Kate Aldrich : passages TV et dernières sorties DVD/Blu-ray

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Antérieurement en 2018
 

Carmen

Télévision : 10 juin 2018 à 01:55-04:40 sur France 3

opéra

Une place de Séville, vers 1820. Morales et d'autres soldats stationnent près du poste de garde. Micaela demande Don José mais les soldats l'effarouchent et elle s'enfuit. Arrive la garde montante, précédée d'un groupe de garçonnets imitant le pas des dragons. Quand la cloche de la fabrique de cigares sonne la fin du travail, les cigarières franchissent les grilles. La foule s'écarte pour laisser passer «la Carmencita». Elle se moque des hommes qui se pressent autour d'elle, leur chantant que «l'amour est un oiseau rebelle...». Gitane passionnée, Carmen tente d'attirer l'attention de Don José, le seul qui ne semble pas s'intéresser à elle. Elle arrache de son corsage une fleur, qu'elle lui lance avant de s'en aller. Don José regarde la fleur à ses pieds, hésite, puis la ramasse... Critique : Partant d’une scène de l’acte III où, par le biais d’un jeu de cartes, des bohémiennes prédisent la mort de Carmen, le metteur en scène appuie sa scénographie sur un ensemble de cartes à jouer géantes, envahissantes au point d’asphyxier un espace déjà difficile à gérer dans la frontalité du mur antique d’Orange ; sans parler, aussi, d’une armée de chaises entravant les mouvements collectifs. Reste alors aux vaillantes masses chorales la seule possibilité qui vaille : une gestuelle plus signalétique que significative. Idem pour les solistes, qui sont loin d’être soutenus, portés, entraînés par une direction d’orchestre sans éclat, tirant ce drame de feu et de sang vers la romance bourgeoise. Alors, chaque protagoniste joue et chante sagement juste, seulement juste : Micaëla manque de fraîcheur ingénue, Carmen minaude plus qu’elle ne déploie de tempérament et Escamillo torée ses airs avec la bonne cambrure vocale. Et puis, et puis… il y a Jonas Kaufmann en Don José. Chacune de ses apparitions est une leçon de chant, de diction, de musicalité, d’incarnation dramatique, doublée d’une certaine classe, car jamais de sa superbe il n’écrase ses partenaires. Rien que pour lui…

Avec : Mikko Franck, Louis Desire, Georges Bizet, Kate Aldrich, Jonas Kaufmann, Inva Mula, Hélène Guilmette, Marie Karall, Kyle Ketelsen, Jean Teitgen, Armando Noguera

Antérieurement en 2018
 

Carmen

Télévision : 10 juin 2018 à 01:55-04:39 sur France 3

opéra

Une place de Séville, vers 1820. Morales et d'autres soldats stationnent près du poste de garde. Micaela demande Don José mais les soldats l'effarouchent et elle s'enfuit. Arrive la garde montante, précédée d'un groupe de garçonnets imitant le pas des dragons. Quand la cloche de la fabrique de cigares sonne la fin du travail, les cigarières franchissent les grilles. La foule s'écarte pour laisser passer «la Carmencita». Elle se moque des hommes qui se pressent autour d'elle, leur chantant que «l'amour est un oiseau rebelle...». Gitane passionnée, Carmen tente d'attirer l'attention de Don José, le seul qui ne semble pas s'intéresser à elle. Elle arrache de son corsage une fleur, qu'elle lui lance avant de s'en aller. Don José regarde la fleur à ses pieds, hésite, puis la ramasse... Critique : Partant d’une scène de l’acte III où, par le biais d’un jeu de cartes, des bohémiennes prédisent la mort de Carmen, le metteur en scène appuie sa scénographie sur un ensemble de cartes à jouer géantes, envahissantes au point d’asphyxier un espace déjà difficile à gérer dans la frontalité du mur antique d’Orange ; sans parler, aussi, d’une armée de chaises entravant les mouvements collectifs. Reste alors aux vaillantes masses chorales la seule possibilité qui vaille : une gestuelle plus signalétique que significative. Idem pour les solistes, qui sont loin d’être soutenus, portés, entraînés par une direction d’orchestre sans éclat, tirant ce drame de feu et de sang vers la romance bourgeoise. Alors, chaque protagoniste joue et chante sagement juste, seulement juste : Micaëla manque de fraîcheur ingénue, Carmen minaude plus qu’elle ne déploie de tempérament et Escamillo torée ses airs avec la bonne cambrure vocale. Et puis, et puis… il y a Jonas Kaufmann en Don José. Chacune de ses apparitions est une leçon de chant, de diction, de musicalité, d’incarnation dramatique, doublée d’une certaine classe, car jamais de sa superbe il n’écrase ses partenaires. Rien que pour lui…

Avec : Mikko Franck, Louis Desire, Georges Bizet, Kate Aldrich, Jonas Kaufmann, Inva Mula, Hélène Guilmette, Marie Karall, Kyle Ketelsen, Jean Teitgen, Armando Noguera

Antérieurement en 2018
 

Carmen

Télévision : 28 mai 2018 à 02:00-04:45 sur France 3

opéra

Une place de Séville, vers 1820. Morales et d'autres soldats stationnent près du poste de garde. Micaela demande Don José mais les soldats l'effarouchent et elle s'enfuit. Arrive la garde montante, précédée d'un groupe de garçonnets imitant le pas des dragons. Quand la cloche de la fabrique de cigares sonne la fin du travail, les cigarières franchissent les grilles. La foule s'écarte pour laisser passer «la Carmencita». Elle se moque des hommes qui se pressent autour d'elle, leur chantant que «l'amour est un oiseau rebelle...». Gitane passionnée, Carmen tente d'attirer l'attention de Don José, le seul qui ne semble pas s'intéresser à elle. Elle arrache de son corsage une fleur, qu'elle lui lance avant de s'en aller. Don José regarde la fleur à ses pieds, hésite, puis la ramasse... Critique : Partant d’une scène de l’acte III où, par le biais d’un jeu de cartes, des bohémiennes prédisent la mort de Carmen, le metteur en scène appuie sa scénographie sur un ensemble de cartes à jouer géantes, envahissantes au point d’asphyxier un espace déjà difficile à gérer dans la frontalité du mur antique d’Orange ; sans parler, aussi, d’une armée de chaises entravant les mouvements collectifs. Reste alors aux vaillantes masses chorales la seule possibilité qui vaille : une gestuelle plus signalétique que significative. Idem pour les solistes, qui sont loin d’être soutenus, portés, entraînés par une direction d’orchestre sans éclat, tirant ce drame de feu et de sang vers la romance bourgeoise. Alors, chaque protagoniste joue et chante sagement juste, seulement juste : Micaëla manque de fraîcheur ingénue, Carmen minaude plus qu’elle ne déploie de tempérament et Escamillo torée ses airs avec la bonne cambrure vocale. Et puis, et puis… il y a Jonas Kaufmann en Don José. Chacune de ses apparitions est une leçon de chant, de diction, de musicalité, d’incarnation dramatique, doublée d’une certaine classe, car jamais de sa superbe il n’écrase ses partenaires. Rien que pour lui…

Avec : Mikko Franck, Louis Desire, Georges Bizet, Kate Aldrich, Jonas Kaufmann, Inva Mula, Hélène Guilmette, Marie Karall, Kyle Ketelsen, Jean Teitgen, Armando Noguera

Antérieurement en 2018
 

Carmen

Télévision : 28 mai 2018 à 01:55-04:45 sur France 3

opéra

Une place de Séville, vers 1820. Morales et d'autres soldats stationnent près du poste de garde. Micaela demande Don José mais les soldats l'effarouchent et elle s'enfuit. Arrive la garde montante, précédée d'un groupe de garçonnets imitant le pas des dragons. Quand la cloche de la fabrique de cigares sonne la fin du travail, les cigarières franchissent les grilles. La foule s'écarte pour laisser passer «la Carmencita». Elle se moque des hommes qui se pressent autour d'elle, leur chantant que «l'amour est un oiseau rebelle...». Gitane passionnée, Carmen tente d'attirer l'attention de Don José, le seul qui ne semble pas s'intéresser à elle. Elle arrache de son corsage une fleur, qu'elle lui lance avant de s'en aller. Don José regarde la fleur à ses pieds, hésite, puis la ramasse... Critique : Partant d’une scène de l’acte III où, par le biais d’un jeu de cartes, des bohémiennes prédisent la mort de Carmen, le metteur en scène appuie sa scénographie sur un ensemble de cartes à jouer géantes, envahissantes au point d’asphyxier un espace déjà difficile à gérer dans la frontalité du mur antique d’Orange ; sans parler, aussi, d’une armée de chaises entravant les mouvements collectifs. Reste alors aux vaillantes masses chorales la seule possibilité qui vaille : une gestuelle plus signalétique que significative. Idem pour les solistes, qui sont loin d’être soutenus, portés, entraînés par une direction d’orchestre sans éclat, tirant ce drame de feu et de sang vers la romance bourgeoise. Alors, chaque protagoniste joue et chante sagement juste, seulement juste : Micaëla manque de fraîcheur ingénue, Carmen minaude plus qu’elle ne déploie de tempérament et Escamillo torée ses airs avec la bonne cambrure vocale. Et puis, et puis… il y a Jonas Kaufmann en Don José. Chacune de ses apparitions est une leçon de chant, de diction, de musicalité, d’incarnation dramatique, doublée d’une certaine classe, car jamais de sa superbe il n’écrase ses partenaires. Rien que pour lui…

Avec : Mikko Franck, Louis Desire, Georges Bizet, Kate Aldrich, Jonas Kaufmann, Inva Mula, Hélène Guilmette, Marie Karall, Kyle Ketelsen, Jean Teitgen, Armando Noguera

Antérieurement en 2018
 

Carmen

Télévision : 20 mai 2018 à 00:35-03:25 sur France 3

opéra

Une place de Séville, vers 1820. Morales et d'autres soldats stationnent près du poste de garde. Micaela demande Don José mais les soldats l'effarouchent et elle s'enfuit. Arrive la garde montante, précédée d'un groupe de garçonnets imitant le pas des dragons. Quand la cloche de la fabrique de cigares sonne la fin du travail, les cigarières franchissent les grilles. La foule s'écarte pour laisser passer «la Carmencita». Elle se moque des hommes qui se pressent autour d'elle, leur chantant que «l'amour est un oiseau rebelle...». Gitane passionnée, Carmen tente d'attirer l'attention de Don José, le seul qui ne semble pas s'intéresser à elle. Elle arrache de son corsage une fleur, qu'elle lui lance avant de s'en aller. Don José regarde la fleur à ses pieds, hésite, puis la ramasse... Critique : Belle affiche pour cette Carmen qui ouvre l'édition 2015 des Chorégies d'Orange. On peut parier sans trop de risques que le magnifique ténor allemand Jonas Kaufmann campera un Don José exemplaire, et il y a beau temps que Carmen n'a plus de secrets pour la chaleureuse mezzo-soprano américaine Kate Aldrich. Les deux chanteurs se sont d'ailleurs déjà donné la réplique dans ces rôles, à New York, en 2010. Sur le plan vocal, la seule véritable inconnue concerne l'aisance que Kate Aldrich mettra, ou pas, à occuper le vaste espace et l'acoustique du Théâtre antique, où, à l'instar d'Hélène Guilmette et de Kyle Ketelsen, elle fait ses débuts. Inva Mula revient, elle, en quasi-habituée des Chorégies : n'y fut-elle pas une très émouvante Desdémone dans Othello en 2014 ? L'autre mystère, c'est l'interprétation que donnera le metteur en scène Louis Désiré du chef-d'oeuvre de Bizet, pour ­lequel il s'occupe également des décors et des costumes. A l'heure où nous bouclons, en dehors d'une très intrigante maquette montrant des cartes géantes dispersées sur la scène, rien ne transpire de ses intentions. — Sophie Bourdais Disponible en replay pendant plusieurs mois sur Culturebox.

Avec : Mikko Franck, Louis Desire, Georges Bizet, Kate Aldrich, Jonas Kaufmann, Inva Mula, Hélène Guilmette, Marie Karall, Kyle Ketelsen, Jean Teitgen, Armando Noguera

Antérieurement en 2017
 
Antérieurement en 2017
 
Antérieurement en 2017
 

Intuition maternelle

Télévision : 21 mars 2017 à 15:30-17:00 sur TF1

téléfilm dramatique

Kate Aldrich, une mère de famille, vit très mal son divorce et le remariage de son ex-mari avec sa nouvelle compagne, Laura. Angoissée et fragilisée par cette période difficile, elle suit une thérapie et tente de régler ses problèmes d'alcool. Mais les médicaments qu'on lui prescrit pour soigner ses crises d'angoisse lui font faire des rêves étranges et inquiétants dans lesquels sa fille, Izzy, est en danger. Quand la réalité commence à prendre le pas sur la fiction, elle pense avoir des prémonitions et met tout en oeuvre pour protéger sa petite fille. Elle voit Laura comme une menace pour Izzy...

Année : 2013

De : Roger Christian

Avec : Tricia Helfer, Genea Charpentier, David Cubitt, Estella Warren, Dakota Guppy, Dylan Neal, Johannah Newmarch, Dean Wray