Justine Viotty : passages TV
Benoît Gênant Officiel
Télévision : 2 février à 22:55-23:40 sur TMC
série humoristique
De l'art (délicat) de fêter Noël quand on travaille en agence immobilière. Saison:1 - Episode:12 - Benoît, qui espère remporter le concours international de la plus belle vitrine de Noël de Puteaux, mobilise toute l'équipe. - Critique : Benoît Gênant (Artus) est le plus grand agent immobilier de l’hémisphère Nord. C’est lui qui le dit. En réalité, il dirige la pire des agences de Puteaux, et sans doute de tous les Hauts-de-Seine. Imbu de sa personne, il passe ses journées à assommer ses interlocuteurs – quelques rares clients, sa banquière, sa stagiaire (Ornella Fleury) – de conseils foireux et de questions offensantes. Créée par Éric Lavaine, passé par H côté séries et réalisateur de comédies paresseuses au cinéma (Barbecue, en 2014, Plancha, en 2022), Benoît Gênant Officiel s’aventure sur un terrain prisé des Anglo-Saxons, le « cringe », genre d’humour où le malaise est moteur de l’humour. Elle trouve parfois le bon équilibre, provoquant un rire un peu honteux. Mais bascule trop souvent dans l’ennui et la vulgarité. Présentée en quelques épisodes au dernier Festival de la fiction de La Rochelle, grand raout de rentrée de la télévision française, Benoît Gênant Officiel apparaissait alors comme une proposition risquée pour le groupe TF1. Antihéros incorrect, « BG » est tellement excessif, injurieux et grotesque qu’on se surprenait à pouffer – surtout lors d’une visite d’appartement lunaire avec François-Xavier Demaison, un des quelques « guests » de cette première saison. On était d’autant plus amusé que le toujours étonnant Estéban, avec son physique et sa diction de personnage de cartoon, fait basculer le récit dans l’absurde en incarnant Francis, collègue et cousin de Benoît Gênant naïf à pleurer malgré un Q.I. de génie. Aucune critique sociétale Malheureusement, il est beaucoup plus difficile de souffrir la bêtise abyssale de Gênant sur la durée des douze épisodes que compte cette première saison. Le racisme, la misogynie, la vulgarité de ce crétin de compétition finissent par crisper. Éric Lavaine tente bien de le rendre pathétique (et donc à plaindre), mais la frontière entre le couillon sympa et le relou complet est allègrement franchie. À l’inverse de La Meilleure Version de moi-même, de Blanche Gardin (la plus belle réussite cringe française), Benoît Gênant Officiel ne tire de ses dérapages aucune critique sociétale, aucun propos un tant soit peu politique. Sommet de cringe involontaire, Benoît Gênant cite à longueur d’épisode son inspiration ultime, son héros, son dieu : Stéphane Plaza. Alors, certes, la série a été tournée avant les accusations de violences conjugales de trois des anciennes compagnes de l’animateur, révélées par Mediapart en septembre dernier, et l’ouverture par le parquet de Paris, début octobre, d’une enquête préliminaire. Certes, Plaza est pris pour modèle par un abruti. Mais quand l’agent immobilier et animateur vedette de M6 apparaît pour de bon dans la série, sympathique et modeste, le caméo se révèle pour le moins… gênant. Benoît Gênant Officiel, saison 1, comédie créée par Eric Lavaine, France (2023), 12x25mn. Avec Artus, Ornella Fleury, Esteban. Le vendredi à 21h25 sur TMC et sur la plateforme TF1 +
Année : 2024
De : Eric Lavaine
Avec : Artus, Esteban, Guillaume Briat, Jean-Yves Tual, Justine Viotty, Ludivine de, Mark Grosy, Olivia Courbis, Ornella Fleury, Sébastien Faglain
Benoît Gênant Officiel
Télévision : 2 février à 22:25-22:55 sur TMC
série humoristique
De l'art (délicat) de vivre au grand jour son amour des paquets quand on travaille dans l'immobilier. Saison:1 - Episode:11 - Afin de gagner de l'argent, Benoît décide de transformer son agence immobilière en point relais colis. Mais son amour pour les paquets risque de compromettre sa nouvelle activité. - Critique : Benoît Gênant (Artus) est le plus grand agent immobilier de l’hémisphère Nord. C’est lui qui le dit. En réalité, il dirige la pire des agences de Puteaux, et sans doute de tous les Hauts-de-Seine. Imbu de sa personne, il passe ses journées à assommer ses interlocuteurs – quelques rares clients, sa banquière, sa stagiaire (Ornella Fleury) – de conseils foireux et de questions offensantes. Créée par Éric Lavaine, passé par H côté séries et réalisateur de comédies paresseuses au cinéma (Barbecue, en 2014, Plancha, en 2022), Benoît Gênant Officiel s’aventure sur un terrain prisé des Anglo-Saxons, le « cringe », genre d’humour où le malaise est moteur de l’humour. Elle trouve parfois le bon équilibre, provoquant un rire un peu honteux. Mais bascule trop souvent dans l’ennui et la vulgarité. Présentée en quelques épisodes au dernier Festival de la fiction de La Rochelle, grand raout de rentrée de la télévision française, Benoît Gênant Officiel apparaissait alors comme une proposition risquée pour le groupe TF1. Antihéros incorrect, « BG » est tellement excessif, injurieux et grotesque qu’on se surprenait à pouffer – surtout lors d’une visite d’appartement lunaire avec François-Xavier Demaison, un des quelques « guests » de cette première saison. On était d’autant plus amusé que le toujours étonnant Estéban, avec son physique et sa diction de personnage de cartoon, fait basculer le récit dans l’absurde en incarnant Francis, collègue et cousin de Benoît Gênant naïf à pleurer malgré un Q.I. de génie. Aucune critique sociétale Malheureusement, il est beaucoup plus difficile de souffrir la bêtise abyssale de Gênant sur la durée des douze épisodes que compte cette première saison. Le racisme, la misogynie, la vulgarité de ce crétin de compétition finissent par crisper. Éric Lavaine tente bien de le rendre pathétique (et donc à plaindre), mais la frontière entre le couillon sympa et le relou complet est allègrement franchie. À l’inverse de La Meilleure Version de moi-même, de Blanche Gardin (la plus belle réussite cringe française), Benoît Gênant Officiel ne tire de ses dérapages aucune critique sociétale, aucun propos un tant soit peu politique. Sommet de cringe involontaire, Benoît Gênant cite à longueur d’épisode son inspiration ultime, son héros, son dieu : Stéphane Plaza. Alors, certes, la série a été tournée avant les accusations de violences conjugales de trois des anciennes compagnes de l’animateur, révélées par Mediapart en septembre dernier, et l’ouverture par le parquet de Paris, début octobre, d’une enquête préliminaire. Certes, Plaza est pris pour modèle par un abruti. Mais quand l’agent immobilier et animateur vedette de M6 apparaît pour de bon dans la série, sympathique et modeste, le caméo se révèle pour le moins… gênant. Benoît Gênant Officiel, saison 1, comédie créée par Eric Lavaine, France (2023), 12x25mn. Avec Artus, Ornella Fleury, Esteban. Le vendredi à 21h25 sur TMC et sur la plateforme TF1 +
Année : 2024
De : Eric Lavaine
Avec : Artus, Ban David, Christophe Kourotchkine, Esteban, Ivan Gonzalez, Justine Viotty, Lartigue Iñaki, Ludivine de, Mark Grosy, Nicolas Carpentier, Ornella Fleury, Sohel Harbouche
Benoît Gênant Officiel
Télévision : 2 février à 21:25-21:55 sur TMC
série humoristique
De l'art (délicat) de rencontrer son idole quand on est trop fan. Saison:1 - Episode:9 - Benoît va enfin réaliser le rêve de sa vie. Il va rencontrer Stéphane Plaza, qui est une véritable idole pour lui. Mais pour Stéphane Plaza, cette rencontre s'avère être un cauchemar. - Critique : Benoît Gênant (Artus) est le plus grand agent immobilier de l’hémisphère Nord. C’est lui qui le dit. En réalité, il dirige la pire des agences de Puteaux, et sans doute de tous les Hauts-de-Seine. Imbu de sa personne, il passe ses journées à assommer ses interlocuteurs – quelques rares clients, sa banquière, sa stagiaire (Ornella Fleury) – de conseils foireux et de questions offensantes. Créée par Éric Lavaine, passé par H côté séries et réalisateur de comédies paresseuses au cinéma (Barbecue, en 2014, Plancha, en 2022), Benoît Gênant Officiel s’aventure sur un terrain prisé des Anglo-Saxons, le « cringe », genre d’humour où le malaise est moteur de l’humour. Elle trouve parfois le bon équilibre, provoquant un rire un peu honteux. Mais bascule trop souvent dans l’ennui et la vulgarité. Présentée en quelques épisodes au dernier Festival de la fiction de La Rochelle, grand raout de rentrée de la télévision française, Benoît Gênant Officiel apparaissait alors comme une proposition risquée pour le groupe TF1. Antihéros incorrect, « BG » est tellement excessif, injurieux et grotesque qu’on se surprenait à pouffer – surtout lors d’une visite d’appartement lunaire avec François-Xavier Demaison, un des quelques « guests » de cette première saison. On était d’autant plus amusé que le toujours étonnant Estéban, avec son physique et sa diction de personnage de cartoon, fait basculer le récit dans l’absurde en incarnant Francis, collègue et cousin de Benoît Gênant naïf à pleurer malgré un Q.I. de génie. Aucune critique sociétale Malheureusement, il est beaucoup plus difficile de souffrir la bêtise abyssale de Gênant sur la durée des douze épisodes que compte cette première saison. Le racisme, la misogynie, la vulgarité de ce crétin de compétition finissent par crisper. Éric Lavaine tente bien de le rendre pathétique (et donc à plaindre), mais la frontière entre le couillon sympa et le relou complet est allègrement franchie. À l’inverse de La Meilleure Version de moi-même, de Blanche Gardin (la plus belle réussite cringe française), Benoît Gênant Officiel ne tire de ses dérapages aucune critique sociétale, aucun propos un tant soit peu politique. Sommet de cringe involontaire, Benoît Gênant cite à longueur d’épisode son inspiration ultime, son héros, son dieu : Stéphane Plaza. Alors, certes, la série a été tournée avant les accusations de violences conjugales de trois des anciennes compagnes de l’animateur, révélées par Mediapart en septembre dernier, et l’ouverture par le parquet de Paris, début octobre, d’une enquête préliminaire. Certes, Plaza est pris pour modèle par un abruti. Mais quand l’agent immobilier et animateur vedette de M6 apparaît pour de bon dans la série, sympathique et modeste, le caméo se révèle pour le moins… gênant. Benoît Gênant Officiel, saison 1, comédie créée par Eric Lavaine, France (2023), 12x25mn. Avec Artus, Ornella Fleury, Esteban. Le vendredi à 21h25 sur TMC et sur la plateforme TF1 +
Année : 2024
De : Eric Lavaine
Avec : Agathe Bokja, Artus, Esteban, Frédéric Merlo, Justine Viotty, Ludivine de, Léa Moratille, Mark Grosy, Olivier Ho Hio Hen, Ornella Fleury, Violette Doncieux
Benoît Gênant Officiel
Télévision : 26 janvier à 23:00-23:30 sur TMC
série humoristique
De l'art (délicat) de bien choisir ses vêtements quand on travaille en agence. Saison:1 - Episode:8 - Benoît reproche vertement à Ludivine de ne pas être "corporate" en portant un des vêtements qui ne sont pas aux couleurs du logo de l'agence.
Année : 2024
De : Eric Lavaine
Avec : Artus, Béatrice Michel, Esteban, Justine Viotty, Ludivine de, Mark Grosy, Ornella Fleury, Stella Rocha, Yves Langenbach
Benoît Gênant Officiel
Télévision : 19 janvier à 22:20-22:55 sur TMC
série humoristique
De l'art (délicat) d'aider une grande vedette de cinéma quand elle a des petits problèmes d'eau chaude. Saison:1 - Episode:3 - Tout le personnel de "BG immo" est mobilisé pour trouver un plombier qui pourra résoudre le souci d'eau chaude de Mathilde Seigner.
Année : 2024
De : Eric Lavaine
Avec : Artus, Boris Ravaine, Bruno Flender, Esteban, Justine Viotty, Louis Seille, Maiya Sinclair, Ornella Fleury, Yuliya Abiss
Benoît Gênant Officiel
Télévision : 19 janvier à 21:25-22:00 sur TMC
série humoristique
De l'art (délicat) d'être professionnel quand on est un professionnel. Saison:1 - Episode:1 - Benoît dirige "BG Immo", une petite agence immobilière située à Puteaux. Mais ses comptes sont dans le rouge. Afin de redresser la situation, il doit moderniser ses méthodes de ventes et de communication. Alors qu'il présente l'agence à Ludivine, sa nouvelle employée, il est contacté par Mathilde Seigner, qui recherche un appartement à Puteaux...
Année : 2024
De : Eric Lavaine
Avec : Artus, Axelle Simon, Elric Montorier, Esteban, Jean-Noël Martin, Justine Viotty, Louis Seille, Ludivine Evangelista, Ludivine de, Maya Sarac, Ornella Fleury, Xavier Lemaître