José David Montero : passages TV

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Antérieurement en 2018
 

The Professional

Télévision : 23 juillet 2018 à 00:20-01:45 sur Canal +

film

Ancien soldat devenu tueur à gages, Lucas est chargé de tuer la jeune Ella, étudiante dans une école suisse. Son père a en effet trahi Addison, un parrain sans scrupules, en détournant plusieurs millions de dollars de sa société. Mais Lucas refuse de mener à bien son contrat. Il prend la fuite avec l'adolescente. Ensemble, ils tentent d'échapper aux hommes d'Addison lancés à leurs trousses, qui menacent de tuer sa femme dont il est séparé ainsi que sa fille. Leur odyssée les mène en France puis en Angleterre... Critique : Genre : action formatée. Disparu des radars après Terminator 3 : le soulèvement des machines (2003), Jonathan Mostow fait partie de ces vétérans du film d’action désormais cantonnés à des projets médiocres, à l’instar de Martin Campbell (loin de son Casino Royale) ou Michael Apted (jadis réalisateur du Monde ne suffit pas). Dans ce thriller, sorti en France directement en DVD, le monolithique Sam Worthington incarne un tueur à gages stéréotypé en quête de rédemption, chargé d’éliminer une adolescente, qui se retourne contre son employeur. Homme d’affaires omnipotent — il con­trôle la police —, ce dernier habite un château aux caves lugubres et possède une fâcheuse tendance à jeter ses ennemis aux chiens. Soit une piètre copie de Ramsay Bolton, emblématique méchant de la série Game of thrones. Artisan doué, Jonathan Mostow garde son talent particulier pour filmer les courses-poursuites (comme dans Break­down, point de rupture, injustement méconnu) ou les bagarres en espaces exigus (comme dans U-571). Ici, les scènes de fusillade sont plutôt réussies. Hélas, The Professional reste desservi par son scé­nario simpliste : l’ado a perdu son père, le héros ne connaît pas sa fille, il fait donc office de papa de substitution… Enjeux limités et quelque peu nunuches.

Année : 2017

Avec : Jonathan Mostow, Sam Worthington, Odeya Rush, Martin Compston, Tina Maskell, Eudald Font, Amy Landecker, Allen Leech, Andrew Brooke, Federico Jusid, John D Brancato, Michael Ferris, Kevin Wignall, Tomas Voth, José David Montero

Antérieurement en 2018
 

The Professional

Télévision : 12 juillet 2018 à 10:25-11:50 sur Canal +

film

Ancien soldat devenu tueur à gages, Lucas est chargé de tuer la jeune Ella, étudiante dans une école suisse. Son père a en effet trahi Addison, un parrain sans scrupules, en détournant plusieurs millions de dollars de sa société. Mais Lucas refuse de mener à bien son contrat. Il prend la fuite avec l'adolescente. Ensemble, ils tentent d'échapper aux hommes d'Addison lancés à leurs trousses, qui menacent de tuer sa femme dont il est séparé ainsi que sa fille. Leur odyssée les mène en France puis en Angleterre... Critique : Genre : action formatée. Disparu des radars après Terminator 3 : le soulèvement des machines (2003), Jonathan Mostow fait partie de ces vétérans du film d’action désormais cantonnés à des projets médiocres, à l’instar de Martin Campbell (loin de son Casino Royale) ou Michael Apted (jadis réalisateur du Monde ne suffit pas). Dans ce thriller, sorti en France directement en DVD, le monolithique Sam Worthington incarne un tueur à gages stéréotypé en quête de rédemption, chargé d’éliminer une adolescente, qui se retourne contre son employeur. Homme d’affaires omnipotent — il con­trôle la police —, ce dernier habite un château aux caves lugubres et possède une fâcheuse tendance à jeter ses ennemis aux chiens. Soit une piètre copie de Ramsay Bolton, emblématique méchant de la série Game of thrones. Artisan doué, Jonathan Mostow garde son talent particulier pour filmer les courses-poursuites (comme dans Break­down, point de rupture, injustement méconnu) ou les bagarres en espaces exigus (comme dans U-571). Ici, les scènes de fusillade sont plutôt réussies. Hélas, The Professional reste desservi par son scé­nario simpliste : l’ado a perdu son père, le héros ne connaît pas sa fille, il fait donc office de papa de substitution… Enjeux limités et quelque peu nunuches.

Année : 2017

Avec : Jonathan Mostow, Sam Worthington, Odeya Rush, Martin Compston, Tina Maskell, Eudald Font, Amy Landecker, Andrew Brooke, Allen Leech, Federico Jusid, John D Brancato, Michael Ferris, Kevin Wignall, Tomas Voth, José David Montero

Antérieurement en 2018
 

Seven Sisters

Télévision : 30 juin 2018 à 21:00-22:55 sur Canal +

film de science-fiction

Dans le futur, la Terre est en train d'étouffer à cause de sa surpopulation. Nicolette Cayman, qui dirige le Bureau d'Allocation des Naissances, est chargée de mener à bien une politique d'enfant unique. Terrence Settman "désobéit" quand sa femme accouche de sept bébés. Il les appelle par les sept jours de la semaine. Afin de ne pas être démasquées, chacune d'elles pourra sortir uniquement le jour qui correspond à son prénom. Le stratagème fonctionne pendant des années. Mais un jour, Lundi est arrêtée. Les six encore libres et aux personnalités très différentes vont tout tenter pour la sauver et d'échapper aux sbires de Nicolette Cayman... Critique : | Genre : Sept fois Noomi Rapace. En 2073, sur une Terre surpeuplée, la politique de l’enfant unique a été instaurée. Pour survivre, des septuplées (Noomi Rapace, fois sept) appliquent un stratagème élaboré par leur grand-père (Willem Dafoe, trois ou quatre flash-back et puis s’en va). Elles vivent retranchées dans leur appartement, sortent chacune un jour par semaine et prétendent, à l’extérieur, être une seule et même personne. Le film promet un vertige schizophrène, comme dans la scène inaugurale de repas réunissant les sept. Hélas, le Norvégien Tommy Wirkola, visiblement absorbé par les défis techniques liés au tournage, néglige totalement la caractérisation des héroïnes. Les sept personnalités se réduisent en fait à sept looks : la Noomi hackeuse, la Noomi sportive, la Noomi fêtarde, etc. Et la science-fiction est, ici, une caricature de dystopie — voir Glenn Close en méchante politicienne, avec coupe de cheveux amidonnée de circons-tance. Pis : Seven Sisters, sorte de Fils de l’homme inversé, est déplaisamment malthusien. Il suffit, pour s’en convain­cre, de voir le peu d’importance que le metteur en scène attache à la vie des personnages (sœurs comprises), qui périssent en une suite d’exécutions plus ou moins sommaires.

Année : 2017

Avec : Tommy Wirkola, Noomi Rapace, Willem Dafoe, Glenn Close, Marwan Kenzari, Christian Rubeck, Tomiwa Edun, Pal Sverre Hagen, Clara Read, Christian Wibe, Max Botkin, Kerry Williamson, Joseph A Hodges, José David Montero