Jean Marion : passages TV

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Antérieurement en 2018
 

Oscar

Télévision : 26 juillet 2018 à 22:25-00:00 sur TFX

film : comédie

Après l'avoir escroqué durant des années, le secrétaire d'un promoteur le fait chanter dans le but d'obtenir la main de sa fille. La tornade Louis de Funès au sommet de son art. Critique : | Genre : vaudeville tourbillon. Comment en vient-on à couiner, éructer, gargouiller, et même tenter de prendre son nez pour un violon, quand on est un monsieur fortuné et respectable ? C'est simple, il suffit d'apprendre, dans la même journée, qu'un de ses employés est un escroc, qu'il exige néanmoins la main de votre fille, que cette dernière est enceinte, à moins que ce ne soit la bonne, laquelle rend son tablier pour aller épouser un riche voisin... Avec Oscar, le talent de Louis de Funès touche à la perfection. Tour à tour odieux et déconfit, le comédien semble rebondir sur les murs comme une balle affolée, déployant tout son art de la pantomime et de l'acrobatie verbale. Il atteint des sommets face à Mario David, qui assiste, bouche bée, à la plus belle crise de nerfs de tous les temps. — Cécile Mury

Année : 1967

Avec : Edouard Molinaro, Louis de Funès, Claude Rich, Agathe Natanson, Claude Gensac, Sylvia Saurel, Dominique Page, Mario David, Paul Préboist, Jean Marion, Georges Delerue, Edouard Molinaro, Jean Halain, Louis de Funès, Claude Magnier

Antérieurement en 2018
 

La cuisine au beurre

Télévision : 22 juillet 2018 à 21:00-22:30 sur C8

film : comédie

Qui part à la guerre perd sa place. Fernand, donc, qu'on croyait disparu, revient auprès de sa femme, qui l'a remplacé par son chef cuisinier. Fernandel joue grassement, Bourvil tente l'allégé, mais cette tambouille reste définitivement sur l'estomac. Critique : | Genre : comédie qui a vieilli. Il fallait réunir des stars vieillissantes. Fernandel rencontrera Gabin l'année d'après dans L'Age ingrat. Ici, il est opposé à Bourvil, qui, paradoxalement, était sorti des âneries pour des rôles plus intéressants. Il retombe très bas dans ce rôle de cuisinier qui voit revenir un beau jour le mari de sa femme, porté disparu depuis la guerre... Gags, dialogues, intrigues, acteurs ont l'air d'avoir 1 000 ans... — Pierre Murat

Année : 1963

Avec : Gilles Grangier, Fernandel, Bourvil, Claire Maurier, Anne-Marie Carrière, Andrex, Mag-Avril, Edmond Ardisson, Henri Arius, Jean Marion, Raymond Castans, Jean Manse, Jean Lévitte, Pierre Lévy-Corti, Pierre Lévy-Corti, Rino Mondellini, Roger Hubert

Antérieurement en 2018
 

Oscar

Télévision : 10 juillet 2018 à 21:00-22:25 sur TFX

film : comédie

Après l'avoir escroqué durant des années, le secrétaire d'un promoteur le fait chanter dans le but d'obtenir la main de sa fille. La tornade Louis de Funès au sommet de son art. Critique : | Genre : vaudeville tourbillon. Comment en vient-on à couiner, éructer, gargouiller, et même tenter de prendre son nez pour un violon, quand on est un monsieur fortuné et respectable ? C'est simple, il suffit d'apprendre, dans la même journée, qu'un de ses employés est un escroc, qu'il exige néanmoins la main de votre fille, que cette dernière est enceinte, à moins que ce ne soit la bonne, laquelle rend son tablier pour aller épouser un riche voisin... Avec Oscar, le talent de Louis de Funès touche à la perfection. Tour à tour odieux et déconfit, le comédien semble rebondir sur les murs comme une balle affolée, déployant tout son art de la pantomime et de l'acrobatie verbale. Il atteint des sommets face à Mario David, qui assiste, bouche bée, à la plus belle crise de nerfs de tous les temps. — Cécile Mury

Année : 1967

Avec : Edouard Molinaro, Louis de Funès, Claude Rich, Agathe Natanson, Claude Gensac, Sylvia Saurel, Dominique Page, Mario David, Paul Préboist, Jean Marion, Georges Delerue, Edouard Molinaro, Jean Halain, Louis de Funès, Claude Magnier

Antérieurement en 2018
 

La cuisine au beurre

Télévision : 1er juillet 2018 à 21:00-22:30 sur C8

film : comédie

Qui part à la guerre perd sa place. Fernand, donc, qu'on croyait disparu, revient auprès de sa femme, qui l'a remplacé par son chef cuisinier. Fernandel joue grassement, Bourvil tente l'allégé, mais cette tambouille reste définitivement sur l'estomac. Critique : | Genre : comédie qui a vieilli. Il fallait réunir des stars vieillissantes. Fernandel rencontrera Gabin l'année d'après dans L'Age ingrat. Ici, il est opposé à Bourvil, qui, paradoxalement, était sorti des âneries pour des rôles plus intéressants. Il retombe très bas dans ce rôle de cuisinier qui voit revenir un beau jour le mari de sa femme, porté disparu depuis la guerre... Gags, dialogues, intrigues, acteurs ont l'air d'avoir 1 000 ans... — Pierre Murat

Année : 1963

Avec : Gilles Grangier, Fernandel, Bourvil, Claire Maurier, Anne-Marie Carrière, Andrex, Mag-Avril, Edmond Ardisson, Henri Arius, Jean Marion, Raymond Castans, Jean Manse, Jean Lévitte, Pierre Lévy-Corti, Pierre Lévy-Corti, Rino Mondellini, Roger Hubert

Antérieurement en 2018
 

Le grand restaurant

Télévision : 21 juin 2018 à 23:05-00:50 sur TMC

film : comédie

Patron d'un restaurant chic, Septime tyrannise ses employés, mais fait des courbettes à ses clients. Deux ou trois gags réjouissants, certes, mais ce film franchouillard vaut surtout pour de Funès. Critique : | Genre : de Funès aux fourneaux. Patron d'un restaurant chic des Champs-Elysées, Septime tyrannise l'ensemble de ses employés. En revanche, il ne recule devant rien pour courtiser la clientèle : baisemains, courbettes et veuleries en tous genres. Un jour, plus obséquieux que jamais, il reçoit Novalès, un chef d'Etat étranger. Hélas ! une bombe explose à la table présidentielle, et Septime se retrouve vite au centre d'un invraisemblable micmac... Un souverain de pacotille, quelques sbires rébarbatifs et loufiats serviles : la mise en scène enchaîne les situations burlesques tendance tarte à la crème. Le scénario n'est qu'une corde maigrelette sur ­laquelle de Funès joue les funambules survoltés. Et, miraculeusement, grâce à lui, la comédie franchouillarde se change en pantomime électrique. Tantôt il mène, au pas de charge, un hilarant ballet de serveurs, tantôt il piste un client, narines pincées et rictus doucereux... Bernard Blier, qui fut souvent, lui aussi, le seul charme de quelques nanars, oppose sa masse sournoise et sa faconde jubilatoire aux fourberies sautillantes du petit teigneux. Les gourmets apprécieront ce festin de méchanceté pour de rire. — Cécile Mury

Année : 1966

Avec : Jacques Besnard, Louis de Funès, Bernard Blier, Folco Lulli, Maria-Rosa Rodriguez, Juan Ramírez, Noël Roquevert, Venantino Venantini, Paul Préboist, Jean Marion, Jean Halain, Jean Halain, Louis de Funès, Jacques Besnard

Antérieurement en 2018
 

Le bossu

Télévision : 17 juin 2018 à 21:00-22:55 sur TF1 Séries Films

film d'aventures

Il a fière allure Jean Marais quand il déclame le célèbre « Si tu ne viens pas à Lagardère, Lagardère ira à toi ! » Il n'a jamais été aussi bien dans un film de cape et d'épée que dans ce Bossu qui a de l'allant. Critique : | Genre : cape et épée. De toute évidence, Philippe de Broca est bien meilleur cinéaste qu'André Hunebelle ! Mais, bossu pour bossu, le Lagardère 1997, avec Daniel Auteuil, fait pâle figure devant celui de 1959, avec Jean Marais. De bout en bout, le film est vif, enlevé. Simple et brillant comme le roman de Paul Féval dont il s'inspire. Bourvil, tutoyant son monseigneur de maître, annonce presque le Figaro de Beaumarchais. Et quand il prononce le célèbre « Si tu ne viens pas à Lagardère, Lagardère ira à toi ! », Jean Marais a fière allure.

Année : 1959

Avec : André Hunebelle, Jean Marais, Bourvil, Hubert Noël, François Chaumette, Sabine Sesselmann, Jean Le Poulain, Paulette Dubost, Paul Cambo, Jean Marion, Jean Halain, Pierre Foucaud, André Hunebelle, Paul Féval, Georges Lévy, Marcel Grignon

Antérieurement en 2018
 

Le grand restaurant

Télévision : 11 juin 2018 à 21:00-22:40 sur TMC

film : comédie

Patron d'un restaurant chic, Septime tyrannise ses employés, mais fait des courbettes à ses clients. Deux ou trois gags réjouissants, certes, mais ce film franchouillard vaut surtout pour de Funès. Critique : | Genre : de Funès aux fourneaux. Patron d'un restaurant chic des Champs-Elysées, Septime tyrannise l'ensemble de ses employés. En revanche, il ne recule devant rien pour courtiser la clientèle : baisemains, courbettes et veuleries en tous genres. Un jour, plus obséquieux que jamais, il reçoit Novalès, un chef d'Etat étranger. Hélas ! une bombe explose à la table présidentielle, et Septime se retrouve vite au centre d'un invraisemblable micmac... Un souverain de pacotille, quelques sbires rébarbatifs et loufiats serviles : la mise en scène enchaîne les situations burlesques tendance tarte à la crème. Le scénario n'est qu'une corde maigrelette sur ­laquelle de Funès joue les funambules survoltés. Et, miraculeusement, grâce à lui, la comédie franchouillarde se change en pantomime électrique. Tantôt il mène, au pas de charge, un hilarant ballet de serveurs, tantôt il piste un client, narines pincées et rictus doucereux... Bernard Blier, qui fut souvent, lui aussi, le seul charme de quelques nanars, oppose sa masse sournoise et sa faconde jubilatoire aux fourberies sautillantes du petit teigneux. Les gourmets apprécieront ce festin de méchanceté pour de rire. — Cécile Mury

Année : 1966

Avec : Jacques Besnard, Louis de Funès, Bernard Blier, Folco Lulli, Maria-Rosa Rodriguez, Juan Ramírez, Noël Roquevert, Venantino Venantini, Paul Préboist, Jean Marion, Jean Halain, Jean Halain, Louis de Funès, Jacques Besnard

Antérieurement en 2017
 

Le grand restaurant

Télévision : 29 décembre 2017 à 00:35-02:20 sur NT1

film : comédie

Patron d'un restaurant chic, Septime tyrannise ses employés, mais fait des courbettes à ses clients. Deux ou trois gags réjouissants, certes, mais ce film franchouillard vaut surtout pour de Funès. Critique : Film de Jacques Besnard (France, 1966). Scénario : Jean Halain, Louis de Funès et J. Besnard. Musique : Jean Marion. 90 mn. Avec Louis de Funès : Septime. Bernard Blier : le commissaire. Maria Rosa Rodriguez : Sophia. Folco Lulli : Novalès. Genre : comédie. Patron d'un restaurant chic des Champs-Elysées, Septime houspille, bouscule, espionne et tyrannise ses employés. En revanche, il courtise la clientèle : baisemains, courbettes et veuleries en tout genre. Un jour, plus obséquieux que jamais, il reçoit Novalès, un chef d'Etat étranger. Hélas, une bombe explose à la table présidentielle : l'hôte de marque s'est volatilisé et Septime se retrouve au centre d'un invraisemblable micmac... Un souverain de pacotille, quelques sbires rébarbatifs et une poignée de loufiats serviles : la mise en scène se contente d'enchaîner les situations burlesques tendance tarte à la crème. Le scénario n'est qu'une corde maigrelette sur laquelle Louis de Funès joue les funambules survoltés. Et, miraculeusement, grâce à lui, la comédie franchouillarde se change en pantomime électrique. Tantôt il mène, au pas de charge, un hilarant ballet de serveurs, tantôt il piste un client, narines pincées et rictus doucereux... Bernard Blier, qui fut souvent, lui aussi, le seul charme de quelques nanars, oppose sa masse sournoise et jubilatoire aux fourberies sautillantes du petit teigneux. Les amateurs apprécieront ce festin de méchanceté pour rire. Cécile Mury

Année : 1966

Antérieurement en 2017
 

Le grand restaurant

Télévision : 12 décembre 2017 à 21:00-22:40 sur NT1

film : comédie

Patron d'un restaurant chic, Septime tyrannise ses employés, mais fait des courbettes à ses clients. Deux ou trois gags réjouissants, certes, mais ce film franchouillard vaut surtout pour de Funès. Critique : Film de Jacques Besnard (France, 1966). Scénario : Jean Halain, Louis de Funès et J. Besnard. Musique : Jean Marion. 90 mn. Avec Louis de Funès : Septime. Bernard Blier : le commissaire. Maria Rosa Rodriguez : Sophia. Folco Lulli : Novalès. Genre : comédie. Patron d'un restaurant chic des Champs-Elysées, Septime houspille, bouscule, espionne et tyrannise ses employés. En revanche, il courtise la clientèle : baisemains, courbettes et veuleries en tout genre. Un jour, plus obséquieux que jamais, il reçoit Novalès, un chef d'Etat étranger. Hélas, une bombe explose à la table présidentielle : l'hôte de marque s'est volatilisé et Septime se retrouve au centre d'un invraisemblable micmac... Un souverain de pacotille, quelques sbires rébarbatifs et une poignée de loufiats serviles : la mise en scène se contente d'enchaîner les situations burlesques tendance tarte à la crème. Le scénario n'est qu'une corde maigrelette sur laquelle Louis de Funès joue les funambules survoltés. Et, miraculeusement, grâce à lui, la comédie franchouillarde se change en pantomime électrique. Tantôt il mène, au pas de charge, un hilarant ballet de serveurs, tantôt il piste un client, narines pincées et rictus doucereux... Bernard Blier, qui fut souvent, lui aussi, le seul charme de quelques nanars, oppose sa masse sournoise et jubilatoire aux fourberies sautillantes du petit teigneux. Les amateurs apprécieront ce festin de méchanceté pour rire. Cécile Mury

Année : 1966