Maria Rosa : dernières sorties Disney+

Créez gratuitement votre compte Evernext pour être averti de toutes les actualités de Maria Rosa.

Créer mon compte

Antérieurement en 2023
 

Tout sur ma mère

Télévision : 26 mai 2023 à 21:00-22:45 sur France 5

film : drame

Manuela vit seule avec son unique fils Esteban, âgé de 17 ans. Elle travaille comme coordinatrice à l'Organisation nationale des transplantations, dans un hôpital de Madrid. Une réelle complicité l'unit à son fils Esteban, un fou de littérature qui souhaite devenir écrivain. Un soir, à la sortie d'un spectacle, Manuela confie à Esteban qu'elle a jadis joué dans une troupe amateur et que c'est à cette occasion qu'elle a rencontré son père, lui-même prénommé Esteban. Bouleversé par cette révélation, le jeune homme se promet d'en savoir plus sur son géniteur - un sujet jusque-là tabou. Quelques minutes plus tard, il est renversé par une voiture... - Critique : Genre : tout sur Almodóvar. Manuela vit seule avec son fils, Estebán. Apprenti écrivain de 16 ans, il a décidé d'intituler son premier livre Tout sur ma mère et d'y raconter la vie de Manuela. Et peut-être aussi la vie de son père, qu'il ne connaît pas. Mais Estebán meurt, renversé par une voiture. Le monde de Manuela s'effondre. Elle décide alors de partir à la recherche du père de son fils. Coup de coeur de la critique et des publics du monde entier, Tout sur ma mère a provoqué un émoi unanime. Almodóvar n'a pourtant pas renoncé à son originalité piquante. La réussite de son film est de mêler des sentiments universels et des convictions personnelles. Manuela est une figure de l'amour qui nous touche tous. Infirmière veillant aux dons d'organes, elle consacre sa vie, après la mort d'Estebán, à faire don d'elle-même en aidant tous ceux qu'elle rencontre. Mais cette générosité n'est pas du tout sanctifiée par Almodóvar. Il montre qu'elle est d'abord un instinct de survie presque animal, une façon d'oublier la douleur en s'oubliant soi-même. C'est toute la force du personnage de Manuela et de son interprète, l'étonnante Cecilia Roth : être dans le concret, la vérité de la vie. Là où la générosité peut faire non pas des miracles, mais sûrement des merveilles. Anéanti par la mort d'Estebán, le monde se recompose avec une actrice lesbienne, une religieuse enceinte, un camionneur devenu une « femme authentique » et un père nommé Lola. Almodóvar montre là sa vision de la vie, pleine de générosité aussi. Une générosité radicale.

Année : 1999

Avec : Antonia San, Candela Peña, Carlos Lozano, Eloy Azorín, Fernando Fernán, Fernando Guillén, Manuel Morón, Maria Rosa, Paredes Marisa, Penélope Cruz, Roth Cecilia, Toni Cantó

Antérieurement en 2017
 

Le grand restaurant

Télévision : 29 décembre 2017 à 00:35-02:20 sur NT1

film : comédie

Patron d'un restaurant chic, Septime tyrannise ses employés, mais fait des courbettes à ses clients. Deux ou trois gags réjouissants, certes, mais ce film franchouillard vaut surtout pour de Funès. Critique : Film de Jacques Besnard (France, 1966). Scénario : Jean Halain, Louis de Funès et J. Besnard. Musique : Jean Marion. 90 mn. Avec Louis de Funès : Septime. Bernard Blier : le commissaire. Maria Rosa Rodriguez : Sophia. Folco Lulli : Novalès. Genre : comédie. Patron d'un restaurant chic des Champs-Elysées, Septime houspille, bouscule, espionne et tyrannise ses employés. En revanche, il courtise la clientèle : baisemains, courbettes et veuleries en tout genre. Un jour, plus obséquieux que jamais, il reçoit Novalès, un chef d'Etat étranger. Hélas, une bombe explose à la table présidentielle : l'hôte de marque s'est volatilisé et Septime se retrouve au centre d'un invraisemblable micmac... Un souverain de pacotille, quelques sbires rébarbatifs et une poignée de loufiats serviles : la mise en scène se contente d'enchaîner les situations burlesques tendance tarte à la crème. Le scénario n'est qu'une corde maigrelette sur laquelle Louis de Funès joue les funambules survoltés. Et, miraculeusement, grâce à lui, la comédie franchouillarde se change en pantomime électrique. Tantôt il mène, au pas de charge, un hilarant ballet de serveurs, tantôt il piste un client, narines pincées et rictus doucereux... Bernard Blier, qui fut souvent, lui aussi, le seul charme de quelques nanars, oppose sa masse sournoise et jubilatoire aux fourberies sautillantes du petit teigneux. Les amateurs apprécieront ce festin de méchanceté pour rire. Cécile Mury

Année : 1966

Antérieurement en 2017
 

Le grand restaurant

Télévision : 12 décembre 2017 à 21:00-22:40 sur NT1

film : comédie

Patron d'un restaurant chic, Septime tyrannise ses employés, mais fait des courbettes à ses clients. Deux ou trois gags réjouissants, certes, mais ce film franchouillard vaut surtout pour de Funès. Critique : Film de Jacques Besnard (France, 1966). Scénario : Jean Halain, Louis de Funès et J. Besnard. Musique : Jean Marion. 90 mn. Avec Louis de Funès : Septime. Bernard Blier : le commissaire. Maria Rosa Rodriguez : Sophia. Folco Lulli : Novalès. Genre : comédie. Patron d'un restaurant chic des Champs-Elysées, Septime houspille, bouscule, espionne et tyrannise ses employés. En revanche, il courtise la clientèle : baisemains, courbettes et veuleries en tout genre. Un jour, plus obséquieux que jamais, il reçoit Novalès, un chef d'Etat étranger. Hélas, une bombe explose à la table présidentielle : l'hôte de marque s'est volatilisé et Septime se retrouve au centre d'un invraisemblable micmac... Un souverain de pacotille, quelques sbires rébarbatifs et une poignée de loufiats serviles : la mise en scène se contente d'enchaîner les situations burlesques tendance tarte à la crème. Le scénario n'est qu'une corde maigrelette sur laquelle Louis de Funès joue les funambules survoltés. Et, miraculeusement, grâce à lui, la comédie franchouillarde se change en pantomime électrique. Tantôt il mène, au pas de charge, un hilarant ballet de serveurs, tantôt il piste un client, narines pincées et rictus doucereux... Bernard Blier, qui fut souvent, lui aussi, le seul charme de quelques nanars, oppose sa masse sournoise et jubilatoire aux fourberies sautillantes du petit teigneux. Les amateurs apprécieront ce festin de méchanceté pour rire. Cécile Mury

Année : 1966