Marley Bob : passages TV

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Récemment en mars
 

Marley

Télévision : 24 mars à 11:05-13:30 sur Arte

film documentaire

Né le 6 février 1945 à Saint Ann, village pauvre de la Jamaïque, Bob Marley est le fruit des amours d'une mère d'origine ghanéenne et d'un père anglais qui les abandonne. L'enfant métis, en butte aux railleries, trouve refuge dans la musique. La sortie de son premier album coïncide avec l'indépendance de l'île, en 1962. En 1964, le premier single de son groupe, les Wailers, mélange de ska et de reggae, lance sa carrière. En parallèle, Bob Marley s'initie au rastafarisme et vénère Haïlé Sélassié, empereur d'Ethiopie. Sous l'influence de la marijuana et sous sa parure de dreadlocks, la légende est en marche. Après une fulgurante carrière, Bob Marley meurt d'un cancer généralisé en 1981. Pour réaliser ce portrait, Kevin Macdonald a collaboré avec la famille du chanteur... - Critique : Presque dissuasif, le slogan qui accompagne le titre du film : « Le premier documentaire approuvé par la famille Marley ! » Ça sonne comme un hommage officiel, mais le film n'est pas seulement ­cela. A partir d'images d'archives (certaines inédites) et de témoignages, le réalisateur retrace la vie de la première star planétaire issue du tiers-monde. Sans omettre ce fait méconnu : Marley était le fils d'une mère noire jamaïcaine et d'un père blanc, capitaine de la Royal Navy. Un métissage pas si bien vécu, mais qu'il sut transformer en atout, mêlant dans ses chansons condamnation de l'oppression et messages de tolérance. L'homme Marley, on le découvre plutôt fuyant, timide, même s'il collectionnait les femmes (de Miss Monde 1976 à la fille d'Omar Bongo !). Mais déterminé à se faire entendre, à s'imposer sur la scène internationale. Ce documentaire vaut surtout pour ses éclairages sur le reggae, musique d'échos et de contretemps. Jusqu'à ce moment historique, en 1978 : Bob, magnifique avec ses dreadlocks, entre danse et transe, qui fait venir sur scène les deux leaders politiques rivaux d'une Jamaïque alors violemment déchirée. La ferveur ambiante, le charisme phénoménal de Marley : le film mérite d'être vu rien que pour cette séquence de pur envoûtement. — Jacques Morice

Année : 2012

Avec : Scratch' Lee, Blackwell Chris, Breakspeare Cindy, Jimmy Cliff, Jobson Diane, Marley Bob, Marley Cedella, Marley Constance, Marley Rita, Sims Danny, Wailer Bunny, Ziggy Marley

Récemment en février
 

Marley

Télévision : 24 février à 05:15-07:35 sur Arte

film documentaire

Né le 6 février 1945 à Saint Ann, village pauvre de la Jamaïque, Bob Marley est le fruit des amours d'une mère d'origine ghanéenne et d'un père anglais qui les abandonne. L'enfant métis, en butte aux railleries, trouve refuge dans la musique. La sortie de son premier album coïncide avec l'indépendance de l'île, en 1962. En 1964, le premier single de son groupe, les Wailers, mélange de ska et de reggae, lance sa carrière. En parallèle, Bob Marley s'initie au rastafarisme et vénère Haïlé Sélassié, empereur d'Ethiopie. Sous l'influence de la marijuana et sous sa parure de dreadlocks, la légende est en marche. Après une fulgurante carrière, Bob Marley meurt d'un cancer généralisé en 1981. Pour réaliser ce portrait, Kevin Macdonald a collaboré avec la famille du chanteur... - Critique : Presque dissuasif, le slogan qui accompagne le titre du film : « Le premier documentaire approuvé par la famille Marley ! » Ça sonne comme un hommage officiel, mais le film n'est pas seulement ­cela. A partir d'images d'archives (certaines inédites) et de témoignages, le réalisateur retrace la vie de la première star planétaire issue du tiers-monde. Sans omettre ce fait méconnu : Marley était le fils d'une mère noire jamaïcaine et d'un père blanc, capitaine de la Royal Navy. Un métissage pas si bien vécu, mais qu'il sut transformer en atout, mêlant dans ses chansons condamnation de l'oppression et messages de tolérance. L'homme Marley, on le découvre plutôt fuyant, timide, même s'il collectionnait les femmes (de Miss Monde 1976 à la fille d'Omar Bongo !). Mais déterminé à se faire entendre, à s'imposer sur la scène internationale. Ce documentaire vaut surtout pour ses éclairages sur le reggae, musique d'échos et de contretemps. Jusqu'à ce moment historique, en 1978 : Bob, magnifique avec ses dreadlocks, entre danse et transe, qui fait venir sur scène les deux leaders politiques rivaux d'une Jamaïque alors violemment déchirée. La ferveur ambiante, le charisme phénoménal de Marley : le film mérite d'être vu rien que pour cette séquence de pur envoûtement. — Jacques Morice

Année : 2012

Avec : Scratch' Lee, Blackwell Chris, Breakspeare Cindy, Jimmy Cliff, Jobson Diane, Marley Bob, Marley Cedella, Marley Constance, Marley Rita, Sims Danny, Wailer Bunny, Ziggy Marley

Récemment en février
 

Marley

Télévision : 16 février à 22:30-00:50 sur Arte

film documentaire

Né le 6 février 1945 à Saint Ann, village pauvre de la Jamaïque, Bob Marley est le fruit des amours d'une mère d'origine ghanéenne et d'un père anglais qui les abandonne. L'enfant métis, en butte aux railleries, trouve refuge dans la musique. La sortie de son premier album coïncide avec l'indépendance de l'île, en 1962. En 1964, le premier single de son groupe, les Wailers, mélange de ska et de reggae, lance sa carrière. En parallèle, Bob Marley s'initie au rastafarisme et vénère Haïlé Sélassié, empereur d'Ethiopie. Sous l'influence de la marijuana et sous sa parure de dreadlocks, la légende est en marche. Après une fulgurante carrière, Bob Marley meurt d'un cancer généralisé en 1981. Pour réaliser ce portrait, Kevin Macdonald a collaboré avec la famille du chanteur... - Critique : Presque dissuasif, le slogan qui accompagne le titre du film : « Le premier documentaire approuvé par la famille Marley ! » Ça sonne comme un hommage officiel, mais le film n'est pas seulement ­cela. A partir d'images d'archives (certaines inédites) et de témoignages, le réalisateur retrace la vie de la première star planétaire issue du tiers-monde. Sans omettre ce fait méconnu : Marley était le fils d'une mère noire jamaïcaine et d'un père blanc, capitaine de la Royal Navy. Un métissage pas si bien vécu, mais qu'il sut transformer en atout, mêlant dans ses chansons condamnation de l'oppression et messages de tolérance. L'homme Marley, on le découvre plutôt fuyant, timide, même s'il collectionnait les femmes (de Miss Monde 1976 à la fille d'Omar Bongo !). Mais déterminé à se faire entendre, à s'imposer sur la scène internationale. Ce documentaire vaut surtout pour ses éclairages sur le reggae, musique d'échos et de contretemps. Jusqu'à ce moment historique, en 1978 : Bob, magnifique avec ses dreadlocks, entre danse et transe, qui fait venir sur scène les deux leaders politiques rivaux d'une Jamaïque alors violemment déchirée. La ferveur ambiante, le charisme phénoménal de Marley : le film mérite d'être vu rien que pour cette séquence de pur envoûtement. — Jacques Morice

Année : 2012

Avec : Scratch' Lee, Blackwell Chris, Breakspeare Cindy, Jimmy Cliff, Jobson Diane, Marley Bob, Marley Cedella, Marley Constance, Marley Rita, Sims Danny, Wailer Bunny, Ziggy Marley

Récemment en février
 

Marley

Télévision : 13 février à 02:25-04:43 sur Arte

film documentaire

Né le 6 février 1945 à Saint Ann, village pauvre de la Jamaïque, Bob Marley est le fruit des amours d'une mère d'origine ghanéenne et d'un père anglais qui les abandonne. L'enfant métis, en butte aux railleries, trouve refuge dans la musique. La sortie de son premier album coïncide avec l'indépendance de l'île, en 1962. En 1964, le premier single de son groupe, les Wailers, mélange de ska et de reggae, lance sa carrière. En parallèle, Bob Marley s'initie au rastafarisme et vénère Haïlé Sélassié, empereur d'Ethiopie. Sous l'influence de la marijuana et sous sa parure de dreadlocks, la légende est en marche. Après une fulgurante carrière, Bob Marley meurt d'un cancer généralisé en 1981. Pour réaliser ce portrait, Kevin Macdonald a collaboré avec la famille du chanteur... - Critique : Presque dissuasif, le slogan qui accompagne le titre du film : « Le premier documentaire approuvé par la famille Marley ! » Ça sonne comme un hommage officiel, mais le film n'est pas seulement ­cela. A partir d'images d'archives (certaines inédites) et de témoignages, le réalisateur retrace la vie de la première star planétaire issue du tiers-monde. Sans omettre ce fait méconnu : Marley était le fils d'une mère noire jamaïcaine et d'un père blanc, capitaine de la Royal Navy. Un métissage pas si bien vécu, mais qu'il sut transformer en atout, mêlant dans ses chansons condamnation de l'oppression et messages de tolérance. L'homme Marley, on le découvre plutôt fuyant, timide, même s'il collectionnait les femmes (de Miss Monde 1976 à la fille d'Omar Bongo !). Mais déterminé à se faire entendre, à s'imposer sur la scène internationale. Ce documentaire vaut surtout pour ses éclairages sur le reggae, musique d'échos et de contretemps. Jusqu'à ce moment historique, en 1978 : Bob, magnifique avec ses dreadlocks, entre danse et transe, qui fait venir sur scène les deux leaders politiques rivaux d'une Jamaïque alors violemment déchirée. La ferveur ambiante, le charisme phénoménal de Marley : le film mérite d'être vu rien que pour cette séquence de pur envoûtement. — Jacques Morice

Année : 2012

Avec : Scratch' Lee, Blackwell Chris, Breakspeare Cindy, Jimmy Cliff, Jobson Diane, Marley Bob, Marley Cedella, Marley Constance, Marley Rita, Sims Danny, Wailer Bunny, Ziggy Marley

Antérieurement en 2023
 

Ground Control : Ben Harper & The Innocent ...

Télévision : 24 février 2023 à 23:55-00:55 sur Arte

musique : pop %26 rock

Depuis le début des années 1990, le virtuose californien Ben Harper s'est essayé à un large éventail de styles. Ces expérimentations lui ont d'ailleurs valu d'être comparé à Bob Marley, Bob Dylan et même à Jimi Hendrix. Après trente ans de carrière, l'Américain n'a rien perdu de son charisme. La preuve en est avec ce concert au Ground Control, où il présente son nouvel album, "Bloodline Maintenance".