Louise Coldefy : passages TV et dernières sorties Netflix

Créez gratuitement votre compte Evernext pour être averti de toutes les actualités de Louise Coldefy.

Créer mon compte

Aujourd'hui
 

Super Papa

Télévision : samedi 2 août à 13:30-15:07 sur Canal +

film : comédie

Pour l'anniversaire de son fils Gaby, qui fête ses 8 ans, Tom lui offre aussi maladroitement qu'involontairement un livre qui ne contient que des pages blanches. Devant la déception du garçon, Tom, déterminé à ne pas perdre la face, invente une histoire de toutes pièces. Il prétend qu'il s'agit en réalité d'un livre magique, et qu'il suffit d'y écrire ses rêves pour que ceux-ci se réalisent aussitôt. Voilà comment, pris à son propre piège et dépassé par cet improbable mensonge, Tom va se retrouver contraint de tout mettre en oeuvre pour exaucer les souhaits de son fils, même les plus fous... - Critique : Que raconte, avec son titre passe-partout – c’était déjà celui d’un téléfilm de Noël avec Michaël Youn, en novembre 2023 –, ce premier long métrage de Léa Lando ? À la mort de son ex-compagne, un jeune trentenaire (Ahmed Sylla, sans la fraîcheur de L’Ascension) obtient la garde de son fils de 8 ans, qu’il connaît à peine (Ismaël Bangoura, aperçu dans Le Règne animal). Hébergé chez un couple d’amis, il offre au garçon un carnet aux pages blanches, à l’effigie du Petit Prince, qui serait « magique » : il suffit d’y écrire un souhait pour qu’il se réalise. Le film repose entièrement sur sa tête d’affiche, qui surjoue toutes les scènes, dans un rôle qui tient davantage de l’autofiction que de la composition, trop proche de son parcours d’humoriste – il gravite, ici, autour d’un comedy club tenu par Claudia Tagbo. Sacrifiés, les protagonistes secondaires sont condamnés à ressasser des lignes de dialogue prévisibles : Zabou Breitman en grand-mère protectrice, Julien Pestel (compagnon de route du Palmashow) ou Louise Coldefy, héritant d’un personnage de coiffeuse peu amène. Le scénario n’ose pas non plus donner le premier rôle aux enfants, qui doivent se contenter de séquences d’école vues et revues. Sous-intrigues inconsistantes De son argument à la Michel Gondry (dont Maya, donne-moi un titre, sortira en octobre 2024), Super papa tire une succession de mises en scène sans imagination ni accroc – les plans du père pour exaucer les vœux marchent comme sur des roulettes. Côté parodie du cinéma de superhéros, il faut aussi passer son chemin : le personnage du « Capitaine la Lose » reste à l’état d’ébauche. La cinéaste se disperse alors avec des sous-intrigues inconsistantes : une affaire de location onéreuse de l’Olympia, ou l’histoire d’une Triumph de 1971, voiture capricieuse qui voudrait rappeler le van de Little Miss Sunshine. Si elle s’avère correcte sur le registre de la comédie de colocation, la réalisation perd tout rythme en se risquant dans les rues de Paris pour pasticher mollement Spy Kids et Mission : Impossible. D’où l’impression que le film aurait davantage sa place à la télé…

Année : 2024

Avec : Ahmed Sylla, Claudia Tagbo, Delphine Théodore, Ismaël Bangoura, Julien Pestel, Jézabel Marques, Louise Coldefy, Paul Scarfoglio, Pierre Samuel, Simon Zibi, Sophie Vannier, Zabou Breitman

Dimanche dernier
 

Super Papa

Télévision : 27 juillet à 09:44-11:18 sur Canal +

film : comédie

Pour l'anniversaire de son fils Gaby, qui fête ses 8 ans, Tom lui offre aussi maladroitement qu'involontairement un livre qui ne contient que des pages blanches. Devant la déception du garçon, Tom, déterminé à ne pas perdre la face, invente une histoire de toutes pièces. Il prétend qu'il s'agit en réalité d'un livre magique, et qu'il suffit d'y écrire ses rêves pour que ceux-ci se réalisent aussitôt. Voilà comment, pris à son propre piège et dépassé par cet improbable mensonge, Tom va se retrouver contraint de tout mettre en oeuvre pour exaucer les souhaits de son fils, même les plus fous... - Critique : Que raconte, avec son titre passe-partout – c’était déjà celui d’un téléfilm de Noël avec Michaël Youn, en novembre 2023 –, ce premier long métrage de Léa Lando ? À la mort de son ex-compagne, un jeune trentenaire (Ahmed Sylla, sans la fraîcheur de L’Ascension) obtient la garde de son fils de 8 ans, qu’il connaît à peine (Ismaël Bangoura, aperçu dans Le Règne animal). Hébergé chez un couple d’amis, il offre au garçon un carnet aux pages blanches, à l’effigie du Petit Prince, qui serait « magique » : il suffit d’y écrire un souhait pour qu’il se réalise. Le film repose entièrement sur sa tête d’affiche, qui surjoue toutes les scènes, dans un rôle qui tient davantage de l’autofiction que de la composition, trop proche de son parcours d’humoriste – il gravite, ici, autour d’un comedy club tenu par Claudia Tagbo. Sacrifiés, les protagonistes secondaires sont condamnés à ressasser des lignes de dialogue prévisibles : Zabou Breitman en grand-mère protectrice, Julien Pestel (compagnon de route du Palmashow) ou Louise Coldefy, héritant d’un personnage de coiffeuse peu amène. Le scénario n’ose pas non plus donner le premier rôle aux enfants, qui doivent se contenter de séquences d’école vues et revues. Sous-intrigues inconsistantes De son argument à la Michel Gondry (dont Maya, donne-moi un titre, sortira en octobre 2024), Super papa tire une succession de mises en scène sans imagination ni accroc – les plans du père pour exaucer les vœux marchent comme sur des roulettes. Côté parodie du cinéma de superhéros, il faut aussi passer son chemin : le personnage du « Capitaine la Lose » reste à l’état d’ébauche. La cinéaste se disperse alors avec des sous-intrigues inconsistantes : une affaire de location onéreuse de l’Olympia, ou l’histoire d’une Triumph de 1971, voiture capricieuse qui voudrait rappeler le van de Little Miss Sunshine. Si elle s’avère correcte sur le registre de la comédie de colocation, la réalisation perd tout rythme en se risquant dans les rues de Paris pour pasticher mollement Spy Kids et Mission : Impossible. D’où l’impression que le film aurait davantage sa place à la télé…

Année : 2024

Avec : Ahmed Sylla, Claudia Tagbo, Delphine Théodore, Ismael Bangoura, Julien Pestel, Jézabel Marques, Louise Coldefy, Pierre Samuel, Scarfoglio Paul, Simon Zibi, Sophie Vannier, Zabou Breitman

Récemment en juillet
 

Super Papa

Télévision : 23 juillet à 15:06-16:41 sur Canal +

film : comédie

Pour l'anniversaire de son fils Gaby, qui fête ses 8 ans, Tom lui offre aussi maladroitement qu'involontairement un livre qui ne contient que des pages blanches. Devant la déception du garçon, Tom, déterminé à ne pas perdre la face, invente une histoire de toutes pièces. Il prétend qu'il s'agit en réalité d'un livre magique, et qu'il suffit d'y écrire ses rêves pour que ceux-ci se réalisent aussitôt. Voilà comment, pris à son propre piège et dépassé par cet improbable mensonge, Tom va se retrouver contraint de tout mettre en oeuvre pour exaucer les souhaits de son fils, même les plus fous... - Critique : Que raconte, avec son titre passe-partout – c’était déjà celui d’un téléfilm de Noël avec Michaël Youn, en novembre 2023 –, ce premier long métrage de Léa Lando ? À la mort de son ex-compagne, un jeune trentenaire (Ahmed Sylla, sans la fraîcheur de L’Ascension) obtient la garde de son fils de 8 ans, qu’il connaît à peine (Ismaël Bangoura, aperçu dans Le Règne animal). Hébergé chez un couple d’amis, il offre au garçon un carnet aux pages blanches, à l’effigie du Petit Prince, qui serait « magique » : il suffit d’y écrire un souhait pour qu’il se réalise. Le film repose entièrement sur sa tête d’affiche, qui surjoue toutes les scènes, dans un rôle qui tient davantage de l’autofiction que de la composition, trop proche de son parcours d’humoriste – il gravite, ici, autour d’un comedy club tenu par Claudia Tagbo. Sacrifiés, les protagonistes secondaires sont condamnés à ressasser des lignes de dialogue prévisibles : Zabou Breitman en grand-mère protectrice, Julien Pestel (compagnon de route du Palmashow) ou Louise Coldefy, héritant d’un personnage de coiffeuse peu amène. Le scénario n’ose pas non plus donner le premier rôle aux enfants, qui doivent se contenter de séquences d’école vues et revues. Sous-intrigues inconsistantes De son argument à la Michel Gondry (dont Maya, donne-moi un titre, sortira en octobre 2024), Super papa tire une succession de mises en scène sans imagination ni accroc – les plans du père pour exaucer les vœux marchent comme sur des roulettes. Côté parodie du cinéma de superhéros, il faut aussi passer son chemin : le personnage du « Capitaine la Lose » reste à l’état d’ébauche. La cinéaste se disperse alors avec des sous-intrigues inconsistantes : une affaire de location onéreuse de l’Olympia, ou l’histoire d’une Triumph de 1971, voiture capricieuse qui voudrait rappeler le van de Little Miss Sunshine. Si elle s’avère correcte sur le registre de la comédie de colocation, la réalisation perd tout rythme en se risquant dans les rues de Paris pour pasticher mollement Spy Kids et Mission : Impossible. D’où l’impression que le film aurait davantage sa place à la télé…

Année : 2024

Avec : Ahmed Sylla, Claudia Tagbo, Delphine Théodore, Ismael Bangoura, Julien Pestel, Jézabel Marques, Louise Coldefy, Pierre Samuel, Scarfoglio Paul, Simon Zibi, Sophie Vannier, Zabou Breitman

Récemment en juillet
 

Soleil noir

Netflix : 18 juillet

Fuyant un passé trouble, une jeune mère se retrouve accusée du meurtre de son nouveau patron sur un domaine floricole, et découvre qu'il était en réalité son père.

De : Nils-Antoine Sambuc

Avec : Isabelle Adjani, Ava Baya, Louise Coldefy, Guillaume Gouix, Thibault de Montalembert, Claire Romain, Nicolas Vaude

Récemment en mars
 

Avant que les flammes ne s'éteignent

Netflix : 7 mars

Suite à la mort de son petit frère lors d’une interpellation de police, Malika se lance dans un combat judiciaire afin qu’un procès ait lieu. Mais sa quête de vérité met en péril l’équilibre de sa famille.

De : Mehdi Fikri

Avec : Camélia Jordana, Sofiane Zermani, Sofian Khammes, Sonia Faïdi, Louise Coldefy, Makita Samba, Hammou Graïa