Joris Molinas : passages TV

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Récemment en mai
 

Le château de ma mère

Télévision : 7 mai à 15:30-17:20 sur 6ter

film : comédie dramatique

Marcel passe les vacances d'été avec sa famille à La Treille, dans les collines provençales. Il rencontre la capricieuse Isabelle, qui lui fait vivre ses premiers émois amoureux, mais revient assez rapidement à ses escapades dans la garrigue avec son ami, Lili des Bellons. La mère de Marcel, inquiète pour la santé de son fils, obtient de son mari que tous les week-ends se passent désormais dans la maison de La Treille. Mais la route est longue : les Pagnol doivent contourner plusieurs propriétés privées avant d'arriver à la "Bastide enchantée". Bouzigue, un ancien élève de Joseph, leur offre une solution inespérée : une clef qui permet à la famille de traverser les jardins longeant le canal... - Critique : « En ce temps-là, j'étais encore un petit garçon et j'avais rencontré l'amour de ma vie : les collines de Provence. » Cette phrase de Pagnol fidèlement restituée par la voix off parfumée à la lavande de Jean-Pierre Darras ouvre Le Château de ma mère, la suite de La Gloire de mon père. Elle illustre parfaitement ce qu'on ressent devant ces deux films d'Yves Robert au casting et aux sentiments authentiques : soudain, on a 10 ans et le Midi est notre patrie. On pénètre dans l'univers du petit Marcel comme on feuillette d'un doigt taché d'encre ces livres d'images qui invitent à frotter la page pour y découvrir une senteur. Romarin, thym, laurier et poussière cramée sur les sentiers plombés de soleil. Odeur de craie et de savon à barbe de Joseph, le père instituteur bouffeur de curé. Parfum d'eau de Cologne, d'amidon et de dessert vanillé de « Maman », prononcé avec la majuscule et l'accent d'un amour débordant.Tous les bruits qui composent les vacances d'un minot y sont aussi : le bavardage assourdissant des cigales, le grondement de l'orage qui force à courir et se cacher, le cri de la bartavelle, oiseau de gloire paternelle, le crissement des sarments sous les croquenots d'écolier, et l'écho dans la garrigue des premiers serments d'amitié. Avec ces deux films humbles et tendres comme une fougasse à l'huile d'olive, Yves Robert braconne sur la pointe des pieds dans les collines de l'enfance et piège les souvenirs les plus fugaces. D'un fragile bouquet de sourires maternels, il fait un herbier. Ajoute dans sa gibecière une poignée de larmes et quelques figues sèches. Et brandit le tout à la gloire de Pagnol.

Année : 1990

Avec : Didier Pain, Joris Molinas, Julie Timmerman, Julien Ciamaca, Nathalie Roussel, Patrick Préjean, Paul Crauchet, Philippe Caubère, Philippe Uchan, Pierre Maguelon, Thérèse Liotard, Victorien Delamare

Récemment en mai
 

La gloire de mon père

Télévision : 7 mai à 13:10-15:30 sur 6ter

film : comédie dramatique

Au début du XXe siècle, Joseph Pagnol, le père du jeune Marcel, exerce son métier d'instituteur dans un village provençal. Marcel, qui s'installe volontiers au fond de la classe lorsque sa mère, couturière, est contrainte de s'absenter, a appris à lire tout seul, à la grande fierté de son père. Joseph est bientôt muté à Marseille. Après la naissance d'un second fils, Paul, et le mariage de tante Rose avec l'oncle Jules, Joseph et Jules louent une maison à Allauch, où les deux familles passent des vacances enchanteresses. Dans la garrigue, Marcel fait la connaissance de Lili, un jeune villageois déluré, avec qui il va de découverte en découverte... - Critique : Grâce à l’adaptation d’Yves Robert, on pénètre dans l’univers de Marcel Pagnol petit comme on feuillette, d’un doigt taché d’encre, ces livres d’images qui invitent à frotter la page pour y découvrir les senteurs de romarin, de thym, de lavande et de poussière des sentiers plombés de soleil. Mais aussi les odeurs de craie et de savon à barbe de Joseph, le père instituteur bouffeur de curés. Et encore le parfum d’eau de Cologne, d’amidon et de dessert vanillé de « maman », prononcé avec l’accent d’un amour débordant. Tous les bruits qui composent les vacances d’un minot y sont aussi : le bavardage assourdissant des cigales, le craquement des sarments sous les croquenots d’écolier et, bien sûr, le cri de la bartavelle, oiseau de gloire paternelle. Marcel Pagnol aurait aimé.

Année : 1990

Avec : Benoît Martin, Didier Pain, Joris Molinas, Julien Ciamaca, Nathalie Roussel, Paul Crauchet, Philippe Caubère, Pierre Maguelon, Raoul Curet, Thérèse Liotard, Victor Garrivier, Victorien Delamare

Récemment en mai
 

Le château de ma mère

Télévision : 5 mai à 21:10-23:00 sur 6ter

film : comédie dramatique

Marcel passe les vacances d'été avec sa famille à La Treille, dans les collines provençales. Il rencontre la capricieuse Isabelle, qui lui fait vivre ses premiers émois amoureux, mais revient assez rapidement à ses escapades dans la garrigue avec son ami, Lili des Bellons. La mère de Marcel, inquiète pour la santé de son fils, obtient de son mari que tous les week-ends se passent désormais dans la maison de La Treille. Mais la route est longue : les Pagnol doivent contourner plusieurs propriétés privées avant d'arriver à la "Bastide enchantée". Bouzigue, un ancien élève de Joseph, leur offre une solution inespérée : une clef qui permet à la famille de traverser les jardins longeant le canal... - Critique : « En ce temps-là, j'étais encore un petit garçon et j'avais rencontré l'amour de ma vie : les collines de Provence. » Cette phrase de Pagnol fidèlement restituée par la voix off parfumée à la lavande de Jean-Pierre Darras ouvre Le Château de ma mère, la suite de La Gloire de mon père. Elle illustre parfaitement ce qu'on ressent devant ces deux films d'Yves Robert au casting et aux sentiments authentiques : soudain, on a 10 ans et le Midi est notre patrie. On pénètre dans l'univers du petit Marcel comme on feuillette d'un doigt taché d'encre ces livres d'images qui invitent à frotter la page pour y découvrir une senteur. Romarin, thym, laurier et poussière cramée sur les sentiers plombés de soleil. Odeur de craie et de savon à barbe de Joseph, le père instituteur bouffeur de curé. Parfum d'eau de Cologne, d'amidon et de dessert vanillé de « Maman », prononcé avec la majuscule et l'accent d'un amour débordant.Tous les bruits qui composent les vacances d'un minot y sont aussi : le bavardage assourdissant des cigales, le grondement de l'orage qui force à courir et se cacher, le cri de la bartavelle, oiseau de gloire paternelle, le crissement des sarments sous les croquenots d'écolier, et l'écho dans la garrigue des premiers serments d'amitié. Avec ces deux films humbles et tendres comme une fougasse à l'huile d'olive, Yves Robert braconne sur la pointe des pieds dans les collines de l'enfance et piège les souvenirs les plus fugaces. D'un fragile bouquet de sourires maternels, il fait un herbier. Ajoute dans sa gibecière une poignée de larmes et quelques figues sèches. Et brandit le tout à la gloire de Pagnol.

Année : 1990

Avec : Didier Pain, Joris Molinas, Julie Timmerman, Julien Ciamaca, Nathalie Roussel, Patrick Préjean, Paul Crauchet, Philippe Caubère, Philippe Uchan, Pierre Maguelon, Thérèse Liotard, Victorien Delamare