Justin Henry : passages TV et dernières sorties Netflix

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Antérieurement en 2023
 

Kramer contre Kramer - Blu-ray

DVD/Blu-ray : 2 août 2023

Editeur : Sony Pictures

Année : 1979

De : Robert Benton

Avec : Dustin Hoffman, Meryl Streep, Jane Alexander, Justin Henry, Howard Duff, George Coe, JoBeth Williams, Bill Moor

Antérieurement en 2019
 

Seize bougies pour Sam

Netflix : 1er juillet 2019

Les parents de Samantha ont oublié son anniversaire, et le garçon qui l'intéresse ne semble pas du tout intéressé par elle. Quelle journée !

De : John Hughes

Avec : John Cusack, Liane Curtis, Michael Schoeffling, Max Showalter, Justin Henry, Edward Andrews, Haviland Morris, Anthony Michael Hall, Paul Dooley, Carole Cook, Blanche Baker, Carlin Glynn, Gedde Watanabe, Molly Ringwald, Billie Bird, Joan Cusack

Antérieurement en 2018
 

Kramer contre Kramer

Télévision : 14 juin 2018 à 13:35-15:40 sur Arte

film : drame

Grand moment lacrymal ! La chronique du petit Billy, ballotté entre ses parents, a fait couler beaucoup d'eau salée. Les trois acteurs, sont formidables. Critique : | Genre : mon fils, ma bataille. Dans les années 70-80, le divorce était le grand thème de société dont on aimait à débattre à longueur d’éditoriaux et de fictions en tout genre. Kramer contre Kramer en illustre méthodiquement toutes les tribulations, petits tracas et grands déchirements. Avec, petit supplément de modernité « d’époque », le point de vue d’un père « abandonné », obligé d’assumer seul le quotidien de son petit garçon. Oscar du meilleur film en 1979, cette étude de mœurs est restée, peu ou prou, dans les mémoires des spectateurs, le film de référence sur le sujet. Qui, d’une rediffusion à l’autre de cette œuvre presque quadragénaire, n’a pas trituré son mouchoir devant la détresse de Ted Kramer, papa new-yorkais débordé et aimant (Dustin Hoffman, débordant de charme) ? Qui n’a pas senti, comme le jeune Billy, son cœur balancer entre l’étreinte paternelle et le regard embué de la mère prodigue (Meryl Streep, que le film contribua à révéler) ? Vous avez dit mélo ? Certes, Robert Benton joue à fond la carte de l’attendrissement, appuyant avec habileté sur la détresse de l’enfant et le désarroi des parents. Mais, grâce à la verve et à la sensibilité des comédiens, à l’humour et à la justesse de scènes très quotidiennes, Benton ne fait pas la morale, ne prend parti pour aucun de ses personnages. Son film reste, encore aujourd’hui, étonnamment tendre et vivant.

Année : 1979

Avec : Robert Benton, Dustin Hoffman, Meryl Streep, Justin Henry, Jane Alexander, Howard Duff, George Coe, JoBeth Williams, Bill Moor, Robert Benton, Avery Corman, Néstor Almendros

Antérieurement en 2018
 

Kramer contre Kramer

Télévision : 4 juin 2018 à 13:30-15:20 sur Arte

film : drame

Grand moment lacrymal ! La chronique du petit Billy, ballotté entre ses parents, a fait couler beaucoup d'eau salée. Les trois acteurs, sont formidables. Critique : | Genre : mon fils, ma bataille. Dans les années 70-80, le divorce était le grand thème de société dont on aimait à débattre à longueur d'éditoriaux et de fictions en tout genre. Kramer contre Kramer en illustre méthodiquement toutes les tribulations, petits tracas et grands déchirements. Avec, petit supplément de modernité « d'époque », le point de vue d'un père « abandonné », obligé d'assumer seul, le quotidien de son petit garçon. Oscar du meilleur film en 1979, cette étude de moeurs est restée, peu ou prou, dans les mémoires des spectateurs, le film de référence sur le sujet. Qui, d'une rediffusion à l'autre de cette oeuvre presque trentenaire, n'a pas trituré son mouchoir devant la détresse de Ted Kramer, papa new-yorkais débordé et aimant (Dustin Hoffman, débordant de charme) ? Qui n'a pas senti, comme le jeune Billy, son coeur balancer entre l'étreinte paternelle et le regard embué de la mère prodigue (Meryl Streep, que le film contribua à révéler) ?... Vous avez dit mélo ? Certes, Robert Benton joue à fond la carte de l'attendrissement, appuyant avec habileté sur la détresse de l'enfant et le désarroi des parents. Mais, grâce à la verve et à la sensibilité des comédiens, à l'humour et à la justesse de scènes très quotidiennes (un repas maladroitement improvisé, une engueulade père-fils, un rendez-vous galant raté...), Benton ne fait pas la morale, ne prend parti pour aucun de ses personnages et son film reste, encore aujourd'hui, étonnamment tendre et vivant. — Cécile Mury

Année : 1979

Avec : Robert Benton, Dustin Hoffman, Meryl Streep, Justin Henry, Jane Alexander, Howard Duff, George Coe, JoBeth Williams, Bill Moor, Robert Benton, Avery Corman, Néstor Almendros

Antérieurement en 2018
 

Kramer contre Kramer

Télévision : 3 juin 2018 à 20:55-22:35 sur Arte

film : drame

Grand moment lacrymal ! La chronique du petit Billy, ballotté entre ses parents, a fait couler beaucoup d'eau salée. Les trois acteurs, sont formidables. Critique : | Genre : mon fils, ma bataille. Dans les années 70-80, le divorce était le grand thème de société dont on aimait à débattre à longueur d'éditoriaux et de fictions en tout genre. Kramer contre Kramer en illustre méthodiquement toutes les tribulations, petits tracas et grands déchirements. Avec, petit supplément de modernité « d'époque », le point de vue d'un père « abandonné », obligé d'assumer seul, le quotidien de son petit garçon. Oscar du meilleur film en 1979, cette étude de moeurs est restée, peu ou prou, dans les mémoires des spectateurs, le film de référence sur le sujet. Qui, d'une rediffusion à l'autre de cette oeuvre presque trentenaire, n'a pas trituré son mouchoir devant la détresse de Ted Kramer, papa new-yorkais débordé et aimant (Dustin Hoffman, débordant de charme) ? Qui n'a pas senti, comme le jeune Billy, son coeur balancer entre l'étreinte paternelle et le regard embué de la mère prodigue (Meryl Streep, que le film contribua à révéler) ?... Vous avez dit mélo ? Certes, Robert Benton joue à fond la carte de l'attendrissement, appuyant avec habileté sur la détresse de l'enfant et le désarroi des parents. Mais, grâce à la verve et à la sensibilité des comédiens, à l'humour et à la justesse de scènes très quotidiennes (un repas maladroitement improvisé, une engueulade père-fils, un rendez-vous galant raté...), Benton ne fait pas la morale, ne prend parti pour aucun de ses personnages et son film reste, encore aujourd'hui, étonnamment tendre et vivant. — Cécile Mury

Année : 1979

Avec : Robert Benton, Dustin Hoffman, Meryl Streep, Justin Henry, Jane Alexander, Howard Duff, George Coe, JoBeth Williams, Bill Moor, Robert Benton, Avery Corman, Néstor Almendros