes

Télévision : 24 août 2017 à 13:35-16:30 sur Arte

drame

Dans les années 20, Adela Quested arrive aux Indes en compagnie d'une vieille dame, madame Moore, sa future belle-mère. Elle vient retrouver Ronny, son fiancé, qui exerce les fonctions de juge à Chandrapore, une petite ville de province. Les deux femmes refusent de se laisser enfermer dans le petit monde des colons et n'ont qu'un souhait : plonger dans cette Inde chatoyante et mystérieuse qu'elles découvrent et qui les fascine. Elles font la connaissance de deux Indiens : Aziz, un jeune médecin, et Godbole, un vieux brahmane. Devenu leur ami, Aziz leur propose de leur faire découvrir les merveilleuses grottes de Marabar. Peu à peu, Adela s'éloigne de Ronny...

Année : 1984

De : David Lean

Avec : Judy Davis, Peggy Ashcroft, Alec Guinness, Nigel Havers, Victor Banerjee, James Fox, Richard Wilson, Antonia Pemberton

Antérieurement en 2017
 

La route des Indes

Télévision : 15 août 2017 à 13:35-16:30 sur Arte

drame

Dans les années 20, Adela Quested arrive aux Indes en compagnie d'une vieille dame, madame Moore, sa future belle-mère. Elle vient retrouver Ronny, son fiancé, qui exerce les fonctions de juge à Chandrapore, une petite ville de province. Les deux femmes refusent de se laisser enfermer dans le petit monde des colons et n'ont qu'un souhait : plonger dans cette Inde chatoyante et mystérieuse qu'elles découvrent et qui les fascine. Elles font la connaissance de deux Indiens : Aziz, un jeune médecin, et Godbole, un vieux brahmane. Devenu leur ami, Aziz leur propose de leur faire découvrir les merveilleuses grottes de Marabar. Peu à peu, Adela s'éloigne de Ronny...

Année : 1984

De : David Lean

Avec : Judy Davis, Peggy Ashcroft, Alec Guinness, Nigel Havers, Victor Banerjee, James Fox, Richard Wilson, Antonia Pemberton

Antérieurement en 2017
 

La route des Indes

Télévision : 14 août 2017 à 20:55-23:30 sur Arte

drame

Dans les années 20, Adela Quested arrive aux Indes en compagnie d'une vieille dame, madame Moore, sa future belle-mère. Elle vient retrouver Ronny, son fiancé, qui exerce les fonctions de juge à Chandrapore, une petite ville de province. Les deux femmes refusent de se laisser enfermer dans le petit monde des colons et n'ont qu'un souhait : plonger dans cette Inde chatoyante et mystérieuse qu'elles découvrent et qui les fascine. Elles font la connaissance de deux Indiens : Aziz, un jeune médecin, et Godbole, un vieux brahmane. Devenu leur ami, Aziz leur propose de leur faire découvrir les merveilleuses grottes de Marabar. Peu à peu, Adela s'éloigne de Ronny...

Année : 1984

De : David Lean

Avec : Judy Davis, Peggy Ashcroft, Alec Guinness, Nigel Havers, Victor Banerjee, James Fox, Richard Wilson, Antonia Pemberton