Julie Arenal : passages TV

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Récemment en mai
 

Mon beau-père et moi

Télévision : 5 mai à 23:15-01:16 sur TFX

film : comédie

Après dix mois de vie commune, Greg Furniquer envisage sereinement d'épouser sa petite amie, Pamela Byrnes. Lorsque celle-ci lui annonce qu'elle ne peut pas lui répondre avant que son père ait donné son avis personnel sur la question, il se résout à demander officiellement sa main à son géniteur. Le premier contact avec Jack Byrnes, un ex-agent de la CIA, est plutôt froid. Il apparaît rapidement que Jack n'a pas l'intention de donner sa fille à Greg, ni à qui que ce soit d'ailleurs. Soucieux de plaire malgré tout, le jeune homme multiplie les gaffes et les maladresses. En une journée, il défigure la soeur de Pam, incendie le jardin de ses hôtes et égare le chat siamois de Jack... - Critique : Genre : rite initiatique. S'il s'agit, pour le jeune mâle occidental, de la dernière épreuve avant de devenir un homme, alors la rencontre avec le futur beau-père vaut bien un film, et c'est Hollywood qui s'y colle avec ses confortables sabots. Soit un infirmier de Chicago, amoureux d'une belle blonde, sommé de passer quelques jours dans sa belle-famille potentielle. Notre héros accumule les handicaps : patronyme à risque (Greg Focker... vous, ça vous dirait de laisser votre fille épouser un M Connard ?), culture différente (juif middle class contre puritain wasp) et gaffeur. De quoi irriter le père de la promise, assis sur ses principes. Greg transgresse les interdits, découvre une chambre de torture où trône un détecteur de mensonges, bousille la fosse d'aisances, puis gratifie de quelques coquards sa (future) belle-soeur. Situations plus ou moins cocasses, que les comédiens rendent par moments irrésistibles : Ben Stiller, parfait gaffeur, et Robert De Niro, qui joue les beaux-pères-la-terreur en s'autoparodiant. Il en fait des tonnes, mais ça marche...

Année : 2000

Avec : Ben Stiller, Blythe Danner, James Rebhorn, John Fiore, Jon Abrahams, Julie Arenal, Nicole DeHuff, Owen Wilson, Phyllis George, Robert De, Teri Polo, Tom McCarthy, William Severs

Récemment en avril
 

Mon beau-père et moi

Télévision : 28 avril à 21:05-23:25 sur TFX

film : comédie

Après dix mois de vie commune, Greg Furniquer envisage sereinement d'épouser sa petite amie, Pamela Byrnes. Lorsque celle-ci lui annonce qu'elle ne peut pas lui répondre avant que son père ait donné son avis personnel sur la question, il se résout à demander officiellement sa main à son géniteur. Le premier contact avec Jack Byrnes, un ex-agent de la CIA, est plutôt froid. Il apparaît rapidement que Jack n'a pas l'intention de donner sa fille à Greg, ni à qui que ce soit d'ailleurs. Soucieux de plaire malgré tout, le jeune homme multiplie les gaffes et les maladresses. En une journée, il défigure la soeur de Pam, incendie le jardin de ses hôtes et égare le chat siamois de Jack... - Critique : S'il s'agit, pour le jeune mâle des sociétés occidentales, du dernier rite initiatique, de la dernière épreuve avant de devenir un homme, un vrai, alors la rencontre avec le futur beau-père valait bien un film, et c'est Hollywood qui s'y colle avec ses confortables sabots. Soit donc un jeune infirmier de Chicago, amoureux d'une belle blonde de la côte Est, sommé de passer quelques jours dans sa belle famille potentielle et, dans la tradition la plus traditionnelle, d'y faire sa demande. Notre héros s'y prête de bonne grâce, mais accumule les handicaps : il porte un patronyme à risque (Greg Focker ­ ça vous dirait de laisser votre fille épouser un monsieur Conard ?), vient d'une autre culture (juif middle class contre puritain wasp) et a le défaut d'être irrémédiablement gaffeur. De quoi irriter sérieusement le père de la promise, assis sur ses principes, et dont on décou- vrira assez vite qu'il est un ancien de la CIA, quelque part à l'extrême extrême droite de George W. Bush Junior.Pas de risque inutile : ici, peu ou pas de politique ­ même si se dessinent au loin quelques clivages de classe ou de génération ­, la rencontre entre son beau-père et lui est essentiellement prétexte à gags. Inégaux, mais parfois savoureux. Greg transgresse quelques interdits (fumer, câliner sa girlfriend sous le toit paternel, etc.), découvre une chambre de torture secrète où trône un détecteur de mensonges (auquel on le branche illico), devient monsieur catastrophe en bousillant la fosse d'aisance, puis en gratifiant de quelques cocards sa (future) belle-soeur, et enfin en tentant de remplacer le chat de la maisonnée, qu'il a fait fuir, par un vulgaire matou affublé d'une fausse queue. Situations plus ou moins cocasses, que les comédiens rendent par moments irrésistibles : Ben Stiller a déjà gaffé dans Mary à tout prix ou Flirter avec les embrouilles, et il persévère avec talent ; face à lui, Robert De Niro joue les beau-père-la-terreur en s'autoparodiant. Il en fait des tonnes dans le regard noir et le rictus inquiétant, mais ça marche la plupart du temps...Paresseuse, la mise en scène s'endormirait un peu. Curieusement, le scénario, lui, a des sautes d'humeur, il emprunte des chemins de traverse où se perdent un peu rythme et efficacité... Dans le dernier quart d'heure, Greg n'affronte plus son beau-père, mais une hôtesse de l'air encore plus psychorigide. Ça n'a plus rien à voir avec le reste, mais ça donne tout de même une séquence d'anthologie. Un film qui s'adresse à ceux qui ont eu ou ont un beau-père, à ceux qui pourraient en avoir un et à ceux (ou à celles) qui ont un jour perdu leurs bagages en avion : on sait ratisser large, à Hollywood.

Année : 2000

Avec : Ben Stiller, Blythe Danner, James Rebhorn, John Fiore, Jon Abrahams, Julie Arenal, Nicole DeHuff, Owen Wilson, Phyllis George, Robert De, Teri Polo, Tom McCarthy, William Severs

Récemment en janvier
 

Mon beau-père et moi

Télévision : 7 janvier à 23:00-01:05 sur TF1

film : comédie

Après dix mois de vie commune, Greg Furniquer envisage sereinement d'épouser sa petite amie, Pamela Byrnes. Lorsque celle-ci lui annonce qu'elle ne peut pas lui répondre avant que son père ait donné son avis personnel sur la question, il se résout à demander officiellement sa main à son géniteur. Le premier contact avec Jack Byrnes, un ex-agent de la CIA, est plutôt froid. Il apparaît rapidement que Jack n'a pas l'intention de donner sa fille à Greg, ni à qui que ce soit d'ailleurs. Soucieux de plaire malgré tout, le jeune homme multiplie les gaffes et les maladresses. En une journée, il défigure la soeur de Pam, incendie le jardin de ses hôtes et égare le chat siamois de Jack... - Critique : S'il s'agit, pour le jeune mâle des sociétés occidentales, du dernier rite initiatique, de la dernière épreuve avant de devenir un homme, un vrai, alors la rencontre avec le futur beau-père valait bien un film, et c'est Hollywood qui s'y colle avec ses confortables sabots. Soit donc un jeune infirmier de Chicago, amoureux d'une belle blonde de la côte Est, sommé de passer quelques jours dans sa belle famille potentielle et, dans la tradition la plus traditionnelle, d'y faire sa demande. Notre héros s'y prête de bonne grâce, mais accumule les handicaps : il porte un patronyme à risque (Greg Focker ­ ça vous dirait de laisser votre fille épouser un monsieur Conard ?), vient d'une autre culture (juif middle class contre puritain wasp) et a le défaut d'être irrémédiablement gaffeur. De quoi irriter sérieusement le père de la promise, assis sur ses principes, et dont on décou- vrira assez vite qu'il est un ancien de la CIA, quelque part à l'extrême extrême droite de George W. Bush Junior.Pas de risque inutile : ici, peu ou pas de politique ­ même si se dessinent au loin quelques clivages de classe ou de génération ­, la rencontre entre son beau-père et lui est essentiellement prétexte à gags. Inégaux, mais parfois savoureux. Greg transgresse quelques interdits (fumer, câliner sa girlfriend sous le toit paternel, etc.), découvre une chambre de torture secrète où trône un détecteur de mensonges (auquel on le branche illico), devient monsieur catastrophe en bousillant la fosse d'aisance, puis en gratifiant de quelques cocards sa (future) belle-soeur, et enfin en tentant de remplacer le chat de la maisonnée, qu'il a fait fuir, par un vulgaire matou affublé d'une fausse queue. Situations plus ou moins cocasses, que les comédiens rendent par moments irrésistibles : Ben Stiller a déjà gaffé dans Mary à tout prix ou Flirter avec les embrouilles, et il persévère avec talent ; face à lui, Robert De Niro joue les beau-père-la-terreur en s'autoparodiant. Il en fait des tonnes dans le regard noir et le rictus inquiétant, mais ça marche la plupart du temps...Paresseuse, la mise en scène s'endormirait un peu. Curieusement, le scénario, lui, a des sautes d'humeur, il emprunte des chemins de traverse où se perdent un peu rythme et efficacité... Dans le dernier quart d'heure, Greg n'affronte plus son beau-père, mais une hôtesse de l'air encore plus psychorigide. Ça n'a plus rien à voir avec le reste, mais ça donne tout de même une séquence d'anthologie. Un film qui s'adresse à ceux qui ont eu ou ont un beau-père, à ceux qui pourraient en avoir un et à ceux (ou à celles) qui ont un jour perdu leurs bagages en avion : on sait ratisser large, à Hollywood.

Année : 2000

Avec : Ben Stiller, Blythe Danner, James Rebhorn, John Fiore, Jon Abrahams, Julie Arenal, Nicole DeHuff, Owen Wilson, Phyllis George, Robert De, Teri Polo, Tom McCarthy, William Severs

Antérieurement en 2022
 

Mon beau-père et moi

Télévision : 6 novembre 2022 à 21:05-23:05 sur 6ter

film : comédie

Après dix mois de vie commune, Greg Furniquer envisage sereinement d'épouser sa petite amie, Pamela Byrnes. Lorsque celle-ci lui annonce qu'elle ne peut pas lui répondre avant que son père ait donné son avis personnel sur la question, il se résout à demander officiellement sa main à son géniteur. Le premier contact avec Jack Byrnes, un ex-agent de la CIA, est plutôt froid. Il apparaît rapidement que Jack n'a pas l'intention de donner sa fille à Greg, ni à qui que ce soit d'ailleurs. Soucieux de plaire malgré tout, le jeune homme multiplie les gaffes et les maladresses. En une journée, il défigure la soeur de Pam, incendie le jardin de ses hôtes et égare le chat siamois de Jack... - Critique : | Genre : rite initiatique. S'il s'agit, pour le jeune mâle occidental, de la dernière épreuve avant de devenir un homme, alors la rencontre avec le futur beau-père vaut bien un film, et c'est Hollywood qui s'y colle avec ses confortables sabots. Soit un infirmier de Chicago, amoureux d'une belle blonde, sommé de passer quelques jours dans sa belle-famille potentielle. Notre héros accumule les handicaps : patronyme à risque (Greg Focker... Vous, ça vous dirait de laisser votre fille épouser un monsieur Connard ?), culture différente (juif middle class contre puritain wasp) et gaffeur. De quoi irriter le père de la promise, assis sur ses principes. Greg transgresse les interdits, découvre une chambre de torture où trône un détecteur de mensonges, bousille la fosse d'aisances, puis gratifie de quelques coquards sa (future) belle-soeur. Situations plus ou moins cocasses, que les comédiens rendent par moments irrésistibles : Ben Stiller, parfait gaffeur, et Robert De Niro, qui joue les beaux-pères-la-terreur en s'autoparodiant. Il en fait des tonnes, mais ça marche... — Aurélien Ferenczi

Année : 2000

De : Jay Roach

Avec : Ben Stiller, Bernie Sheredy, Blythe Danner, James Rebhorn, Jon Abrahams, Julie Arenal, Kali Rocha, Nicole DeHuff, Owen Wilson, Phyllis George, Robert De, Teri Polo, Tom McCarthy

Antérieurement en 2022
 

Raisons d'Etat

Télévision : 3 novembre 2022 à 23:00-01:45 sur Chérie 25

film d'espionnage

A la fin des années 30, Edward Wilson, un étudiant brillant mais effacé, est amené à collaborer avec le FBI pour démasquer un de ses professeurs, soupçonné de sympathie nazie. Cette première mission pour les services secrets scelle son destin, tandis que la Seconde Guerre mondiale approche. Edward intègre le bureau des renseignements et grimpe un à un les échelons de la hiérarchie. Au fur et à mesure de son ascension, il se coupe un peu plus de son épouse et de son fils. Les années passent. Edward fait maintenant partie des hauts responsables de la CIA et la guerre froide fait rage. Au cours de ses activités secrètes, Edward est amené à prendre contact avec son homologue soviétique. Le débarquement de la baie des Cochons se solde par un fiasco. La CIA, persuadée qu'une taupe sévit à l'agence, demande à Edward d'enquêter... - Critique : De Niro cinéaste ? L’hypothèse, classée sans suite après un coup d’essai sans éclat (Il était une fois le Bronx, en 1993), reprenait, treize ans plus tard, quelques couleurs avec ce film qui aurait pu s’intituler Il était une fois la CIA. D’une élégance toute classique, ce récit courant de la fin des ­années 1930 au début des sixties mélange intime et géopolitique, et s’attache à un héros de plus en plus fantomatique. De ses bril­lantes études à ses responsabi­lités au sommet de la CIA, Edward Wilson (Matt Damon, remplaçant DiCaprio alors enrôlé par Scorsese, mentor historique de De Niro ! ) ne cesse de s’identifier à son pays, en s’oubliant lui-même. L’atmosphère nébuleuse de secret, de suspicion et de paranoïa s’épaissit encore avec l’évocation de la guerre froide, et le film ­insiste sur les tortures infligées en pure perte, les crimes commis par erreur et les bains de sang historiques, comme la tentative de renversement de Fidel Castro à Cuba en 1961. Selon cette vision radicalement pes­simiste, la consécration professionnelle coïncide avec le stade ultime du dessè­chement émotionnel et de l’isolement affectif. Le champion du contre-espionnage ne possède rien, sinon un titre qu’il ne peut faire valoir socialement, secret d’État oblige. La grande aventure se termine entre quatre murs tristes : la saga de la CIA se confond peu à peu avec la tragédie de l’employé modèle.

Année : 2006

De : Robert De

Avec : Alec Baldwin, Angelina Jolie, Billy Crudup, Eddie Redmayne, John Turturro, Julie Arenal, Keir Dullea, Martina Gedeck, Matt Damon, Michael Gambon, Robert De, Tammy Blanchard, Wesley Fata, William Hurt

Antérieurement en 2022
 

Raisons d'Etat

Télévision : 20 octobre 2022 à 21:05-00:00 sur Chérie 25

film d'espionnage

A la fin des années 30, Edward Wilson, un étudiant brillant mais effacé, est amené à collaborer avec le FBI pour démasquer un de ses professeurs, soupçonné de sympathie nazie. Cette première mission pour les services secrets scelle son destin, tandis que la Seconde Guerre mondiale approche. Edward intègre le bureau des renseignements et grimpe un à un les échelons de la hiérarchie. Au fur et à mesure de son ascension, il se coupe un peu plus de son épouse et de son fils. Les années passent. Edward fait maintenant partie des hauts responsables de la CIA et la guerre froide fait rage. Au cours de ses activités secrètes, Edward est amené à prendre contact avec son homologue soviétique. Le débarquement de la baie des Cochons se solde par un fiasco. La CIA, persuadée qu'une taupe sévit à l'agence, demande à Edward d'enquêter... - Critique : De Niro cinéaste ? L’hypothèse, classée sans suite après un coup d’essai sans éclat (Il était une fois le Bronx, en 1993), reprenait, treize ans plus tard, quelques couleurs avec ce film qui aurait pu s’intituler Il était une fois la CIA. D’une élégance toute classique, ce récit courant de la fin des ­années 1930 au début des sixties mélange intime et géopolitique, et s’attache à un héros de plus en plus fantomatique. De ses bril­lantes études à ses responsabi­lités au sommet de la CIA, Edward Wilson (Matt Damon, remplaçant DiCaprio alors enrôlé par Scorsese, mentor historique de De Niro ! ) ne cesse de s’identifier à son pays, en s’oubliant lui-même. L’atmosphère nébuleuse de secret, de suspicion et de paranoïa s’épaissit encore avec l’évocation de la guerre froide, et le film ­insiste sur les tortures infligées en pure perte, les crimes commis par erreur et les bains de sang historiques, comme la tentative de renversement de Fidel Castro à Cuba en 1961. Selon cette vision radicalement pes­simiste, la consécration professionnelle coïncide avec le stade ultime du dessè­chement émotionnel et de l’isolement affectif. Le champion du contre-espionnage ne possède rien, sinon un titre qu’il ne peut faire valoir socialement, secret d’État oblige. La grande aventure se termine entre quatre murs tristes : la saga de la CIA se confond peu à peu avec la tragédie de l’employé modèle.

Année : 2006

De : Robert De

Avec : Alec Baldwin, Angelina Jolie, Billy Crudup, Eddie Redmayne, John Turturro, Julie Arenal, Keir Dullea, Martina Gedeck, Matt Damon, Michael Gambon, Robert De, Tammy Blanchard, Wesley Fata, William Hurt